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Archive pour le 26 novembre, 2008

Aubry: « ma 1e tâche, voir Royal »

aubry1.jpgLa nouvelle première secrétaire du PS, Martine Aubry, a déclaréque sa « première tâche politique » était de voir Ségolène Royal et « ceux qui vont nous aider à rassembler et unir le parti » socialiste.

Avant une rencontre avec son prédécesseur François Hollande au siège du PS rue de Solférino, la maire de Lille a indiqué avoir « fait appeler dès ce matin Ségolène Royal pour la voir » et qu’elle voulait « ensuite voir tout ceux qui vont nous aider à rassembler et unir le parti », comme Bertrand Delanoë ou Benoît Hamon, tout « en s’ouvrant sur l’extérieur, en écoutant, en rencontrant, en débattant ».

« Nous écouterons (Mme Royal) comme nous écouterons chacun dans nos débats ». « C’est mon état d’esprit. J’espère, je crois aussi que c’est le sien », a-t-elle dit. « Autour d’elle, il y a beaucoup d’hommes et de femmes compétents qui peuvent travailler dans une équipe qui va travailler sur le projet », a affirmé Mme Aubry.

Le PS doit « être capable de présenter dans dix jours un parti renouvelé dans son mode de fonctionnement et dans ses équipes », a-t-elle ajouté, reconnaissant qu’il fallait « prendre un peu de temps pour mettre les bonnes personnes aux bons endroits » et « projeter tout le monde dans un projet ».

AFP

Iferhounene (Tizi-Ouzou): L’ex-P/APC condamné à une année de prison avec sursis

codeprison.jpgLe tribunal de Aïn El Hammam a rendu son verdict dimanche dernier concernant l’affaire liée à la falsification de documents officiels à l’encontre de l’ex-P/APC d’Iferhounène répondant aux initiales A.M. Cette affaire a été découverte suite à la demande de l’Etat français d’enquêter sur certains documents officiels délivrés par le P/APC d’Iferhounene, entre autres des extraits de naissance, des extraits de décès, etc. Une enquête a été menée par cette institution et il s’est avéré que des documents ont été délivrés à blanc, signés et cachetés au profit des émigrés résidents en France.

Le procureur général a requis une peine de trois années de prison et une amende de quinze mille dinars. Et après délibération, l’ex- P/APC a été condamné à un an de prison avec sursis. 

Bill Rammell: «Le cas Khalifa sera tranché en février 2009»

khalifa.jpgLa justice britannique devrait trancher sur la demande d’extradition de Abdelmoumen Khalifa, introduite par l’Algérie en 2004, vers la mi-février prochain. C’est ce qu’a indiqué le ministre d’Etat au Foreign Office chargé des affaires du Moyen-Orient, Bill Rammell, au cours d’un point de presse animé hier au siège de l’ambassade du Royaume-Uni à Alger. «Il m’est difficile de vous dire quel sera le sort de M. Khalifa car chez nous la justice est indépendante. Cela dit, je crois savoir que le dossier Khalifa devrait être tranché au cours d’une session des juges prévue de se tenir vers la mi-février 2009.» 

Source El Watan/ Synthèse

Mohamed Ziane Hasseni lâché par Alger ?

hasni1.jpgMohamed Ziane Hasseni a subi les tests ADN et les analyses graphologiques le 12 novembre courant, a-t-on appris auprès de son frère. Ce chef du protocole du ministère des Affaires étrangères, arrêté le 14 août à l’aéroport de Marseille ensuite placé sous contrôle judiciaire pour « complicité » présumée dans l’assassinat de l’avocat André Ali Mecili, attend que la justice le reconvoque.

L’enquête suit son cours. La chambre d’instruction de la cour d’appel de Paris, qui a déjà rejeté la demande d’annulation de l’inculpation de M. Hasseni, exige de la défense d’apporter des preuves irréfutables de de son innocence. Selon le frère du mis en cause, tous les documents d’état civil (livret de famille, extrait de naissance, livret militaire…) ont été remis à la justice française. L’affaire semble avancer en titubant mais soulève au passage de nombreux questionnements. Il est nécessaire d’abord de souligner que Mohamed Ziane Hasseni a été interpellé puis mis en examen au prétexte que son nom présentait des «similitudes» avec le patronyme de «Hassani», objet d’un mandat d’arrêt international.

Les autorités algériennes ont, vingt-quatre heures plus tard, exclu qu’il était impliqué dans l’affaire Mecili, arguant en fait une confusion homonymique. Le mandat d’arrêt international a été, en effet, lancé en 2007 contre un certain Rachid Hassani, dont on ne sait presque rien mis à part qu’il avait été capitaine dans les services de renseignement (ex-sécurité militaire – SM). Même la photo identifiée comme étant celle de ce présumé commanditaire du meurtre de Mecili s’est avérée être celle d’un ambassadeur en poste à Belgrade (Serbie). Hicham Aboud, ancien officier de la SM, qui disait connaître parfaitement Rachid Hassani, a exclu qu’il soit Mohamed Ziane Hasseni. Face à cette cacophonie, les autorités algériennes se sont retranchées dans un silence assourdissant.

