Une autre condamnation pour Hassan BOURAS
La LADDH vient d’apprendre que le 28 octobre 2008 Hassan BOURAS, journaliste et militant des droits de l’Homme a été condamné par défaut par la cour d’appel de Saida à deux mois de prison ferme et à 40 000DA d’amende pour diffamation et atteinte à corps constitué. Par cet arrêt, la cour de Saida aggrave la peine prononcée par le tribunal d’El Bayadh lors du procès du 24 mars 2008.
Ce procès fait suite à une plainte du Wali d’El Bayadh concernant un reportage publié le 24 avril 2006 par le journal El Bilad. L’article du journaliste critiquait le bilan de la Wilaya d’El Bayadh en matière de développement socio-économique, dénonçait la corruption et les luttes d’influences qui caractériseraient le fonctionnement de l’administration dans cette Wilaya.
Par ailleurs, le 1er septembre 2008 Hassan BOURAS a été convoqué par le Bureau de la sécurité intérieur d’El Bayadh dépendant du DRS. On lui aurait signifié qu’il ne sera plus tolérable d’écrire à l’avenir sur les questions « politiques » précisément les écrits qui traitent des protestations sociales dans les régions du Sud.
Pour rappel, Hassan BOURAS est le premier journaliste emprisonné en application des dispositions introduites dans le code pénal algérien relatives au délit de presse. En novembre 2003, il avait été condamné pour diffamation, par le tribunal d’El Bayadh, à deux années de prison fermes et à 5 ans d’interdiction d’exercice du métier de journaliste. Ce n’est qu’après 25 jours de détention et une grève de la faim que la cour d’appel de Saida a ordonné sa libération avec le versement d’une amende.
La LADDH dénonce l’acharnement que subi Hassan BOURAS depuis de nombreuses années et qui porte atteinte à sa liberté d’expression et d’information. Elle exprime sa profonde inquiétude au sujet d’intimidations qui peuvent constituer un danger pour sa personne lors de ses actions en faveur des droits de l’Homme.
La LADDH lance un appel urgent à mobilisation nationale et internationale, et saisit l’observatoire international pour la protection des défenseurs des droits de l’Homme sur la situation délicate que vit le militant de la LADDH Hassan BOURAS.
Alger le 12 novembre 2008
Le Président: BOUCHACHI Mostefa
tout le peuple algerien est deja condamné á mort avec ce regime dictateur.
Qui ne l’est pas ?
Seulement les bni-ouiou-istes et les terror-istes du pouvoir assassin.
Assalam
Tais-toi et surtout si tu parles, hadhari, ne dis pas la vérité!
Qui peut nous dire s’il est hassan, hassani ou hasseni Bouras. A-t-il un lien avec les commanditaires de l’assassinat de Maître Meceli? A-t-il tué, volé, trahi sa patrie, terrorisé, humilié ou méprisé un roi, un général, un ministre, un puissant, un chikour ou je ne sais quoi? Est-il responsable de la décennie noire, des deux cents milles morts, des milliers de disparus, des harragas, des suicidés, des toxicomanes, des alcooliques, de la prostitution, de l’assassinat de des enfants d’octobres et des ceux de la kabylies? Est-il responsable des dernières castrophes naturelles, de l’arrivée tardive des secours, de l’état déplorable de nos hôpitaux, des nos universités, des nos écoles et de l’augmentaion de divorce et de la mortalité infantile? Est-il la cause de l’exil des millions d’algériens et d’algériens, des centaines de milliers de cadres, d’ingénieurs, de journalistes, de médecins et maçons ? Est-il au courant du nombre impréssionnant de chomeurs sans avoir essayé de prendre des décisions pour y remédier? A-t-il osé violer la constitution et les lois fondamentales de la répubilque et corrompre la justice? Est-il en lien avec les terroristes, le bantidisme et assassins des innocents ? Est-ce que c’est lui qui a confisqué l’indépendance de notre pays, qui a falsifié l’histoire, qui s’oppose à l’instutionnalisation de la langue amazigh, qui censure nos écrivains, qui ferme les salles de cinemas et de théatre, qui gaspille notre argent dans des projets pharaoniques, dans des fêtes fastes et glorieuses…? A-t-il décidé seul de tuer en direct à la télé le président Boudiaf, de programme insipide de la une, de l’abscence d’une vraie démocratie…?
Ou est-il simplement un exemple pour ceux qui osent dire ou écrire la vérité?
A nos plumes et à vos plumes!
