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Archive pour le 3 décembre, 2008

La résistance pacifique; une révolution intelligente

La résistance pacifique est cette exigence de changement de ce système archaïque et son corollaire son  pouvoir autoritaire qui nous a mis hors jeu, nous divise et qui guettent toute volonté souveraine car :  

- Notre peuple exige le changement de tout le système qui le gouverne. 

- Notre peuple exige une constitution moderne émanant réellement du peuple et qui projette un développement durable.

- Notre peuple exige une gestion solidaire et équitable du pouvoir d’Etat qui prenne un soin particulier des personnes fragiles ou fragilisées et qui mette l’homme dans sa triple dimension sociale, culturelle au cœur de ses préoccupations

- Notre peuple exige le changement dans la vie politique car il existe une classe saine, loin des «affaires» de tout genre qui menacent l’émergence de la démocratie et mettent en mal le fonctionnement  de l’Etat.

- Notre peuple exige le changement dans l’administration publique actuelle politisée à outrance.

- Notre peuple exige un pouvoir législatif, qui émane de la profondeur du peuple algérien et  respecte à la lettre l’esprit des lois de
la République.

- Notre peuple exige un pouvoir exécutif qui pratique la bonne gouvernance l’esthétique politique, combat la corruption et punit.

- Notre peuple exige un pouvoir judicaire indépendant de toute tutelle politique et aura les mêmes prérogatives constitutionnelles que l’exécutif et le législatif. 

- Notre peuple exige la gestion de ces pouvoirs par des femmes et des hommes compétents, conscients et convaincus de ce que l’éthique politique qui est la condition première pour la promotion du bien commun et la croissance économique bénéfique pour tous.

La classe politique doit être en phase avec la modernité, car cette  ALGERIE chèrement acquise par nos parents et nos grands parents mérite mieux ce qu’elle est actuellement, c’est pour cette raison qu’une OBJECTIVATION et le raisonnement par intelligence des questions politiques de toutes les consciences national deviennent indispensable pour la concrétisation d’une ALLIANCE STRATEGIQUE autour d’une démarche pour la conduite de ce changement  afin de conquérir  la liberté et la concrétisation réelle d’un système démocratique, cette action sera d’un apport considérable quand au succès de ce changement qui passera certainement par une mobilisation collective ainsi de la régulation de l’espace politique tant dans nos similitudes que nos différences.

Par Mohand Tahar MOHAMMEDI

Consultant 

Mohamed Samraoui est protégé par la Convention de Genève

 

sam.jpgMonsieur A. Ouali du quotidien Liberté nous abreuve de la quintessence de son savoir, son analyse s’arrête à des répétitions de faits et à des déductions qui ne m’étonnent pas outre mesure. Ce texte n’est ni opportun ni intéressant, il a pour objectif de mettre le doigt sur une question d’ordre. De deux choses l’une : le fax qu’il a reçu n’est pas complet, il y a tout un paragraphe qui a échappé au pigiste en le reprenant, ou bien il dénote un manque flagrant de connaissance et de pratique juridique.

 

Il oublie de dire qu’un exilé politique reconnu par l’un des Etats de l’UE est protégé par la convention de Genève, convention bien sûr au-dessus des lois nationales. D’ailleurs en Espagne, c’est le jeu malsain des alliances conjoncturelles et illégales qui a fait que des personnes animées de mauvaises intentions ont voulu crée le problème au moment où les deux pays avait un différend économique. A l’évidence les choses sont rentrées dans l’ordre aussitôt que les personnalités intègres ont été alertées.

 

 

Donc dire qu’il sera arrêté en France, vous vous trompez et vous tendez un filet troué et fragile. Monsieur Pasqua n’est plus aux commandes. Et MAM n’est pas Zerhouni. Parler de confrontation c’est aussi faire preuve de manque flagrant de pratique, on confronte le témoin éventuellement à un accusé mais jamais deux témoins entre eux. Tout comme un témoin ne peut pas déposer plainte contre un autre témoin. Mais quand on est adepte de l’amalgame, de l’équivoque et de la manipulation, on se permet ce genre d’approximation et d’intoxication dans l’indifférence générale.

 

Vous participez à faire du peuple d’Algérie un peuple de je m’enfoutistes et de silencieux tellement vous les agressez et vous les condamnez. Dommage pour un si beau pays, dommage doublement aussi pour un si joli titre de presse: vous vous rendez compte, Liberté. Il n’y a pas de risque que les deux officiers soient inquiétés par la France, elle qui couvre d’ailleurs l’un des deux en lui servant une rente royale.
Mais peut-être vous vous interrogez si vous ne commettez pas une erreur tactique et si il a raison et il va le prouver que ferez vous alors?

