Des vérités sur le domaine de la téléphonie dans le Maghreb

djez.jpgOn tolère aux loups de rentrer chez nous, on crie au voleur et on demande aux voleurs de garder le butin de nos enfants !

Au lieu de parler de la Constitution ou de la participation de Louiza Hanoune ou de Said Sadi , aux élections prochaines, je veux tenter petitement, à pas de fourmis avancer et montrer par toutes choses possibles pourquoi nous n’adhérons pas à la continuité devenue le refrain de tous ceux qui sont en partie intéressés peu ou pro.

Je prends un seul domaine sur lequel beaucoup de gens se sont exprimés. Le domaine de la téléphonie.
Je ne parle des 5 pays du Maghreb, je compare et je vous laisse tirer des conclusions.

En Algérie, le chiffre d’affaire en communication est estimé à 3 milliards de dollars par an (tous moyens confondus). Comme moyens nous avons Algérie Télécom, une société publique qui a amélioré son mode de fonctionnement.
Pour le GSM , au lieu de laisser la Compagnie s’affilier avec groupes internationaux et bénéficier de la manne financière qui ne sortirait alors pas du pays on a préféré lancer un appel d’offres spécial. Lequel dossier d’Appel d’offres a été préparé par Paribas, le Président est également membre du CA de France Télécom qui détient à 100% orange, qui est actionnaire majoritaire 71 % de Mobinil (avec Orascom Egypte).

Orange avait soumissionné à 350 M USD et Orascom plus de 700 MUSD etc… la belle farce sans oublier que Téléfonica d’Espagne s’est retiré car elle a senti le vent dans quel sens il tourne. Mais là n’est pas mon propos. Il s’agit en fait de manquements dans la direction de l’opération de défaillance et de lacunes dans les procédures de marchés, que l’ARPT “découvre” …et évidemment il y a des petits malins qui ont bénéficié comme il apparait clairement, pour qui sait lire, que des personnes physiques ont bénéficié d’actions gratuites qui plus tard ont été payés rubis sur ongles.

La grande question est celle ayant trait à la politique décidée par nos gouvernants patriotiques, compétents et révolutionnaires.
Nos voisins sont beaucoup plus malins et plus consciencieux que nous.
En Algérie donc nous avons Orascom Algérie société de statut algérien qui appartient à Orascom Egypte
créee en 2001 à l’occasion de la vente de la première licence GSM (je reviendrai sur ce sujet plus tard).
Cette société appartient aux actionnaires suivants :
Orascom Egypte: 49,60%
Cevital: 3,19 % (Un grand litige l’oppose à ORASCOM)
Moga Holding ltd: 8,24 % (holding de statut égyptien)
Oratel international inc: 31,06 (dont le siège est à Malte)
AIG IIC fond d’invistissements: 7,91% .

Ces nouveaux actionnaires anonymes ont apparu entre 2004 et 2005 au moment où il fallait racheter les parts détenues par des investisseurs individuels dont un ancien cheikh de DUBAI.

En 2002 rappelons-nous, les parts de la société étaient réparties comme suit: 47,70 orascom, 34,10% Oratel international (prête-nom tout trouvé puisque la société est implantée à Malte (Paradis fiscal). ,3,4% Cevital de rebrab.

En 2004, on voit apparaitre MOGA Holding et AIG. En fait par un jeu d’écriture, des milliers d’actions détenues par des personnes inconnues ont cédé leurs actions à Sawaris en tant que personne physique et il a soit disant payé les actions avec ses fonds propres, pour après les intégrer dans le capital de la société également avec un jeu d’écrire aux noms des nouvelles entités qui apparaissent. Les personnes n’existant plus sur papier. Il y a seulement des traces au Luxembourg.

Pour pouvoir exécuter ces manoeuvres de haute voltige, on a créé une weather finances au Luxembourg via un cabinet d’avocats. Sawaris connait parfaitement le milieu puisqu’il travaille avec un cabinet d’avocats égyptien très connu pour finaliser les différentes opérations financières: achats et ventes d’actions et de sociétés et ou prêts bancaires multiples pour financer ses acquisitions.

Revenons à notre présentation de la politique appliquée par les 5 pays du Maghreb.

