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Archive pour décembre, 2008

Des clarifications d’El Mouhtarem

lumiere.jpgJe viens de lire avec attention l’article du journaliste Noureddine Khellassi sur l’affaire du diplomate algérien Mohamed Ziane Hasseni. Je tiens à clarifier certaines zones d’ombre qui entourent l’affaire. 

Le journaliste écrit: « Les résultats des tests ADN subis par le diplomate algérien se seraient révélés négatifs. »

Commentaire: Les test ADN peuvent prouver que Hasseni n’a pas remis les balles à l’assassin Amellou. Les résultats du test graphologique (vérification de la signature de Rachid Hassani sur l’ordre de mission remis à l’assassin), ne sont pas encore connus.

Le journaliste écrit: « Le témoignage de Hicham Aboud, apparemment décisif, a solidement conforté la thèse de l’homonymie imparfaite dont a été victime Mohamed Ziane Hasseni. L’ancien chef de cabinet du général Mohamed Betchine à la DGPS a affirmé de manière catégorique, sur la base de sa connaissance personnelle du diplomate et de Rachid Ziane Hassani, commanditaire présumé de l’assassinat de l’avocat français André-Ali Mécili, au mois d’avril 1987, que le premier n’est absolument pas le second.’

Commentaire: Comment peut-on croire le témoignage de Aboud après avoir déclaré, en 2002, au Juge Thouvenot, que Rachid Hassani était consul en Allemagne en 2002 et c’est Mohamed Ziane Hasseni qui occupait ce poste à cette époque.

Le journaliste écrit: « Défection du colonel Samraoui. Ce témoignage a d’autant plus sonné fort et juste que l’autre témoin clé dans l’affaire, n’a pas, lui, répondu à la convocation du magistrat français. L’ancien colonel du DRS Mohamed Samraoui, puisque c’est de lui qu’il est question, a prétexté un mandat d’arrêt international lancé contre lui par l’Algérie pour se dérober. Son absence a donc empêché une confrontation avec Abboud Hichem et avec Mohamed Ziane Hasseni qu’il avait affirmé avoir reconnu comme étant formellement Rachid Ziane Hasseni.

Commentaire: Dans un entretien accordé au quotidien Echourouk (20 décembre 2008), Mohamed Samraoui a déclaré que «des raisons que j´exposerai ultérieurement, ne m´ont pas permis de me rendre en France. Le guet-apens dans lequel je suis tombé en Espagne l´année dernière est encore vivace. »

Le journaliste écrit: « D’autant plus important qu’il aurait été également apprécié à l’aune de sa confrontation avec Mohamed Ziane Hasseni qu’il prétend bien connaître au point de l’identifier comme étant l’ancien capitaine des services algériens, Rachid Ziane Hassani. « 

Commentaire: Le juge Thouvenot n’a jamais programmé une confrontation entre les trois.

Le journaliste écrit: « Pourtant, Mohamed Samraoui est un témoin déterminant, surdéterminant même, étant donné que son témoignage initial a constitué le fil rouge du dossier d’accusation. Il avait même fondé la première conviction intime du juge Baudoin Thouvenot, lequel, s’y basant, avait inculpé et mis en examen et sous contrôle judiciaire Mohamed Ziane Hasseni. »

Commentaire:  Le journaliste ne s’est pas trompé en soulignant que Mohamed Samraoui est un témoin déterminant, surdéterminant même. Il est donc évident que le juge ne prononcera pas de jugement avant d’entendre Samraoui. Par ailleurs, Samraoui n’est pas obligé de se déplacer en France. Faut-il rappeler qu’en 2003, c’est le juge Thouvenot qui s’est déplacé en Allemangne pour entendre Samraoui ?

Le journaliste écrit: «  S’ajoute aussi au registre des bonnes nouvelles pour Mohamed Ziane Hasseni le fait que le juge Baudoin Thouvenot ne serait plus, dans les prochaines semaines, responsable du dossier d’instruction ».

Commentaire: Le juge qui remplacera Thouvenot n’abandonnera certainement pas l’affaire. La justice française n’est pas celle de Tayeb Belaiz.

Le journaliste écrit: « S’agissant de Rachid Hassani, cadre de la Gendarmerie nationale avant de rejoindre l’ex-Sécurité militaire, dirigée alors par le général Medjdoub Lakehal Ayat, Abboud Hichem le connaît bien. Très bien même. Et pour cause, le commanditaire présumé de l’assassinat de l’avocat Mécili est son propre cousin. Il est, comme lui, natif de la ville d’Oum El Bouaghi, dans l’Est algérien. Aboud

Commentaire: Hicham connait très bien Rachid Hassani ? S’il le connaissait très bien, s’il est son cousin, pourquoi avait-il déclaré au juge en 2003 que Hassani était consul en 2002 avant de se retracter le 17 décembre 2008. «C’est Samraoui qui m’avait dit», s’est contenté de déclarer Aboud et d’ajouter qu’il n’avait pas vu Hassani depuis 1990 ! Pourtant, Aboud était en Algérie jusqu’en 1996.

Le journaliste écrit: « Contrairement à ce que d’aucuns pouvaient penser, la réactivation du dossier de l’assassinat de l’ancien ami et conseiller de Hocine Aït Ahmed au FFS n’est pas imputable à Annie Mécili, la veuve éplorée de l’ancien avocat. Elle est due à un hasard. En fait à une interview choc, accordée par Abboud Hichem, en juillet 2003 à l’hebdomadaire français le Nouvel Observateur. »

Commentaire: L’interview est parue le 14 juin 2001 et pas en juillet 2003. «C’est le capitaine Rachid Hassani qui a pris en charge cette mission (l’assassinat de Mecilià). Il venait d’arriver de la gendarmerie», affirme Aboud au N.O.  Comment l’avez-vous appris ? H. Aboud. – « C’est le capitaine Hassani qui m’en a parlé. C’était mon ami. Il est de mon patelin, pratiquement de la même tribu que moi, dans les Aurès. Hassani a pris en main l’affaire Mecili parce qu’aucun officier ne l’avait acceptée. ». Qui peut croire les propos de Aboud ? Un officier chargé d’une mission de tuer un opposant peut-il raconter avec une telle facilité les termes de sa mission ?

