Algérie: Faux débats et vrais enjeux
A chaque échéance électorale, les laboratoires du DRS élaborent un plan de campagne et chargent leurs relais politiques et médiatiques de sa mise en oeuvre. En effet, les observateurs de la scène politique en Algérie auront constaté qu’à l’approche d’une élection, le même scénario se reproduit avec les mêmes acteurs et les mêmes comparses.
Je vous invite à lire attentivent ce plan pour comprendre que nos Services sont incapables d’imaginer d’autres plans.
1- Le CCRD réagit par voie d’un communiqué signé par son SG, l’ancien ministre Abdelhak Brerhi, pour dénoncer la politique du chef de l’Etat, Abdelaziz Bouteflika.
2- Le général à la retraite, Rachid Benyelles, publie une contirbution dans un quotidien national dont le contenu est une série d’attaques contre Abdelaziz Bouteflika.
3- Des militants du MDS disiribuent un tract dénoncçant la politique de Bouteflika. Ils sont tout de suite arrêtés par la police. Le MDS dénonce l’arrestation et les militants sont relâchés.
4- Les partis de l’alliance présidetielle s’échangent des accusations par médias interposés. Ils font semblant d’être en désaccord pour donner l’illusion d’un débat.
5- Les journaux donnent la parole aux anciens chefs de gouvernement, Sid Ahmed Ghozali et Ahmed Benbitour qui accusent Abdelaziz Bouteflika d’être seul responsable de la crise qui secoue le pays.
6- L’ancien membre du tiers présidentiel au niveau du Conseil de la nation, Mokrane Aït Larbi, publie une contribution dans le quotidien El Khabar pour « expliquer » les enjeux.
7- L’ancien ministre de la Communication, Abdelaziz Rahabi, publie lui aussi une contribution dans un quotidien pour s’attaquer à Bouteflika. ( …)
8- Ali Belhadj, ancien numéro du FIS, fait une proposition de sortie de crise.
9- Abbassi Madani, ancien responsable du FIS, intervient sur une chaîne de télévision arabe…
Conclusion: On se rend compte finalement qu’en dehors de Belhadj et Abassi, qui font indirectement le jeu du pouvoir, toutes les personnes citées avaient occupé des postes de responsabilité au niveau du pouvoir. Elles participent en réalité à la pollution de la scène politique en occupant l’espace qui revient en principe à l’opposition. L’objectif recherché: empêcher l’opposition réelle de s’exprimer et de rendre visible ses propositions de sortie de crise. Aussi, au lieu de s’attaquer au système, ces personnes préférent personnifier le débat en s’attaquant au président Bouteflika. Ce qui en réalité relève de l’émotionnel et pas du rationnel. Par El Mouhtarem
Et les hamrouche et mehri que vous nous avez collé au FFS, es-ce qu’il n’occupe pas les espaces destinés a l’opposition? ç triste de dire certaines vérités et d’occulter d’autres M le modérateur. Et aussi, le FFS ne fait-il pas le jeu du pouvoir indirectement, lui aussi, en invitant a chaque fois les hamrouche mehri et con-sorts?
BASTA! DE CE POUVOIR POURRI!, ET BASTA! DE CES EX DIRIGEANTS LES GHOZALI, BENBITOUR…..ECT FERMEZ VOS GUEULES ON A ASSEZ DE VOS DICTATS .
ce pays a besoin d une double rupture, rupture contre le systeme militaro policier et maffieu et contre l ancienne generation qui a tout casse Basta, on doit construire le Mouvement Barakat
ya si el mouhtarem, pk aucun mot sur la rencontre de l oppostion a geneve
J’ai été vraiment déçu par votre silence assourdissant concernant le colloque de Genève. Ne s’agissait-il pas d’une réunion d’Algériens libres? N’étaient pas des démocrates? N’étaient-ils pas des Algériens propres?
A moins qu’il s’agissait de citoyens du 2e collège et que la démocratie à laquelle ils croient ne corresponde pas à la démocratie sélective à laquelle vous croyez et qui n’est pas loin de celle de ceux qui se sont trompés de société.
Très déçu de cette attitude qui frise le mépris. Mehri, Addi, Sidhoum, Benchenouf, Dhina, Zitout….. sont-ils des sous-citoyens?
L’histoire et le peuple jugeront !
