Vers une issue honorable de l’affaire Mohamed Ziane Hasseni: Solution des braves
Par Noureddine Khelassi, La Tribune du 31/12/2008
Fini le temps de l’attente angoissée pour Mohamed Ziane Hasseni et de l’entêtement pour le juge qui l’a mis en examen l’été dernier ? Oui, à en croire les informations au sujet de l’évolution de l’affaire du directeur du protocole et des cérémonies au ministère algérien des Affaires étrangères. D’abord, les résultats des tests ADN subis par le diplomate algérien se seraient révélés négatifs. Le haut fonctionnaire et sa défense en auraient d’ailleurs été dûment informés par le juge parisien Baudoin Thouvenot, en charge jusqu’ici du dossier.
Ensuite, l’ex-capitaine du DRS Abboud Hichem, qui a déjà été auditionné trois fois par le même juge, en 2001 et 2002, a témoigné officiellement le 17 décembre dernier.
Son témoignage, apparemment décisif, a solidement conforté la thèse de l’homonymie imparfaite dont a été victime Mohamed Ziane Hasseni. L’ancien chef de cabinet du général Mohamed Betchine à la DGPS a affirmé de manière catégorique, sur la base de sa connaissance personnelle du diplomate et de Rachid Ziane Hassani, commanditaire présumé de l’assassinat de l’avocat français André-Ali Mécili, au mois d’avril 1987, que le premier n’est absolument pas le second. Et que, surtout, l’un et l’autre sont deux personnes bien distinctes, aux identités réellement différentes et aux carrières franchement dissemblables.
Défection du colonel Samraoui
Ce témoignage a d’autant plus sonné fort et juste que l’autre témoin clé dans l’affaire, n’a pas, lui, répondu à la convocation du magistrat français. L’ancien colonel du DRS Mohamed Samraoui, puisque c’est de lui qu’il est question, a prétexté un mandat d’arrêt international lancé contre lui par l’Algérie pour se dérober. Même si ses craintes à ce propos peuvent être réelles, son absence a bien un goût d’école buissonnière judiciaire. L’ancien bras droit du défunt général major Smaïn Lamari à la DSI du DRS avait demandé la protection de la police française avant un éventuel déplacement à Paris. Son absence a donc empêché une confrontation avec Abboud Hichem et avec Mohamed Ziane Hasseni qu’il avait affirmé avoir reconnu comme étant formellement Rachid Ziane Hasseni.
Non sans émettre, il est vrai, quelques petits doutes à ce sujet et à développer de tardifs scrupules inhérents à une accusation sans fondement réel d’un homme qui pourrait finalement s’avérer innocent. Un nouveau témoignage de ce réfugié en Allemagne, où il fut résident du DRS et correspondant officiel du BND allemand, aurait été d’autant plus utile qu’il aurait été confronté à celui de Abboud Hichem. D’autant plus important qu’il aurait été également apprécié à l’aune de sa confrontation avec Mohamed Ziane Hasseni qu’il prétend bien connaître au point de l’identifier comme étant l’ancien capitaine des services algériens, Rachid Ziane Hassani. Pourtant, Mohamed Samraoui est un témoin déterminant, surdéterminant même, étant donné que son témoignage initial a constitué le fil rouge du dossier d’accusation. Il avait même fondé la première conviction intime du juge Baudoin Thouvenot, lequel, s’y basant, avait inculpé et mis en examen et sous contrôle judiciaire Mohamed Ziane Hasseni.
S’ajoute aussi au registre des bonnes nouvelles pour Mohamed Ziane Hasseni le fait que le juge Baudoin Thouvenot ne serait plus, dans les prochaines semaines, responsable du dossier d’instruction. Selon ces mêmes informations concordantes, il serait muté dans un autre département français et serait remplacé par une juge d’instruction, présente d’ailleurs lors de l’audition de décembre 2008 du témoin Abboud Hichem. Contrairement à des informations ayant circulé à ce sujet Alger, le juge ne serait pas formellement dessaisi du dossier. Il bénéficierait plutôt d’une mutation en bonne et due forme dans une autre juridiction parisienne, précisément en région Ile-de-France.
