Ahmed Ouyahia: « Tout a été réglé en haut lieu »
قال رئيس الحكومة أحمد أويحيى، إن إحالة مشروع التعديل الدستوري، الذي أعلن عنه أمس الرئيس عبد العزيز بوتفليقة، على غرفتي البرلمان، سوف يتم في مدة تتراوح ما بين 10 و15 يوما.
وألمح أويحيى في تصريح صحفي، ببهو مبنى المحكمة العليا بابن عكنون، إلى أن قرار التعديل فصل فيه على مستويات عليا، ولم يبق بشأنه أي خلاف بين مراكز القوى في هرم السلطة. وتابع المتحدث بلغة المتيقن مما يقول وهو يوزع البسمات على الصحفيين « اطمئنوا، أؤكد لكم بأن قضية التعديل الدستوري، سننتهي منها قبل انقضاء شهر نوفمبر الداخل ».
Sources Echourouk
Arezki, permets moi de comprendre.
Ton acharnement contre le modérateur est de mon point de vue injuste et improductif. Cesse s’il te plait d’en faire un sujet de commentaires. En tout cas je ne te comprends pas.
Explique nous en quoi c’est important tant d’attaques de ta part.Ce point qui te tient à coeur nous éloigne de nos préoccupations essentielles.
Arezki
Jette un coup sur ta gauche sur la rubrique » VISITEURS » tu verras que toujours à tout moment de la journée comme de nuit des dizaines de personnes entrent dans ce blog .
Quel mouche t a piqué ? En quoi le nom du blog te dérange à ce point pour faire de la désinformation .
Tu as toujours joué le rôle de petit flic .
Honneur à l’administrateur de ce blog qui ne fait que renforcer la liberté d’expression .
Pour ta gouverne , j’ai été censuré à maintes reprises quand mes propos dépassent les bornes , je trouve normal qu’on me censure .
Si j’écris ce que je pense de toi , car , je vais être vulgaire , je serais censuré et je m’abstiens à le faire .
Je préfère ne pas descendre à ton niveau bas .
Vous aurez remarque tout comme moi que certains blogueurs ont disparus. Ils ne se manifestent plus. Ceux qui hier se voulaient les apotres de la légalité, de la justice et des défenseurs de l’honneur des Algériens et de l’Algérie.Ils ne sont plus là. Ainsi donc, il faut à notre grand regret remarquer que les questions aussi importantes comme la Constitution ne recueille pas leur suffrage, leur avis. C’est décevant et révelateur d’une certaine tendance et d’une certaine situation qui veut l’on donne de l’importance aux choses en adoptant une certaine catégorisation qui fait que pour les uns des questions qui nous semblent aussi importantes si non plus, que certains cas d’espèce ne recueillent pas autant de blogueurs offusqués et nerveux…
Bouteflika: « J’y suis j’y reste, advienne que pourra! »
Nous venons de vivre le cauchemar de la déclaration de la fin de la Constitution à deux mandats. L’adoption des amendements « limités » est une formalité, à moindre coût et sans risque, puisque c’est la voix parlementaire qui a été retenue. À la veille de la commémoration du 1er Novembre et devant un parterre de magistrats obéissants, Bouteflika a sonné le glas à l’espoir de la démocratie et de l’alternance du pouvoir qui a caractérisé l’ex-Constitution. Cette dernière avait été, à l’époque, applaudie chaudement par les démocrates et par les tenants du Pouvoir avant et après son adoption. Elle représentait un gage de bonne volonté envers l’opinion publique national et international de la part de la dictature militaire qui avait pris le pouvoir par le putsch de 1992. C’était la première fois qu’un pays de la région annonce l’adoption d’une Constitution aussi démocratique. La première fois où le peuple a vraiment cru qu’il allait se délecter de la fin de règne d’un Chef d’état autrement que par le Putsch, ou la mort. Voir un chef d’État algérien quitter la présidence par la seule force de la loi était une aspiration démocratique profonde. La souveraineté, la dignité et la grandeur allaient être restituées au peuple. Les présidents allaient perdre ce statut de figure emblématique intouchable, au-dessus de la loi. Ils allaient perdre cette espèce d’icône sacrée que tout le monde devait vénérer pour redevenir un simple gestionnaire des affaires publiques, justiciable, réellement responsable devant l’opinion. La défunte Constitution avait doté le peuple d’une épée de Damoclès pour frapper fort contre les abus et les dérives. Sans convictions ni perspectives démocratiques, Bouteflika n’est pas à sa première grande forfaiture politique. Arès avoir participer au redressement politique par un coup d’État en 1965, il nous contraint à un autre redressement, par le grenouillage et par le verrouillage des médias lourds, pour se maintenir au pouvoir à vie. Il personnalise la Constitution pour, nous dit-il, ne pas interrompre, la confiance profonde entre lui et nous. La belle affaire!