Cordialement.
cher modérateur,
l’observation est pertinente. Cependant, je ne partage pas votre attitude d rejet systématique de tous les hauts fonctionnaires. certains méritent réellement qu’on leur accorde le bénéfice du doute, notamment ceu qui ont démissionné dans l’exercice de leurs fonctions et je pense tout particulièrement à l’ex prmier ministre Ben bitour et à l’ex ministre de la communication Rahabi. on peut tout dire à leur propos sauf que ce ne sont pas des Hommes responsables et e vrais nationalistes. ils auraient pu comme tant d’autres usé de la brosse à reluire ils ont préféré rendre leur tablier et garder leur dignité. sinon pourquoi l’opposition n’envoit pas de contributions aux journaux notamment El Watan, le soir d’Algérie et An Nahar qui ont déjà prouvé qu’ils étaient courageux. et si aucun quotidien ne publie ces contributions vous povez les publier sur ce blog et les gens seront informé qand même. a propos qu’est ce qui s’est passé à Geneve? please tell us.
Qui est ce chacal (revelation John Perkins) qui detient Bouhef par ses cornes cad 1/3 president jusqu’á sa fin?
Il a une seule et unique mission, decomposée et vendre l’algerie en miettes aux pays du golf, egyptiens et autres qui se cachent derriere ces canassons!
SINON ce BouHef sera exposé au monde entier, son registre de malfaiteur et comptes bancaires, meme les « ANNA » et autres sortiront…
nous devons l’aider ce pauvre á quitter El-mouradia et le plus tot sera causera le moindre degat á sa pauvre miserable vie mais surtout á l’algerie et son peuple.
AIDONS-LE À QUITTER CETTE TERRE!
c’est pourquoi ce qui suit est une initiative dans ce sens et il faut multiplier ce genre d’activité avec des actions sur le terrain…
Le colloque de Genève transmis dimanche soir par la chaîne Al Jazeera Mubasher
La chaîne TV Aljazeera Mubasher a diffusé dimanche soir 23 novembre 2008 à 19:00 GMT (20:00 heures Algérie et Europe) la couverture du colloque organisé à Genève par la Fondation Cordoue sur les Perspective de changement politique en Algérie. Canal Al Jazeera Mubashar
Deux rediffusions sur le même canal ainsi qu’une diffusion sur la chaîne Alhiwar sont prévues les prochains jours. Plus d’infos sur le colloque sont disponibles sur le lien:
Colloque sur les perspectives de changement politique en Algérie
Aussi sur Youtube :
» RACHAD TV
et
» YOURACHAD
http://www.lequotidienalgerie.com/index.php/4533/le-colloque-de-geneve-sera-transmis-ce-soir-par-la-chaine-al-jazeera/
En d’autres circonstances, il serait normal de suspecter les raisons d’un tir croisé, par journaux interposés, sur fakhamatou. Il serait peu-être orchestré par le pouvoir occulte. La gent militaire a en effet l’art d’utiliser des pantins discrètement parachutés dans l’opposition pour renforcer le régime en place. Mais, cette fois, il faut reconnaître que le coup de force de M. Bouteflika contre la constitution est un acte qui vient de changer le destin de toute la nation. Avec cet acte qui vient de jalonner tristement notre histoire, Bouteflika de facto concentre tous les projecteurs sur sa personne et sur sa conception despotique dans l’exercice du pouvoir. Il est naturel que tous les ennemis de tout bord de Bouteflika saisissent ce crime pour le fustiger. Mais dans ce groupe de contestataires il n’y a pas que les anciens mercantiles ou les ex-fantoches; ceux, que le monarque à refuser de convier à sa table ou nommer dans son sérail. Trop frustrés, ces courtiers marginalisés sont bien sûr les premiers à monter au créneau contre ce cirque constitutionnel et préélectoral. Ceux-là n’attendent pas un signal de départ pour publier leurs protestations, ils braillent spontanément en voyant l’opportunité d’un retour vers le système totalement compromise par les ambitions totalitaires de M. Bouteflika
Simultanément à cette flambée de la surenchère folklorique, il y a des voix contestataires appartenant à des personnalités incontestablement crédibles et respectables de par leurs sincérités et leurs intégrités infaillibles. Leurs principes politiques et moraux, imprégnés par l’amour profond de leur patrie dans toutes ses dimensions, n’ont jamais été cédés au profit d’intérêt personnel malgré le besoin du Pouvoir d’adjoindre leurs compétences et leurs notoriétés avérées pour étoffer leur collection destinée à l’étalage. Le reproche qui, pourtant peut leur être adressé, est qu’ils réagissent mollement, de façons épisodiques, en rang dispersé et le seul l’échéancier des présidentiels. Leur hibernation quasi quinquennale est un autre facteur qui sape le moral des larges couches sociales condamnées à la pauvreté et au mépris du Pouvoir. Leur « réquisitoires politiques » occasionnels et sans suites donnent l’impression que leurs revendications ne sont pas populaires et ne sont pas sérieuses. Elle est interprétée comme une absence d’assises populaires alors que dans la réalité ils représentent toutes les aspirations du peuple.
