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Archive pour octobre, 2008

1.533 harraga interceptés en 2008

harragabarque.jpgSelon un bilan établi par le Centre national de surveillance et d’assistance maritime qui dépend des Forces navales, «421 interventions en mer ont été effectuées en 2008 dont 132 entrant dans le cadre de la lutte contre l’émigration clandestine», a indiqué le lieutenant-colonel Zineddine Banat, le commandant du centre, lors d’une conférence donnée hier à l’Amirauté.

 

Le conférencier a indiqué que  »depuis janvier dernier, nous avons intercepté 1.533 émigrants clandestins dans 132 opérations d’intervention dont 75 ont été effectuées en mer et 57 près des côtes. En 2007, le nombre global de nos interventions était de 496, dont 173 dans le cadre de la lutte contre l’émigration clandestine au cours desquelles pas moins de 1.568 émigrants clandestins ont été interceptés».

UNE SOCIÉTÉ CHINOISE MISE À L’INDEX PAR DES TRAVAILLEURS DE BÉJAÏA

chi.gifLa société chinoise réalisatrice du projet de construction d’une importante prison régionale, dans la commune de Oued-Ghir, aux portes de la ville de Béjaïa, est mise à l’index par quelque 63 travailleurs algériens qui ont entamé hier un mouvement de grève pour dénoncer les dures conditions de travail au sein de ladite entreprise.
Les ouvriers grévistes ont jeté un véritable pavé dans la mare en parlant des pratiques de l’entreprise, au plan notamment des recrutements et des salaires octroyés aux travailleurs algériens, qui seraient «sous-payés», relève-t-on, par rapport aux travailleurs de nationalité chinoise. Ne bénéficiant pas d’assurance et des primes de transport et de restauration, les ouvriers algériens recrutés par ladite société chinoise toucheraient finalement un salaire mensuel de 15 000 DA, indiquent les grévistes. Une affaire qui promet assurément des rebondissements. Le Soir d’Algérie

«Si Gal» et «Ben Ammi»

L’association des grands invalides de la révolution l’a révélé hier :

Douze mille faux moudjahidine démasqués (El watan) 

«Si Gal» et «Ben Ammi»

Si Gal, s’étant caché 
Toutes ces sept années  
Se trouva fort inconnu 
Quand la paix fut venue 
Pas un seul petit morceau 
De papier de bureau 
Vraiment incognito

Il alla crier «Amine!» 
Chez le faussaire qui dîne  
Le priant de lui délivrer 
Quelque papier pour subsister 
Jusqu’à la saison éternelle 
«Je vous paierai» lui dit untel 
Avant la nuit, foi d’animal 
Intérêt et communal»

Le faussaire d’une voix dédaigneuse :  
C’est là l’un de ses «des-faux» 
Que faisiez-vous aux temps «chauds» 
Dit-il à cette personne visiteuse 
Nuit et jour à tout venant 
Je me cachais, ne vous déplaise 
Vous vous cachiez ? 
J’en suis fort aise 
Eh bien : casquez maintenant.»

R.Zenati (Parodie: Toute reproduction du texte est soumise à l’autorisation de l’auteur

(mail abderazen@gmail.fcom)

Affaire Mecili: L’ambassadeur Mesdoua écrit à El Watan

amba.jpgVotre journal, dans son édition du 21 octobre 2008, a publié une photo portant le nom du capitaine Rachid Hasseni. Je voudrais vous confirmer que la photo parue est la mienne, que mon nom n’est pas Rachid Hasseni et qu’au demeurant, je ne suis mêlé en aucun cas, ni de près ni de loin, à cette affaire qu’éprouve notre collègue et ami, Ziane Mohamed Hasseni, cadre au ministère des Affaires étrangères, dont l’innocence, nous en sommes convaincus, sera prouvée rapidement. La confusion créée par la publication de cette photo autour de ma personne devrait amener les organes de presse, connus pour leur sérieux et professionnalisme, à prendre le temps nécessaire afin de vérifier leurs informations avant de se lancer dans des commentaires qui peuvent être préjudiciables à la personne considérée.

