A mon avis le premier ministre, Ahmed Ouyahia, n’a aucun lien avec Mr Mahiedine Tahkout,dans les caractères et les objectifs futurs ne se ressemblent pas du tous . Mr le premier ministre est connu pour ses principes et ses qualités de travailleur; il nous a souvent surpris par sa façon de gérer la politique et la carrure qu’il présente. Franchement, j’ai du respect pour lui.
Mr Tahkout est tout à fait différent. Illétré trilingue, Mr Tahkout ne sait même pas remplir un chéque ; il utilise que les espèces. Avant son entée au commerce, il a volé un pneu d’un camion dans une entreprise publique à Rouiba. Vous pouvez vérifier cette information au niveau du tribunal de Rouiba.
En effet, son parcours de commerçant commence au début des années 90. comme mchand de fruits et légumes au marché de Reghaia. Il devient, en association avec un de ses amis, importateur de café. Le marché local étant éffondré, il a préféré brûlé sa marchandise pour se faire rembourser par les assurances.
Il achète un bus d’occasion âgé de plus de 15 ans avec sous évaluation en violation de la loi. Il découvre comment verser une somme de 10.000 DA à un douanier pour faire passer sa marchandise avec de fausses déclarations. Les bus de l’entreprise publique ETUSA ayant été brûlé, le Centre des oeuvres universitaires (COUS) fait appel aux opérateurs privés. Ainsi, plusieurs opérateurs se sont mis à acheter des bus pour travailler avec le COUS. Manque de pot, quelque temps après , Tahkout achète une flotte de bus dans le sud de la France (15 ans d’âge) qui sont interdits à l’importation. Tahkout a réussi à trafiquer l’année des bus moyennant finances et le tour est joué: une part pour le douanier, une part pour le COUS, et il devient le pablito.
A partir de 1996, le wali de Boumerdès, moyennant finances, lui accorde la cession d’une aire de jeux pour enfants et une route en plein centre-ville de Reghaia. Cela s’est passé avec la complicité du DEC M. Rahal. Cette décision a provoqué la réaction des habitants du quartier qui ont organisé une manifestation; mais la puissance du DEC et du wali calme le jeux en procédant au déplacement de l’aire de jeux et en supprimant une voie publique.
Début des années 2000, le pablito grandit et devient charika.
N’ayant pas la conscience tranquille, il déclare dans les coulisses qu’il est associé avec Mr le ministre de la justice (Ahmed Ouyahia). L’histoire nous a démontré que ces trabendistes ont besoin d’un parasol pour se protéger de l’ennemi (exp: Khalifa ou Tonic et d’autres encore que que nous verrons dans le futurà. Les cadres honnêtes de la nation ne peuvent rien dire ou faire, car c’est l’embrouille au point de voir de hauts responsables de la police impliqués dans des histoires immorales.
Nous savons tous l’addition Khalifa et celle de Tonic. Celles-ci nous coûtent et nous coûteront très cher. Nous allons découvrir le prochain épisode de la tricherie:la Sonacom. Avec ses 40 héctares, cette entreprise née avant l’indépendance de notre cher pays et avec les problèmes économiques des années 80 et 90 se dirige vers la faillite alors que la culture industrielle, a technique et les compétences existent. Au lieu de réorganiser l’entreprise et conserver l’indépendance de ce tissu industriell l’entreprise vivote en dents de sie et refuse des compromis avec des entreprises étrangères mais finira en arrêt d’activité dans les mois à venir.
Pour permettre aux investisseurs de créer des entreprises et des emplois, les walis vont devoir retirer des surfaces foncières au secteur public. Et faute de disponibilité, je suis favorable à l’idée: pour celui qui la propose, félicitation. Mais pour les vautours, il suffit de voir ce qui se passe, poiur se rendre compte de la gravité de la situation. Les architectes des la zone industrielle de Rouiba avaiten laissé des espaces importants pour les passages de camions et corriger les fautes de la première zone OUED SMAR. Mr Tahkout, croyant que ces espaces publics ne peuvent servir qu’à lui, il supprime même les trottoirs en prennant les façades de la Sonacom et d’autres entreprises publiques.
Il suffit de visiter la belle zone industrielle de Rouiba pour constater sa ressemblence à la prison d’Alcatraz. C’est ce que nous appellons la revanche du médiocre qui détruit tout le charme et la vie de cette zone.
Pour revenir aux deux grandes entreprises qui coûtent très cher à l’Algérie : Tonic et Khalifa, ceux qui sont à blâmer ce sont les parasols! Nous savons qu’en tant que fonctionnaires, nous agissons sur des ordres de nos supérieurs et les respectons. C’est à vous de crier publiquement que ce n’est pas vrai es odonner la recherche de la vérité. Vous nous avez habitué à ce système, pour vous aussi M le premier ministre, vous devrez vous libérer et anticiper sur les problémes que cela va engendrer car il a le monopole du transport des étudiants dans plusieurs villes.
Par un citoyen