Par El Mouhtarem qui vous dit: Bonne année 2009. Meilleurs voeux.

Vers une issue honorable de l’affaire Mohamed Ziane Hasseni: Solution des braves

hasni.jpgPar Noureddine Khelassi, La Tribune du 31/12/2008

Fini le temps de l’attente angoissée pour Mohamed Ziane Hasseni et de l’entêtement pour le juge qui l’a mis en examen l’été dernier ? Oui, à en croire les informations au sujet de l’évolution de l’affaire du directeur du protocole et des cérémonies au ministère algérien des Affaires étrangères.  D’abord, les résultats des tests ADN subis par le diplomate algérien se seraient révélés négatifs. Le haut fonctionnaire et sa défense en auraient d’ailleurs été dûment informés par le juge parisien Baudoin Thouvenot, en charge jusqu’ici du dossier.

Ensuite, l’ex-capitaine du DRS Abboud Hichem, qui a déjà été auditionné trois fois par le même juge, en 2001 et 2002, a témoigné officiellement le 17 décembre dernier.
Son témoignage, apparemment décisif, a solidement conforté la thèse de l’homonymie imparfaite dont a été victime Mohamed Ziane Hasseni. L’ancien chef de cabinet du général Mohamed Betchine à la DGPS a affirmé de manière catégorique, sur la base de sa connaissance personnelle du diplomate et de Rachid Ziane Hassani, commanditaire présumé de l’assassinat de l’avocat français André-Ali Mécili, au mois d’avril 1987, que le premier n’est absolument pas le second. Et que, surtout, l’un et l’autre sont deux personnes bien distinctes, aux identités réellement différentes et aux carrières franchement dissemblables.

Défection du colonel Samraoui
Ce témoignage a d’autant plus sonné fort et juste que l’autre témoin clé dans l’affaire, n’a pas, lui, répondu à la convocation du magistrat français. L’ancien colonel du DRS Mohamed Samraoui, puisque c’est de lui qu’il est question, a prétexté un mandat d’arrêt international lancé contre lui par l’Algérie pour se dérober. Même si ses craintes à ce propos peuvent être réelles, son absence a bien un goût d’école buissonnière judiciaire. L’ancien bras droit du défunt général major Smaïn Lamari à la DSI du DRS avait demandé la protection de la police française avant un éventuel déplacement à Paris. Son absence a donc empêché une confrontation avec Abboud Hichem et avec Mohamed Ziane Hasseni qu’il avait affirmé avoir reconnu comme étant formellement Rachid Ziane Hasseni.

Non sans émettre, il est vrai, quelques petits doutes à ce sujet et à développer de tardifs scrupules inhérents à une accusation sans fondement réel d’un homme qui pourrait finalement s’avérer innocent. Un nouveau témoignage de ce réfugié en Allemagne, où il fut résident du DRS et correspondant officiel du BND allemand, aurait été d’autant plus utile qu’il aurait été confronté à celui de Abboud Hichem. D’autant plus important qu’il aurait été également apprécié à l’aune de sa confrontation avec Mohamed Ziane Hasseni qu’il prétend bien connaître au point de l’identifier comme étant l’ancien capitaine des services algériens, Rachid Ziane Hassani. Pourtant, Mohamed Samraoui est un témoin déterminant, surdéterminant même, étant donné que son témoignage initial a constitué le fil rouge du dossier d’accusation. Il avait même fondé la première conviction intime du juge Baudoin Thouvenot, lequel, s’y basant, avait inculpé et mis en examen et sous contrôle judiciaire Mohamed Ziane Hasseni.

S’ajoute aussi au registre des bonnes nouvelles pour Mohamed Ziane Hasseni le fait que le juge Baudoin Thouvenot ne serait plus, dans les prochaines semaines, responsable du dossier d’instruction. Selon ces mêmes informations concordantes, il serait muté dans un autre département français et serait remplacé par une juge d’instruction, présente d’ailleurs lors de l’audition de décembre 2008 du témoin Abboud Hichem. Contrairement à des informations ayant circulé à ce sujet Alger, le juge ne serait pas formellement dessaisi du dossier. Il bénéficierait plutôt d’une mutation en bonne et due forme dans une autre juridiction parisienne, précisément en région Ile-de-France.    

Lors de son audition par Baudoin Thouvenot, Abboud Hichem, extrêmement motivé pour contribuer à la manifestation de la vérité, a déclaré au juge qu’il n’y avait aucune ressemblance physique entre Hasseni et Hassani. Particulièrement affirmatif, il a indiqué au juge que la surcharge pondérale du diplomate, visible sur les photos et sur les images de la chaîne de télévision française FR3, ne pouvait pas l’induire en erreur. Ancien journaliste sportif, l’ex-officier des services algériens a affirmé au juge qu’il connaissait le premier depuis 1984. Il avait fait sa connaissance à la faveur d’un reportage réalisé pour le compte de l’hebdomadaire sportif El Hadef sur l’entreprise de BTP DNC, relevant à l’époque du ministère de l’Habitat. A cette date, Mohamed Ziane Hasseni était l’un des conseillers du ministre de tutelle, Abderrahmane Belayat. Les deux hommes, qui avaient alors beaucoup sympathisé, s’étaient revus ensuite, à plusieurs reprises, notamment pour assister à des rencontres de football.