Les rectifications apportées par votre journal dans son édition du 22 octobre 2008 m’obligent à sortir de l’obligation de réserve à laquelle je suis astreint par la mission qui m’est confiée par mon pays en tant qu’ambassadeur d’Algérie en Serbie, pour demander des excuses que je suis en droit d’attendre de la part de votre journal pour le préjudice subi. J’espère que votre journal comme d’autres titres nationaux éviteront ainsi toute ambiguïté et propension médiatiques pouvant créer des réactions tendancieuses autour de personnes au-dessus de tout soupçon. Confiant en la déontologie de votre journal, je vous prie de croire, Monsieur le directeur général, en l’expression de ma considération distinguée.

El Watan précise

Nous tenons à préciser que la photo de droite publiée à la une de notre édition du 21 octobre 2008 pour illustrer un article consacré à l’affaire Mecili, qui s’est finalement avérée être celle de l’actuel ambassadeur d’Algérie en Serbie, n’est ni une découverte ni une invention d’El Watan. Bien avant que nous la reprenions, l’illustration en question avait fait le tour des rédactions françaises et a été largement diffusée par des sites internet. Mais si El Watan l’a reprise, c’est surtout parce qu’elle a été versée comme pièce à conviction dans le dossier de l’instruction de l’affaire du diplomate algérien Mohamed Ziane Hasseni, mis en examen au prétexte que son nom présentait des similitudes avec le patronyme de Rachid Hassani, contre lequel le tribunal de Paris a lancé un double mandat d’arrêt international en décembre 2007. Mohamed Samraoui, ex-officier des services secrets algériens en exil, a attesté, il y a peu de temps, devant la presse puis devant la justice françaises que l’homme sur la photo (celle publiée par El Watan) est la personne recherchée, à savoir Rachid Hassani. La publication de cette photo par El Watan aura eu au moins le mérite d’apporter un peu de clarté dans cette affaire : tout le monde sait aujourd’hui que cette photo est celle de l’ambassadeur d’Algérie en Serbie et non celle de Rachid Hassani, présumé commanditaire de l’assassinat de Ali Mecili.

La diplomatie algérienne est devenue une maison de retraite dorée pour les généraux et les suppôts de l’Etat

ae.jpgIl n’y pas que le corps des Affaires étrangères qui recèle des compétences et des gens honnêtes. Toute l’Algérie est un vivier qui produit des Wled familia, des gens de principe, respectables et scrupuleux. De gens qui étaient éduqués dans l’amour de la patrie et le sens du sacrifice. Le problème est que ces derniers ne trouvent pas un milieu social ou professionnel sain et propice pour s’épanouir et faire profiter le pays avec leurs compétences et leurs qualités.. Les déboires du MAE ne sont qu’une des facettes sombres de la gangrène politique algérienne.

La malédiction qui affecte aujourd’hui ce corps où deux hauts responsables sont impliqués, bon gré mal gré, à un crime perpétré par des gens des services de renseignement n’est pas du tout fortuite. Ce corps apprend maintenant, à ses dépens, ce à quoi il devait s’attendre quand il s’est laissé squatté (a-t-il vraiment le choix) par les gens du service de renseignement (depuis le MALG, SM et ensuite DRS) dont les mains sont tachées de sang. Ce corps a perdu toute crédibilité dès qu’il est devenu une maison de retraite dorée pour les généraux et les suppôts de l’Etat. Il est devenu un corps vermoulu par les parasites qui interfèrent dans sa mission. Ceux qui le pleurent de l’intérieur ne peuvent pas le défendre malheureusement. Il porte trop de stigmates des scandales qui l’ont ébranlé et de la gestion catastrophique qui s’appuie sur les tractations partisanes et les allégeances claniques.

