Extrait du discours de Bouteflika relatif à la révision de la Constitution
En de multiples occasions, depuis 1999 et 2004, j’avais exprimé mon souhait de revoir la Constitution lorsque les circonstances le permettraient. Comme chacun le sait bien, les Constitutions sont le produit de l’effort humain. Elles sont donc à même d’être améliorées et perfectionnées. Elles sont l’expression de la volonté des peuples à un moment précis de leur histoire. Elles sont aussi une incarnation de la philosophie et de la vision civilisationnelle de la société qu’ils projettent. A chaque Constitution donc, correspondent des raisons et des perspectives dans l(organisation d(une société et de l’Etat, ainsi que l’ensemble des relations et mécanismes constitutionnels attachés à l’organisation du pouvoir et de sa pratique, autant que la consécration des droits et libertés individuelles et collectives du citoyen.
Lorsque j’avais exprimé mon souhait de revoir la Constitution, j’avais alors indiqué les motifs qui imposaient la nécessité de l’adapter aux étapes à venir. Et malgré ma profonde conviction quant à la nécessité de la revoir dans les meilleurs délais possibles, le poids des engagements autant que les priorités nationales ou encore la multiplicité des consultations ont empêché la réalisation de cet objectif et imposé de ce fait de la pondération. A ce moment-là, nos préoccupations étaient toutes tendues vers la lutte contre le terrorisme, la consécration de la politique de concorde civile et de réconciliation nationale, et la prise en charge des effets de la tragédie nationale. J’ai donc préféré accorder l’entière priorité aux préoccupations du citoyen et à la résolution de ses problèmes ainsi qu’à la poursuite des grandes réformes nationales et des grands projets de développement avec le souci de leur réalisation à temps. J’avais annoncé que je n’hésiterais pas un seul instant à consulter le peuple directement à propos du projet de révision constitutionnelle. Mais, à la lumière de l’expérience vécue ces dernières années et après avoir constaté de temps à autre des interférences entre les différents pouvoirs dans la pratique de leurs missions, la nécessité d’introduire certains correctifs urgents à quelques dispositions de la constitution est apparue nécessaire pour garantir une plus grande maîtrise dans la gestion des affaires de l’Etat.
Eu égard aux engagements prioritaires et aux défis de l’heure, il m’est apparu nécessaire d’introduire des amendements partiels et limités, loin de la profondeur, du volume et même de la forme que je souhaitais donner à ce projet de révision constitutionnelle ce qui aurait dans ce cas imposé le recours au peuple. J’ai préféré, en conséquence, recourir pour l’instant aux dispositions de l’article 176 de la Constitution, éloignant l’idée de la révision constitutionnelle par voie référendaire, mais sans pour autant l’abandonner. Il sera donc proposé au Parlement, après avis motivé du Conseil constitutionnel conformément aux dispositions de l’article 176 de la Constitution, d’enrichir le système institutionnel avec les fondements de la stabilité, de l’efficacité et de la continuité. Cet enrichissement s’articulera autour des axes suivants :
1°) la protection des symboles de la glorieuse révolution devenus aujourd’hui les symboles constants de la République, en ce qu’ils représentent comme héritage éternel pour l’ensemble de la nation afin que nul ne puisse y toucher, les altérer ou les manipuler, et ce en conférant à ces symboles la place constitutionnelle qui leur est due.
2°) la réorganisation, la précision et la clarification des prérogatives et des rapports entre les constituants du pouvoir exécutif sans pour autant toucher aux équilibres des pouvoirs. Un pouvoir exécutif doit être fort, uni et cohérent, à même d’assumer ses responsabilités et de décider avec célérité et efficacité, de sorte à éviter les dualités et les contradictions et de dépasser les effets négatifs induits par l’incapacité à coordonner certains programmes. Ces dualités et ces contradictions conduisent finalement à l’émiettement et à la dissolution de la responsabilité et au chevauchement des décisions, induisant par la même un retard dans l’exécution des programmes et la réalisation de nos projets portant ainsi atteinte aux intérêts du peuple et de la Nation.
