Condamné à mort, il subit la torture
Mohamed Baba Nedjar a subi les affres de la torture au niveau de la prison de Ghardaia, a indiqué son père à la LADDH et d’ajouter que la direction de la prison a interdit toute visite au détenu.
Pour rappel, le jeune Mohamed Baba Nedjar, âgé de 24ans, a été accusé d’homicide par immolation, perpétré contre le responsable du Croissant Rouge Algérien dans la commune de Ghardaïa, le mois de Ramadan de l’année 2005. Le militant du Front des Forces Socialistes et de la Ligue des Droits de l’Homme a été accusé alors d’être responsable de cet attentat.
«Mohammed est devenu un exemple pour le règlement des comptes politiques entre le pouvoir et les partis de l’opposition», affirment les militants de La LADDH. Toutefois, la Cour Suprême a fait recours contre ce verdict, le mois de Décembre 2007, avec un autre procès qui a eu lieu à la Cour de Ghardaïa.
Cela prouve que le pouvoir assassin a peur du FFS et de ses militants.
Plus ce pouvoir assassin maltraite UN militant du FFS plus DES militants de ce parti prennent la releve et ils sont plus convaincus que l’heure de la justice et de la verité s’approchent.
Rien n’est eternel.
La derniere cartouche de ce regime dictateur assassin qu’est BouHef malade est condamné á crever dans sa merde.
Ils sont tous malades il faut les pourusivre dans des tribunaux internationaux jusqu’á leur fin meme leurs enfants seront la cible des poursuites judiciaires.
Au bon entendeur.
je dirai a mohamed baba nedjar que nous somme tous avec toi et on te lachera jamais je te le promet c la promesse d’un militant du ffs.comme le ffs n’a jamais relaché ses militants toi aussi mohamed.vive le ffs et je dirai a ce pouvoir mfieux que de plus en plus vous nous torturer de plus en plus notre conviction en tant que militant du ffs se rassur.
Quelqu’un pourrait-il nous relater toute l’affaire , toute. Pour que nous puissions mieux comprendre, parce que, par exemple, il y a à dire sur ce qu’est devenu aujourd’hui le croissant rouge de ould abbés.
J’aimerais bien connaitre l’affaire concernant notre ami militant de Ghardaia!Si quelqu’un connait bien l’affaire qu’il nous tienne au courant!
Mais en tout état de cause, je soutiens trés fort ce jeune militant!Bon courage!
Assalam aliekoum
La justice pour les pauvres est pauvre en tout!
Il n’a pas la chance de faire parti du mae. Il n’a pas l’argent nécéssaire pour s’offrir des avocats à la renommée internationale, ni peut-être d’ailleurs nationale qui peuvent le defendre et faire triompher la justice même s’il est coupable. Il n’a pas un père militaire, policier, travaillant aux services de sécurité, gendarme, haut cadre, puissant, riche et ami de quelqu’un(grand ou un petit chikour) pour l’aider à organiser un semblant de procès et même pour ensuite condamner celui qui l’avait accuser. Il n’y a pas des redacteurs en chef ou des journalistes qui peuvent parler de lui, de ses souffrances, de celle de sa mère et de sa famille, pour emouvoir le peuple, pour peut-être moibiliser les O.N.G, pour, pour, pour… le pauvre. Il ne connaît pas un ou deux surveillants de prison ou quelqu’un qui connaît un surveillant ou le directeur de la prison pour le rassurer, le nourrir bien , le protèger et lui rendre agréable son séjour le peuvre, le malheureux, l’abandonné peut-être l’innocent. Il n’est pas proche d’un parti politique proche, influent oe aimé par le pouvoir pour mobiliser un ou deux député, un ou deux sénateurs, qui peuvent faire intervenir un ministre qui peut appeler un juge ou un militaire qui va appeler un procureur…qui va vite le juger et ensuite le liberer. Il n’y a pas beaucoup d’internautes qui ont étudié son cas, qui se sont posés des questions, qui ont pris des positions…Alors, ils peuvent l’emprisonner, ils ont raison. Ils peuvent le violer, ils ont raison. Ils peuvent le torturer, ils ont raison. Ils peuvent l’insulter, l’humilier, le menacer, le manipuler, le faire disparaître, ne pas le juger…Ils ont raison. Ils ont raison même s’ils ont torts. Il est coupable même s’il est innocent. Ils ont le droit de le condamner même s’il n’est pas jugé.
C’est comme ! Aka thevghigh nagh our thevghidhara ! hakadha hebit woula mahebit !
Fraternellement
Merci Ammisaïd.
Quand j’écoute des voix comme la tienne et celle de quelques autres blogueurs, je me dis que la vérité est encore vivante. Ils n’ont pas réussi à l’enterrer. Ils essayent de la domestiquer et la détourner en l’accompagnant, mais la vérité est faite d’un métal pur inaltérable. Elle résistera. La vérité du pauvre triomphera et hantera les esprits mal saints et leurs serviteurs qui nous confinent dans un nouveau type d’esclavage.
Je vais augmenter votre dépit contre ces vautours aux visages humains qui disent être nos frères pour mieux nous assujettir. Qui compatissent sur quelques points pour mieux frapper dans d’autres. La dernière en date, une organisation algérienne des droits de l’homme, je ne sais pas si elle est indépendante ou pas, vient de donner son accord (à quel titre?!) avec une autre O.N.G. espagnole pour que les organes des harraga algériens morts avant ou après avoir foulé le sol espagnol soit exploités de façon anonyme.