C’est un organisme sensé défendre nos intérêts partout dans le monde par la force de conviction professionnelle et l’amour profond l’Algérie. Le peuple algérien souffre du sous-développement et l’aliénation politique. Il n’a rien vu venir de cet organisme à part des questions protocolaires stériles ou la gestion administrative des communautés algériennes à l’étranger.
Qu’a-t-il fait pour nous ce corps ? Donnez-nous un exemple de retombées financières conséquentes ou des relations internationales étroites, dont il a le mérite, et qui auraient pu contribuer de façon éclatante dans le transfert technologique ou le développement économique, pour tirer ce peuple de sa misère.
Tels les barbus, les généraux et les courtiers du palais présidentiel, qui le fréquentent ou qui le convoitent crient à l’unisson: “pour elle on vit et pour elle on meurt” en pointant le MAE.
L’affaire de feu Mecili ne cesse de soulever des questions sur nous même. Comme si M. Mecili avant de se venger ses vrais bouchers, il nous contraint depuis 20 ans à regarder de face, toute la laideur de notre système.

Pour ceux qui veulent approfondir la question, je leur recommande de visionner un débat sur le sujet qui a été organisé par la chaîne Eljazeera. Vous allez être sidéré par ce qui se pratique dans les ambassades arabes et algériennes en particulier. Mais cela est un secret polichinelle…Le débat est compilé en 9 clips sur youtub.

http://fr.youtube.com/results?search_query=diplomate+arabe&search_type=&aq=-1&oq=

Préparez, du maïs soufflé, un antidépresseur et éloignez de vous les objets fragiles…Bon vent.

Par Sniper

Noureddine Djoudi père de l’actuel ministre des Finances

kdjoudi.jpgJe suis Ok avec les principes que défend Mohand. J’ajouterais que Nouredinne Djoudi, qui vient de se réveiller, est bien l’ambassadeur à Paris dans les années 90, pote de Bouteflika et père de l’actuel ministre des finances. L’attitude de N.Djoudi est parfaitement conforme à son statut de membre du système, et naturellement défenseur de ce système honni. Donc, rien d’étonnant. Le contraire l’aurait été. il aurait été extarordinaire qu’il se transforme en militant de la vérité dans l’affaire de l’assassinat de Mecili. D’ailleurs dans cette affaire, on semble être de plus en plus dans un dossier à tiroirs ou l’assassinat lui même et la quête de justice sont secondaire. N’oublions pas que deux nouveaux acteurs (spéciaux de par leur passé professionnel récent) sont entrés en jeu: Hicham Aboud et Mohamed Samraoui. Ajoutez-y les services français, allemands (où réside Samraoui) et belges (où réside Aboud). Ca tiraille de tous les cotés, sans oublier que pour les services algériens Aboud et Samraoui sont des traitres à abattre..Sans oublier les intérêts des différents Etats. Dans tout cela, faut être devin pour savoir comment l’affaire va se développer.

Mabdekka

Photo: Karim Djoudi ministre des Finances

Khalida Toumi: « J’assume l’interdiction du livre de Benchicou »

khalidatoumichante.jpgLa décision d’interdire le livre de Mohamed Benchicou « Journal d’un homme libre » a été prise pour «banalisation des crimes coloniaux et propos antisémite», a déclaré mardi à Alger la ministre de la Culture Khalida Toumi. Elle affirme en effet que Mohamed Benchicou, «fait un parallèle entre un militant de la cause nationale (Zerhouni) et un général (Massu) responsable de l’assassinat de 4.000 Algériens, de 5.000 disparus et de la systématisation de la torture pendant la guerre de libération nationale».

Classement mondial de la liberté de la presse 2008: Algérie à la 121ème place

rsflibertepresse.jpgSix pays du Moyen-Orient figurent chaque année dans le bas du classement mondial de la liberté de la presse et les champions de la répression, dans cette région, ont confirmé leur statut en 2008. La liberté d’expression reste une utopie en Irak (158e), en Syrie (159e), en Libye (160e), en Arabie saoudite (161e), dans les Territoires palestiniens (163e) ou encore en Iran (166e). Les journalistes y sont soit soumis à une censure implacable, soit confrontés à une violence inouïe. Les Territoires palestiniens n’ont jamais autant régressé dans le classement. Le bilan de la lutte entre les principales factions a été désastreux pour la liberté de la presse. La fracture politique entre la bande de Gaza et la Cisjordanie s’est accompagnée d’une segmentation des médias. La responsabilité de l’armée israélienne dans la mort d’un cameraman palestinien de l’agence de presse Reuters, en avril 2008, et l’impunité dont a bénéficié le soldat auteur du tir fatal expliquent la chute d’Israël (149e, hors territoire israélien) dans le classement.