Croit-il vraiment que le peuple est dupe à ce point? L’on se demande pour quoi alors un tel acharnement pour le pouvoir. Croit-il vraiment qu’il va atteindre les objectifs de stabilité et de prospérité, qui l’ont toujours fui comme un pestiféré. Ses échecs sont chroniques pourtant. Il sait bien que ni ses 13 ans de despotisme avec Boumediene ni ses 10 ans de présidence à 100%, marquée par l’anarchie, les dilapidations à grande échelle et les frasques, n’ont été concluants sur le plan économique ou en terme de cohésion politique. Très peu de choses peuvent être portées à son actif.
En effet, l’annonce du 3e mandat qui se décrypte aisément de son discours soporifique enrobé d’une argumentation racoleuse et perfide s’est faite sur fond d’une situation sociale et économique des plus exécrables, sur fond de plusieurs déclassements internationaux humiliants et sur fond de persistance du risque de retour des généraux dans les affaires publiques. Avec lui, l’Algérie n’a fait que dégringoler, à contresens, vers les rangs les plus infamants. Plus aucune pudeur ne le saisit à la vue de ses bilans. Il représente bien la couche des Algériens, naguère fiers et dignes, ont été poussés par la misère, ont laissé tomber le voile de la pudeur, et se sont adonnés à la mendicité, à la rapine, à la collecte de la pitance dans les détritus, le président et ses thuriféraires ne rougissent pas devant de tels résultats. Une fin de mandat aurait constitué pourtant une issue de sortie honorable et un exutoire discret pour s’éloigner de cette vie ingrate parsemée d’échecs et de tragédies socio-économiques qui ne finissent pas.
Tous les indicateurs économiques sont dans la zone rouge. Vous n’avez pas encore touché le fond?! Le 3e mandat, d’ores et déjà inscrit dans la continuité, va vous permettre de l’atteindre avec Fakhamatou.
Excepté le remboursement, prudent et habile, de la dette extérieure à la faveur de l’envolée miraculeuse des prix du pétrole, le président Bouteflika n’a jamais brillé, sur le plan économique, que par des bilans catastrophiques. Le chômage bat le plein. Le fossé social n’a jamais été aussi large et profond. La couche moyenne s’est réduite comme une peau de chagrin en allant renforcer les rangs de la misère. L’apparition de phénomènes humiliant pour la nation comme la propagation phénoménale de la mendicité, l’insalubrité, l’anarchie dans le tissu urbain, el harga, la corruption qui atteint des niveaux dangereux l’Etat, les suicides, l’insécurité, la pédophilie, les kidnappings, les catastrophes naturelles et artificielles, etc.
Requiem donc pour la Constitution de Zeroual. Vive Bouteflika! Sur le plan des concepts politiques, cela veut dire: abat Zeroual! Mais ne le dites à personne cela risque d’arriver aux oreilles de l’ex-président qui n’aime pas qu’on défigure son œuvre constitutionnelle. On serait coupable d’avoir créé un conflit entre les deux hommes qui sont intransigeants sur les principes… Mais on se pose quand même une question lancinante pourquoi Zeroual qui a mobilisé toute l’Algérie pour promouvoir et adopter sa constitution, rechigne-t-il aujourd’hui à la défendre. Bouteflika serait-il muet si sa nouvelle coqueluche de constitution était malmenée demain. Mais on ne pourrait répondre à cette question puisque, sera probablement occupé, Allah ytawel Omrou, à l’expliquer aux Chouhadas en personne…
Ci dessous l’article que vient de mettre en ligne sur son site le pseudo-opposant hicham aboud. Pseudo opposant, il le confirme de jour en jour parce que dans cet article il trompe ses visiteurs du site en leur faisant croire que bouteflika a un projet politique, et qu’il n’est pas le chef du système en place auquel lui meme hicham aboud appartient encore et pour lequel il bosse sous la couverture de refugié politique en france. EN FRANCE.
Il file tout droit vers un troisième mandat bien mérité
Oui, n’en déplaise aux esprits chagrins et aux champions du verbiage et aux commerçants des larmes et du sang des Algériens, Abdelaziz Bouteflika se taille un troisième mandat qui fera de lui un président à vie.
