Les aveux de Jean-Louis Pelletier

mecili.jpgL’avocat du diplomate Mohamed Ziane Hasseni reconnaît que le véritable coupable est Rachid Ziane sans pour autant l’identifier. Pour sauver son “client”, l’avocat enfonce un autre qu’il ne veut pas identifier, alors qu’il lui suffisait de confronter les deux photos pour demander la liberté de son client. L’avocat semble aussi confondre, car son client est encore innocent. Le juge d’instruction n’a pas encore terminé son travail et l’avocat se permet de le juger “incompétent”. Pauvre défense qui pour sauver l’un enfonce l’autre et confond instruction et jugement.

Sur le plan judiciaire, l’instruction se termine par un non-lieu ou une inculpation. Quant au jugement, il se termine par une condamnation ou un acquittement. Mais pour monter les enchères, il accuse les autres. Mais comme le journal, qui l’a questionné, s’est montré très zélé, il ne peut faire des remarques à cet avocat du pouvoir algérien, puisqu’il a obtenu des documents personnels du mis en examen, y compris son livret familial. On ne refuse rien à Mme
La FRANCE, pourvu qu’elle protège les criminels de Mécili et autres BOUDIA.

Maamar Boudersa

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