Karim Tabbou à El Watan: «La révision de la constitution est une escroquerie politique»
La révision de la constitution aura lieu demain, quelle en est, de manière claire, la position de votre parti ?
Pour faire garder aux mots leur sens, il ne s’agit pas d’une révision, mais d’une énième violation des règles selon lesquelles doit fonctionner un Etat. Nous sommes dans un pays de non droit absolu. Les constitutions successives n’ont été qu’un instrument de légalisation de la politique de la force. Si on fait un rappel historique des constitutions en Algérie, nous allons nous apercevoir que la réalité du pouvoir s’exerce en dehors de toutes les institutions visibles et de toute norme constitutionnelle. Rappelons nous bien que la première constitution du pays a été élaborée en dehors de son cadre naturel, l’Assemblée constituante, par un groupe d’officier dans une salle de cinéma. Deux ans plus tard, en 1965 cette même constitution a été mise au placard. Un coup d’Etat fut organisé qui a donc dessaisi toutes les institutions de leurs missions. Même scénario pour la charte constitution de 1976 et plus violent encore fut le sort réservé à la constitution de 1989.
Pour nous arrêter un moment sur cet épisode. La révision de la constitution de la constitution de 1989 a fait suite au soulèvement populaire d’octobre 1988. Cette constitution a été présentée comme réponse aux revendications politiques, économiques et sociales de la population. Cette même constitution adoptée le 02 février 1989 avait laissé quelques ouvertures à la société en consacrant le droit de créer des associations à caractère politique, le droit de créer des syndicats et des journaux. Ce qui a d’ailleurs imprimé une dynamique dans la société civile et donné aussi une dynamique de débat de manière générale. Même avec quelques unes de ses dispositions contestables, l’histoire retiendra qu’elle a rendu possible quelques pluralismes.
Malheureusement encore une autre fois cette dynamique sociale et politique qui devait dans son fonctionnement naturel aboutir à une réelle représentation politique et sociale fut stoppée par le coup d’Etat du 11 janvier 1992 qui n’ont seulement a mis la constitution en dehors de tout exercice, il a basculé le pays dans une crise violente. Cette violence a provoqué des dégâts importants, et depuis la société algérienne est soumise aux politiques violentes et au coup de force permanent.
La révision de la constitution qui va être adoptée demain au parlement est une suite logique dans cette série de coups de force et de la violation de la volonté de la population. Cette révision ne règle rien aux problèmes des algériens, elle vise tout simplement la pérennité du système. C’est la constitutionnalisation du pouvoir absolu et la consécration de la gestion opaque et souterraine des affaires du pays, en mettant ses affaires loin de tout contrôle démocratique juridique et populaire.
Vous parlez du rejet de ce projet, étant en dehors de l’institution parlementaire quelle action préconisez vous ?
Tout d’abord il faut éviter de tomber dans des débats sur la formalité au risque de s’éloigner du substantiel. Je précise ma pensée avant de donner le point de vue du FFS. Il faut surtout éviter de déplacer le débat de cette révision vers la question du type : vote par référendum ou saisine du parlement, vote à main levée ou à bulletin secret, liberté de candidature ou devoir d’alternance. Tous ces éléments sont secondaires devant la volonté maladive du système et particulièrement du chef de l’Etat de fermer le jeu politique dans le pays. Le suspense qui a duré presque deux ans puis l’annonce de la révision à quelques mois des élections présidentielles est une preuve de peu ou d’absence de considération à l’égard de la population mais c’est aussi une preuve de la poursuite de la gestion dans l’urgence.
Nous au FFS, nous avons dénoncé cette politique violente et nous avons depuis toujours réclamé le retout à la légitimité populaire, le retour à une gouvernance basée sur des règles claires, des règles démocratiques. Nous demandons enfin le premier mandat de la population. C’est-à-dire le retour au principe de l’Assemblée Nationale Constituante qui permettra l’élaboration de la première constitution qui émanera de la volonté populaire. C’est à cette condition qu’on peut parler d’un premier mandat de la population algérienne. Car ce qui se passe dans le pays est la poursuite du même manda t qui a débuté lors de la prise du pouvoir en 1962 et qui a été exercé par la force jusqu’à aujourd’hui. Nous regrettons le fait que même dans cette situation d’impasse politique, de crise économique et de désarroi social, il n’y a aucune volonté chez les vrais décideurs d’ouvrir le jeu politique.