S’agissant de Rachid Hassani, cadre de la Gendarmerie nationale avant de rejoindre l’ex-Sécurité militaire, dirigée alors par le général Medjdoub Lakehal Ayat, Abboud Hichem le connaît bien. Très bien même. Et pour cause, le commanditaire présumé de l’assassinat de l’avocat Mécili est son propre cousin. Il est, comme lui, natif de la ville d’Oum El Bouaghi, dans l’Est algérien. 

La relance de l’affaire, un hasard
Contrairement à ce que d’aucuns pouvaient penser, la réactivation du dossier de l’assassinat de l’ancien ami et conseiller de Hocine Aït Ahmed au FFS n’est pas imputable à Annie Mécili, la veuve éplorée de l’ancien avocat. Elle est due à un hasard. En fait à une interview choc, accordée par Abboud Hichem, en juillet 2003 à l’hebdomadaire français le Nouvel Observateur. Dans cet entretien, l’ex-capitaine évoquait l’affaire Mécili et accusait clairement l’ancien président Chadli Bendjedid et son directeur de cabinet de l’époque, le général Larbi Belkheir, d’avoir couvert et commandité la liquidation physique d’André-Ali Mécili.

A la suite de la diffusion de cette interview, disponible d’ailleurs sur le site de Abboud Hichem agirpourlalgerie.com, le juge Baudoin Thouvenot l’a convoqué pour qu’il s’explique sur les graves accusations proférées. Ce que le concerné fera d’ailleurs lors de deux auditions aux mois d’août 2001 et 2002, et qu’il répétera presque mot pour mot lors de son 4e témoignage devant le même juge, le 17 décembre 2008. Abboud Hichem a, par la même occasion, suggéré au juge d’interroger le colonel Mohamed Samraoui qui avait sa petite idée sur l’affaire. Convaincu, le magistrat ira en Allemagne recueillir en 2003 le témoignage de celui qui a déclaré au juge, et ensuite publiquement, qu’il a été témoin, à Skikda, l’été 1987, de la remise d’une somme de 800 000 francs français à Abdelmalek Amellou, l’assassin présumé d’André-Ali Mécili.

A cette date, Mohamed Samraoui était le représentant des services algériens à la 5e Région militaire dont relevait la région de Skikda. Il était auparavant l’un des principaux responsables des services opérationnels de la SM, remplacée en mai 1987 par la DGPS. Il avait, selon ses propres dires, assisté à la remise de ce montant à Amellou par le capitaine Rachid Ziane Hassani. D’où, du fait, son témoignage selon lequel Rachid Ziane Hassani et Mohamed Ziane Hasseni ne feraient qu’un.

Si les motivations réelles du témoin Mohamed Samraoui demeurent obscures, ses affirmations, frappées quand même du sceau du doute au sujet de l’identification de Mohamed Ziane Hasseni, sont plus que jamais sujettes à caution, car vraiment bancales. Le juge Baudoin Thouvenot, sur la base de la défection, à Paris, de Samraoui, convoqué pour témoigner à nouveau dans un cadre de confrontation, précisément le jour du témoignage contradictoire d’Abboud Hichem, pourrait réviser sa conviction intime initiale. Il pourrait même s’en forger une nouvelle, se fondant aussi sur les résultats des tests ADN et graphologiques de Mohamed Ziane Hasseni. Et l’on verrait alors que, dans cette affaire, le dupe ne serait pas forcément l’accusé.

Djamel Ferdjellah a été le mal du RCD à Béjaia

ferd.jpgLe RCD vient de comprendre que la politique de l’autruche ne rapporte rien. Il ne faut se voiler la face, Djamel Ferdjellah a été le mal du RCD à Béjaia ! Il a étouffé toutes les compétences qui auraient pu faire avancer le parti, de Arab Aouedj à Said Azamoum en passant par Madjid Amazigh, Beza Benmansour…et la liste est longue.

Souvenez-vous monsieur Djamel Ferdjellah qu’en 1992 ou 1993 vous avez exclu 12 militants cadres et membres du conseil national du parti qui avaient ce jour oser signer une pétition denonçant vos agissement? A cette époque vous aviez pu tirer votre épingle du jeu car vous étiez le bras droit de ce même Dr Sadi qui a fait de vous son Vice-président car il ignorait votre bassesse et vos coups bas.

Vous avez vidé le parti, heureusement que le président s’est rendu compte de vos complots. Tout est fini à présent et le RCD se portera mieu sans vous. Allez y au FLN c’est la bàs que vous vous sentirez mieux. Allez y sur les traces de votre père. pour le RCD le combat continue. Vive la démocratie vive l’Algérie libre et laïque.

Par Zouhir de Béjaia

Affaire Hasseni: La vérité finit toujours par surgir et elle a ses caprices

verit.bmpJe n’écris pas souvent comme j’aurai voulu, car le site malheureusement est parfois inaccessible, et puis à la longue on se lasse de rabacher la même chose. Certains par leurs attitudes désobligeantes nous amènent à être acerbes et je le regrette si j’ai donné cette impression là. La marmite est pleine et elle déborbe de choses inutiles et injustes qui me sont personnellement adressées. Le dilemme est particulièrement visible. La cassure est évidente, la nature de mes contradicteurs est aussi claire que l’eau de roche. 