Lors de son audition par Baudoin Thouvenot, Abboud Hichem, extrêmement motivé pour contribuer à la manifestation de la vérité, a déclaré au juge qu’il n’y avait aucune ressemblance physique entre Hasseni et Hassani. Particulièrement affirmatif, il a indiqué au juge que la surcharge pondérale du diplomate, visible sur les photos et sur les images de la chaîne de télévision française FR3, ne pouvait pas l’induire en erreur. Ancien journaliste sportif, l’ex-officier des services algériens a affirmé au juge qu’il connaissait le premier depuis 1984. Il avait fait sa connaissance à la faveur d’un reportage réalisé pour le compte de l’hebdomadaire sportif El Hadef sur l’entreprise de BTP DNC, relevant à l’époque du ministère de l’Habitat. A cette date, Mohamed Ziane Hasseni était l’un des conseillers du ministre de tutelle, Abderrahmane Belayat. Les deux hommes, qui avaient alors beaucoup sympathisé, s’étaient revus ensuite, à plusieurs reprises, notamment pour assister à des rencontres de football.
S’agissant de Rachid Hassani, cadre de la Gendarmerie nationale avant de rejoindre l’ex-Sécurité militaire, dirigée alors par le général Medjdoub Lakehal Ayat, Abboud Hichem le connaît bien. Très bien même. Et pour cause, le commanditaire présumé de l’assassinat de l’avocat Mécili est son propre cousin. Il est, comme lui, natif de la ville d’Oum El Bouaghi, dans l’Est algérien.
La relance de l’affaire, un hasard
Contrairement à ce que d’aucuns pouvaient penser, la réactivation du dossier de l’assassinat de l’ancien ami et conseiller de Hocine Aït Ahmed au FFS n’est pas imputable à Annie Mécili, la veuve éplorée de l’ancien avocat. Elle est due à un hasard. En fait à une interview choc, accordée par Abboud Hichem, en juillet 2003 à l’hebdomadaire français le Nouvel Observateur. Dans cet entretien, l’ex-capitaine évoquait l’affaire Mécili et accusait clairement l’ancien président Chadli Bendjedid et son directeur de cabinet de l’époque, le général Larbi Belkheir, d’avoir couvert et commandité la liquidation physique d’André-Ali Mécili.
A la suite de la diffusion de cette interview, disponible d’ailleurs sur le site de Abboud Hichem agirpourlalgerie.com, le juge Baudoin Thouvenot l’a convoqué pour qu’il s’explique sur les graves accusations proférées. Ce que le concerné fera d’ailleurs lors de deux auditions aux mois d’août 2001 et 2002, et qu’il répétera presque mot pour mot lors de son 4e témoignage devant le même juge, le 17 décembre 2008. Abboud Hichem a, par la même occasion, suggéré au juge d’interroger le colonel Mohamed Samraoui qui avait sa petite idée sur l’affaire. Convaincu, le magistrat ira en Allemagne recueillir en 2003 le témoignage de celui qui a déclaré au juge, et ensuite publiquement, qu’il a été témoin, à Skikda, l’été 1987, de la remise d’une somme de 800 000 francs français à Abdelmalek Amellou, l’assassin présumé d’André-Ali Mécili.
A cette date, Mohamed Samraoui était le représentant des services algériens à la 5e Région militaire dont relevait la région de Skikda. Il était auparavant l’un des principaux responsables des services opérationnels de la SM, remplacée en mai 1987 par la DGPS. Il avait, selon ses propres dires, assisté à la remise de ce montant à Amellou par le capitaine Rachid Ziane Hassani. D’où, du fait, son témoignage selon lequel Rachid Ziane Hassani et Mohamed Ziane Hasseni ne feraient qu’un.
Si les motivations réelles du témoin Mohamed Samraoui demeurent obscures, ses affirmations, frappées quand même du sceau du doute au sujet de l’identification de Mohamed Ziane Hasseni, sont plus que jamais sujettes à caution, car vraiment bancales. Le juge Baudoin Thouvenot, sur la base de la défection, à Paris, de Samraoui, convoqué pour témoigner à nouveau dans un cadre de confrontation, précisément le jour du témoignage contradictoire d’Abboud Hichem, pourrait réviser sa conviction intime initiale. Il pourrait même s’en forger une nouvelle, se fondant aussi sur les résultats des tests ADN et graphologiques de Mohamed Ziane Hasseni. Et l’on verrait alors que, dans cette affaire, le dupe ne serait pas forcément l’accusé.