 

 

Si vous préparez une échappatoire c’est de mauvais goût, car la situation veut que les vérités se confrontent en France, un pays des droits de l’homme. C’est ce même tribunal qui vient d’être saisi par TI France pour juger des Présidents africains voleurs de leurs peuples. Ils veulent que les avoirs des dirigeants africains en cause, retournent à leurs peuples. Peut-être un jour aussi, nous épiloguerons sur les avoirs de nos dirigeants. Alors plus ils se remueront (comme l’Ambassadeur qui s’est décidé subitement) plus ils dévoileront leurs perfidies et leurs magouilles en tout genre.

 

En attendant soyons sereins et contemplatifs de la manière dont les Français traitent les plaintes déposées par leurs compatriotes et ou tous leurs agissements concourent à dire le droit mais jamais à faire pression sur l’une au détriment de l’autre. Lorsqu’on a tout à cacher, tout se que nous disons est forcément un alibi et ou un mensonge.

 

 

Par Mohand

Hicham Aboud et Mohamed Samraoui convoqués comme témoins

sam.bmpL’audition de ce dernier risque de se révéler un vrai casse-tête pour les autorités judiciaires françaises. Surtout si une confrontation est envisagée.

Le juge français en charge de l’affaires Mecili semble vouloir accélérer ses investigations. Avant même de connaître les résultats des expertises effectuées par le diplomate Mohamed Ziane Hasseni, il a adressé des convocations aux deux ex-officiers des services de renseignement qui se sont exprimés sur le dossier. Hicham Aboud qui vit en Belgique et Mohamed Samraoui, réfugié politique en Allemagne, ont été appelés à témoigner à une date que ni l’un ni l’autre n’ont voulu communiquer. Les deux invoquent des “raisons de sécurité”.

Dans ce dossier, les deux ex-officiers soutiennent des thèses contradictoires. Si Hicham Aboud plaide pour l’innocence de M. Hasseni, le chef du protocole au ministère des Affaires étrangères est accusé par Mohamed Samraoui. L’audition de ce dernier risque de se révéler un vrai casse-tête pour les autorités judiciaires françaises. Surtout si une confrontation est envisagée. En 2003, le juge Baudoin Thouvenot avait dû faire le déplacement en Allemagne pour l’entendre après ses propos accusatoires qui ont conduit à la réactivation du dossier de l’assassinat d’Ali Mecili en 1987 à Paris. Sous le coup d’un mandat d’arrêt international délivré par la justice algérienne et diffusé via Interpol, il risque d’être arrêté en France.

C’est d’ailleurs ce mandat qui lui a valu d’être arrêté le 22 octobre 2007 en Espagne. Cet échophile se trouvait dans la ville de Benalmadena pour participer à une conférence de la Fédération internationale des jeux d’échecs. Il avait été libéré après trois jours de détention. Se rendra-t-il en France malgré ce précédent ou fera-t-il de ce risque un prétexte pour se soustraire à une éventuelle confrontation ? La question reste posée.

En tout cas, l’accusateur a déjà fragilisé son propre témoignage en désignant deux personnes différentes sous la même identité. Il a désigné comme étant Mohamed Ziane Hasseni un homme qui ne l’était pas sur des photos qui lui ont été présentées par le journal électronique Médiapart. Il s’est piégé lorsque France 3 lui a montré les images d’une autre personne qui, elle, était le véritable Hasseni. Entre les deux, il n’y avait pourtant pas de ressemblance.

Au fur et à mesure que les zones d’ombre se dissipent dans ce dossier, les canaux diplomatiques semblent reprendre de la voix. Après les propos de Mourad Medelci accusant la France de tenir en otage le diplomate, l’ambassade d’Algérie à Paris est aussi décidée à prendre sa part dans la défense de M. Hasseni. Jusque-là, elle a été trop discrète.

Par : A. OUALI/ Liberté

Zerhouni rejette la demande l’achat d’un véhicule de 250 millions à l’APW de Tizi-Ouzou

voiture.bmpPas si loin dans le temps, c’est un fait qui avait défrayé la chronique à Tizi-Ouzou et qui concernait la volonté exprimée par l’exécutif de l’APW, d’acquérir un véhicule protocolaire évalué à quelque 250 millions de centimes. La décision vient d’être annulée par le ministère de l’Intérieur lequel a rejeté la demande de l’APW. Cette dernière a adopté, hier, la décision de procéder au transfert de l’opération au programme de wilaya. La DDK

Commentaire: L’APW de Tizi-Ouzou veut s’offrir une voiture à 250 millions de centimes au moment où elle n’accorde qu’un budjet de 400 millions de centimes au secteur de la culture.