L’Algérie de Bouteflika, le chantre de la dignité et de la fièrté, vient d’inventer un nouveau marché florissant qui exporte gratuitement ses produits macabres en Espagne et sûrement en Italie. Des centaines de milliers d’Algériens sont prêts à se donner la mort et servir de pièces détachées pour le bien-être des Européens que de rester vivre écrasé par le mépris total et pris comme rat entre l’enclume des généraux et le marteau de fakhamatou et ses valets.
Cher frère Sniper
J’aurais aimé laisser dire mon coeur
Sans avoir peur de mourir
Sans avoir peur de censurer mes désirs
Sans avoir le sentiment de mal agir
J’aurais aimé laisser mon coeur
Chanter, danser et rire
Exprimé ses espoirs en rimes et en vers
Sans avoir peur de déranger l’emperreur
Sans avoir peur de juger mes soeurs et mes frères
J’aurais aimé laisser mon coeur
Te dire, te raconter et de te conter l’histoire
De ceux qui vivent dans la terreur
D’être tués par une balle lâche mais sûre
Ou d’être égorgés sans pouvoir fuir
J’aurais aimé laisser mon coeur
Te dire qu’il est honnête et sincère
Quand il crit sa douleur ou sa colère
Car akhouna cette innocent au coeur pur
Est torturé pour une broutille, pour rien ou pour une erreur
Pendant que les assassins, les haggarines et les voleurs
Vivent en liberté, debout, heureux et fiers
Pendant que les courtisans, les proxénètes et les serviteurs
S’octroient tous les droits et ne s’imposent aucun devoir
Car ils sont protègés par la police, les juges et les procurreurs
J’aurais aimé laisser mon coeur
Dessiner sur mon visage un sourire en douceur
Car l’Algérie est enfin indépendante et prospère
Car ma montagne est contente de nous offrir
En hiver sa blancheur et au printemps ses roses et ses fleurs
J’aurais aimé laisser mon coeur
Garder à jamais et jusqu’a sa mort
Le souvenir de djaout, matoub, mekbel et tous les martyrs
Qui aimaient notre pays d’un amour tendre et rare
Et qui avaient refusé de se servir de lui pour leurs gloires
J’aurais aimé laisser mon coeur
D’entendre, voir et sentir
Ce que lui dit celui qui vit dans la misère
Ce que lui dit cette mère qui a vu son cher, la chair de sa chair
Partir sous la terre car il s’est pendu un arbre ou il est noyé dans la mer
J’aurais aimé laisser mon coeur
Fermer ses portes aux manipulateurs et pollueurs
Qui veulent l’hypnotiser et le faire dormir
Qui veulent lui faire admettre ou faire croire
Que notre pays ne sera en paix que sous une dictature
J’aurais aimé laisser mon coeur
Parler dans la confiance à vos coeurs
Pour qu’ils se connaissent et debattent avec plaisir
Afin qu’un jour, ils arrivent à s’entendre et à s’unir
Pour liberer notre pays sans violence des crocs des charognards
J’aurais aimé laisser mon coeur
Dire cessons de suivre ceux qui nous égarent
Ceux qui nous méprisent et qui nous ignorent
Ceux qui ont oublié notre solidarité d’hier et nos vrais valeurs
Ceux qui cherchent à nous diviser pour rester riches, puissants et forts
J’aurais aimé laisser mon coeur
Vous dire et vous convaincre
Que notre peuple va, certainement, un jour
Se lever pour crier fort aux visages de ces fossoyeurs
Quittez cette terre noble et allez voir ailleurs
Fraternellement
Cher frère Sniper, azul, assalam et bonsoir
Certains, comme d’habitude, comme tout le temps, essayent de nous detourner de l’essentiel et nous obligent à parler et à écrire sur le futile. Ils ne veulent pas que l’idée juste, proche de la vérité et utile au pays naisse, grandisse et murisse pour qu’elle nous offre à son tour d’autres idées. Ils mangent, ils volent et ils surveillent, attentivement, le plat ou si tu veux le puit. Ils sont avares, ils ne veulent rien partager, sauf, evidemment, les restes, l’os. Pour eux nous sommes des chiens, quand nous parlons, ils disent vous aboyer, quand nous mordons, ils disent nous sommes des traîtres et des criminels, quand nous nous unissons, ils nous envoient des policiers, l’armée et la gendarmerie pour nous disperser, nous frapper et nous tuer. C’est comme ça, depuis le debut. Taisez-vous, vous n’êtes rien, nous sommes les rois, taisez-vous. Hagarrines, ils sont, hagarrines, ils resteront. C’est à nous de changer, de se tourner vers le peuple (d’abord le plus proche de nous et petit à petit vers le plus lointain), de chercher à dire la vérité, la notre. Nous devons n’imposer la liberté de dire, d’écrire, de faire, d’apprendre, de se parler, d’aplanir nos désaccords, de valoriser nos ententes, d’avancer et de progresser dans tous les domaines. Ils veulent que nos esprits soient figés à jamais, que nous réagissons uniquement à leurs décisions, à leurs actes et leurs convictions et que nous méttions de côté nos désirs; nos convictions, nos valeurs et nos rêves pour notre pays. La vie de djaout et des autres valent mille fois plus que les 135 milliards de dollars qui sont peut-être brûlés par la crise financière. Nos idées, notre amour pour l’Algérie, notre solidarité et notre fraternité valent plus que toutes les richesses que possedent notre pays (celles-ci, cher sniper sont faciles à voler, à depenser dans les futilités, à gaspiller et offrir gratuiment à ceux qui ont des idées car ces dernières restent éternelles comme tu l’as si bien dit). Ne laissons, les autres nous imposer et décider pour nous ce qui est important ou peu important, c’est qui est grave ou futile…Un peu pour eux et beaucoup pour nous car eux c’est tout pour eux et rien pour nous !!
Fraternellement à toutes et à tous