Petites pensées gentilles entre copains, échange élégant de voeux de fin d’année. Courage HASSENI tient bon, on arrive…
En fait la seule bonne nouvelle qui aurait dû lui être communiquée est que la visite d’état qu’avait annoncée Kakhamatouhou avant la fin de l’année 2008, a été annulée insidieusement. Cela veut dire qu’on sort déjà le grand jeu. Le train des représailles est en marche. Que le pouvoir va essayé de l’en sortir par tous les moyens ; il pense y arriver même si HASSENI est coupable.
On dira surtout s’il est coupable.
A lire ce khelassi, on dirait qu’il a consulté le dossier d’instruction, même s’il prend la précaution d’usage d’utiliser le conditionnel, c’est assez osé de parler de choses dont il ne peut connaitre les tenants et aboutissants car couverts par le secret de l’instruction. Elle décrit une face de la pièce, il ne parle pas du revers. Pour informer il faut les deux, et puis on voit boit bien la direction qu’il prend en parlant d’un chef de cabinet du betchine (pendant trois mois) qui l’a connu car c’est son cousin , il l’a recueilli ses confidences en 1986 bien avant l’assassinat. Mais c’est bien après qu’il parle et qu’on veut faire de lui un justicier. Même Madame Mecili n’y est pour rien dans l’affaire comble de l’ironie. Ce genre d’article on en a vu beaucoup ces derniers temps, il ne modifie en rien notre conviction et notre désir est toujours intact de voir défiler au tribunal les commanditaires, les complices et les assassins.
Comme les autres il ne dit rien de la victime, comme tout ses semblables. Hchouma aalikoum bande de brosseurs, et ça s’appelle journaliste toz et toz.
c’est du n’importe quoi.c’est peut-etre le cadeau du nouvel an garni d’un poison d’avril offert par le regime d’alger a son vallet mohamed ziane hasseni alias rachid hassani.vous croyez vraiment que notre diplomate est innocent?moi je crois plutot qu’il est le veritable rachid hassani assassin de maitre mecili.et le juge thouvenot a lance un mandat d’arret contre lui et il l’a arrete cela ferra presque six mois et il ne l’a pas relache,et il ne le relachera pas parcequ’il est coupable .bonjour les assises.
Nom de Dieu en fin2m8,
que de bavures de la part de ce iste Noureddine Khelassi de laTribune.
Sa conjugaison du verbe, le conditionnel puis ses mensonges avec les dates de certains faits pourtant verifiables dans la toile, il suffit de taper le nom et BANG BOUM vous avez en face tout sur ce que vous cherchez…
Dieu merci, ces istes s’auto-devoilent parcequ’ils lechent trop les botillons alors ils n’arivent pas á penser clairement ou bien ils sont des IGNORANTS sur toute la ligne et c’est justement le visage de la vraie presse sous les BOTTES … autoriser d’exister actuellement en algerie parcequ’elle est serviable sous le controle du drs.
Alors que le juge n’avait rien divulgué sur les resultats de quoique ce soit, les istes d’alger savent tout !!!
Aucun media francais n’a parlé de cette mutation imaginaire du juge Thouvenot mais alger connait tous les secrets du monde !!!
TROP DE MALADRESSES D’ALGER CE QUI ENFONCE DAVANTAGE CE diplo-MATE/ECHEC.
NOUS SOMMES CONVAINCUS QUE C’EST LE BON!
Quiconque peut dire nous avons lu quelque part et d’apres une source bien proche du dossier, LES TESTS ADN SONT POSITIFS!
IL Y’A UNE SEULE VERITE ENTOURÉE DE PLUSIEURS MENSONGES DANFGEREUX POUR TOUTE L’HUMANITE!