A côté d’Orascom en Algérie, il y a Nedjma. Le capital de cette société est très clair Watannya 71 % et United Gulf Bank 29 % – aucun autre organisme ou prête nom.

Pour le Fixe: nous avons ALGERIE TELECOM , et Orascom (Lacom ) cette dernière “boite” parce que ses patrons ont d’autres ambitions. Pas d’investissements donc elle est en stand by pratiquement.
Il est question de la cession d’une part importante d’Algérie Télécom et il y a plusieurs sociétés intéressées. J’espère que ce Gouvernement ne fera rien de semblable car alors, ce n’est pas 1.755.000.000 USD (revenus 2007 d’Orascom) dont un bon 2/3 prendra la route de l’Egypte, mais ce sera plus de 3 Milliards de Dollars d‘estimation du CA des télécom en Algérie.

Le Gouvernement serait mieux inspiré de faire comme la Libye et d’autres. Voyons comment ils ont agi.
Libye: Tous les investissements réalisés dans ce domaine c’est-à-dire téléphone fixe, internet et gsm appartiennent à 100% à l’Etat libyen.
Maroc: avec un chiffre d’affaire de 2.8 de Milliards d’USD, le pays a choisi de véritables grosses pointures dans le domaine.
- Le fixe: il est associé à Vivendi 51%,  Royaume du Maroc 34,1% et le public (oui je dis bien le public) 14,9 %.
Quant au GSM, le Royaume est associé à Telephonica (Esapgne) 32,18%, Portugal Télecom 38,18%, Holdco (holding) 17,59 %, RMA Watannya 13,06% et Finance Com 5%.

Mauritanie: avec une prévision de chiffre d’affaire de 124 MUSD, la Téléphonie fixe est organisée ainsi: l’Etat Mauritanien 46 %, Maroc Telecom 43 % , aon GROUP investisseurs privés 11 %.
- Le Mobile: la Mauritanie à appliqué la même politique; l’Etat 46%,  Maroc Télécom 43 ET 11% des financiers privés.

Tunisie: aussi a été perspicace:  un hiffre d’affaire évalué à 2.7 MUSD:  Télé Dig 35 %, l’Etat tunisien 65 %.
La même répartition pour la première licence GSM , et la deuxième licence , les actionnaires sont les suivants :
Orascom 35%, Watanya 50%, Carthage Consortium (groupes d’investisseurs privés 15 %).

Comme il apparait bien, nos voisins sont plus prévenant et connaissent leurs moyens. Ils ont donc agi avec raison. Ils ont appliqué cette politique d’ouverture et de libéralisation, mais ils ont l’intelligence de minimiser les risques et les dégats sur le plan financier.

Et en Algérie, ceux qui ont décidé et appliqué la politique en la matière se plaignent que des milliards de dollars sortent du pays. Vous imaginez ? On paie nos communications locales en Algérie en Devise. C’est des milliards qui prennent la route de l’étranger. De plus, il n y a pas que ce domaine, il y en a plusieurs qui saignent et profitent de ces foutus dollars du pétrole.

L’aéorport de Paris gère l’aéroport International Houari Boumédienne, la distribution des eaux et assainissements, les hôtels, les tramways, Sns , la SNCG du Port d’Alger, etc… et bientôt même les ports vont être gérés par DUBAI.

Je termine en disant que nos politiques et nos opposants professionnels au lieu de s’enfermer dans des querelles improductives, on aimerait qu’ils prennent à bras le corps ces questions. On ne doit pas laisser faire ce qui ont commis tant d’erreurs. On sait qu’ils n’ont pas fait Harvard mais tout de même c’est des questions de bons sens.

Au lieu donc de parler de Constitution et de sa révision inutile parlons donc de ces questions. Ne laissons pas les fossoyeurs continuer leurs oeuvres. On a aidé Siwaris par exemple, à gagner des milliards en dollars, et il ne leur a lâché relativement que des miettes …Est-ce-que nous savons que son patrimoine au lieu de le domicilier en Egypte son pays natal, il le loge dans une holding en Italie (la weather investissements SPA), qu’il est domicilié dans des paradis fiscaux (iles vierges, malte).
J’arrête la mon coup de gueule. Désolé pour ceux que cela n’intéresse.

Par Mohand

Commentaires

  1. Sniper dit :

    @ Mohand.