Le FFS qui rejette globalement et dans le détail cette maskhara constitutionnelle continue de militer avec les forces politiques autonomes, les personnalités politiques autonomes et les forces sociales autonomes pour exiger le retour à la démocratie donc à la souveraineté populaire.
Ces derniers jours, l’on commence à remettre sur le tapis l’initiative politique de Hocine Aït Ahmed, Mouloud Hamrouche et Abdelhamid Mehri, qu’en est-il exactement ?
L’initiative des trois, MM Hocine Aït Ahmed, Mouloud Hamrouche et Abdelhamid Mehri a été une expression d’une volonté des trois à participer dans tout processus de démocratisation du pouvoir, de son exercice et de son contrôle. Ils ont exprimé leur disponibilité à participer à la recherche d’une solution politique et définitive à la crise. Aujourd’hui malgré le rétrécissement du champ de la parole et de la pensée, des hommes et des femmes ont fait savoir leur volonté de participer à un processus politique fiable et sérieux. Ainsi nous enregistrons dans la société, dans la presse, et dans le milieu universitaire et syndical une présence intéressante d’animateur et de militants favorable à l’idée lancée.
En ma qualité de premier secrétaire du FFS et n’ayant pas le mandat de parler en nom des trois, je ne peux que vous affirmer que l’appel du 14 septembre 2007a ouvert des perspectives d’actions communes avec beaucoup de militants et d’acteurs de la société civile. En somme, nous sommes résolument engagés à être des acteurs à part entière dans la définition des perspectives d’avenir.
L’adoption de la révision constitutionnelle devrait consacrer un troisième mandat au profit du président Bouteflika !
Mandat à vie ? Il faut plutôt parler d’un mandat à mort et dans des conditions floues et opaques. Je vous rappelle un propos d’un homme politique qui faisait la comparaison des trois dernières élections présidentielles. Il disait : « en 1999, candidature ouverte, campagne électorale ouverte, élection fermée. En 2004 candidature ouverte, campagne électorale fermée, élection fermée. En 2009, on aura : candidature fermée, campagne fermée et élection fermée ».
Cette comparaison montre la régression politique et la défiance du pouvoir à l’égard de toute norme de gouvernance. Dans ces conditions, l’élection présidentielle de 2009 est une simple formalité. Se rendre complice de cette gestion serait participer à maintenir le pouvoir, et condamner le peuple algérien au sous développement politique, économique et social.
A quoi servirait l’organisation d’une élection présidentielle, même sous surveillance internationale, même avec la multiplication des candidatures maison, même avec la présence éventuelle de femmes candidates. Le scénario retenu est de faire semblant de tout bouger pour que tout reste en place. Cette élection qui se déroulera dans des conditions d’absence totale des règles basiques de la politique. Quant à la révision de la constitution, c’est l’étape de la reconduction de Bouteflika, et du maintien des équilibres internes au pouvoir tout en figeant et en bloquant la société.
Pour ne pas laisser le lecteur avec le sentiment de fatalité et de désespoir, le bricolage et la falsification dont fait usage le pouvoir, sont annonciateur du début de la fin d’un système qui n’a ni les ressources morales ni les ressources politiques. Le fait de coupler la révision de la constitution pour le troisième mandat avec la question des femmes est une démonstration que le pouvoir tire les derniers sujets du tiroir. La femme mérite bien plus que de servir de faire valoir dans un jeu politique et constitutionnel qui continue de la réduire au statut de sujet à l’instar de la société algérienne. Cela relève de l’escroquerie politique que de faire adopter la révision constitutionnelle sous couvert de la promotion de la représentation de la femme.