En tout cas beaucoup de blogueurs confirment tout comme moi qu’ils ont lus et suffisamment jugés qui manipule et qui écrit avec sa fougue et son coeur.
Je remercie Ammisaid, Abdelkader, justice et verité pour leur prise de position.
Que dire à the kabil, taous, jazairia, mohis. Vous avez l’un derrière l’autre dit ce que vous avez à dire , en me nommant personnellement, je vous laisse à vos certitudes. Ce que j’avais à dire, je l’ai dit , à plusieurs reprises. J’ajoute toutefois ce commentaire pour vous donner du grain à moudre. Il faut bien justifier votre rôle pour ne pas dire votre mission. 

A jazairia, c’est bien volonté que je vous rencontrerai mais pas à Alger; c’est sur les hauts plateaux si cela vous conviendrait. Il faudra cependant bien vous couvrir car il fait un froid glacial, surtout le soir.
Pour revenir à cette dernière mise au point.
Vous avez des méthodes que je n’aime pas et qui me parlent plus que vos discours qui distillent le doux et l’aigre doux. Même quand vous essayez d’être gentils, vous n’arrivez pas, car votre naturel reprend le dessus. 

Quand à moi détrompez vous, je n’ai aucune stratégie vis-à-vis de vous, vous ne m’interessez pas. Je vous dis une autre bonne chose. Comment pensez-vous un instant que vous pouvez m’embarquer dans votre tactique usée. Vous avez un compte à régler avec Samraoui, peut-être avez-vous des raisons autrement plus importantes et capitales que le fait que ce dernier témoigne ou pas, mais croire que je vais vous suivre dans vos vaines tentatives vous vous trompez. Ce sont les faits qui parlent pour nous tous et non les élucubrations surtout quand elles sont tendancieuses et viciées. 

Je ne connais pas comme vous le diplomate à Paris. Comme il apparait à travers vos commentaires que vous le connaissez bien ou bien vous voulez le connaitre, je veux vous dire une dernière chose. Puisque vous affirmez, en connaissance de cause, que l’intéressé n’est pas le complice, n’est-ce-pas plus facile de lui conseiller de prouver son innocence, de dire ce qu’il sait, de faire des conférences de presse , de se montrer à la télévision et d’éviter de jouer le jeu de cache cache… Il n’a pas été bien conseillé , car s’il avait agi comme tout autre citoyen, personne n’aurait alors autant de doute sur sa personne et il aurait regagné sa famille à Marseille ou à Tolga. S’il ne peut pas agir comme un citoyen normal, alors il n’est pas un citoyen normal et dans ce cas il doit assumer. Voila c’est simple et limpide. 

La justice tranchera de toute façon avec ou sans les témoignages. Si comme vous dites vous aimez la justice, alors pourquoi ne devons-nous pas tous comme nous sommes, chercher les criminels là où ils se cachent et les dénoncer au pouvoir d’Alger et aux organisations internationales ?
En agissant ainsi, puisque ce dossier vous préoccupe au plus haut point, et vous en faites une préoccupation majeure quotidienne, de ces investigations, simples de surcroit, on ferait oeuvre utile et on finira par savoir qui ment et qui dit la vérité. 

Mais peut-être que cette suggestion n’est pas dans la logique imprimée à cette affaire.
Vous répétez souvent, que j’ai condamné tel ou tel , mais Diable ! en vertu de quoi je le ferai, qui suis- je pour vous inquiéter.
Ne vous en faites, je suis un citoyen qui ne s’empêche pas de dire tout ce que vous ne voulez pas entendre, mais je connais mes limites et je n’incrimine personne sans preuve. Et je dois dire qu’en vous lisant tous les quatre , vous me laissez aucune chance de douter de mes affirmations en ce qui vous concerne tous. L’avenir nous révélera tant de secrets gardés, dissimulés à des fins non avoués. On le saura car chacun de nous a un style , a des tournures, un vocabulaire qui sont aussi révélateurs que notre “adn”. La vérité finit toujours par surgir et elle a ses caprices, elle apparait quand on l’attend le moins et ce pour se démarquer du mensonge et des menteurs.. 

Enfin, par inadvertance en lisant un article de Benchenouf, je suis tombé sur les commentaires de the kbil et taous, je dois dire que j’étais surpris de leur teneur. Ils n’avaient pas autant d’audience qu’ici c’est le moins que l’on puisse dire.
J’ai alors fait un commentaire d’encouragement à Samraoui, et je l’assume car je le pense. J’ai donné également un avis sur ceux qui lui donne des leçons comme s’il en avait réellement besoin. J’ai dit ce que j’avais sur le coeur, car je n’aime la surenchère sur des questions de vils rancunes et de stratégèmes répondant à une sollicitation bien précise… 

Je ne joue le jeu de personne, je ne suis le maillon d’aucun clanc, je ne cherche pas à tout prix à faire taire un homme qui en sait beaucoup , pour une certaine vanité d’homme ou une concurrence qui n’a pas lieu d’exister.
Ce n’est pas une question de personne qui me préoccupe c’est un ensemble de faits et d’actes, un ensemble de délits commis qui importent et dont l’affaire Mecili n’est que le fil directeur.
Tous ceux qui veulent faire taire Samraoui ont des reproches à ce faire, et ça je le pense sincèrement.
Il y a ceux qui font de l’inquisition sous le motif de rassemblement et la brouille et qui agisse dans l’impunité la plus totale des Français et des Algériens et puis en face il y a ceux qui font l’objet d’un mandat d’arrêt international. C’est ce qui explique notre différence d’appréciation et puis il y a un tas d’autres événements connus du passé antérieur simple.
Par Mohand

Hommage des internautes au camarade Dahmane Aissat

Justice&vérite a dit: « Le peuple algérien dans sa grande majorité s’incline pour votre mémoire qui sera gravée dans nos mémoires en or ! Mr Dahmane Aissat, votre Histoire parle son propre langage, un Homme franc, courageux, juste et loyal. La nation algérienne a perdu un Fils authentique, digne et propre. Vous étiez un des poumons de ce GRAND parti démocratique, le FFS. Ce grand parti a toujours eu/formé/enfanté des Hommes et des Femmes! L’Algérie est reconnaissante ! 

