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Archive pour le 3 novembre, 2008

Lu ailleurs…

Un blog proche du FFS (FFS1963) multiplie les articles virulents envers Nouredine Ait Hamouda 

Lu ailleurs... dans Blog et internet en Algérie oct_26_internet2Tizi-ouzou, 26 oct 2008 (bms)- Un blog proche du Front des Forces Socialistes (FFS) multiplie les articles virulents envers le fils du colonel Amirouche, Nourredine Ait Hamouda, pour son intervention à l’assemblée nationale algérienne (APN).
    En deux jours, trois articles très virulents intitulés  »
Le fils d’un colonel n’est pas colonel »,  »Ei si on parle de Bleuite ? » et  »Noureddine Aït Hamouda ou la diversion vulgaire », y sont diffusés, tous signés Benderouiche, qui serait un autre pseudonyme de l’auteur du blog dit El Mouhtarem (le respectable), allant tous dans le sens de descendre en flamme Nourredine Ait Hamouda.
    Algérie politique ou
ffs1963, est un blog anonyme, qui reprend généralement les positions du parti de Hocine Ait Ahmed tout en se proclamant indépendant.  »Ce blog n’appartient pas au FFS », précise d’ailleurs à l’acceuil El Mouhtarem comme pour reconnaître une certaine proximité avec le parti d’un des chefs historiques de la révolution algérienne.
    Il est reproché au fils du colonel Amirouche bien plus le ton utilisé à l’APN que le fond de son intervention. 
     » Il a renforcé la dictature et desservit la démocratie. L’histoire de l’Algérie ne s’écrira jamais avec des pyromanes même s’ils détiennent une part de la vérité. M. Aït-Hamouda a tort de prendre son héritage glorieux comme un laissez-passer aux démonstrations de force. », écrit entre autres Benderouiche.
     »La harangue à laquelle s’est livré ce député devant les caméras de télévision dénote l’existence d’un déficit criard de culture politique chez ceux qui sont à même de donner l’exemple de la sagesse et de la politique. », ajoute-t-il. (…)
 

Belkacemi Mohand Said
Kabylie.unblog.fr 
Information libre de tout droit

Photo du jour

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Bouteflika: “Dit-moi si H’med, tu m’en veux plus pour le coup d’Etat et tes 14 années perdues en détention, hein? Je suis venu à Tlemcen pour avoir ta bénédiction pour le 3e mandat”

Benbella: ” Mais non, t’en fait Si Aziz. Après mon rejet populaire aux élections, je m’en fous du peuple. Il m’a bien démontré que le clan d’Oujda avait raison de prendre et garder le pouvoir par la force. Alors, Si Aziz soit fidèle aux principes du clan jusqu’à ta mort. Et n’oublie pas tes anciens amis.” Sniper

Algérie: Les enseignants contractuels réprimés

Vers 9h les policiers ont pris d’assaut toute l’avenue menant vers le siège de la Présidence. Toutes les ruelles donnant accès au grand bâtiment étaient quadrillées par un dispositif de sécurité des plus importants. Cet arsenal, préparé soigneusement tôt dans la matinée, n’était pas destiné à faire barrage aux terroristes, mais à empêcher des enseignants de se rendre au siège de la Présidence pour déposer une lettre revendicative. «Nous ne sommes pas des criminels ni des terroristes ni des voleurs pour que l’on nous traite de la sorte. Nous revendiquons nos droits et nous demandons à cet effet notre confirmation dans notre poste de travail. Est-ce un crime ? », a tonné une enseignante. Ils étaient plus d’une cinquantaine d’enseignants contractuels à manifester hier dans la rue. Ils sont venus des quatre coins du pays (Tizi Ouzou, Bouira, Mostaganem, Blida, Tipaza, Annaba, Béjaïa) pour crier leur ras-le bol d’une situation qui ne fait que perdurer.

Face à la détermination des enseignants, les policiers donnent l’ordre de quitter les lieux. « Personne ne peut vous recevoir au niveau de la Présidence. Quittez cet endroit et remontez dans vos bus. Je ne veux plus de rassemblement », lance un policier à une enseignante. Les contestataires ont brandi alors des pancartes et commencé à scander des slogans hostile au pouvoir : « Non à la hogra, nous voulons juste notre réintégration », « La titularisation des contractuels est un droit constitutionnel », « Sauver la vie des grévistes ». La colère est montée ainsi d’un cran. Les policiers ont malmené deux enseignantes avant de les embarquer de force dans leur voiture à destination du commissariat le plus proche. N’ayant pas compris la stratégie du gouvernement ni le comportement du ministère de tutelle face à la problématique des enseignants contractuels, « peut-on à ce point tourner le dos à un problème qui risque de prendre une tournure grave ? Comment peut-on faire semblant d’ignorer une telle situation ? », s’est interrogé cet enseignant en ajoutant : « Qu’attend le gouvernement pour prendre enfin une décision politique puisque le ministre du secteur essaye de s’en laver les mains ? »

Sources El Watan

Se taire, c’est mourir un peu

taire.jpgSe taire, c’est mourir un peu. Alors nous bavardons. Nous refusons de nous taire. Nous rejetons ce comportement de nos aînés ou de nos chefs que nous aurions voulu exemplaires.

