Omar Benderra: LA CRISE ECONOMIQUE MONDIALE, SON ORIGINE ET SES PERSPECTIVES
Un entretien du Maghrebin.com avec Omar Benderra, consultant bancaire, ancien président de banque publique en Algérie.Le Maghrébin : Comment appréhender cette crise qui secoue la planète ?
A la différence des crises cycliques qui l’on récemment précédée, je pense à la crise des valeurs technologiques, qu’on a appelé la crise Internet, à la crise régionale qui a affecté les pays d’Asie, cette crise dite des » subprimes » débouche sur une crise globale polysectorielle, c’est à dire qu’elle affecte tous les secteurs d’activités et toutes les régions du globe. Elle a d’abord concerné la sphère financière globale avant de s’élargir irrésistiblement à la sphère économique réelle. Ce qui se passe, c’est la traduction dans la réalité des effondrements d’un système construit sur la liberté, l’anarchie devait-on dire, des transactions financières introduite par la déréglementation de l’activité de crédit et le flottement des monnaies autour d’un dollar géré de manière irresponsable par le Federal Reserve. La levée des contraintes réglementaires a provoqué de très graves dérives spéculatives dont certaines sont extrêmement destructrices, tant par les volumes de pertes occasionnées par le collapsus du système que, surtout, par la logique récessive qu’elle engendre aujourd’hui. Cette crise singulière interpelle à des niveaux très divers. Elle pose en thématique centrale la question du rapport des marchés avec les Etats – et leur capacité à faire face à leurs responsabilités nationales – et celle du rapport du marché avec la mondialisation. Dans ses aspects les plus positifs, elle pose la question du modèle économique fondé sur la consommation effrénée de ressources non renouvelables au profit d’une minorité cupide et au détriment des plus faibles, condamnés à la misère et à la famine.
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Commentaires(4)
Le ton est monté d’un cran supplémentaire lundi soir au Parti socialiste : «Nous donnons jusqu’à mardi 14 heures à la commission de récolement pour prendre en compte nos remarques, a déclaré François Rebsamen, un proche de Ségolène Royal. Faute de quoi nous saisirons la justice et appellerons à une manifestation» devant le siège du parti rue de Solférino, à Paris.
ce sont les propos du maire de dijon, proche de segolène royal. désormais les partisans de mme royal ce sont inspirer des méthodes des frondeurs du ffs, j’espere que les partisans de royal ne vont pas se donner a un spectacle honteux, c’est le conseil que des camarades d’un parti ami du ps.
A Mohand Arezki,
Les conseilleurs ne sont pas les payeurs. Le FFS doit d’abord balayer devant sa porte. Au PS, il n’est question que de contestation de résultats sortis des urnes. Les instances habilitées sont à pied d’oeuvre….Il est inutile de judiciariser l’affaire.
Mais que se serait-il passer si comme au FFS des exclusions, radiations et dissolutions de structures avaient été prononcées par des instances non habilitées. En dehors des textes statutaires et règlementaires? Je n’ose même pas y penser!!
Arezki
Le FFS ferait mieux de s’inspirer des
méthodes démocratiqes qui regissent le fonctionnemet d PS.Nous l’avons vu lors de l’investiture présidentielle de2007,ce sont les militants qui ont tranché en faveur de Ségoléne Royal.Au FFS et au RCD ce sont les chefs respectifs de ces partis qui tranchent à chaque fois quil ya une crise.Ce n’est pas un hasard s’il ya une désaffection du peuple à l’égard des partis politique car ces derniers ne sont pas démocratiques dans leur vie interne et leur fonctionnement.
Comment se fait-il que les pays de l’ex bloc socialiste ont résolu leurs problèmes en trés peu de temps.
Economiquement ils se portent trés bien;politiquement,l’alternance est un fait acquis;alors que chez nous on est toujours au stade du tatonnement.C’est tout simplement un probléme d’éducation et de culture.
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bonsoir chéres compatriotes
mes chéres frères ne comparons pas le ffs avec le ps français
ce n’ai pas du même registre ait ahmed lutte pour que l’idéologie du ffs ne cède pas au sirène du drs et vous ,vous faite comme si que l’algérie était une république digne de rejoindre la communauté européennes ne perdons pas de vue
qu’il font la pluie et le beau temps en algérie ce sont des chickors et qu’il ne sont pas prêt a rendre des compte et se faire jugée par la société civile alors mettons un peut d’eau dans notre limonade si j’ose dire !monsieur ait ahmed fait tout
ce qu’il peut pour sauvée les meubles avec le « ffs bis »
et franchement Omar Benderra, consultant bancaire, ancien président de banque publique en Algérie.n’est pas la référence en la matière allez plutot sur le site officiel du FFS!amicalement