Franchement il serait plus serieux que ce iste nous parle de Ameyar
Kheireddine s’en va » : ces simples mots, barrant la Une de la Tribune d’Alger de ce samedi 10 juin, disent tout à la fois la stupeur, la peine et le dénuement des confrères de Kheireddine Ameyar.
Le directeur de la publication du journal qu’il avait fondé en 1994 s’est suicidé, dans la nuit de jeudi à vendredi, à son domicile de la résidence de Club des Pins à Alger. A 55 ans, cet homme marié et père de deux enfants était l’une des grandes figures de la presse algérienne, sur laquelle il pesait de tout le poids d’une personnalité tranchée, de fortes convictions et d’un incontestable talent de plume
Dans El Watan, A. Bahmane pense que Ameyar » a choisi la mort, non par tragique rupture existentielle, mais parce qu’il refusait l’ascension de la banalité et le douloureux désespoir qui ont étreint, jusqu’à l’étouffement, son pays qu’il chérissait et son métier qu’il adorait. (…) Redoutait-il les nuages qui s’amoncellent à l’horizon ? Ou cherchait-il à attirer l’attention des décideurs ? »
http://www.afrik.com/article386.html
http://www.cpj.org/attacks96/countries/middleast/cases/algeriacensor.html
http://www.cpj.org/attacks96/countries/middleast/cases/algeriaimprison.html
Nous allons rappeler á ce lecheur fin2m8 des botillons ce Nou-redine Khelas-si de ce qui reste de la tribune d’Ameyar (liquidé oar un general á club-des-pins) mais porté sur la liste de suicide!!!
Un journal algérien interdit trouve asile sur le Web
Canoë
01/10/1996 16h23
Le quotidien algérien La Tribune, qui avait été suspendu pour six mois, le 3 septembre dernier, pourra reparaître en partie sur Internet grâce à l’organisation Reporters sans frontières, qui lui a donné asile sur son site hier.
L’affaire avait été déclenchée le 2 juillet dernier, quand La Tribune avait publié une caricature représentant deux passants dans une rue pavoisée aux couleurs algériennes. Le premier demande : «C’est pour le 5 juillet ?» (fête de l’indépendance algérienne) «Non, ils étendent le linge sale !», répond le second.
Outre la suspension du journal, cette satire a entraîné l’emprisonnement du caricaturiste Chawki Amari, qui vient d’être condamné à trois ans de prison avec sursis, tandis que le directeur du journal, Khaireddine Ameyar, s’est vu infliger une peine d’un an de prison avec sursis.
«En ne comptant pas les journaux qui ont été suspendus pour ne plus jamais reparaître, commente RsF, la durée de la suspension constitue un record national. Autre triste record, c’est la première fois qu’un journal algérien est suspendu pour un dessin. Troisième record, c’est la première fois qu’un caricaturiste algérien passe par la prison. Quatrième record, c’est la première fois qu’un rédacteur en chef, Baya Gacemi, est sanctionné pour complicité (six mois avec sursis), alors que le code de l’information algérien stipule que seuls le directeur de la publication et le responsable de l’article incriminé sont passibles de poursuites.»
Pour déjouer la censure d’Alger, Reporters sans frontières met donc une partie de son site à la disposition des journalistes de La Tribune. Et c’est ainsi qu’Internet devient un instrument puissant de liberté d’expression dans le monde. Voir le texte de Chawki Amari.
http://www2.canoe.com/techno/nouvelles/archives/1996/10/19961001-162327.html
Nous detenons vos actes/faits/documents criminels, vous avez vos mensonges criminels … tot ou tard la justice vous prendra et nous sommes en route deja….
Bonne année 2m9 aux etres sinceres
anti fachos/dictatures/terroristes
Au bon entendeur
Allez, on s’y met tous car au point ou nous en sommes, et ou tout, ou presque, a été dit, nous avons certes tendance à tous nous répéter, aussi est-il bon de désormais décortiquer les faits afin d’affiner notre démarche et de progresser vers la seule issue qui vqille: celle qui verra triompher la vérité et les coupables payer.