Entretien réalisé par Said Rabia
Photo: El Khabar
Actualité (Mardi 11 Novembre 2008)
Iferhounène (Tizi Ouzou)
Trois ans de prison pour un ex-P/APC « FFS »et un agent de l’état civil
Par : K. TIGHILT
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Le procureur de la république près le tribunal de Larbâa Nath Irathen, dans la wilaya de Tizi Ouzou, vient de prononcer une peine de trois ans de prison ferme avec une amende de 15 000 DA à l’encontre d’un ex-P/APC de la commune d’Iferhounène, A. H., et d’un agent de l’administration. Les présumés accusés ont été condamnés pour la signature de document à blanc et de faux et usage de faux, apprend-on de sources proches du dossier. Cette audience a été intervenue suite au dépôt de plainte par l’actuel magistrat de la commune, rappelle-t-on. Selon les même sources, le présumé accusé aurait été entendu sur une autre affaire de falsification d’un certificat de scolarité. Le procureur aurait prononcé la même peine sur cette autre affaire, a ajouté notre source. La collectivité d’Iferhounène entend initier une autre procédure judiciaire sur des dilapidations de deniers publics impliquant le même ex-maire et un autre ex-P/APC ayant présidé à la destinée de cette commune. Contacté par nos soins, l’actuel P/APC de la commune d’Iferhounène a confirmé l’information. “Nous attendons la synthèses de l’inspecteur général de wilaya pour une éventuelle action en justice”, dira-t-il. C’est dire que les procédures judiciaires engagées par l’APC d’Iferhounène n’ont pas encore livré tous leurs secrets.
K. TIGHILT
monsieur tabbou j’espere que notre direction nationale va au dela des paroles pour qu’on arrive autant que partis politique a des actions politiques pour cela autant que militant du ffs section de bejaia ville j’espere de tout mon coeur que le parti initiera des actions sur le terrain pour dennoncé cette mafia qui prend le pays en otage.
a obama
il faut savoir une chose que iferhounene n’est pas le centre du monde. c’est une commune avec un epicier, un virage un tourne vice. pas plus pas moin.
le ffs a perdu des fiefs plus important.mais il n’a pas perdu ni son ame ni sa dignité.
je me demande la population qui vote pour un adjoint de la milice de nourredine ait hamouda est ce qu’elle n’est pas coupable, en tous les cas hamid ait said est le pire, c’est un apprenti sorcier c’est un agent de la sm.
je vous le dit ayath iferhounene ilaq atsthim, d’laar flawen atrnum amslay
vive le FFS malgre sont QUE des mots VIVE le FFS
Je retrouve dans les déclaratons d’Isabelle Adjani beaucoup beaucoup d’enseignements à tirer notament par beaucoup de dirigents de parti en premier lieu Mme HANOUNE qui continue de nous scandaliser par son soutien au président de quelques algériens.
A ceux qui ont manqué les leçons(je veux dire les positions) du FFS voici celle d’Isabelle Adjani.
LIBERATION 15 JUIN 2000
Isabelle Adjani explique au quotidien pourquoi elle a boycotté le dîner à l’Elysée avec
le président algérien Abdelaziz Bouteflika : »L’effort de Bouteflika, c’est de rendre un peuple fou »
Propos recueillis par José Garçon
LIBERATION : Pourquoi cette prise de position ?
ISABELLE ADJANI : Je n’aime pas intervenir dans la bonne foi viscérale, même s’il y a toujours, chez moi, une fraction de seconde justement viscérale qui précède la décision d’intervenir. Ma parole, de toute façon, ne peut être que symbolique, puisque je ne suis pas sur le terrain, ni dans une information politique soigneusement à jour.
LIBERATION : On retient tout de même un vrai fil dans vos prises de position qui ont d’abord porté sur le racisme avant de se concentrer sur l’Algérie. Par quoi êtes-vous liée à ce pays ?
ISABELLE ADJANI : Par mon père, qui était algérien, ce qui ne fait pas de moi une « beur » puisque ma mère est allemande. Et si paradoxal que cela puisse paraître, cette « semi-légitimité », cette extraction de demi-souche comptent pour moi car elles me décollent d’une réactivité trop émotionnelle et d’un interventionnisme systématique, presque obligatoire. En restant contestable, je me permets le luxe d’être subversive par choix et non par obligation d’origine.
LIBERATION : Une première fois, au moment des émeutes de 1988, vous allez en Algérie…
ISABELLE ADJANI : A la suite d’un témoignage sur la torture qui m’a horrifiée parce qu’il était la répétition, cette fois entre Algériens, des atrocités infligées deux décennies auparavant par les Français, j’ai eu le souffle coupé. Pas question de me débarrasser de cette douleur, alors j’ai demandé à André Glucksmann, le philosophe français que je respecte, pourquoi aucun des intellectuels français n’allait là-bas, et il m’a répondu: « Pourquoi n’y allez-vous pas, vous, comme observatrice ? » J’y suis partie avec Patrick Aeberhard, de Médecins du monde, et si j’en suis venue à prendre la parole devant les étudiants à l’université d’Alger, je ne l’avais pas prévu et il va de soi que ce n’était pas pour me l’approprier, mais pour la donner aux autres, aux Algériens. Ma colère à moi était blanche, mais leur voix à eux, qui criaient: « Nous sommes des hommes, nous sommes des hommes », était livide.