Au Maghreb, l’Algérie est classée 121e, le Maroc (122e) poursuit sa chute, entamée deux ans auparavant. L’emprisonnement du journaliste Mostapha Hurmatallah a marqué un tournant dans la détérioration des relations entre la presse et l’Etat. Une série de procès intentés par le pouvoir contre des journalistes et des internautes ont révélé que la liberté de la presse au Maroc s’arrêtait aux portes du palais royal.

Le Liban (66e) a gagné 32 places, puisque aucun journaliste n’a, cette année, figuré sur la liste des victimes des attentats qui ont frappé le pays. L’attaque orchestrée par le Hezbollah, en mai 2008, contre certains médias affiliés à l’opposition anti-syrienne n’a pas fait de victimes et a soulevé un courant d’indignation au sein de la société libanaise.

L’ambassadeur Djoudi écrit à El Watan

amba.jpgLa personne mise en cause par votre journal dans son édition de ce jour, mardi 21 octobre 2008, étant en poste hors d’Algérie, je vous prie de bien vouloir publier la mise au point suivante comme réaction d’un citoyen algérien à une erreur gravissime de votre quotidien.

«Lecteur assidu d’El Watan dont j’apprécie souvent le sérieux et le professionnalisme, j’ai été scandalisé de voir en première page la photo d’un de nos meilleurs jeunes diplomates avec la mention « personne présentée comme étant Rachid Hassani ». Par delà la douloureuse épreuve que traverse notre ami Mohamed Ziane Hasseni, dont l’innocence, j’en suis intimement convaincu, ne fait aucun doute dans l’exécution d’un crime auquel rien ne le rattache, sinon le douteux « témoignage de visu » d’un ex-officier félon, il est particulièrement pénible de voir un quotidien respecté manquer à ce point de vigilance. Il vous souviendra que M. Hasseni a été interpellé sur simple dénonciation d’un ex-colonel, Semraoui en l’occurrence, qui affirme avoir reconnu sur un document photo le commanditaire de l’assassinat de André Ali Mecili. Au demeurant, ce délateur a été confondu par une chaîne de télévision française qui a démontré que le témoignage de Semraoui était entaché de nullité de par sa confusion des personnes et des visages.

Publier en première page la photo d’un de nos ambassadeurs les plus respectables, actuellement en poste en Europe, avec la mention en question, et compte tenu du climat qui règne autour de cette affaire, n’est-ce pas risquer non seulement de jeter la suspicion sur un diplomate algérien de plus, mais également de le rendre bien malgré lui acteur potentiel dans cette affaire ultra ubuesque où l’apparence physique et l’orthographe prennent le pas sur l’authenticité de l’acte d’état-civil ? Mais n’est-ce pas aussi et surtout ajouter, par manque de vigilance, de l’eau au moulin de ceux qui n’hésitent pas à user de tous les moyens pour s’en prendre à l’image de marque de notre pays et, accessoirement, ajouter un élément de discorde de plus dans nos relations avec la France ? Connaissant la probité, le souci de vérité et l’attachement profond de M. Belhouchet au respect de l’image de marque de notre patrie, je ne doute pas que vous saurez réparer comme il se doit cette malheureuse faute que je ne peux considérer comme intentionnelle. » Nourredine Djoudi

Commentaire: la photo a été publiée depuis plus d’un mois dans le site Mediapart et reprises par plusieurs sites internet. Pourquoi ni l’ambassadeur mis en cause ni les autorités algériennes n’ont réagi pour « rétablir » la « vérité » ? El Mouhtarem

Affaire Mecili: L’ambassadeur d’Algérie à Belgrade injustement mis en cause

amba.jpgL’affaire du présumé commanditaire de l’assassinat de Ali Mecili n’a pas livré tous ses secrets. Une nouvelle donne vient remettre en cause toutes les certitudes avancées jusque-là dans cette affaire qui a fait et continue de faire couler beaucoup d’encre.