Que dire sur ces “révolutionnaires” qui se sont attribués le pouvoir d’agir comme leur dictent leur ambition et la situation du moment. Ils ont oublié que leurs missions ne s’arrêtent pas à assouvir leurs besoins, leurs ambitions. Elles ne doivent pas se traduire par cette stabilité irrévérencieuse du plus faible qu’ils veulent perpétuer. Elles ne se traduisent pas cette continuité velléitaire.

La répétition cyclique des mêmes engagements, par les mêmes hommes ne peut conduire qu’aux mêmes constats. Un échec cuisant. Des ambitions comme seules politiques ne peuvent produire un miracle et ce changement voulus par les citoyens, qui aimeraient (il est grand temps) vivre dans une ambiance de travail et de justice et non de combine et de magouille. Un pays sans stratégie de développement, sans programme réaliste, sans renouvellement des compétences est un pays qui se complait dans sa situation, ne peut pas changer. Ils ne veulent pas perturber les habitudes et les situations.

Hier c’était le premier novembre, une date historique, vivante mais qui se termine dans un silence complice des vrais nationalistes et des vrais moudjahidine. Ceux qui tiennent le haut du pavé se sont contentés de se gaver de mets chauds et chers autour de tables biens disposés et de chaises molles luxueuses.

Voila donc un premier novembre historique qui s’achève sans youyou. Il prend sa gifle aussi ce jour qui croyait nous ramener outre la liberté, une existence dans ce monde en tant qu’Algériens fiers de l’être. Il rappelle au peuple ses combats d’hier. Ce jour malgré les millions n’a pas été honoré.

Il nous a tout donné et nous ne le remercions pas. Nous n’avons même pas la liberté de le faire pour exprimer notre gratitude à ceux de nos pères et grands père qui sont morts aux champs d’honneur, qui nous ont donné ce cadeau inestimable: une existence.

Nous ne remercions pas non plus les vivants, ceux qui ont participé véritablement à la conception, la réalisation de ce beau cadeau celui de nous offrir cette existence. Une existence en ce beau territoire, celui d’aller, de venir, partout (sauf au Club des pins lol). Nous sommes des Algériens malheureux mais nous sommes Algériens. Nous sommes pauvres, en haillons, mais nous demeurons des Algériens. Nous sommes encore à la recherche d’un destin heureux. Nous l’attendons et nous espérons toujours ce souffle exemplaire qui fera que nos douleurs s’atténuent et que nos bourreaux se lassent de nous dépouiller et de nous tromper. Nous résistons cependant et nous prions, et nous disons comme cet auteur du 20eme dans son chef-d’oeuvre la vingt cinquième heure: “il nous faut demander à Dieu de ne jamais donner autant de souffrance que l’homme a d’endurance”.

Nous sommes durs et patients nous les Algériens, nous y arriverons et si notre génération ne le peut pas, il y a celles qui suivront et qui sauront mieux choisir des hommes qui nous méritent. Ils sauront eux faire le distinguo entre ceux qui ont fait la révolution dans les salons feutrés et qui ont pris des habitudes incorrigibles. Ceux qui fomentent coup sur coup des complots contre leurs compagnons et qui en sortent toujours gagnants. Ceux qui travaillent sans relâche avec l’abnégation et la ferme volonté et le courage de construire un Etat qui survivra aux hommes.

Ceux qui pataugent dans la luxure et l’interdit et qui s’arrogent des qualités de musulmans aux occasions. Ceux qui pensent qu’ayant été recensé en tant que maquisards leur donne tous les droits, et s’attribuent des privilèges indus. Ceux qui ont toujours trompé le peuple en se faisant passer pour le contraire de ce qu’ils sont. Ceux qui utilisent la révolution pour se donner bonne conscience et justifier leurs actes ignobles. Ceux qui partagent les revenus du peuple, qui gonflent démesurément leur porte feuille et leurs comptes en Algérie et à l’Etranger dans l’impunité entière et totale. Ceux qui empêchent les bons hommes honnêtes et consciencieux de partager la vie publique. Ceux qui font de l’Administration algérienne une secte. Ceux , fatigués; de crier et de danser aux étoiles, alors que le peuple s’en fout éperdument, poussés à l’exil.