LIBERATION : Vous avez repris la parole en septembre 1997, lors des grands massacres aux portes d’Alger, en dialoguant avec Salima Ghezali, la directrice de « la Nation », l’un des rares journaux indépendants…
ISABELLE ADJANI : A l’époque, comment l’horreur des exactions des islamistes aurait-elle pu ne pas nous aveugler ? Mais pourquoi cet autre silence, ce passage à la trappe de tous ces autres crimes commis par l’armée dans une obscurité et une opacité des plus organisées ? Il y avait une arrière-scène plongée dans cette obscurité où la population disparaissait, effacée, fondue au noir. On a fait comme si elle n’existait pas, on a fait comme le pouvoir algérien. Nous étions complices par omission.
LIBERATION : Est-ce le sens qu’il faut donner à votre refus d’accepter l’invitation au dîner d’hier soir à l’Elysée ?
ISABELLE ADJANI : Je refuse effectivement d’être complice. J’ai appris, en assistant à la conférence de presse de la FIDH (Fédération internationale des droits de l’homme) qui rentrait d’Algérie, qu’il n’y avait toujours pas de justice digne de ce nom rendue là-bas et qu’il y a 10 000 « disparus ». Les autorités déclarent que les « coupables » ont été abattus ou sont « introuvables », et des familles entières assistent à des simulacres de procès. Et pendant ce temps, M. Bouteflika est reçu à Paris avec tous les honneurs. J’avais partagé les espoirs du peuple algérien lorsqu’il a promis de ramener la paix. Aujourd’hui, l’espoir est annulé, des Algériens continuent à mourir, de façon moins spectaculaire mais tout aussi abominable. Les traumatismes sont tels qu’une guerre qui s’arrête n’est pas finie, loin de là. On ne pense jamais aux enfants d’aujourd’hui comme à des adultes de demain.
LIBERATION : Le président algérien répète qu’il faut savoir tourner une page. Pensez-vous que l’Algérie peut aujourd’hui le faire ?
ISABELLE ADJANI : Quelle page ? Il faut pardonner, c’est ça ? On doit d’abord lire la page avant de la tourner. On ne cesse d’empêcher les Algériens de lire leur histoire. La colonisation a tout fait pour les « déculturer ». Après l’indépendance, les militaires au pouvoir ont décidé de rayer de l’histoire du pays ceux de ses dirigeants ou de ses combattants anonymes qui les dérangeaient ou qui leur donnaient trop mauvaise conscience. Aujourd’hui, on continue à faire la guerre à ce peuple, en lui demandant d’oublier purement et simplement qui le tue et comment on arrive à l’humilier, une fois encore, en l’obligeant, par misère, à mendier, à ne plus envoyer ses enfants à l’école dans un pays riche de tant de pétrole. Et moi, je devrais aller à l’Elysée ?
LIBERATION : Quel message voulez-vous vraiment faire passer en n’y allant pas ?
ISABELLE ADJANI : Je veux seulement qu’on comprenne que « l’effort » de Bouteflika et de ce régime, c’est l’effort… pour rendre un peuple fou en le rendant amnésique. Comment ces êtres humains résistent-ils encore à la folie ? Simplement parce qu’ils ne veulent pas que Bouteflika devienne le gardien désinvolte de leur aliénation. Les familles savent que les « disparus ne sont pas dans (sa) poche », comme il le déclare avec un manque tel de compassion qu’il peut tuer une deuxième fois. Oui, toutes les familles des victimes savent qu’il ne fera pas sortir les coupables de son chapeau ! Mais elles veulent au moins la vérité et qu’on cesse de tant prêcher le faux pour ne jamais laisser savoir le vrai. Les Algériens glissent à tous ceux qui prennent la peine de les écouter des petits mots maladroits, des lettres qui, toutes, ne disent qu’une chose: « Ne nous abandonnez pas. » Ils l’ont dit à la FIDH comme ils l’ont dit aux ambassadeurs occidentaux qui sont allés dans les villages martyrs en 1997. Je ne suis là que pour leur donner une voix quand ils réclament vérité et justice. Et après seulement un long travail de deuil pour tous, et le pardon pour certains, cette « page » pourra, peut-être, être tournée.