3°) permettre au peuple d’exercer son droit légitime à choisir ses gouvernants et à leur renouveler sa confiance en toute souveraineté, tant il est vrai que nul n’a le droit de limiter la liberté du peuple dans l’expression de sa volonté, car la relation entre le gouvernant élu et le citoyen électeur est une relation de confiance profonde, réciproque, basée sur le choix populaire, libre et convaincu. La Constitution actuelle stipule que le pouvoir constitutionnel appartient au peuple, qui exerce sa souveraineté à travers le référendum, au moyen des institutions qu’il choisit et de ses représentants élus. Il apparaît donc clairement que la véritable alternance au pouvoir émane du libre choix du peuple lui-même lorsqu’il est consulté en toute démocratie et en toute transparence au travers d’élections libres et pluralistes. Au peuple et au peuple seul revient le pouvoir de décision.
Vous vous souvenez qu’à l’occasion de la Journée mondiale de la femme, j’avais loué l’importance des acquis méritoires réalisés par la femme algérienne ainsi que la place distinguée qu’elle a gagnée durant la glorieuse lutte pour la libération nationale et son immense sacrifice à cette fin. Cependant, ce qui a été réalisé reste en deçà de ce qu’elle mérite et de ce que nous ambitionnons pour elle. C’est la raison pour laquelle nous avons encore appelé à poursuivre l’effort pour promouvoir la place de la femme algérienne dans notre société et rendre encore plus efficace son rôle vital dans la construction et le développement national en levant les obstacles pour lui permettre une contribution plus grande encore, au même titre que son frère l’Algérien, et ce dans tous les secteurs. Cette démarche vise à l’encourager, particulièrement, à prendre une part active dans l’activité économique, politique et associative.
Nous avons donc veillé à ce que le projet de révision constitutionnelle comporte une disposition nouvelle consacrée à la promotion des droits politiques de la femme et à l’élargissement de sa représentation dans les assemblées élues, à tous les niveaux. Ce que nous souhaitons de cette révision constitutionnelle est de conférer une plus grande cohésion à notre système politique en enracinant des fondements aux repères clairs, en déterminant encore plus les responsabilités, en mettant fin au chevauchement des prérogatives et à la confusion des concepts. Tout cela consolidera les capacités de l’Etat pour le rendre fort et homogène et lui permettre de relever les défis du développement, d’affronter les dangers de la mondialisation et d’atteindre au développement et à la prospérité.
Quel beau discours. En arabe ça doit être mieux encore !!! Ayaya! Quel beau discours.
Il m’a semblé inutile de signaler les mensonges qui l’émaillent.
Il parle de constantes! Selon toute vraisemblance c’est à ce niveau qu’il va insérer son projet de société rétrograde. Personne ne doit s’y tromper. C’est sa seule ambition.
Il n’est pas du tout question de la volonté du peuple algerien de changer la constitution mais de celle du systéme qui veut reconduire son canasssrtager le gateau algerien surtout en ces moments de crise financiere mondiale!
On veut nous faire croire que nos gouvernats pensent reellement au peuple dont la situation sociale se dégrade de jour en jour?En tout cas , en ce qui me concerne je n’y crois pas d’une semelle!Le systéme a bien choisi son moment pour passer à une autre étape, celle de la monopolisation de tous les pouvoirs !
La loi du plus fort est toujours la meilleure!Tant que le peuple se tait ,messieurs les barons du systéme faites ce que bon vous semble.
Rabi Inchallah yeftah el bibane car il n’y a pas de ciel qui n’a pas besoin d’étoiles dit un adage kabyle
Encore de la démagogie:élargir les droits de la femme à faire de la politique!Incroyable ! Comme s’il existait une loi qui le leur interdit! Encore une division entre l’homme et la femme!