Ce qui est encore plus déplorable à ce tableau peu reluisant, c’est que l’opposition officielle censée défendre la démocratie et la justice est frappée par incompréhensible aphasie fatale à leur crédibilité et à l’avenir des algériens. Si dans un tournant aussi crucial ils sont restés de simples spectateurs, affichant à peine leur désapprobation, que pourrait espérer d’eux le peuple. Ils agissent comme si le chemin vers le pouvoir devait être indiqué par le Zerhouni ou Bouteflika et jonchés de roses parfumés. Ils devraient se recycler dans les officines des syndicats indépendantes qui malgré la chape de plomb sont arrivé à se faire entendre et à être craint.
Seul haut fait honorable qui peut être relevé, à mon sens, est le geste du MDS sur le terrain où ce parti a distribué des tracts, entrant directement avec les citoyens. À part ce « fait-divers » le militantisme politique a été marqué par le vide sidéral.
Malheureusement l’action et le militantisme sont réduits à de simples déclarations d’intention, de querelles organiques sans fin et de conflits de personnes, se soldant souvent par des scissions ou des purges dramatiques pour le plus grand bonheur de ceux qui se sont approprié les richesses de l’Algérie.
Chaque parti est une varie maquette conforme de se qui se passe à l’échelle de l’État algérien. Un chef, indétrônables, quasiment seule figure et notable de la baraque, entourés par quelques convaincus intègres, des carriéristes ambitieux, mais sans prétention historique, et des ennemis plus ou moins déclarés suivant la grosseur de la pâture reçue, prêts à se vendre au plus offrant à la moindre occasion. Le spectacle lamentable qu’offrent les partis dits de l’opposition dont la plupart ont jeté l’éponge devant les coups de boutoir du régime. Ils ne remplissent plus leur fonction de partis.
Faut-il qu’on espère le retour d’un autre militaire comme le dit la rumeur qui enfle, pour nous donner espoir à la démocratie. N’est-ce pas un comble et une autre sucette provisoire (comme la limitation à deux mandats) pour un peuple « puérilisé » par les cajoleries et les louanges officielles?
Le gabarit d’un homme politique, militaire ou civile ne se mesure par seulement par la force de son caractère, la solidité de ses principes démocratiques et de justice ou par l’amour de la patrie. Un présidentiable doit réunir un certain nombre d’autres qualités pour mener à bien son projet politique. Parmi celle-ci frapper sur la table quand les la gent militaire et sa cohorte de vénaux parasitent son action. Il doit signifier clairement et publiquement que le seul pouvoir est aux mains des civils. Il n’y a aucune prérogative constitutionnelle qui donne le droit aux généraux d’interférer dans la vie publique en contrôlant les urnes et en choisissant des présidents. À ma connaissance, ni Zeroual ni d’autres « intégrés » n’ont eu le courage de le dire.
Un présidentiable doit être fidèle à ses principes et doit les défendre à tout temps. Or a constitution à deux mandats vient de subir un lifting mortel au nez et à la barbe de son concepteur sans qu’on entende un souffle de celui-ci pour la défendre. Juste quelques bribes de murmures inaudibles.
Le silence « des agneaux »est beau. Il peut servir n’importe quand. Et surtout il peut être savouré avec diverses sauces: la continuité ou le changement. Et c’est cette stratégie qu’ont choisie la plupart des hommes politiques pour espérer reprendre du service.
L’Algérie ne doit pas être l’otage des militaires, fussent-ils intègres. Elle ne doit pas abdiquer continuellement à cette logique qui l’oblige à choisir entre deux maux; entre la peste et le choléra. Elle doit produire de ses entrailles, fertiles malgré les mensonges des généraux, des hommes et des femmes capables de tenir la barre et faire sortir le pays du sous-développement dans lequel LES MILITAIRES les ont solidement arrimés depuis 62.
Enfin, je ne pense pas que les scandales financiers et la corruption à grandes échelles date depuis peu. Ces réalités sont une conséquence de la mainmise des militaires et leurs suppôts sur la vie politique. Au temps de Zeroual, il y a eu d’autres corruptions et d’autres scandales étouffés, car le chef de l’époque était aussi incapable que l’actuel à endiguer ce cancer.
Je ne vois rien, je n’entends rien, je ne dis rien, mais si vous avez besoin de moi je suis votre président sauveur. Ça nous fait une belle jambe!
Je me suis fait interpellé avec véhémence par un citoyen lorsque,à mon ami qui m’accompagnait j’ai lancé: »on disait que c’était grace à bouteflika que le pétrole a gagné en prix lorsqu’il a été élu!alors qu’est ce qu’il attend pour intervenir et le faire remonter?