Repose en Paix notre ami/frère/fils authentique de l’Algérie. Le Paradis s’ouvre aux personnes comme vous… Nous présentons á sa famille nos condoléances et que Dieu l’assiste dans ce difficile moment !Reposez-vous en paix docteur, frère et père Aissat Abderrahmane. Vous êtes toujours vivace dans notre cœur. Votre histoire propre nous guide dans le chemin que vous avez tracée pour les générations futures pour une alternative démocratique et une deuxième république. Que Dieu vous accepte dans Son Vaste Paradis que vous méritez.

Inna lillahi wa inna ilaihi raji’oune

Anti Facho/dictature/terroriste
Au bon entendeur

Salah-Eddine Sidhoum a dit:
بسم الله الرحمن الرحيم و بشّر الصابرين الذين اذا اصابتهم مصيبة قالوا انّا لله و انّا اليه راجعون اولئك عليهم صلوات من ربّهم و رحمة و اولئك هم المهتدون C’est avec stupeur et douleur que je viens d’apprendre la disparition de mon compagnon de lutte et confrère, Abderrahmane. Je tiens, en cette douloureuse occasion, à présenter mes sincères condoléances à son honorable famille, à la direction et à tous les militants du FFS et à les assurer de ma profonde sympathie.
Que le Tout-Puissant l’Accueille en Son Vaste Paradis. Amine Ya Rabi El ‘Alamines.

Votre frère Salah-Eddine SIDHOUM.
Alger.

Radjef Said a dit: « Dr Aissat était un militant de race, un militant au service d’une cause juste et non celle d’un clan. En dépit de toutes les pressions exercées sur lui pour l’entrainer dans des querelles stupides, il est resté fidèle aux idées pour lesquelles il a toujours milité,  à savoir la restauration de l’ordre démocratique et l’édification d’un d’un Etat de droit. Que les jeunes militants de la démocratie, s’inspirent de sa sagesse et de ses convictions politiques. Mes sincères condoléances à sa famille et à tous ses camarades de combat au sein du FFS. »

Aissat Abdelghani a dit: De la famille Aissat, je vous remercie sincèrement pour tous les messages de sympathie. Vos mots à propos de Dahmane sont justes. Que Dieu entende vos prières. Dahmane était pour nous le grand frère, le père spirituel, l’ami mais surtout la référence et le modèle. À chaque passage à Tazmalt, on se devait de faire un petit détour par Dahmane pour se ressourcer et se désaltérer avec ses paroles. Il avait ce don de rendre facile les choses difficiles, de dénouer les situations inextricables, de chasser de nos têtes les mauvaises pensées pour nous permettre de voir clair. Dahmane était un visionnaire qui voyait plus loin que nos pensées étroites. C’était un homme juste, en paix avec lui-même et les autres, un homme bon qui vivait en harmonie avec les hommes et la nature. Repose en paix Dah !!!

Docteur a dit: « Je l’ai croisé en1997, on s’et parlé au téléphone en2007, l’affection qui se dégageait  de sa personnalité m’a marquée. Quelle culture politique, quelle sincérité mais surtout quelle modestie. Ils sont rares les hommes que vous connaissez très peu et qui vous marquent à jamais.
Akirhame rabbi ouadifke sbar iouaraouike tsmatouthike. »

Kouider a dit: « Nous perdons un compagnon de valeur, un homme de raison et d’intelligence politique, un homme qui militait constamment, pour une Algérie libre, démocratique et fraternelle, sans faire de bruit autour de sa personne. Dahmane, repose en paix. Puisse Dieu t’accueillir en son vaste Paradis ».

Ait yahiatene a dit: « Mes condoléances pour la famille AISSAT. Nous venons de perdre un camarade de valeur, d’une vision politique extraordinaire, un compagnon de lutte et de combat pour l’instauration de la deuxième république et une Algérie libre, démocratique et indépendante. Dahmane, repose en paix. Puisse Dieu t’accueillir en son Vaste Paradis. »

Aissa Rahmoune a dit:
ببالغ الحرن أتلقى هذا النبأ المفزع , المناضل و الرجل السياسي المحنك ينتقل إلى بيت الرحمان, كم كان يود أن يعيش في جزائر حرة ديمقراطية

لى عائلته و إلى أصدقائه أتقدم بصريح التعازي أقول له, انك في قلبنا تعيش

tabtab a dit: « Je m’incline avec une grande douleur à sa mémoire. Que sa femme et ses enfants, tous ses proches , ses camarades et amis trouvent ici mes condoléances les plus sincères. J’ai eu l’honneur de le croiser au collège avec internat d’Akbou. Il était en 3ème et nous les nouveaux 6ème trouvant toujours aide et explications dans les salles d’études auprès de ce brillant élève qu’il fut. Il avait toujours le mot pour rire et le coeur gros comme ça. Je l’ai revu 10 années plus tard a l’université de Constantine où il fut un étudiant exemplaire. La dernière fois que l’ai vu c’était à la télévision lors de l’intérmède démocratique.Tout le monde se rappelle la manière odieuse avec laquelle il fut attaqué par un journaliste du quotidien public “HORIZON ” et qui se retrouve actuellement porte-parole d’un parti de la coalition. ADIEU DOCTEUR REPOSE EN PAIX »

Mohand Tahar MOHAMMEDI a dit: « On dit bien qu’une intelligence humaine c’est celle ou celui qui à une bonne MEMOIRE et bien cet instinct démocratique s’éteint certes , mais il restera une solide base de référence démocratique dans la BONNE mémoire de l’histoire de notre pays comme étant un homme simple et démocrate qui a lutté discrètement et avec force pour la consécration de la démocratie PACIFIQUEMENT. Et cela prouve qu’il suffit des choses simples et des gens qui agissent avec simplicité comme Dr Aissat pour construire des GRANDS projets POLITIQUE comme conquête de la LIBERTE.
Son charisme , sa sagesse et surtout sa simplicité seront pour nous un MESSAGE et un repère démocratique pour continuer son combat pour la DEMOCRATIE.