Voici donc un coupé collé des plus intéressants, histoire de donner du grain à moudre aux supporters de M. Samraoui :
Extraits de l’article de Fabrice Arfi, Mediapart.fr, 28.8.08 :
Il ne lui aura fallu que quelques secondes pour reconnaître le visage du suspect. «C’est lui, sans le moindre doute possible», a lâché l’ancien agent secret en regardant les photos que nous lui avons présentées. Le colonel Mohammed Samraoui est aujourd’hui en mesure d’affirmer à Mediapart que Mohamed Ziane Hasseni, le diplomate algérien arrêté le 14 août à Marseille, est bien la personne qui a commandité l’assassinat, en avril 1987 à Paris, de l’opposant au régime d’Alger André Ali Mecili.
Nous avons rencontré Mohammed Samraoui, dimanche 24 août, quelque part en Allemagne.Lors de notre rencontre, Mediapart a présenté à Mohammed Samraoui deux clichés de visites diplomatiques de ministres étrangers en Algérie sur lesquels figurent, en second plan, ledit Mohamed Ziane Hasseni, que des sources très bien informées nous ont aidés à identifier. La première photo a été prise le 15 novembre 2006.La seconde est beaucoup plus récente. Elle date du 9 juillet 2008.
Au premier coup d’œil, le colonel Samraoui a identifié formellement l’homme au second plan, lunettes, petite moustache, grande carrure (photo), comme étant le capitaine Rachid Hassani qui a remis l’argent de l’assassinat au tueur à l’été 1987.
Sauf que vite confondu et pris la main dans le sac, notre temoin national, sans meme transpirer comme on dit chez nous, essaie de craner et de sauver la face et déclare,le 11 septembre 2008 : « Alors chiche, que le journaleux de service nous dise quel est le nom de cette personne ; ou mieux encore que cette personne se manifeste et le doute est levé et j´accepterai volontiers d´être considéré comme un menteur. ».
Nous savons depuis qui est cette fameuse personne, de même qu’elle s’est manifestée.
Menteur, mon oeil! ce serait trop facile. Faux témoignage? yes, indeed, definitly.
mais ils sont completement sauvage impolis ce drs et cie…
attention freres et soeurs
ne tombez pas dans leur piege de mal-eduqué
soyons posés et confrontons-les par des arguments leurs actes et faits et mensonges et crimes humanitaires qui sont deja repertoriés pour le futur TPI/CPI qui se dessinent doucement mais surement.
Vous savez que les crimes humanitaires sont imprescriptibles!
Ils sont attendus dans un virage…
Il n’y a que les salopards malades criminels et assassins qui insultent les Hommes propres
Ces mesquins assassins n’atteignent meme pas le niveau des pieds du doc. Hocine Ait-Ahmed.
« La volonté de paix crée une dynamique de réconciliation qui impose d’elle même les garanties que chacun doit donner aux autres. Et que tous doivent donner à chacun ».
Hocine Ait Ahmed 1999
http://www.geocities.com/hocine_ait_ahmed/
Bonne année aux sinceres de ce blogg
Amicalement tendre!
Rachid et Argaz,
Je suis consternée par vos interventions: oui, toutes les deux car autant le dénommé Rachid aurait du s’abstenir de faire son commentaire minable et de s’en prendre à sidou. Autant, toi ya khoya Argaz tu aurais du éviter de preter le flanc. Ne réponds pas à ce type de provocations, surtout quand ça vient de si bas. Ignore les,car seul le mépris doit répondre à ce type d’outrages.
Sur ce site, Dieu sait que nous ne sommes pas très souvent d’accord et qu’il nous est arrivé de nous laisser un petit peu aller mais nous n’avons jamais attteint ce niveau lamentable, ce dont je me réjouis évidement.
Alors, Rachid, dites ce que vous avez à dire en argumentant et de façon civilisée: en un mot talar enniveau, et toi Argaz tache d’avoir plus de maitrise et de rendre coup pour coup avec classe et sans te laisser entrainer dans la vulgarité à laquelle malheureusement, time to time, nous sommes confrontés sur ce site; et crois moi, nous les femmes plus que d’autres.
HAPPY NEW YEAR AND ALL THE BEST.