    Ce que vous révélez comme problèmes de gaspillage et de corruption est très important. On vous remercie de votre apport sur la question. Certainement, les dilapidations des fonds publics, les gabegies de toutes sortes et les extravagances de nos gestionnaires doivent être portées à la connaissance du public, débattues et clouées au pilori. On ne doute pas un seul instant que l’Algérie est devenue un modèle dans la corruption généralisée à commencer par la passation des marchés avec des boîtes étrangères. Cette pathologie est endémique et dure depuis des lustres. Elle a commencé à avoir des proportions alarmantes depuis l’ère de Chadli. Aujourd’hui sous l’ère de Bouteflika, ce cancer est devenu métastatique où même les banques publiques sont devenues un danger pour la sécurité du pays. L’Algérie saigne dans tout les sens du terme. Et chaque fois qu’on entend ce genre de nouvelles on pleure intérieurement.

    Vos articles donnent l’impression que vous êtes très connaisseur sur ces sujets et vous avez de bonnes sources. Tant mieux nous en tant que visiteurs de ce Blog.
    Mais ne pensez pas moins que ceux qui parlent maintenant de la révision de la Constitution soient insensibles à ces questions économiques. La triste actualité nous y invite. C’est l’un des sujets brûlants d’aujourd’hui. Et ne pas en parler c’est mourir un peu comme vous avez dit.
    Si de telles dérives sont devenues possibles, c’est parce qu’il y a une faille béante dans le domaine politique. Le politique ne fait pas son travail selon les normes connues et reconnues.

    Les problèmes économiques ne sont que des séquelles de la démocratie de façade à laquelle participent des pans entiers de ceux qui se considèrent comme politiciens. Au point où notre pays se trouve, les problèmes de corruptions qui secouent l’Etat algérien et que le pouvoir a réussi à banaliser, ne sont importants que dans la mesure où ils sont utilisés comme pièces à conviction contre le totalitarisme qui domine depuis 62 sous plusieurs facettes. Une solution à la crise politique, réglera les problèmes économiques plus ou moins rapidement. Le contraire n’est pas certain.

    Fraternallement.

  2. mohand dit :

    Cher sniper , je suis d’accord avec toi, c’est vrai que le fond du problème et d’ordre politique je te le concéde. Cependant comme on constate,que rien ne bouge dans le domaine, notre peuple est anesthésié, il dort, et que les carottes sont cuites. Nos politiques courrent après des avantages et font de l’opposition de façade , à l’exception de quelques individualités et un parti notamment. Alors il y a de quoi se lasser. Ils sont sourds aux changements, à la modernité ,à la liberté et à la démocratie. Je me suis dit que probablement en touchant leur porte feuille on les bousculera et au passage on dit des vérités aux gens de bonne volonté pour qu’ils ne continuent pas d’être dupes.
    Les privatisations sous le couvert du liberalisme est une bénédiction pour certains mais la gangrenne et le mal profond pour le peuple et le pays. A ce rythme demain, les moindres des décisions économiques se prendront ailleurs que dans le pays, les questions sociales qui nous rapprochent et nous unissent n’auront plus de défenseurs.. ils nous restera plus rien sachant que le petrole et le gaz s’épuisent l’avenir du pays est problématique.
    On
    Ce cas n’est pas neutre, analysé et diagnostiqué comme il convient nous aménera droit vers ceux qui font de l’Algérie leur domaine et ils refusent au peuple même la parole.
    Pour toucher diminuer ces coups fourés il faut en parler sans diffamer c’est la solution pour faire taire ceux qui disent au peuple M… c’est nous les maîtres on fait ce que l’on veut de vous et de vos enfants et votre pays.
    L’Algérie n’appartient à personne en particulier , l’Algérie appartient à nous tous. Il faut donc dénicher les chacals et les chasser.
    Il faut parler de SNS , qui est vendue, il faut parler de SNCG qui est vendu (pour une poignée de dinars) , il faut parler des innombrables sociétés et moyens de productions et de services cédées à des hommes d’affaires qui accourent chaque fois ameutés par leurs amis et relations. L’Algérie ne se relevera que lorsque tous ces coups fourrés cessent et que les cadres algériens se remettent au travail.

  3. Sniper dit :

    InChallah.