Les redresseurs du FNA désavoués par Zerhouni

moussa.jpgReçu lundi soir par Noureddine Yazid Zerhouni, ministre de l’Intérieur et des Collectivités locales, le président du FNA, Moussa Touati, a eu gain de cause. «Le ministre a affirmé que son département considère que le deuxième congrès du FNA a respecté toutes les dispositions juridiques et organiques. Il est donc légal», affirme le parti dans un communiqué rendu public hier. Le ministre a déclaré aussi que «ce qui s’est passé à Aïn Defla serait une erreur involontaire de la part de l’administration locale qui aurait été induite en erreur».

«Cette erreur sera rattrapée et n’aura aucun effet sur la situation juridique du parti», a dit le ministre de l’Intérieur à Moussa Touati.  «Nous remercions le ministère de l’Intérieur et les responsables de son ministère qui veillent à l’application de la loi», ajoute le communiqué.

Faouzi Rebaïne est candidat à la prochaine élection présidentielle

reba.jpgLe président de Ahd 54, Faouzi Rebaïne, a annoncé hier,  lors d’une conférence de presse tenue à Alger, sa décision de se présenter à l’élection présidentielle prochaine. Ali Faouzi Rebaïne dit qu’il n’est pas un lièvre, un rôle qu’il devrait jouer lors de la prochaine consultation électorale. «Je suis un opposant au système depuis 1984», a-t-il affirmé, en soutenant que «la révision de la Constitution est une violation de la volonté populaire».

«L’état d’urgence est toujours en cours, la commission de surveillance des élections a été dissoute, les médias lourds travaillent pour le pouvoir…» Rien ne plaide, pour l’instant, pour «le bon déroulement du prochain scrutin», s’inquiète le candidat de Ahd 54.

Pour rappel, Faouzi Rebaïne était candidat à l’élection présidentielle de 2004.

Session de l’APW de Tizi Ouzou: Les élus FFS claquent la porte

tiz.bmpLes élus du FFS ont claqué la porte de l’APW, hier, lors de la première journée de la session de l’assemblée de wilaya. Ils ont motivé leur décision par «le dysfonctionnement avéré de la commission des finances», a rapporté El Watan.

Le point de discorde est la subvention allouée à la direction de la culture dans le cadre du budget primitif de l’année 2009 qui a été, d’ailleurs, présenté pour adoption par les membres de l’APW. «Dans le budget primitif, le bon sens, la bienséance, le respect de l’opposition et de la démocratie auraient fait qu’au chapitre relatif à la subvention de la direction de la culture, vous auriez trouvé une somme de 8 millions de dinars au lieu de 4. Et libre à la majorité, une fois en plénière, de procéder à des correctifs», a déclaré Hocine Haroun, chef du groupe FFS à l’APW, et ce, avant d’inviter les élus de son parti à quitter la plénière.

«Nous avons décidé de quitter la salle des délibérations pour ne la rejoindre qu’après épuisement du point relatif à l’adoption du budget primitif. Nous refusons de nous déjuger pour respecter la souveraineté de la commission des finances et, par prolongement, de l’APW», a ajouté M. Haroun.

Une résistance populaire et pacifique à cette blague d’élections

resistance1.gifLe régime avec son corollaire le système mis en place nous a exclu totalement de la vie sociale et politique du pays, pour ne pas dire de notre patrie ALGERIE. Pour preuve, il vient de VIOLER la constitution en moins d’un quart d’heure sans même nous avertir alors qu’elle était  la chose la plus chère pour le peuple, qui d’ailleurs  résulte d’une insulte et d’une provocation calculées de la part des décideurs qui nous prennent pour des INDIGENES.

Aujourd’hui il n’y a pas lieu de parler en terme d’opposition, car dans la réalité nous sommes des exclus. Parler en terme d’opposition politique cela suppose que nous sommes  un contre pouvoir sous l’angle d’un autre projet politique ou de société. Malheureusement ce n’est pas le cas ! Il s’agit d’une question de survie,  car nous sommes des EXCLUS de ce système, dés lors qu’il faut agir dans le but d’exclure ce système qui nous a exclu et appeler non pas à un boycott politique mais à une  RESISTANCE PACIFIQUE contre cette blague d’élections qui en réalité sont UN élément dans la démocratie qui ont bien sûr leur importance mais pas tous les systèmes démocratiques.

D’ailleurs le régime à défaut d’un contrôle populaire sur ces élections, il se sert pour se maintenir au pouvoir et gagner une crédibilité internationale. Le régime ignore totalement notre réalité et regarde avant tout ses intérêt matériels. Une opposition à cet OSCTRASCISME et Une OBJECTIVATION politique de toutes les forces au sein de la société algérienne est indispensable à même de planifier et d’organiser cette résistance pacifique, pour réussir ensemble le changement démocratique tant souhaité par le peuple algérien.