Fraternellement
un commentaire svp
Les Berbères
La répartition actuelle des Berbères
Le caractère le plus déterminant de la « berbérité » reste la langue, et la répartition actuelle des Berbères peut être esquissée en délimitant les aires géographiques de son usage. On parle berbère, sporadiquement, à l’intérieur d’un espace africain compris entre l’océan Atlantique, la Méditerranée et le tropique du Cancer. D’est en ouest, des populations berbérophones subsistent actuellement :
• en Egypte, dans l’oasis nord-occidentale de Siouah ;
• en Libye, dans le djebel Nefousa et les oasis de Ghadamès, de Sokna, d’Aoudjila, mais également sur la côte à Zouara ;
• en Tunisie, sous forme d’enclaves en voie de disparition, notamment dans les villages de l’île de Djerba, à Tamezret au nord de Matmata, à Chenini et à Douiret, à l’est de Tataouine.
• en Algérie. La Kabylie est de loin la plus importante région berbérophone d’Algérie et les deux tiers des Berbères de ce pays sont kabyles ; l’Aurès abrite une importante communauté chaouïa et le Mzab un autre groupe berbérophone ; quelques îlots berbérophones subsistent également dans les monts des Ksour du Sud oranais, dans les régions de Gourara et de Ouargla et, au nord, dans les djebel Bissa et Chenoua.
• au Maroc. Trois grandes zones de dialectes berbères couvrent les régions montagneuses de ce pays ; au nord du Rif, le dialecte tarifit ; au centre, dans le Moyen Atlas ainsi que dans une partie du Haut Atlas, le dialecte tamazight ; au sud-sud-ouest, dans le Haut Atlas, l’Anti-Atlas et le Sous – qui forment le pays chleuh -, le tachelhit.
• en Mauritanie, dans une région située au nord du fleuve Sénégal, le parler zenaga est attesté chez des populations du Trarza.
A tous ces espaces de parlers berbères il faut ajouter un grand territoire parcouru par les nomades chameliers touaregs, dont le nombre est évalué à 400’000. Ils constituent un important groupe berbérophone, éparpillé inégalement sur le Niger, le Mali – pour les deux tiers -, l’Algérie (Ahaggar, Ajjer), la Libye (Ajjer), le Burkina Faso (Udalen) et le Nigeria.
En Algérie la loi est différement interprétée. Ainsi un simple correspondant écope de prison ferme et une forte amende quand il ose parler de maivaise gestion dans des affaires locales. On interprète ce enquête de la vérité outrage à corps constitué.
Mais un général comme Nezzar, peut s’offrir tout un livre qui n’est qu’insultes et dénigrements contre le premier magistrat du pays sans que la loi ne l’atteigne. Lui, l’ex-patron de l’Algérie, sait à quoi servent les juges…et le président.
Pas plus que Bouteflika lui-même quand il ridiculisa le président Chadli en disant qu’il était incapable de soutnir une discussion de 6 heures avec le président français Mitterand.
Quand au Algériens de la rue, ils doivent prendre des pseudonymes pour respirer un peu dans l’Internet.
la maffia locale est une realite en algerie, elle detruit tout devant elle, correspendants de presse, et magistrats non coorompus
Condamné à se taire ……
Condamné à se taire à chaque présidentielle
Condamné à se taire à chaque présidentielle le malheureux journaliste Hassan BOURAS L’incorruptible de ElBayadh
Condamné à se taire à chaque présidentielle le malheureux journaliste Hassan BOURAS , l’incorruptible de ElBayadh.
إلى مدير جريدة البلاد
أين هي مساندتكم لزميلكم السابق حسن بوراس و هو يحكم عليه ب الحبس النافذ هل عندكم فكرة عن مساندة « محققون بلا حدود » له أم الأمر صار لا يهمكم ما دام الصحفي لا يعمل بجيدتكم الآن
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29 novembre 2008 à 11:03
إلى مدير جريدة البلاد
أين هي مساندتكم لزميلكم السابق حسن بوراس و هو يحكم عليه بالحبس النافذ هل عندكم فكرة عن مساندة “محققون بلا حدود” له أم الأمر صار لا يهمكم ما دام الصحفي لا يعمل بجريدتكم الآن
إلى السيد مدير جريدة البلاد و إلى كل الأقلام و الأصوات الحرة من الإعلاميين و إلى كل النزهاء ساندوا الصحفي حسن بوراس المحكوم عليه بالحبس النافذ لمجرد أنه تكلم و قال لا لا لا للظلم و القهر