Tant pis s’il viole la constitution pour parvenir à ses fins. Tant pis s’il brigue son troisième mandat au mépris d’un peuple qu’il refuse de consulter par référendum pour la révision de la constitution, la loi fondamentale du pays. Et tant pis pour cette pseudo opposition en quête de miettes d’une manne pétrolière qui profite exclusivement aux seuls décideurs et leur progéniture.
Oui, le troisième mandat qu’il s’assure, Bouteflika le mérite amplement. Il est le seul homme à faire ce qu’il pense et qui met en exécution ses projets politiques. Les autres n’ont qu’à applaudir ou suivre de loin le train qui les a laissés sur le quai depuis des lustres.
Bouteflika mérite bien son troisième mandat parce qu’autour de lui c’est le vide. Un vide affreux. Il n’y a plus d’hommes ni de femmes qui s’opposent à sa volonté. Qu’est-ce qui l’empêcherait, donc, de faire cavalier seul sur une scène politique où le larbinisme des uns le dispute à la lâcheté des autres.
Bouteflika n’a qu’à graisser la patte des larbins comme il vient de le faire en augmentant de manière scandaleuse la rémunération des membres d’une assemblée dont l’élection a été boudée par plus de la moitié du peuple algérien. Quant aux lâches qui se disent opposants mais n’osent jamais affronter le pouvoir de face par des actions concrètes à même de le faire chuter, ceux-là, Bouteflika n’a qu’à les ignorer comme il l’a toujours fait.
Alors, un troisième mandat et une présidence à vie, Monsieur le président ? Pourquoi pas ? Il n’y a personne pour vous arrêter. En tous les cas ça ne changera rien au petit peuple qui continuera de rêver d’évasion vers des cieux plus cléments.
Hichem Aboud
le, 30 octobre 2008
Hichem ABBOUD dit vrai. Pourqoui lui cherche-t-on des poux ?
Boutef fait ce qu’il veut et avec panache. Il méprise toutes les institutions (gouvernement, assemblées, ANP..), le peuple ; il foule aux pieds la constitution, il embastille, il censure, il est raciste, régionaliste… Malgré cela on l’applaudit. OUYAHIA a dit qu’il applaudit des deux mains !!!
L’opération de corruption qu’il a préméditée va aboutir. Personne ne semble en mesure de l’arrêter. Et pourtant chacun sait que ce sera la fin d’une certaine algérie.
ABBOUD a raison!!!
absolument cher za3maza3ma, je n’ai rien à ajouter. sauf peut être rappeler qu’il y a eu une seule passation démocratique et c’est Zeroual qui l’a fait. malheureusement il a signé ainsi la déchéance pour les algériens et la misère aussi surtout intellectuelle.
Assalam aliekoum
Tout est réglé en haut lieu, dans un lieu ténèbreux ou regne le général-major Lucifer le roi du vice et du mal. Tout est réglé en haut lieu a dit son porte parole, celui qui ne sait faire que ce qu’il lui intime l’ordre de faire, celui qui ne peut pas dire la vraie nature de ceux qui sont au pouvoir car il sait qu’il va mourir, celui qui n’ose plus réfléchir de peur de revenir en arrière. Tout est réglé en haut lieu, il n’y a plus rien, il n’y a plus rien à dire, il n’y a plus rien à écrire, nous devons tous se taire, accepter de continuer à souffrir et surtout ne plus chercher un moyen pour unir et s’opposer à ceux qui nous disent: »vous êtes des lâches, des impuissants et des soumis, vous êtes bons qu’à nous servir ». Tout est réglé en haut lieu, dans un labortoire secret où les décisions sont prises, avant que ne soient lachés:
- Ceux qui sont déstinés à tuer, frapper, torturer, traquer, emprisonner…
- Ceux qui sont sensés manipuler, diviser, mentir, tromper, faire avaler la vipère cornue, propager la rumeur, insulter, critiquer, infiltrer, diffuser leurs mensonges et leurs idées…
- Ceux qui doivent surveiller, trafiquer, cadrer, cerner, falsifier, changer, mélanger…
- Ceux qui vont louer, féliciter, applaudir, sigharthi(zagharthi, youyouti), remercier, raconter, ramenter, rassembler, reconcilier…
- Ceux qui vont obliger, menacer, terroriser, obliger, imposer, égorger…
- Ceux qui vont diffuser, ceux qui écrivent uniquement sous forme de dictées, dictées que leurs dictent ceux qui les payent et qui les font exiter…
Tout est réglé en haut lieu, vous avez rien à penser, ni à désirer, ni à proposer, ni à imaginer, vous consommez et vous allez vous coucher, sinon ils vont s’enerver et ensuite lui vont vous massacrer.