Bonjour alikoum, malgré tout ce que nous fait endurer ce régime ripoux. le point 3 du baratin de fakhamatouhou est un chef d’oeuvre de langue de bois et de derwichisme. faut le lire:
3°) « permettre au peuple d’exercer son droit légitime à choisir ses gouvernants et à leur renouveler sa confiance en toute souveraineté, tant il est vrai que nul n’a le droit de limiter la liberté du peuple dans l’expression de sa volonté, car la relation entre le gouvernant élu et le citoyen électeur est une relation de confiance profonde, réciproque, basée sur le choix populaire, libre et convaincu. La Constitution actuelle stipule que le pouvoir constitutionnel appartient au peuple, qui exerce sa souveraineté à travers le référendum, au moyen des institutions qu’il choisit et de ses représentants élus. Il apparaît donc clairement que la véritable alternance au pouvoir émane du libre choix du peuple lui-même lorsqu’il est consulté en toute démocratie et en toute transparence au travers d’élections libres et pluralistes. Au peuple et au peuple seul revient le pouvoir de décision ».
A travers cette phraséologie, fakhamatouhou veut dire qu’il ne faut pas empêcher le peuple de choisir qui il aime ( c’est à dire lui !. Les gens normaux de ce pays – méprisés tous les jours par fakhamatouhou et compagnie- sont-ils si cons et masochistes pour aimer leurs bourreaux au point de réclamer qu’ils restent au pouvoir à vie ? Fakhamatouhou et compagnie sont d’un cynisme assassins. C’est que fakhamatouhou se prend pour Omar Ibn el Khattab ! Ou on ne sait quel grand saint !!! La mégalomanie sans limites et les larbins en position d’allégeance, aussi. Jusxqu’à quand cette descente aux enfers ?
Je remarque un froid qui s’est abattu sur nous tous. On est ébahi devant tant d’appoint. On est refroidi et embêté.
Je sais que je ne voterai ni la révision de la constitution ni plus jamais les éléctions arrangées. C’est un fait et je l’asssume. Je suis cependant désarmé devant ce silence de tous. C’est la preuve que la solution Algérienne a changé. Elle a changé du tout au tout. Hier on etait épris de justice. On aimait pas les injustices, et les pressions, ce qu’on appelle désormais la HOGRA. Hier quand un homme ou une femme est agressé dans la rue, les hommes réagissent, les séparent et parfois prennent position ferme contre le plus faible. Aujourd’hui rien n’ébranle la mort latente des citoyens dans les rues et dans les villes. Cet exemple est à l’image de la société entière, tout le monde se tait, laisse faire parceque telle est la volonté d’une frange de la population , celle qui tire son épingle du jeu. Elle ne veut pas bouger changer. Cette population amorphe, les dirigeants la connaisse bien. Tant que ça dure , il n y a aucun espoir, et je me dis que le coup de grace. Les « hommes » et les « femmes » dignes ils vont tous partir au sens propre et au sens figuré. Après il ne restera plus que des laches. Puis quid de la constrution du pays, de sa souveraineté , il deviendra plus que jamais une proie à portée de main. Seul Dieu peut nous prémunir des agissements irresponsables de nos hommes politiques du dedans et de dehors. MA NESSEMHOU LHOUCH et nous leur reprocherons toujours d’être la cause première de notre éloignement de la terre de nos parents…
changer une APN devouee au regime,le choix du peuple pour ses gouvernants n’a jamais ete respecte compte tenus des fraudes et la non neutralite de l’administration et pour la consolidation des capacites de l’etat en matiere de repression et ettouffement des liberte pour perenise le regime a travers la famille revolutionnaire et les serviteurs avide de mettre a genou les femmes et hommes de ce pays libre.
le rideau est tombe enfin, les hommes intelligents remettent le tablier a temps, forcer le destin et prétendre encore a une nouveau mandat c’est de l’inconscience après avoir mené notre pays a la ruine, nous sommes la risée de tout le monde et ceci malgré notre pétrole , que va t’il faire encore pendant cinq et plus peut être ,il n’ ni la compétence, ni la santé, ni la vision d’un chef d’état pour gérer notre pays, il est tout juste capable de gérer une karma de FLN et encore?