En effet, la photo de la personne présentée comme étant Rachid Hassani – l’homme désigné comme étant le commanditaire du meurtre de Ali Mecili – est finalement celle de l’ambassadeur d’Algérie à Belgrade, M. Abdelkader Mezdoua, qui naturellement n’a rien à voir avec ce dossier. Chose d’ailleurs qu’il a tenu à préciser hier. Cette grave confusion devrait donner une nouvelle tournure à l’affaire dite désormais Hasseni. Cela, dans la mesure où cette illustration, qui a accompagné plusieurs articles publiés dans la presse étrangère et sur des sites internet et qui a été reprise par El Watan dans son édition d’hier, a été utilisée comme pièce à conviction dans le dossier de l’instruction de l’affaire du diplomate algérien, Mohamed Ziane Hasseni.

Arrêté le 14 août dernier à l’aéroport de Marseille, Mohamed Ziane Hasseni, chargé du protocole au ministère des Affaires étrangères, a été mis en examen au prétexte que son nom présentait des similitudes avec le patronyme « Rachid Hassani », objet d’un double mandat d’arrêt international lancé en décembre 2007 par le tribunal de Paris. Le nom de Rachid Hassani avait été avancé pour la première fois en 2001, faut-il le préciser, par l’ex-officier des services secrets algériens, en exil en Europe, Mohamed Samraoui, comme étant le commanditaire de l’assassinat en 1987 à Paris de l’avocat Ali Mecili, membre fondateur du FFS et ancien du MALG. Il a attesté, il y a peu de temps, devant la presse puis devant la justice française que l’homme sur la photo – aujourd’hui contestée par l’ambassadeur d’Algérie à Belgrade – est bien la personne recherchée, à savoir Rachid Hassani. Hichem Aboud, lui aussi ancien officier des services secrets algériens, a également exclu le fait que la personne figurant sur la photo identifée par Mohamed Samraoui, comme étant Rachid Hassani, soit le véritable commanditaire.

Malgré ces affirmations contradictoires, le tribunal puis la cour de Paris – qui n’ont finalement tenu compte que de l’avis de Mohamed Samraoui – ont prononcé la mise en examen et le maintien sous contrôle judiciaire de Mohamed Ziane Hasseni. Mais voilà que les « certitudes » de Samraoui volent en éclats avec l’identification de la photo publiée dans notre édition d’hier. Cette nouvelle donne vient ainsi appuyer la thèse d’une erreur judiciaire dont serait victime Mohamed Ziane Hasseni. Une thèse ardemment défendue par les avocats du mis en cause. Au fur et à mesure que les jours passent, des éléments nouveaux viennent jeter davantage de confusion sur cette affaire qui est loin de trouver son épilogue. Aujourd’hui encore, on s’interroge si Mohamed Ziane Hasseni a réellement un pied dans cette affaire ou s’il est victime, comme l’affirment les autorités algériennes. Une chose est désormais sûre : le recherché Rachid Hassani est un nom sur lequel on a mis un faux visage… La réaction de l’actuel ambassadeur d’Algérie à Belgrade en est d’ailleurs la preuve. Par M. A. O. El Watan

Commentaire: Mohamed Samraoui a déclaré dans un entretien au journal Tahiabladi, que pour ce qui est de l´identification de Mohamed Ziane Hasseni, «le mieux serait que je me rende à Paris pour une éventuelle confrontation». M. Samraoui a expliqué que «d´après les photos montrées (par les journalistes de Madiapart), il s´agit bel et bien de Rachid Hassani, mais ma conscience et la crainte de Dieu ne m´autorisent pas à accuser un innocent, par conséquent une confrontation est souhaitable pour lever les derniers doutes».

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