Tout est réglé en haut lieu, circulez il n’y plus rien à voir, rentrez chez vous, vous n’avez même pas besoin de voter, allez y éparppillez-vous, le président la dit, il veut regner à vie pour continuer à vous nier, vous mépriser et vous humilier.
Tout est réglé en haut lieu, vous le ghachi, vous devez accepter tous les actes, les idées, les désirs et les phantasme son immense, grande et très puissante folie jusqu’au jour ou il sera rappelé à celui qui l’avait crée.
Tout est réglé en haut lieu, le président ils ont reconduit, les députés ils sont augmentés, la crise financière est maîtrisé, Le R.C.K est remonté, Mr zaoui est licencié, Mr benchicou est brûlé, les juifs ils sont vengés, les blogs ils sont tous infiltrés ou contaminés, les journaux ils disent tout ce qu’on leur dit, la revolution est totalement falsifié, la kabylie n’est jamais aussi bien colonisé, les arrouchs ils sont ressuscités, les femmes ils vont être liberées, les hommes ils sont tous totalement castrés, les vieux ils sont tous écartés, les jeunes, ils sont drogués, ouyhia est fin prés, l’opposition est corrompue, les vrais opposants auront besoin de plusieurs pour s’unir et se reléver, l’assassin de meceli est arrêté, celui de matoub vient de temoigner…
Notre union (de tout le peuple) est une condition obligatoire pour arriver un jour à se débarrasser de ce pouvoir qui réglé tout en haut lieu(l’ether, septième ciel wa allahou A3lem). L’Union et la non-violence est le seul cauchemar qui peut monter en haut lieu, là où tout est réglé.
Fraternellement
oui c’est vrai monsieur ouyahia tout est reglè par les deux traitres de 1 novembre54 MOHAMED MEDIANE,LAARBI BELKHEIR et LES GENERAUX FRANCAIS
Quel est ce haut niveau Monsieur le chargé de missions ou « sales besognes ».
L’information rapportée par le quotidien « Echourouk »,selon laquelle Mr.Ouyahia aurait révélé un secret de pouvoir, selon lequel la décision d’amender la constitution a été prise au haut niveau sans préciser ce haut, de qui est composé et quelles sont leurs fonctions officielles. Ce haut niveau n’est pas le président du pouvoir qui s’est donné l’étiquette de république. Ce haut niveau n’est pas une institution de la république. C’est un comité secret. Son porte-parole, Mr. Ouyahia a été donc chargé de donner et de répandre la bonne nouvelle. Feu M’Hamed Yazid a nommé ce comité secret et informel de cabinet noir, donc non transparent, alors que la république est transparente. Tout le monde sait qui fait quoi et quels ses pouvoirs, sauf dans la fausse république. Monsieur Ouyahia qui confond les termes de la langue française, car elle n’a pas inventé le terme qui le qualifie désormais « sales besognes », mais « basses besognes ». L’académie française devrait décerner un prix à ce nouveau inventeur de nouvelles formulations de la langue française. Mais c’est cela le système de pouvoir qui perdure, comme celui de la colonisation, où les Algériens étaient gouvernés par les bureaux indigènes ou bureaux arabes ou SAS et SAU, etc..L’ALgérie d’aujourd’hui est encore régie par le code de l’indigénat, version moderne de Sénatus-Consulte. Elle n’a pas un président de la république, mais un gouverneur désigné. Donc, réviser ou amender la constitution ne cha,ge rien à la donne. Le futur président sera le nouveau gouverneur, à moins que le cabinet noir ne veut prolonger sa régence. Les Turcs ont bien abandonné l’Algérie aux Français et ils les ont aidés à gouverner le peuple algérien en leur léguant leurs méthodes de pouvoir, celle des janissaires qui décident de tout, s’entredéchirent entre eux, s’entretuent pour le pouvoir et les richesses. Les Français ont reconduit la méthode. Elle est toujours en vigueur, car Benbella a reconduit la méthode de gouverner le peuple algérien pour avoir le pouvoir de l’opprimer, de l’asservir, de lui voler ses richesses et sa liberté. C’est la continuité historique de la colonisation. L’alternative démocratique est de mettre fin à cette néo-colonisation, où les faux princes de la fausse république disposent de la souveraineté du pays sans consulter ses habitants et de ses richesses qu’ils mettent dans des pays étrangers. La démocratie veut dire la fin de nouveau colonialisme aux couleurs algériennes.
merci Ammisaid pour votre commentaire.dire merci pour tous ceux qui font la moindre chose utile pour cet surface jeographique qu’on nomme Algerie est en lui meme un acte révolutionnaire dans ces temps d’indéfirence qui tue les acteurs du changement.