Je me suis amusé à ce jeu et j’ai continué;c’est toujours les mêmes réactions.Pourquoi il n’y a pas d’instituts de sondage indépendant pour prendre la température politique avant d’engager tout projet de texte ou tout projet tout court.Eh bien parceque le pouvoir connait les réponses et sa réputation.Pire il nous connaît aussi et il fait à sa guise en méprisant le peuple.Mais sait il au moins que lorsque le peuple veut ,et il le voudra trés bientôt, il le fera;
lorsque le peuple, un jour,veut la vie
les chaines et les pouvoirs se briseront et le jour naîtra…
@ politique en retrait.
Ils n’aiment pas les sondages, il y en a pas en Algérie, aucun institut de sondage n’existe et si un statisticien se mettrait à le mettre en place, il risque d’être empeché ou bien on lui désignera un second (du service de propagange) pour le diriger. Ils ont fait ainsi pour la Presse.
Tout ça parcequ’ils n’aiment pas l’image que leur renvoie le miroir. Bien à vous.
On n’est vraiment trés las de lire,d’ecouter les balivernes des ces caciques du pouvoir qui essayent de nous éclairer soi-disant sur les méfaits du pouvoir alors qu’eux-memes il y étaient et n’avaient rien fait contre durant toutes les belles années qu’ils ont coulé dans la douceur et l’oppulence!
Aujourd’hui, c’est trop tard! Ni Mehri,Ni Hamrouche ne peuvent rien faire pour l’Algerie car ils ont été affaiblis,usés et mis pratiquement à l’écart du pouvoir central meme s’ils continuent à garder quelques avantages afferents à leur rang.
Barakat ! Ca suffit le monsenge et les promesses vides de sens, car le peuple à besoin de se rétablir d’une maladie grave qui le ronge depuis des décenies! Basta ! des vieiles figures qui nous mené en bateau au moment où elles détenaient le gouvernail du Bateau Algerie!!! Ce dernie s’est planté contre un recif si dur qu’il ne peut peut-etre plus etre restauré et redevenir ce qu’il fut d’antan!
Mais quand meme, laissez-nous en paix, rendez-nous le pays et laissez-nous sauver ce qui reste à sauver de ses meubles!
Que dire devant tant d’inepties où BYZANCE le retour
Tous ces martyrs de la glorieuse guerre de libération et de la démocartie doivent se retourner dans leurs tombes devant une réalité qui enfonce l’Algérie chaque jour davantage.
La situation du pays est effroyable: crise politique ayant conduit à l’IMPASSE, crise économique DELIBEREMENT OCCULTEE par le pouvoir,crise sociale GREVES QUASI PERMANENTES et pendant ce temps le pouvoir MARIONNESTISTE et sa pseudo opposition LES MARIONNETTES jouent dans un thêatre VIDE, VIDE, VIDE (la population a déserté car son niveau de perception est REELLEMENT PLUS ELEVE que celui de sa troupe thêtrale.
A voir cette agitation médiatico politqiue SAVAMENT ORCHESTRE PAR LE OU LES MARIONNETISTES, on s’apperçoit que l’Algerie est devenue STERILE depuis 1954.
NAPOLEON avait dit: « attention au feu, à l’eau et surtout AU PEUPLE ». Un jour viendra et il n’est pas loin MARIONNETISTES, ou une cour organisée ou non vou demandera des comptes et vous jugera. Le verdict sera IMPLACABLE cra l’histoire vous a déjà oublié.
il ne nous reste que le boycott massif et sortir dans la rue comme en octobre88.BOUTEF EST UN PRESIDENT FOURBE ET MENTEUR IL S’ACCROCHE AU FAUTEUIL TEL UN MORPION SAUVAGE!!!!!!!!!!!!!!
bouteflika passera quelque soit les conditions d’organisation des elections ; l’opposition touchera des honoraires . car boutef c’est l’opposition et l’opposition c’est les elections .merçi
Existe t il une opposition en Algérie ???? c’est vraiment le désert !!!!! Le FFS de 1963 c’est terminé …Ait Ahmed y est pour beaucoup !!!!!
arrêtons les gars,nous somme un peuple anormal comment voulez vous avoir un système normal,le peuple veux une liberté pour faire se qu’il veux,j’ai vue dans la décennie noir,quand l’état était absent des gens construire sur des terres agricole,l’anarchie régnai,le frère barbus tuai son frère policier……..etc etc etc,alors essayons d’être comme les chinois,travaillons travaillons et fermons nos gueule.
ou va ! l’Algerie si le coeur pouvait parlais pour boumaarafi