  4. za3maza3ma dit :

    Entièrement d’accord Da Mohand. L’Algérie n’a plus de souveraineté, tout est controlé et tout revient à l’étranger. La téléphonie, bien sûr, mais aussi les finances, les pétrole, les études, la construction…

    Il es évident par exemple que laisser les banques publiques en l’état actuel, c’est d’une part se fabriquer un alibi mais aussi d’autre part faire du rabbatage aux profit des banques moyen-orientales.

    Mais cette tendance ne cessera qu’à partir du moment où il y aura un changement du peronnel politique et c’est ce que bloque les amendements de la constitution. C’est pour cela que nous avons le devoir de dénoncer le plus vigoureusement et les plus sévérement possible ce projet.

  5. ammisaïd dit :

    A mohand,
    Merci pour tes clarifications concernant l’économie de notre pays. Cela nous permettra de savoir où vont et dans quelles poches finissent les richesses de notre pays. Ceci-dit, je ne crois que le peuple dort et qu’il ne sache que nous sommes volés. Car c’est lui, avant tout, qui souffre douloureusement de la dilapidation de nos richesses mais, il attend avec une grande patience, l’arrivée d’hommes jeunes, dynamiques et fougueux qui seront au service de l’intérêt du pays. Ceux là, je suis convaincu seront suivis corps et âmes par le peuple. Le peuple a toujours repondu présent aux hommes qui voulaient changer l’Algérie, il a payé un prix très fort et le résultat est pour l’instant nul, car ces dernièrs les ont trahi une fois qu’ils étaient approchés, soudoyés et achetés par ce pouvoir. Ce pouvoir qui a la facheuse habitude de corrompre tout homme intélligent et capable de rassembler autour de ses convictions le peuple. Et, quand ce pouvoir n’y arrive, comme tu le sais bien, il utilise des moyens violents: prison, assassinat ciblé, massacre à grande échelle, menaces…Donc, nous pouvons juger ce peuple que quand les hommes qui souhaiteront le guider seront, vraiment, honnêtes, sincères et patriotes et surtout capables de déloger cette vermine qui est au pouvoir de ce palais de nos souffrances et de nos malheurs. Il faudra beaucoup de temps, beaucoup de patience et beaucoup de sacrifices pour que ce genre d’hommes émergent et surtout s’unissent pour tenter d’instaurer une véritable démocratie qui je pense arrivera à libérer le genie du peuple qui sommeille ou qui dort en attendant une époque propice à sa naissance et à son developpement.
    Pour revenir à l’économie, l’Algérie du temps où elle était très endettée, payait je crois neuf milliards de dollars chaque année pour le service de la dette et celle-ci était passé, je crois de vingt six milliards de dollards à trente six en dix ans, ce qui correspond à quatre vingt milliards de dollars de rembourser, alors que la dette avait augmenté de dix milliards de dollars(c’est à dire de 1990-2002 ou 4, avant la flambée des prix du pétrole). Est-ce que ce n’est pas un arnaque par les banques etrangères? Tout ça pour dire, que ce pouvoir est généreux avec les banques, les grands patrons, les grandes sociètés, les riches, les voleurs, les généraux…et, il est extrêmement avare avec le peuple, le seul à n’avoir jamais profité des milliards de dollars engrangés grâce au pétrole, au gaz et les autres produits de l’exportation.
    Salutation fraternelle à toi et a tous les internautes

  6. mohand dit :

    Ammi Said , j’apprécie ton analyse qui est juste et mesurée, mais mon ami, il faut toujours en effet des « enragés » disciplinés, instuits, compétents, honnêtes et motivés pour changer les choses. Nous sommes d’accords. C’est pourquoi nous avons de l’espoir. On voit de nos yeux des faits invraissemblables se passer mais on attend… Notre interrogation s’est justement cette attente d’une amélioration d’un changement qui ne vient pas. J’aimerai en parler de la crise pendant le règne de chadli et ce qui en est suivi , sur le plan économique et sociale. On devrait nous entraider à nous faire une opinion claire. Car c’est de là que sont partis tous les démons … passe moi l’expression. Nos jeunes au lieu de constituer des forces de changement de progrès ils regardent leurs ainés et ils demandent l’autorisation qui ne vient pas et alors ils prennent la mer …