Ceux enfin qui font tout le mal possible à ce peuple d’Algériens qui ne demandent rien d’autre en fait que de vivre dans une société ou toutes ces combines, devenues sport national, disparaissent et donne place à plus de justice sociale, à l’absence de favoritisme. Le peuple sait partager la misère et la souffrance c’est sur. Il ne sait cependant pas laisser agir une poignée d’hommes comme bon leur semble pour leurs intérêts et les leurs. Ils ont pris tout ce dont ils veulent, ils veulent encore plus. Ils déclarent avoir échouer dans leurs missions mais ils trouvent des subterfuges pour continuer à demeurer les maîtres de l’Algérie et des Algériens alors qu’ils en assument pas leurs devoirs. Ils jurent sur le Coran mais ils trahissent leurs serments, ils ont tout oublié du passé. Ils avancent dans la voie la plus abjecte pour le simple désir de continuer. Nous ne savons pas ce que l’Algérie deviendra demain. Nous ne savons pas comment ils vont nous avilir encore plus.

Nous savons par contre qu’au lieu de faire une fête populaire. Ceux qui pensent pour nous et nous traitent de tous les noms, ils se sont vus autour d’un festin et tous ont dit merci. Ils se sont congratulés avec fougue.

Une seule personne a dit non à cette mascarade. Il a suffit de ce geste pour nous réveiller et nous dire qu’il se distingue de la meute et que probablement il n’est pas seul dans ce cas.

Par Mohand

Conseil de la nation: Sept nouveaux membres installés

abdelkaderbensalah6522541.jpgLe Conseil de la nation a validé et installé, hier à Alger, sept nouveaux membres appartenant au tiers présidentiel.

L’installation de ces membres intervient après la validation de cette nouvelle liste par la commission juridique, administrative et des droits de l’homme saisie par le président du Conseil de la nation, Abdelkader Bensalah, suite à la décision du président de la République portant désignation de sept nouveaux membres du Conseil de la nation du tiers présidentiel. Les nouveaux membres du Conseil de la nation sont Fouzia Ben Badis, Abdelkader Bensalem, Mohamed Bentabba, Mohand Akli Benyounès, Zakaria Mohamed, Abdelkader Chenini et Abdelkrim Koraïchi.

 

Mohand Akli Benyounès dit Daniel, ancien président de la fédération de France FLN et frère aîné de l’ancien ministre RCD, Amara Benyounès. Fouzia Ben Badis est la petite-fille de Abdelhamid Benbadis.

L’avocat de Hasseni affirme: « Le juge d’instruction en charge de l’affaire est un incompétent »*

mecili.jpgDans un entretien accordé au quotidien Ennahar (2 novembre), M. Jean Louis Pelletier, avocat du diplomate Mohamed Ziane Hasseni, a qualifié le juge d’instruction en charge de l’affaire d’incompétent. «Nous avons présenté le document original prouvant l’identité de M. Ziane et attestant qu’il n’avait rien à voir avec le véritable coupable qui est Rachid Ziane», a affirmé Me. Pelletier. Et d’ajouter : «Le dossier que nous avons présenté au juge d’instruction comprend également l’original du livret de famille des parents du diplomate, en plus de son livret militaire. Lequel comprend tous les détails sur son affiliation et qui constitue un argument massue innocentant M. Ziane Hasseni.» 
Le défenseur du diplomate se gardera de se prononcer sur le volet politique de cette affaire, précisant par là même qu’il n’en était pas convaincu.
«Et à la limite, cela ne me concerne pas. J’ai été constitué pour défendre un accusé qui est innocent dans un dossier donné. Ni plus ni moins.» 

 

Abordant le fond du dossier, Me Pelletier révèlera que Samraoui, celui dont les «révélations» ont permis la délivrance d’un mandat international contre le directeur des affaires protocolaires du ministère des Affaires étrangères et son arrestation, puis sa mise en examen, a produit un faux témoignage. «Il a été incapable de reconnaître M. Hasseni au moment où France 3 l’a pris en photo.» L’avocat confirmera la convocation par le juge d’instruction en charge de ce dossier de Hichem Aboud et Samraoui, tout en s’offusquant de ce que le magistrat tarde à faire procéder aux analyses ADN après que M. Mohamed Ziane Hasseni eut accepté les prélèvements. Le défenseur du diplomate reste confiant, convaincu de la solidité des preuves innocentant son client. 

(Sources La Tribune du 3 novembre 2008)

* Le titre est tiré de l’entretien par El Mouhtarem

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