BRAVO FFS et Tabou nous savons que vous faites votre travail malgré le champ politique retrecit que le pouvoir dictateur vous a forcé d’y exister et aussi chibane pour l’interview d’Adjani Isabelle voila un autre lien interessant de John Perkins http://www.johnperkins.org/ qui contient du real sur la realité des leaders corrompus dans le monde. Si ces leaders existent c’est parcequ’ils acceptent d’etre des corrompus.
Obama Hussein Barak changera-t-il la donne et l’histoire mauvaise de Bush?
Il peut au moins dire NON aux presidents mal-elus/dictateurs et qui veulent crever president comme celui d’Algerie par exemple.
En politique surtout, il faut du sang neuf/changement une alternative comme aux USA avec Obama Hussein Barak.
New people new idea it means a change…Yes we can Yes we do.
Nous avons pendant trés longtemps fustigé les méfaits de ce pouvoir pourri, mais maintenant il va falloir passer à une vitesse supérieure en menant des actions concrétes qui pourraient entrainer voire meme reveiller certaines consciences encore endormies.Il faut aussi alerter les instances internationales de ce qui se passe en Algerie, tous les dénis de justice et surtout les prises de décisions impliquant l’avenir du peuple algerien par l’intermediare d’une assemblée nationale illégitime.Nous devons initier des actions à meme de freiner les fourvoiements de ce pouvoir.
Mais il me semble qu’il faut que nous fassions le ménage à l’interieur meme de la maison ffs avant de nous engager dans les voies de la revendication populaire.Nous devons forcer le destin et ne pas se resigner à vivre dans le mepris.
Bonne chance à nous tous et que Dieu nous apporte son aide » Ina allah la youghayirou ma biqawmine hatta youghayirou ma bi anffoussahoum » SADDAK aLLAH aL3ADHIM
Je m’adresse à El MOuhtarem .
Il y a un imbécile qui fait du copier coller et qui commence à nous taper sur le système . Il faut supprimer son commentaire , sinon ça devient du n’importe quoi ( commentaire sur la commune d’Iferhounene )
C’est bien qu’il nous informe une fois , mais pas polluer le site , j’ai compté dix copier coller .
Je te remercie d’avance mon cher El Mouhtarem .
cCes analyses mêmes fines ne servent a rien du tout et sont au contraire contreproductives, a l’instar de celle du général Benyelles qui a dresse un état de lieux sans complaisance, Mr Tabou fait la même chose mais c’est du réchauffé, mais dans tout ça ou est la solution ?
Les différents bilans concernant les ex présidents de la république de 62 a maintenant sont tous négatifs
1) Ben Bella et sa politique autogérée c’est du fiasco, dictateur dans le sang il a mal terminé, un coup de force était nécessaire pour le neutraliser.
2) Boumediene, c’était la révolution agraire et « l’industrie industrialisante », on continue encore a payer le résultat de cette politique désastreuse, ou est la suffisance alimentaire ? Nos entreprises sont devenues de « la quincaillerie », l’école sinistrée.
Un chef d’état doit écouter son peuple, s’il ne fait qu’à sa guise c’est l’impasse.
3) quand a Chadli, c’est une parenthèse que notre peuple souhaiterait fermer, sa fin etait tragique :il fut congédié.
4) Zeroual non préparé à être un président, il a préféré se sauver, c’est le comble pour un militaire d’abandonner ses troupes et quitter la garnison.
5) la période de Bouteflika n’a pas été totalement négative : deux chose a son actif : le paiement de la dette et les caisses sont pleines et son successeur sera a l’aise sur ce plan.
Les points noirs de sa décennie ont été analysés devant les maires, un tableau critique sévère, j’espère qu’il tiendra compte prochainement.
Le maillon faible du président Bouteflika demeure le choix des hommes et l’absence de sanction.
Un chef doit parler management, obligation de résultat car en tout état de cause, il demeure responsable devant le peuple et demain devant DIEU.
y a monsieur obama va voir ailleur tu as poluer ce blog.
a celui qui e donne le pseudo d’OBAMA
il faut savoir une chose, tu essayes de polluer doublement les débats; tu fais des copies colles, pire encore tu utlise le pseudo d’un homme proprement écologique
Appel pour la liberté électorale !