@ georges,
si vous êtes si sur de vous, allez donc témoigner chez le juge avec vos preuves. vous savez quoi, vous êtes pitoyable. j’ai déjà dit à certains de ne plus polluer cet espace si leurs seuls desseins est d’agresser le diplomate pour je ne sais quelles raisons obscures ou plutôt si pour l’unique raison de lui porter un coup au moral. alors georges, je te tutois, Hasseni ne t’a rien fait il n’est pas responsable de ta position misérable. c’est vrai tu mérites mieux mais y a pire que toi n’est ce pas?
si vous lisez bien les écrits d’El Mouhtarem, de Mohand, de Sniper, notamment, car j’exclus les nombreux siamois dont la spécialité consiste à mentir effrontément et à prendre les autres bloggeurs pour des débiles mentaux: CAR LES TESTS ADN SONT DEFINITIVEMENT NEGATIFS ET PERSONNELLEMENT JE M’EN REJOUIS)
si vous lisez bien vous verrez qu’ils n’affirment pas que le diplomate est Hassani,ils soutiennent Semraoui qui dit que Rachid Hassani, un militaire de carrière, est complice car il est témoin de la remise du montant remis au tueur à Skikda. ce faisant l’ex colonel fait preuve d’un grand courage car reconnaître qu’on est complice d’un meurtre c’est s’exposer avec certitude à une condamnation. Semraoui comme le rappelle à juste titre notre soeur Taous, a reconnu immédiatement Hassani sur les photos que lui ont présentées les journalistes de médiapart.
» Au premier coup d’œil, le colonel Samraoui a identifié formellement l’homme au second plan, lunettes, petite moustache, grande carrure (photo), comme étant le capitaine Rachid Hassani qui a remis l’argent de l’assassinat au tueur à l’été 1987. »
manque de bol pour lui, le monsieur aux lunettes et à la petite moustache s’est révélé être l’ambassadeur à Belgrade. que son excellentissime me pardonne de le citer si souvent, mais c’est que notre Zero National a fait là la bourde du siècle. car non seulement cet ambassadeur n’est pas Hassani mais qu’en plus il ne ressemble même pas à son collègue, M. Hasseni.
alors évidemment, Semraoui depuis a eu ces mots révélateurs de sa moralité: ce n’était qu’une interview,rien de plus. sous entendu le khorti est permis. ce n’était pas une audition juridique donc ces mensonges et omissions ces erreurs et tentatives de manipulation ne sont pas prises en considération par le juge d’instruction, comme l’a rappelé fort opportunément l’ex colonel.
allah yestarna wa yahfedna des menteurs.
@ El Mouhtarem
mea culpa, je reconnais que vous êtes plus courtois que je ne le pensais.
Oj Oj Oj cette spa-drs, é é we’re 2t9!
wakeup – standup – eKker – debout …
Plus vous jouez au juge et plus vous transportez en « limo » votre Hass-(A/E)-ni tout droit aux assises (tribunal penal).
Vous vous contre-disez souvent sans vous rendre compte,
vos ecrits/signatures/interventions sont passés chez notre detective á la loupe, vous vous tenez/accrocher souvent sur une epine qui ne tient pas mais se casse souvent.
crik – plop!
Nom de Dieu
-du jour au lendemain, vous etes au courant du dossier plus que le juge Thouvenot qui a mis des années de job,…
VOUS SAVEZ/CONNAISSEZ LE VRAI ALORS!!!!
-pourquoi ne pas le presenter VOTRE vrai assassin/commanditaire au juge puisuqe vous insistez de cette erreur?
Vous savez qu’il n’y a pas SEULEMENT 2 temoins dans ce TERRIBLE crime humanitaire qui avait ravagé le reve d’une famille de grandir le plus normalement du monde avec un pere et une mere á coté…
plein d’amour!
CE REVE NORMAL A ETE BRISÉ PAR UN COMMANDITAIRE (actuellement INCULPé) ET UN CRIMINEL (protégé toujours par un regime aSSaSSin d’alger).
QU’ATTEND ALGER POUR REMETTRE LES COUPABLES ET METTRE FIN AUX CRIMES HUMANITAIRES/POLITIQUES ET AUTRES…
Tendrement votre.