Comment une constitution qui était parfaite il y a dix ans ,devient-elle une copie: boiteuse et révisable maintenant?
Le premier qui donne la réponse juste gagne un voyage aux iles du diable…
Une seule et unique verité mais il y’a plusieurs mensonges qui la gravitent.
BouHef a 10 ans entres ses pattes le resultat est eloquent, l’algerie est classée dans les toutes dernieres places dans tous les domaines SAUF dans la corruption, les crimes et l’injustice elle occupe les premieres loges.
Heure de verité approche…
Bouhef veut sa propre constitution nous proposons au peuple un GPRA-2M8
Bouhef a dit :
3°) “permettre au peuple d’exercer son droit légitime à choisir ses gouvernants et à leur renouveler sa confiance en toute souveraineté, tant il est vrai que nul n’a le droit de limiter la liberté du peuple dans l’expression de sa volonté, car la relation entre le gouvernant élu et le citoyen électeur est une relation de confiance profonde, réciproque, basée sur le choix populaire, libre et convaincu. La Constitution actuelle stipule que le pouvoir constitutionnel appartient au peuple, qui exerce sa souveraineté à travers le référendum, au moyen des institutions qu’il choisit et de ses représentants élus. Il apparaît donc clairement que la véritable alternance au pouvoir émane du libre choix du peuple lui-même lorsqu’il est consulté en toute démocratie et en toute transparence au travers d’élections libres et pluralistes. Au peuple et au peuple seul revient le pouvoir de décision”.
Okay, que le peuple ait le choix libre entre Bouhef et son equipe vursus le GPRA-2M8.
Nous y reviendrons pour plus d’informations.
Amicalement votre.
Ma tabqua fi el oued ghir hdjarou!Le pouvoir est à bout de souffle!Il cherche des subterfuges parci et par là pour perdurer afin de racler tout ce qui restes des biens de ce peuple!Changer la constitution est un leurre car celle-ci n’a jamais proteger d’aucun de nous depuis sa confection dans une salle de Cinéma en l’occurence le Majestic!Une constitution est un veritable contrat entre les gouvernants et le peuple!Celle-ci, la constitution, doit etre approuvée par le peuple avant qu’elle ne soit promulguée et ne pourrait etre remaniée en aucun cas , sauf par le biais du peuple souverain en la matiere!
Maintenant, on assiste malheureusement à des manipulations machiaveliques et des changements arbitraires dans les textes regissant l’Etat et la Nation!
Soyons vigilants et engageons-nous dans la voie de la Deuxuéme République et munissons-nous d’un contrat social équitable et clair, capable d’assurer un avenir radieux à tous les citoyens algeriens!
Allah yarham achouhadas à l’occasion de l’anniversaire du déclenchement de la Révolution!
Salutations fraternelles!
Cela se passait comme ça les années 80. N’en doutez pas, c’est les mêmes situations, c’est les mêmes idées, c’est les mêmes constats. On nous disait la même chose pour réviser la CONSTITUTION. On se joue de notre générosité et du manque de référant. C’est le même discours : la constitution n’est pas claire, « faut précier les rôles et les responsabilités des institutions ». On nous ment.
Autrement ils auraient le courage d’énoncer clairement leurs buts et leurs ambitions.
L’Algérie à 34 millions d’ames, des milliers de cerveaux à l’intérieur et à l’étranger et c’est les mêmes hommes qui ont eu à reformer la Constitution qui viennent aujourd’hui nous rechanter la même rengaine.
Que connaisse ce gens sur le droit constitutionnel, où l’ont il appris , quand l’ont ils usité ?