Amina&amin a dit:

 إن لله و إن إليه راجعون ببالغ الحرن أتلقى هذا النبأ المفزع , المناضل و الرجل السياسي المحنك ينتقل إلى بيت الرحمان, كم كان يود أن يعيش في جزائر حرة ديمقراطية إلى عائلته و إلى أصدقائه أتقدم بصريح التعازي أقول له, انك في قلبنا تعيش

algerlacitta a dit:

إن لله و إن إليه راجعون ببالغ الحرن أتلقى هذا النبأ المفزع , المناضل و الرجل السياسي المحنك ينتقل إلى بيت الرحمان, كم كان يود أن يعيش في جزائر حرة ديمقراطية إلى عائلته و إلى أصدقائه أتقدم بصريح التعازي أقول له, انك في قلبنا تعيش

Vous êtes toujours vivant chez nous.

Belaid Ait Mohand a dit: « A sa famille et à ses proches , mes sincères condoléances .Que Dieu l’accueille dans son vaste paradis. Je me rappelle quand il venait au congrès , il venait accompagné de militants arabophones qu’il a su convaincre pour adhérer au FFS .J’ai discuté avec ses militants de Constantine , j’ai été très heureux de constater qu’ils étaient très motivés et engagés pour l’idéal démocratique .Ils avaient confiance en leur frère Aissat. Repose en paix mon frère .

Ammisaid a dit: Mes condoléances sincères et fraternelles à sa famille, ses proches, ses amis et les militants du F.F.S. Que notre Seigneur l’Accueille dans Son Vaste Paradis. Amine.

Jeunesse brisee a dit: Allah yarhamou. Il était le symbole du FFS qui réflechit

Amghar Azamni a dit: « Nous venons de perdre un Homme d’une grande valeur humaine et un grand défenseur de la démocratie. Allah yarhamek Frère AISSAT. Que Dieu t’Accueille en Son Vaste Paradis.

samaritain a dit:
إن لله و إن إليه راجعون MES CONDOLÉANCES POUR LA FAMILLE AISSAT. RABBI YAATIHOUM SBAR. ALLAH YARAHMOU.

mohand arezki a dit: MES CONDOLEANCES VONT TOUT DROIT A SA FAMILE, SON PARTI LE FFS, SES AMIS ET  CAMARADES, A TOUS LES DEMOCRATES.  L’ALGERIE ET LE FFS PERDENT UN HOMME DE VALEUR….

jazairia a dit: c’est avec une immense tristesse que j’ai appris la perte de notre frère Dahmane. il n’a jamais cessé de débattre de nos problèmes politiques. fidèle à lui même, et surtout loin de tous les préjugés, il a su semer les germes de la tolérance et du débat constructif, que ce soit lors des joutes électorales, je pense notamment aux législatives, ou lors des rencontres plus privées avec les amis et la famille. il est surtout l’un des rares à ne pas mélanger les genres.il savait aini parfaitement séparer le bon grain de l’ivraie en toutes circonstances et à ceux qui s’étonnaient parfois de ses bonnes relations humainement parlant avec des confrères et consoeurs d’autres bords ou avec comme dit Belaid des arabophones, il répondait souvent ( je le paraphrase) que la langue usitée n’était pas le signe de plus ou moins d’intelligence. arabophone n’est pas synonyme de deumeuré. A contrario le maniement expert du français ne signifie pas que sn locuteur est dté d’une intelligence supérieure. c’est pour cela que nous perdons un grand homme. en cette douloureuse circonstance pour sa famille, y compris politique, je me joins à tous ceux qui ont présenté leurs sincères condoléances et prie le tout puissant d’accueillir notre frère, en son saint paradis.

إن لله وإنا إليه راجعون PS: très triste aussi la nouvelle de la disparition hier de Nna Dehbia, feue épouse de notre grand écrivain Mouloud Ferraoun. condoléances à sa fmille et à ses amis. l’enterrement a eu lieu à Tizi Hibel.

L.Sofiane (tamusni) a dit:Repose en Paix notre grand mélitant Dahmane Aissat.Je presente mes condoleances à sa famille.

m’hend a dit: A mon nom et au nom de tous les militants du ffs de Mizrana, nous présentons au FFS et à toute la famille de Aissat nos sincères condoléances et les assurent en cette pénible circonstance de notre profonde sympathie . Que Dieu le tout-puissant accorde au défunt sa sainte miséricorde et l’accueille en son vaste Paradis. ” A Dieu nous appartenons et a lui nous retournons .”

DOCTEUR BENTALEB arezki a dit: C’est avec stupeur et beaucoup de douleur que je viens d’apprendre la disparition de notre valeureux camarade de lutte et mon confrère, docteur AISSAT Abderrahmane dit «Dahmane». Dahmane était un homme d’une remarquable intelligence politique. Je tiens à présenter mes sincères condoléances à toute sa famille et à tous les militants du FFS et à les assurer de ma profonde sympathie.