Les dernières interventions et la cabale contre jazairia, qui, cela étant dit, s’en tire comme une grande, nous éloigne du sujet. C’est de la diversion savamment orchestrée avec une division du travail et une répartition des rôles qui, en définitive, renseigne sur qui est qui et qui tente de liquider qui.
Mais, revenons à nos moutons et, au stade actuel de l’instruction, il importe d’avoir présent à l’esprit les faits suivants, qui pèseront lourd dans la décision finale du juge:
Il est, aujourd’hui manifeste que le minable subterfuge qui a consiste à susciter une méprise homonymique, pour au moins deux raisons sur lesquelles je reviendrai ultérieurement, est éventé.
D’abord, sur le mandat d’arrêt lancé, on recherche un dénommé Hasseni ou Hacini, avec la même date de naissance que l’authentique Mohamed Ziane, mais que l’on fait naître à Oum El-Bouaghi, alors qu’il est né à Tolga. L’incohérence de ce libellé est inadmissible car, en droit pénal, le doute profite toujours à la personne mise en examen.
Ainsi que justement pointé par la défense il s’agit toujours de comprendre comment de Rachid Hassani on en est arrivé à Mohamed Ziane Hasseni. Des investigations ont prouvé que Mohamed Ziane Hasseni n’était pas à Bonn en 1987 mais en fonction a Alger. Qu’il avait effectivement exercé des responsabilités consulaires a l’étranger mais pas aux dates indiquées par son accusateur. Et qu’il n’avait jamais été en poste à Bamako, au Mali.
Ces recherches établissent sans l’ombre d’un doute l’existence de deux personnes distinctes. D’une part, le capitaine Rachid hassani qui a occupé un poste au Mali et qui est a un âge relativement avancé puisqu’il est a la retraite depuis quelques années et qui serait souffrant. D’autre part,Mohamed Ziane Hasseni, qui a toujours exercé au sein de la fonction publique, qui a été consul général en Allemagne mais n’a jamais exercé au Mali. Les autorités compétentes de ces deux pays le savent bien, elles qui disposent de l’identité complète des diplomates ayant exercé chez elles, y compris des photographies. Il est certain, a cet égard, que le juge Thouvenot, magistrat au professionnalisme et a la rigueur notoires, a certainement du procéder aux investigations nécessaires.
S’agissant de l’identification de Mohamed Ziane Hasseni, un document déterminant a été soumis au magistrat instructeur: un vieux livret de famille du père du mis en examen qui détaille toute la filiation des enfants Hasseni.
Rappelons, en outre, que le procureur de la République ne s’est pas associé au mandat d’arrêt et qu’il n’appuie pas la démarche en cours.
Le seul témoin a charge, Mohamed Samraoui, s’est totalement discrédité en identifiant deux personnes différentes, c’est à dire une personne + une autre personne chose, paradoxalement présentées toutes deux comme le capitaine Rachid hassani, qu’il semble vouloir protéger a tout prix car si ce dernier tombe, le rôle de l’accusateur sera dévoilé.
Mohamed Ziane hasseni s’est soumis au test ADN et aux expertises graphologiques, mais, ainsi que souligné avec pertinence par certains d’entre nous, avec quoi son ADN a-t-il été comparé ?
A cela s’ajoute le récent témoignage, totalement a décharge, du premier temoin, et l’absence de l’accusateur.
Additionnés, ces éléments d’importance débouchent sur un seul constat : l’innocence du mis en examen, Mohamed Ziane hasseni, qu’un esprit retors et revanchard a cru bon de mêler a une sale histoire qui le tourmentera sa vie durant du fait du rôle alors joué et de l’absence manifeste de remords, encore aujourd’hui.
boutef et sa bande au pouvoir tous d’anciens criminels et ont tous participé
au crime organisé (politique et autre) de près et de loin.
ce qui explique pourquoi ils refusent toujours de livrer les criminels à la justice.
la justice n’existe pas en algerie et dans tous les pays arbobaatistes.
mais la france a les moyens de pression sur ces criminels d’état, elle finira par les arrêter et les traduire devant la justice qu’ils n’ont jamais connu chez eux.