Mais voyons pourquoi nous parler de droit qu’on l’ignore ou qu’on feint de l’ignorer chaque fois que les intérêts s’opposent à l’expression de ce dernier en toute indépendance comme le prévoit justement toutes les constitutions. Qu’on nous explique pourquoi l’Algérie est dans l’abime malgré ses Dollars. Pourquoi il y autant de revendications nons satisfaites? Pourquoi l’Algérien est sans espoir, il ne peut voir enfin son avenir une quelconque lueur. Ces raffistolages dont on a sciemment occupés les gens depuis plusieurs années ne sont en fait que des petits pas annoncés non pour de grandes avancées démocratiques mais pour asseoir une démarche de perdants.
Nous n’avons pas de leader, nous n’avons plus d’hommes capables et responsables, nous avons des eternels seconds qui agissent à reculant et qui saute le pas seulement lorsque qu’il n’est plus possible de faire autrement.
Au passage ils sement des « faveurs et avantages », ils ferment les yeux sur des malversations gigantesques, ils minent les gens de bonne volonté qui ne les écoutent pas. Ils régentent une toile où se crée et se développement des sujets « amuse-peuple »pour leur préparer des lendemains semblables ou pires encore.
Des voix se font entendre, quelques fois , ici et là, pour nous dire que rien de véritablement juste ne peut émaner de ceux qui font que l’application des lois, les revulsent et ils ont en font un outil non de justice sociale mais de gourdins à leur disposition pour corriger les « égarés ». Des personnes detestant viscéralement les Algériens de bonne volonté, encore saines, non gangrénées par la voracité des autres ceux qui font commerce et amplifient les effets de la connivence et la camaraderie. Ils érigent en système de gouvernance et en science les tares de l’être humain. A non pas douter cette « science » apprise dans la rue non dans les bancs des écoles et des Universités leur ouvre toute grande la porte du pouvoir pour le pouvoir. Ils ne peuvent pas briller autrement, ils ne peuvent s’accomplir par leurs idées , leur travail, leur magnanimité. Ils ont choisi de se soumettre à leurs maîtres du moment, ils rongent tout ce qui est possible de ronger. Ils salissent et vélipendent tous ceux qui ont des comportements autres , différents, fussent ils meilleurs.
On ne peut pas demander à la terre de briller comme le soleil ou les étoiles. La lumière les aveuglent ils en supportent ni de la voir, ils préférent de sombres desseins et destins, qui leur remplissent la ponce et les vide de tout ce qu’il y a humains, de loyal et de juste en eux. Leur stratégie c’est la convoitise. Ils se moquent de tout le reste.
En Algérie nous n’avons pas d’étoiles , elles sont éteintes.Il y a certes des gens qui ruminent en dedans mais ils ne disent rien, ils laissent le sort ou le mektoub faire et défaire des situations mettant en jeu un peuple désorienté et une armée d’opportunistes sans foi ni loi. Ils jouent sans règle et sans arbitre. Ils formulent des questions et donnent leurs réponses, sans écouter leurs semblables. Ils disent taisez vous, ils peuvent apostropher ainsi leurs professeurs, leurs ainés, ou leurs parents. C’est eux et uniquement eux qui peuvent parler au peuple. Ils savent ce qui est bon disent ils. Un pays où les postes transforment les hommes en érudits et non la connaissance et le travail est un pays où tout est à l’envers.
Les Algériens veulent des changements certes mais non des changements de la Constitution. Ils veulent une autre politique conforme aux aspirations des personnes et aux ambitions historiques des hommes , certes, morts au champ d’honneur, mais dont les voix sont encore audibles.
Nous, nous savons, que le moteur des actes et des debordements oratoires cycliques qui nous laissent ébahis devant tant d’impertinence ne sont pas le prolongement des nobles ambitions des Algériens sincères mais l’expression d’une tromperie pour demeurer dans la situation présente.
Dans 10 jours, la messe sera dite. Merci de le préciser. Bien évidemment ces tambours n’ont l’autorisation ni le courage de nous dire en quoi la constitution actuelle est obsolète , en quoi elle n’est pas efficace, ne permet pas la stabilité et la continuité.