Par Ouamar Amour 

La vérité entre intérêt national et intérêt clanique

chadli.jpgHier c’était le sénateur Mahdad, aujourd’hui c’est Dr Benchoufi. Les cellules dormantes commencent à se réveiller. La riposte, du premier, contre le général Benyeles, était sous forme d’attaque personnelle virulente et indécente qui n’a rien à voir avec le débat politique ou la confrontation des idées sur le bilan des deux derniers mandats de M. Bouteflika et la pertinence de son troisième. Les révélations, du deuxième pion, portées subitement à la connaissance de l’opinion publique visent Chadli Benjedid en premier lieu.

Assortiment de cette charge avec le dossier Benloucif est là comme moyen camouflé de crédibilisation à cette machination. Le contexte politique fait instinctivement reléguer le dossier Benloucif au second plan.
La machine de propagande, d’intoxication et de lynchage, mise sur pied par et pour la junte militaire, va donc maintenant dépoussiérer pour nous de vieux dossiers, difficilement vérifiables, pour salir la personnalité de l’ex-président qui a osé défendre sa propre vision sur la nature idéale du système politique algérien. Chadli Benjedid n’a pas les mains très propres, mais lui faire un début de procès, après son intervention sur la Constitution, montre que l’intérêt du pays est négociable pour ceux qui sont censés le défendre corps et âme, coûte que coûte.

Ces “révélations compromettantes” pourraient se traduire comme un simple coup de semonce pour la personne visée. Mais il peut s’agir aussi d’une démarche définitive et coercitive, contre les troublions qui oseront mettre en cause la sainteté et la clairvoyance de fakhamatouhou. Peut-être qu’on va assister à un autre feuilleton passionnel et passionnant. À défaut de faire de la politique, le régime réussira à attirer notre intention avec son théâtre ubuesque…Et celui-ci risque de faire un tabac. Le livre de Benjedid promet d’être un best-seller algérien. Wait and see.

Peut-être, le docteur Benchoufi- docteur cela fait plus sérieux qu’un bougre sans titre – dit vrai. Il assumera ses révélations plus tard devant l’opinion publique et devant l’Histoire qui le jugera. Les historiens et les spécialistes de l’Algérie non intéressés par les responsabilités ne manquent pas. Ils lui donneront la place qu’il mérite. Mais d’ores et déjà le fait que ce monsieur se manifeste maintenant avec de telles charges, juste après que Chadli Benjedid s’est ouvertement mis en porte-à-faux contre la main mise de Bouteflika sur le Pouvoir, cela fragilise sa crédibilité et ne l’honore pas du tout.

Ce comportement est propre à beaucoup d’Algériens qui ont fréquenté le pouvoir. Ils ont été témoins de corruptions, d’injustices et autres saletés, mais ils ont lâchement gardé le silence. Souvent, les prétextes de la stabilité et l’unité de la Nation leur serviront temporairement de mobile à leur couardise. L’Algérie est chaque fois sacrifiée sur l’autel de sa grandeur, de son Histoire glorieuse et son unité. Le peuple a besoin d’hommes politiques braves qui n’abdiquent pas, tel Boudiaf, aux menaces ni à l’intimidation. Des hommes et des femmes pragmatiques, la tête haute et les pieds par terre; n’hésitant pas à tout sacrifier pour l’amour de la patrie.

Les témoignages caustiques trop tardifs pour être sincères et trop attentatoires pour être neutres sont à prendre avec beaucoup de précautions. Leur dessein cabalistique ne sert pas l’Algérie, mais uniquement des intérêts claniques et ponctuels. Une fois la cible atteinte, le témoin et toute son “affaire” plongeront de nouveau dans le néant de l’oubli jusqu’à ce qu’une autre génération du DRS ou son héritier aurait besoin d’eux. C’est la façon du DRS de décrédibiliser ses ennemis et les opposants au régime politique algérien.

Ce mode opératoire bien rodé, fonctionne sans discernement et sans aucune sensibilité. Les anciens qui ont bénéficié de ses “bienfaits” (Chadli, Belloucif, Merbah, etc. ) ont goûté ou goûtent à présent son abomination. S’il n’y a pas une redéfinition nationaliste et patriotique de cette structure militaire pour la mettre au service de la Nation seulement, ses prochaines victimes seront celles qui aujourd’hui se trouvent sous sa protection même si on a fait partie de la maison ou même on a atteint le rang de président à vie…

Par Sniper

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