  7. Kaddour dit :

    Excellente idée que d’axer le débat sur ces questions qui ne sont que la partie apparente de l’iceberg. Sur ces aspects déjà, il y a enroemement à dire. Il faut protéger algérie télécom en priorité des jeux de clans qui indirectement la place en mauvaise situation et la rende « privatisable ». faut que l’arpt fasse mieux son travail notamment vis à vis de OTA et Djezzy qui se croient tout permis. En fait, tous ces dossiers sont volontairement ignorés par le fln, le rnd et le msp; en contre partie, ils ont des miettes. Reste le PT, ce dernier a rejoint de facto l’alliance présidentielle et donc y a rien à en attendre. le rcd est bailloné à ce sujet en raison de ses alliances politiques avec les milieux d’affaires. Reste le FNA, dont on ignore la consistance réelle. en dernier, malheureusement, la scène politique officielle est nulle. Il ne reste que les syndicats autonomes et deux ou trois journaux pour essayer de secouer le cocotier.

  8. ammisaïd dit :

    Assalam aliekoum
    Une jeunesse fougueuse, courageuse, intélligente et capable de s’adapter aux mutations de l’envronnement tant intérieur qu’extérieur existe dans notre pays. Ce n’est pas les neurones, les mains, les pieds, les yeux et les oreilles qui manquent comme dirait l’autre. Ce qui manque c’est la clarté de la situation. Cette clarté qui nous permettra de choisir entre le bien et le mal, de separer la graine de l’ivraie, de faire la différence entre le passé et l’avenir et de distinguer le possible de l’impossible. Ce pouvoir qui veut remplacer nos neurones pas leurs neurones, ne souhaitent pas cette clarification, il cherche, frénétiquement, à nous maintenir dans l’obscurité, dans la terreur et le doute.  » Un aveugle voit mieux dans l’obscurité que celui qui doté d’une vision remarquable et puissante ». C’est pour cela qu’il continue à refuser l’instauration de la liberté (dans toutes ses dimensions)et de la démocratie. C’est pour cela, qu’il a peur de la compétition saine, des compétences sincères et de cette jeunesse qui prend des risques extraordinaires pour échapper de cette prison où elle est enfermée nuit et jour. L’occident comme tu le sais investi beaucoup dans la recherche, l’intélligence, les idées et la jeunesse car, il sait que c’est eux qui sont les producteurs des richesses durables lesquelles offerts l’indépendance réelle. Chez nous, c’est le contraire, il exploite d’une façon outrancière les richesses du sol, ils les vendent souvent à des prix bradés (avec sur le chemin, des milliards de voler, de jeter et gaspiller)et ensuite ils les dépensent dans les futilités, ils invéstissent dans des projets qui donnent un certain préstige mais qui ne produisent rien et surtout qui produisent pas des idées qui à leurs tours seront capables de produire d’autres richesses. Tout les richesses qui existent sur terre sans ont avant tout pour source les idées. Un ex: un chercheur Français voulait extraire l’hormone de croissance, il avait demandé des têtes de moutons aux autorités françaises (environ dix tonnes), ces derniers lui ont dit que c’était trop. Il avait immigré aux U.S.A, il avait soumis son projet, là bas, ils lui ont offert une équipe, un laboratoire tout neuf et autant de tonnes de cerveaux de moutons qu’il désirait. Après dix ans de recherche, il avait individualisé cette hormone et ensuite, il a été synthéstisé et ensuite elle était commercialisée (les bénéfices sont incalculables !). Pour finir (je me suis rendu compte que je n’ai pas, vraiment, parlé économie, sujet sans doute que je ne maîtrise pas suffisament, mais je vais m’y atteler !), il y a une somme d’argent fixe qui rentre chaque année dans le trésor public (somme issue des exportations du pétrole, du gaz et quelques autres produits…)et elle est dépensée. Comment? Par qui? Pourquoi? Où? A qui ses dépenses profitent-t-elles ? Combien sont-elles invésties ? Est-ce qu’elles produisent d’autres richesses, ou autres ? etc…
    Salutations fraternelles à Mohand, à toutes et à tous

  9. utilitywarehouse2 dit :

    Whether you decide to manage your telecom plus expenses in-house or not depends largely on several factors. The scope of your needs, the number of employees, and if you have the staff with enough available time, skills and tools to do the job right.

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