Efficacité de quoi ? Du travail des hommes que vous choisissez et dont raisonnablement vous répondrez personnellement des échecs ?
La stabilité ? mais diable en quoi la Constitution ne permet pas la stabilité ? 10 ANS n’est ce pas assez !
Quant à la continuité permettez nous de vouloir comprendre ce que vous voulez mettre sous ce vocable. La continuité n’est concevable que pour les actions méritoires et comprises comme telles par le Peuple dont on dit qu’il est le véritable détenteur du pouvoir. La continuité si c’est TAGHANANT nous n’en voulons pas, car continuer dans la même voie, appliquer la même politique, c’est permettre à l’arbitraire de s’installer encore pour longtemps et finir le travail de désintégration de l’Algérie. Une Algérie qui emprisonne des patriotes et élargit des criminels.
Le peuple , echaab, cet argument alibi n’a plus la force de s’exprimer librement, il est baillonné de plusieurs façons différentes.
Le peuple ne vous vénére pas. C’est seulement l’impression que vous avez et que vehiculent toute la cour prostrée devant vous ,devant l’immensité du savoir, de culture et la capacité énorme à réaliser des ouvrages grandioses.Ceux qui redoreront le blason de l’Algérien , comme il a été dit , et pourtant ce peuple vous le détestez en votre for intérieur.
Un pays ou les leaders et les intellectuels se taisent , alors qu’ils doivent apporter au débat leurs éclairages personnels permettant de forger les avis et les opinions.De casser l’arbitraire et les mensonges.
Un pays sans programmes, sans opposition, et dont les fils sincères se taisent sur ces coupes sombres et des rajouts mesquins ,de sa Constitution. Ce pays ne peut se construire, il continuera à sombrer comme le voulait une certaine force de l’ombre qui a participé au chaos et qui est là présente, insouciante. GHIR RABI ALI YAKDAR ELKOUM. Vous mourrez c’est sur et c’est seulement en ce moment là que l’Algérie se construira … en attendant nous vivons le purgatoire sur terre celui de la pensée unique, celui du mal qui prime sur le bien, celui de la force sauvage du dominant , celui de l’argent qui donne des ailes et des forces, celui qui chasse le savoir et installe des chaires en sciences de la combine.
L’emprise extraordinaire des anciens du Malg de boussouf dont une dizaine vivent en suisse se poursuit .
Les generaux ne sont qu’un trompe-l’oeil ,le malg de boussouf ne à Berkane dans une ferme de la famille Belhadj Bouabdallah , des maocains d’origine algerienne n’esgt plus ni moins qu’un brouillon du KGB .
Devenu SM en 1962 puis DPS 1989 pour devenir RDS et DRE ,ces services recoivent des ordres d’anciens seconds couteaux de Boussouf devenus depuis la mort de leur chef les « patrons »de l’algerie.
Algerie , mon pauvre pays ,incarne aujourd’hui par une armee qui vit clandestinement dans un pays qu’elle est censee defendre ,allez voir nos « chers officiers »comment qu’ils vivent à la cite du 11 decembre de cheraga .
Pas d’adresse , pas de numero , tous en civils leur seul repere si vous y alliez est de vous dire: »demandez la villa rose ,c’est à cote »
Quel honte , une armee ,des deliquants plutot .
Alors quand on parle de constitution dans ce pays ,on ne paut s’empechjer de sourire , une tartufferie de plus , la premiere est signe de Ben Bella quan il envoya Abbas et ses deputes se reunir au cinema Majestic , aujourd’hui Atlas;
Mais Ferhat Abbas n’etait pas un mouton ,il demissionna et ecrira entre autres dans sa lettre de demission: »je ne dis pas qu’il n’ya pas eu de developpement , mais je dis qu’on n’a pas commence par le commencement ,en Alerie on assiste à un provisoire qui dure »
44 ans apres il dure toujours