Que le Tout-Puissant l’Accueille en Son Vaste Paradis. Repose en paix docteur AISSAT

Votre confrère et camarade de lutte docteur BENTALEB Arezki.

mourad menai a dit: La gloire d’un homme ce n’est jamais de ne pas tomber, mais c’est de pouvoir se relever à chaque fois tomber, et de partir les mains propres, conscience paisible en accomplissant son devoir de citoyen, de militant. Dr Aissat, vous êtes l’un des piliers de cette école ffs que vous avez construite pour nous (jeunes).nous allons être reconnaissants en empruntant votre chemin pour atteindre ce que vous avez voulu faire à cette Algérie.

Camarade,reposez-vous en paix.A DIEU nous appartenons, à lui nous reviendrons.

KADER OUCHIHA a dit: C’est avec stupeur et douleur que je viens d’apprendre la disparition de notre frère Dahmane. Je tiens, en cette douloureuse occasion, à présenter mes sincères condoléances à toute sa famille assurer de ma profonde sympathie. Que le Tout-Puissant l’Accueille en Son Vaste Paradis.

Lui il a compris le sens de la vie, ne soyez pas trop triste. La vie est une quarantaine pour le Paradis.

نرضى ونحني وما لنا إلا أن نقول: “إن لله وإنا إليه راجعو 

Mes condoléances pour la famille AISSAT. Nous venons de perdre un camarade de valeur, d’une vision politique extraordinaire, un compagnon de lutte et de combat pour l’instauration de la deuxième république et une Algérie libre, démocratique et indépendante. Dahmane, repose en paix. Puisse Dieu t’accueillir en son Vaste Paradis.

Anonyme a dit:  Allah yarahmou

Sniper a dit: « Toutes mes condoléances à sa famille. Allah yerrahmou. Puisse Dieu l’accueillir dans Son Vaste Paradis.

Algérie: l’internet par les chiffres

internet.jpgLe PDG de l’Eepad a évalué à 4,5 millions le nombre d’internautes qu’il distingue du nombre d’abonnés à l’ADSL qui se chiffre à plus de 200.000. Il existe également 6.000 cybercafés, 30 providers et quelque 3.500 sites Web. Selon le PDG de l’Eepad, l’Algérie est classée parmi les 6 premiers pays africains en pourcentages d’internautes aux côtés de l’Afrique du Sud, de l’Egypte, de la Tunisie, du Maroc et du Botswana. En Afrique du Nord, l’Algérie est derrière l’Egypte et le Maroc qui comptent respectivement 8,62 millions et 5 millions d’internautes, et devant la Tunisie (2.310.000), la Libye (1 million) et la Mauritanie (30.000). 

Larbi Belkheir, le 3ème mandat et Hicham Aboud

belkhir.jpgNous apprenons d’une source informée que le général à la retraite et ambassadeur d’Algérie au Maroc, Larbi Belkheir, a exprimé son opposition à l’amendement de l’article 74 de la Constitution permettant au président Abdelaziz Bouteflika de briguer un troisième mandat présidentiel. Une raison pour laquelle des cercles à Alger ont demandé à l’ancien capitaine Hicham Aboud de revenir à la charge pour accuser Belkheir d’être le commanditaire de l’assassinat, en avril 1987 à Paris , de l’avocat et militant Ali Mecili. Une manière, explique notre source, d’enfoncer davantage l’ancien chef de cabinet de l’ancien président de la République Chadli Bendjedid, actuellement hospitalisé à Alger. 

El Mouhtarem 

Émeutes à Berriane

chlef.jpgDes émeutes ont éclaté, dimanche en fin d’après-midi, dans cette localité, nécessitant l’intervention des forces de l’ordre. Le calme est revenu hier mais la situation demeure précaire dans cette ville qui a été le théâtre en mai dernier d’affrontements.

La ville de Berriane, daïra située à 45 km  au nord de Ghardaïa, a renoué bien que brièvement, avec la violence et ce, quelques heures après le départ du président Bouteflika qui a effectué dimanche une visite de travail et d’inspection dans cette région meurtrie par les inondations du 30 septembre passé. En effet, des escarmouches, vite transformées en échauffourées entre les deux communautés, ont failli prendre des proportions dramatiques n’était l’intervention urgente et énergique des forces de l’ordre à la rue Abderrahmane-Bahbah, au centre-ville, ainsi qu’au quartier Echouf et à Madkhal Echâaba.

Selon nos sources, tout serait parti d’un jet de pierres sur des clients attablés à une terrasse de café connu de Berriane, qui ont immédiatement riposté en lançant eux aussi des pierres sur leurs agresseurs. Ce qui a failli mettre le feu aux poudres dans cette merveilleuse cité millénaire qui a vécu des heures dramatiques en mars et mai derniers où trois personnes ont trouvé la mort par le fait de  manipulations politiciennes et l’incapacité de l’administration à faire face comme il se doit à ce genre de conflit récurrent dans cette région. Les accrochages entre les forces de l’ordre et les citoyens d’une des deux communautés ont duré jusqu’au petit matin. Aux jets de pierres des uns ont répliqué des tirs de grenades lacrymogènes des autres, provoquant l’indisposition de quelques citoyens, dont l’inhalation de gaz moutarde a nécessité le transfert au centre de soins de la ville pour des problèmes respiratoires. Des blessés légers sont aussi à déplorer. Lors de notre déplacement sur les lieux, hier matin, le calme régnait. Les forces de sécurité, déployées en grand nombre dans les quartiers à risque, sont prêtes à intervenir à la moindre alerte.