Nous, soussignés, citoyens algériens ,dénonçons le coup de force anticonstitutionnel, commis par la haute autorité du pays, en complaisance avec les deux sphères apparente et réelle du pouvoir, atteste que leurs volonté a opté encore une nouvelle fois au maintien des forces sombres a la tète de nos haute institutions , l’institution militaire a opté encore pour le choix de Bouteflika en consacrant la démocratie en ce mois de novembre, le mois de la liberté pour tout un peuple ,mais quatre décennies après, ce peuple peine a retrouver le chemin de la démocratie . Encore une fois, ce système montre que La source de le pouvoir n’est donc pas le peuple comme le consacre la Constitution, mais l’Armée. Quatre décennies après l’indépendance, le pouvoir fait usage des mêmes pratiques avec les mêmes recettes ainsi pour dire que l’élection présidentielle ne sert, en fin de compte, que pour « la légitimation triomphante de la junte aux yeux des Occidentaux »
Quatre décennies après avoir reconquis son droit a l’indépendance, le peuple algérien est encore sous le coup du bâton et de la matraque, quarante ans après ,ce peuple n’a jamais était consulté aux sujets des grands enjeux qui le concerne, pire encore, le peuple algérien n’a jamais eu la fierté d’avoir choisi ses représentant ,comme le proclame le chef de l’état a l’occasion de l’annonce de son projet de maintien a la tète de l’état !bref, il n’a jamais été question de laisser le peuple algérien choisir librement ses représentants….
Non, monsieur Bouteflika, l’Algérie n’a pas besoin d’un troisième mandat, elle a seulement besoin d’un homme qui respectera la durée de son mandat !
L’Algérie a besoin d’une démocratie, la démocratie a besoin d’institutions opérationnelles qui seront les pouvoirs législatif, exécutif, judiciaire ainsi que de médias libres, de partis politiques actifs et d’une société civile.
Nous citoyens algériens, mobilisons nous, pour reconquérir le droit et la fierté d’appartenir a notre mère patrie, l’Algérie, pour arrêter cet énième putsch que la junte militaire et ses relais sont entrain de mettre en place !
Nous seuls pourrons rassasier nous même de démocratie et de liberté !
Agissons tous contre cette mascarade qui nous fait ni honneur ni fierté !
Nous citoyens algériens, appelons ,l’ensemble des forces vives du pays, partis politiques, syndicats autonomes et mouvements associatifs ,conscients de la gravité de la situation actuelle que traverse notre pays, a entrer en dissidence citoyenne pacifique, des l’annonce officielle de la candidature de M Bouteflika pour le coup d’état de 2009.
Agissons ensemble et pacifiquement en optant pour des actions citoyennes. Avec seul mot d’ordre :
-le maintien de l’article limitant le nombre de mandats a deux !
-le report des élections présidentielles avec l’abrogation d’un nouveau calendrier discuté avec la société civile permettant dans un délai de six mois l’organisation d’une élection libre !
- la non validité de la candidature dite de « consensus » qu’elle que soit l’origine !
-la désignation d’une autorité provisoire autonome composée des membre de la société civile, qui sera chargée de l’organisation des futures élections !
Tous unis pour un même et unique destin : l’Algérie
Citoyens pour la liberté électorale !
Ce n’est pas un hasard que les e parlement russe, LA DOUMA, vont aussi demain 14 novembre 2008 voter la révision de la constitution pour ne pas limiter les mandats du président. Ceci pour permettre à VALDIMIR POUTINE de reprendre le pouvoir. Ils feront le même scénario qui s’est produit au parlement algérien.
Je me rappelle d’une expresion de Hocine AIT AHMED qui disait: Valdimir POUTINE apprend de ses anciens éleves algériens comment créer une guérre; il sufit d’orchestrer un génocide contre ses propres concitoyens et le faire revendiquer par les tchéchénes ensuite ça justifie une intervention musclée contre ses dernies.
Aujourd’hui,nous assistons à une autre leçon apprise par POUTINE de ses anciens éleves algériens.