Après le déplacement «en urgence» du ministre des Affaires étrangères, Mourad Medelci, à Paris, où il a eu à rencontrer le 16 août dernier son homologue français, Bernard Kouchner, aucune action ni réaction n’a été notée du côté d’Alger. Autrement dit, il n’y a jusque-là rien qui reflète «la grande préoccupation» du gouvernement algérien dont a fait part Medelci à Kouchner. La «réprobation» exprimée par la partie algérienne quant à la décision de la chambre d’accusation de la cour de Paris confirmant la mise en examen et le maintien sous contrôle judiciaire ne se traduit pas dans les faits.

M. Hasseni semble ainsi livrer bataille en solo. Des citoyens ont tenu à dénoncer, dans une lettre ouverte au président de la République, «les carences des Affaires étrangères» et à faire part de sa «frustration face à l’inqualifiable abandon d’un haut cadre de l’Etat livré pieds et poings liés en victime expiatoire». C’est le cas de Houari El Ghouti, qui a interpellé, par le biais d’une lettre, le président Bouteflika pour qu’il fasse «quelque chose». «Alors qu’il est notoire que le diplomate algérien n’est en rien concerné par l’affaire dans laquelle il a été mis en examen en France, sa tutelle, d’abord par une absence patente de réaction puis par une gestion singulièrement frappée du sceau de l’incompétence qui aurait dû, dans une affaire aussi grave, induire d’exemplaires sanctions, a permis à la France de perpétuer la forfaiture que l’on sait», écrit-il à Bouteflika, relevant au passage «la déliquescence de l’appareil diplomatique algérien».

Ce citoyen, qui n’a pas jugé utile de révéler sa profession, déplore que la diplomatie algérienne « n’est jamais sortie de sa comateuse léthargie », ne pouvant ainsi se prévaloir d’aucun fait d’armes en la matière. La cellule de crise installée au ministère des AE n’est, selon lui, qu’une «coquille vide». Si elles sont réellement convaincues de son innocence, pourquoi les autorités algériennes ne fournissent-elles pas toutes les preuves palpables à même d’obtenir un non-lieu ? Où est donc le véritable Rachid Hassani, considéré comme l’agent sous-traitant de Abdelmalek Amellou, l’assassin de Ali Mecili, le 7 avril 1987 ? Abdelmalek Amellou pourrait avoir la réponse. Et il se trouve en Algérie. Après avoir été interpellé à Paris deux mois après l’assassinat de Mecili et avoir reconnu qu’il travaillait pour le compte de la Sécurité militaire algérienne, il a été « expédié » à Alger à l’issue de sa garde à vue en France. Arrivé à destination, il a été laissé en liberté.

Par M. A. O. EL Watan

Annulation de la grève des dockers ou la négociation en sous mains de sous-marins qualifiés

sous.bmpUne UGTA qui intervient pour faire cesser une grève, un tribunal qui reporte au 24 novembre une plainte en référé, puis, celui qui l’a déposé à savoir le Ministère du Transport, la retire subitement, et enfin les syndicalistes qui annulent la grève. Voila ce qui s’appelle la négociation en sous mains de sous marins qualifiés. C’est la preuve que ce dossier renferme des volets délicats mettant en jeu des intérêts particuliers. On ne veut pas en fait que l’affaire s’ébruite encore plus. L’affaire est entendue. Voila comment on ferme les dossiers, voila comment on fait taire des citoyens qui s’interrogent sur le pourquoi et le comment de la vente de leur destin à des financiers de haute voltige qui demain les mettront sur la paille.  

Cette affaire a les mêmes tenants et aboutissants que l’affaire ORASCOM, c’est aussi les mêmes acteurs de l’ombre. Bien évidement on fait signer les DG et eux ils ne sont en rien mêlés officiellement mais qu’on ne se trompe pas c’est eux qui retirent les plus values de cette affaire. C’est l’Algérie qui paiera en dollars ce qu’habituellement elle règle en monnaie locale, c’est les dockers qui la sentiront dans leur chair lorsque les restructurations et les décisions se prendront à des milliers de kilomètres d’Alger. C’est le dossier Djezzy bis. Dans quelques temps quand ses affaires seront publiques, et que les auteurs ne seront plus là, il restera au Algérien que leurs lamentations et ils diront ALLAH GHALAB. Et pourtant ils ont les aptitudes et les attitudes de ne pas tolérer ces gâchis.

Quand l’Amérique elle-même, le sommet du libéralisme économique, rachète des banques… nous on ne voit rien, on entend rien, on continue le pillage. Continuez Rebbi vous le fera payer, puisque les citoyens, les cadres, vous les avez enfermé et vous leur avez enlevé toute dignité d’hommes libres, vous les empêchez d’agir pour le bien de leur pays, mais vous les obligez d’agir pour votre bien propre.

Par Mohand

Abdelkader Mesdoua: opportuniste et régionaliste !

mesdoua.pngSur la photo reprise c’est Abdelkader Mesdoua, pseudo ambassadeur a Belgrade, opportuniste marié à une diplomate de la famille zerhouni. C’est une grande gueule régionaliste qui a laissé un mauvais souvenir à Alger en sa qualité de DG du protocole au MAE. Il n’a aucun niveau. Son diplôme supérieur après celui de l’ENA, c’est d’être de l’ouest de l’Algérie. Par une citoyenne 

 

 

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