La RN1, qui traverse la ville, est ouverte à la circulation. Par ailleurs, et toujours selon nos sources, aucune arrestation n’a été opérée. “Ce n’est quand même pas normal qu’à chaque visite importante dans la région, des incidents éclatent. Nous sommes en droit de nous poser des questions sur leur auteurs”, déclare le vieux Smaïl. Et d’ajouter : “Il n’y a rien d’innocent dans ces actes. Pour moi, ils sont prémédités par des parties connues qui n’ont pas intérêt à ce que la situation se stabilise, mais Dieu les démasquera.” Source Liberté

Une justice malade

 

justic.jpgDe quelle justice on parle ? Une justice à deux vitesses pour ceux d’en haut non concernés et ceux de l’Algérie d’en bas piétinés, humiliés. L’exemple du scandale du siècle, l’affaire Khalifa où seuls les lampistes ont été sanctionnés. Visitez les tribunaux et vous verrez.  Ayant accompagné un ami accusé dans une affaire de pseudo corruption dont il a fait appel à la Cour d’Alger (Hussein-dey), arrivés dans l’enceinte de cette infrastructure impressionnante, construite par les Chinois, on a été frappé par un spectacle désolant, on se croirait à l’intérieur d’ «un Souk el fellah « . Une anarchie totale y règne!

Agglutinés devant un tableau électronique, robes noires et citoyens se bousculaient afin de connaître leur tour. A l’intérieur de la salle d’audience au RDC, on a été frappé par un ordre désordre où les gens se disputaient les places devant la passivité d’un service d’ordre totalement dépassé. Ce brouhaha a été momentanément interrompu par l’entrée de la présidente et de ses auxiliaires. Après la formule prononcée: «au nom du peuple….», elle commençait à lire certainement les décisions de justice de la semaine écoulée d’une voix à peine audible. C’est là où l’on a constaté que la sonorisation faisait défaut.

Nullement inquiétée, elle poursuivait sa lecture cachée par une pléiade d’avocats dans une atmosphère de Souk. Une fois ce rituel terminé, le bal est ouvert et les n° se succèdent et les justiciables sont appelés a la barre et au suivant comme disait la chanson. Une remarque importante s’impose: on avait l’impression que la présidente expédiait les affaires courantes, cassante, non professionnelle, non polie qui bouscule les justiciables sans ménagement, dont certains ont l’âge de son père, Elle consulte souvent son dossier faute de sa maîtrise. Elle fait semblant d’écouter et fait certaines remarques désobligeantes tout en tapant sur la table pour demander du silence au lieu d’inviter le service d’ordre présent dans la salle d’interdire l’utilisation du mobile.

Aucune sérénité, aucun savoir-faire, ni respect, même les concepts juridiques utilisés et appris àl a fac sont mal assimilés. Mon voisin était outré et considérait que ce magistrat se comportait en « femme de ménage de bas étage » tellement son niveau était bas.  Le juge a droit de vie et de mort sur la personne humaine; le calvaire du justiciable commence avec l’instruction.

Lors de la pose déjeuner, on tendait l’oreille et écouter les appréciations de tout un chacun sur la DAME JUSTICE: «il n y’a pas de justice, elle ne concerne que nous les pauvres bougres, ceux qui sont en haut ne la connaissent même pas… Mme KSENTI qui a présidée ce matin est taxée de chiffonnière . Habitant Blida donc pressée de rentrer chez elle au détriment de la qualité de justice, mauvaise, non professionnelle, non qualifiée pour être juge.  On a compris….ils sont au courant de tout, les justiciables redoutent particulièrement le mercredi et disent: «si vous avez la malchance de tomber sur le magistrat KHERCHI, vous êtes foutus..» Il semblerait que c’est une personne sans foi ni loi, surnommé par les prisonniers: le SS. Il ne préside pas un tribunal, on se croirait à la GESTAPO. Il t’envoie au trou pour un oui ou un non. Qu’attend le ministre de la justice qui dispose d’une inspection générale pour contrôler, évaluer, sanctionner les magistrats surtout ceux qui ne remplissent pas leurs missions

La justice est un service public, elle est rendue au nom du peuple algérien, gardienne des libertés individuelles et de l’État de droit, elle veille à l’application de la Loi et garantit le respect des droits de chacun, c’est à elle seule qu’il appartient de trancher, en toute neutralité, les conflits entre les personnes.

Par Nour

Abderrahmane Aïssat, un proche de Aït-Ahmed, enterré hier à Boudjellil

aissat.bmp   Abderrahmane Aïssat, un des dirigeants les plus influents du FFS, est décédé avant-hier (samedi) matin à son domicile de Tazmalt, dans la wilaya de Béjaïa.

   Après des débuts politiques dans la mouvance d’extrême gauche, notamment à Constantine où il avait fait ses études universitaires, Abderrahmane Aïssat avait rejoint le FFS pour devenir un proche de Hocine Aït-Ahmed, le président du parti, qu’il a accompagné pendant près de deux décennies.
   Discret, doté d’une solide formation politique et d’une grande culture, Aïssat avait aussi un sens de l’humour peu commun, qui lui permettait parfois de se sortir de situations délicates. Il était devenu, depuis quelques années, un dirigeant clé du FFS, tout en maintenant une grande discrétion autour de sa place dans le parti. Participant à toutes les conférences et manifestations, il apparaissait comme la cheville ouvrière du parti dans le domaine des idées et de la réflexion.
   Abderrahmane Aïssat avait choisi d’exercer à Tazmalt, près de Boudjellil, où il a été enterré hier. Ce choix l’avait maintenu dans une posture d’intellectuel provincial, qu’il affectionnait. Vivant modestement, jusqu’à la caricature, il préférait souvent se rendre à Alger, pour des réunions, par autobus. Cela donne le temps de lire, disait-il.
   Rattrapé par la maladie depuis un an, Abderrahmane Aïssat s’était peu à peu éclipsé des activités publiques, pour s’éteindre chez lui. Il était âgé de 53 ans. Il laisse une femme et trois enfants.

Par A. B. C. Le Quotidien d’Oran

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