¸
Je vous invite à écouter ces commentaire de RADIO-CANADA à propos de cette maskhara constututionnelle comme le disait notre frére Karim Tabou.
http://www.radio-canada.ca/audio-video/pop.shtml#urlMedia%3D/medianet/2008/CBF/DesautelsCombo200811131508.asx
Aller à l’étape 5/5 de l’émission mais il faut arrêter les 4 précédentes pour une une bonne qualité du son.
Bonne écoute !
» Toute société dans laquelle la garantie des droits n’est pas assurée, ni la séparation des pouvoirs déterminée, n’a point de constitution. »
Article 16 de la Déclaration des droits de l’Homme et du citoyen
En vertu de cet article, nous n’avons pas de Constitution.
L’Etat d’urgence est la seule constitution.
La montagne a accouché d’une souris, comme dit l’adage. Le pouvoir a amendé sa constitution dans un temps record, mais il est incapable d’appliquer un seul article de cette même constitution relative à l’état d’urgence instaurée en 1992. Selon cet article, l’état d’urgence est inconstitutionnelle. Mais ni le Conseil Constitutionnl, ni le parlement, ni les bartis boulitiques n’ont rien vu. De ce fait, la vraie et la seule constitution que le pouvoir applique à la lettre et refuse d’amender est L’ETAT D’URGENCE qui lui assure la survie et lui permet de viloer les lois et libertés ainsi que les droits qu’il reconnait formellement aux nouveaux indigènes. Si le pouvoir est fort, qu’il lève l’état d’urgence.
quelles sont les points de la constitution qui sont changer par le parlement
sara a dit:
14 novembre 2008 à 20:47
quelles sont les points de la constitution qui sont changer par le parlement
boudersa a dit:
14 novembre 2008 à 11:37
L’Etat d’urgence est la seule constitution.
La montagne a accouché d’une souris, comme dit l’adage.
Le pouvoir a amendé sa constitution dans un temps record, mais il est incapable d’appliquer un seul article de cette même constitution relative à l’état d’urgence instaurée en 1992.
Selon cet article, l’état d’urgence est inconstitutionnelle.
Mais ni le Conseil Constitutionnl, ni le parlement, ni les bartis boulitiques n’ont rien vu.
De ce fait, la vraie et la seule constitution que le pouvoir applique à la lettre et refuse d’amender est L’ETAT D’URGENCE qui lui assure la survie et lui permet de viloer les lois et libertés ainsi que les droits qu’il reconnait formellement aux nouveaux indigènes.
Si le pouvoir est fort, qu’il lève l’état d’urgence.
Voila dear Sara l’amere realité d’un pouvoir mal-elu et illegitime qui avec son propr APN et senat, achetés avant le vote, de voyoux et laches elus avec seulement 13,2% … ils ne representent que les barons et voleurs de la nation algerienne.
De toutes les facons que ce pouvoir se maquille avec sa propre constitution il aura sa tanée et claque par le peuple algerien qui a deja compris depuis longtemps, un certain avril 1999, le vote ne change á rien alors il vaut mieux BOJCOTTER toutes leurs zele-Xions deja traficotées au laboratoire de la fraude…
alors si Boutef veut son 3eme mandat pour mourir, il peut se l’octroyer comme d’habitude au laboratoire du DRS ce sera plus honnete pour sa mort pour son niveau et hateur 1,40m..
L’Etat d’urgence est la seule constitution.
Au bon entendeur.
Merci à Mehdi pour le défilement historique assez pertinent et juste. Dans ton bilan de ceux qui ont dirigé notre pays tous sont de la même famille politique.Tous ont bricolé, tous ont confondus porte monnaie personnel et caisse de l’ état…Toutes ces « personnalités » politiques ont considéré le peuple comme immature, illettré et bon qu’à subir. Nous avons été sous tutelle depuis 1962 avec un discours paternaliste des plus archaïque. L’arrivée de M. Bouteflika en 1999 à suscité un « espoir » de changement. Ce que nous constatons c’est que Monsieur le président à fait un arrêt sur image de ses années de socialisme.On se croit revenir en 70. Il fait une sorte de dénie sur le monde qui l’entoure et persiste dans son idéologie socialiste 70. Il est temps qu’il revienne en 2008 ou qu’il laisse sa place.Le monde bouge tellement vite qu’on a l’impression que M. le Président est sur une autre planète.
Ce qui est certain, c’est que la politique paye bien … et ne demande pas grand chose comme efforts .. dire dire et enfin dire .. voila la recette ..
dite a tabou et autres qu il est fini