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Archive pour janvier, 2009

Alger gronde contre Paris

mecili1.jpgPar Dominique Lagarde, Baya Gacemi, L’Express, publié le 29/01/2009  

Coup de froid sur les relations entre les deux pays. Les Algériens reprochent à la France l’inculpation de l’un de leurs diplomates, soupçonné dans l’assassinat d’un opposant.

Les relations entre Paris et Alger n’ont jamais été simples. Mais, depuis quelques semaines, l’Algérie ne perd pas une occasion de manifester sa mauvaise humeur. A l’origine de cette grogne: la confirmation, le 14 octobre 2008, par la cour d’appel de Paris, de l’inculpation de l’un de ses diplomates pour complicité dans l’assassinat, à Paris, en avril 1987, de l’opposant algérien Ali André Mecili.

Le diplomate, Mohamed Ziane Hasseni, est arrêté le 14 août à son arrivée en France, à l’aéroport de Marignane. Pour la police de l’air et des frontières, l’homme ne serait autre que Rachid Hassani, un agent des services secrets algériens soupçonné d’avoir organisé l’assassinat de Mecili, contre lequel la justice française a lancé en 2007 un mandat d’arrêt international (1). Depuis, Mohamed Ziane Hasseni, placé sous contrôle judiciaire, ne cesse de proclamer son innocence, avec le soutien des autorités algériennes qui affirment qu’il y a erreur sur la personne.

Dans un premier temps, les Algériens font pourtant profil bas. En 2007, l’heure est au renforcement de la toute nouvelle « relation privilégiée » scellée entre les deux chefs d’Etat lors de la visite en juillet de Nicolas Sarkozy à Alger. Le président Abdelaziz Bouteflika envisage d’ailleurs un déplacement officiel en France au premier trimestre de 2009. Surtout, les autorités algériennes sont convaincues que cette affaire sera vite réglée et les poursuites contre le diplomate, rapidement abandonnées. Les autorités françaises ne s’étaient-elles pas montrées coopératives en autorisant, en 1987, l’exfiltration par les services algériens d’Abdelmalek Amellou, assassin présumé de Mecili ? A l’époque, Charles Pasqua, ministre de l’Intérieur, comptait, il est vrai, sur l’aide d’Alger pour faire libérer les otages français du Liban…

Regrettable méprise?

La confirmation en appel de l’inculpation de Mohamed Ziane Hasseni vient changer la donne. Le jour même, Bouteflika ordonne à son ministre des Affaires étrangères, Mourad Medelci, en visite à Rome, de s’arrêter à Paris sur le chemin du retour pour s’entretenir avec Bernard Kouchner. Au Quai d’Orsay, alors que l’Algérien exprime sa « réprobation », le Français répond que le gouvernement n’a aucune prise sur une procédure judiciaire. En novembre, la grogne algérienne devient publique. Mourad Medelci accuse Paris de « retenir en otage » l’un des « meilleurs diplomates algériens ». Farouk Ksentini, président de la Commission nationale consultative de promotion et de protection des droits de l’homme, dénonce « une tentative de retour à la justice coloniale ». Hors micro, c’est devenu un leitmotiv: à chaque rencontre et quel qu’en soit le sujet, les officiels algériens ne manquent jamais de rappeler à leurs interlocuteurs français à quel point ils sont préoccupés par le sort de leur diplomate.

A Paris, on reconnaît que cette affaire, et les manifestations de mauvaise humeur qu’elle entraîne, « pollue » les relations entre les deux pays. La visite d’Abdelaziz Bouteflika en France a été reportée au mois de juin, après la réélection du chef de l’Etat algérien. Français et Algériens espèrent que la justice, d’ici là, se sera prononcée…

Reste le fond. Hasseni est-il, oui ou non, victime d’une regrettable méprise ? Est-il l’agent algérien qui a payé l’assassin de l’opposant, comme en sont convaincus les proches de Mecili ? C’est à la justice de trancher. Une chose est sûre : les Algériens n’ont pas très envie que l’affaire Mecili revienne, à l’occasion de ce procès, sur le devant de la scène. Certains Français non plus…

(1) L’Express du 28 août 2008

La question qui doit être posée: pourquoi la scène politique en Algérie reste fermée?

liberteparole.jpgPourquoi on n’accepte pas de nouveaux partis, de quoi a-t-on peur exactement ? La réponse est connue, on a peur du changement !!
Le système a peur du changement. Quand on parle du système, on parle de lui comme s’il est envoyé du ciel alors qu’en réalité, ceux qui le composent et le représentent sont issus du peuple, sont nos frères et nos voisins. Le système est composé d’une partie du peuple, cette partie est celle qui manigance et complote pour une raison ou une autre. Le système en Algérie est l’alliance entre les financiers (l’argent), et la force (l’armée).

Le pouvoir tient entre ses mains la richesse du peuple et s’en sert sans rendre compte car les représentants du peuple qui sont les députés du parlement sont les pions du pouvoir lui même. Et il contrôle les armes, puisque l’armée est sous ses ordres, et est son alliée.
Ce qui se passe en Algérie se passe ailleurs, et surtout aux USA, où les droits de l’homme sont bafoués au nom de la sécurité. Comme toujours il faut se créer un ennemi pour vivre. En Algérie, pour se donner le droit d’exister, d’accuser et de manoeuvrer librement, on a crée le terrorisme qui est devenu une raison de vivre et un moyen de se couvrir pour appliquer une certaine politique. Cette politique qui sert en réalité une partie et ne sert pas la majorité, et la partie qu’elle sert elle est plus étrangère qu’algérienne: la preuve on est devenu un marché consommateur, et non producteur, un pays désarmé et un sous pays.

Parler du DRS, de l’armée, de la police…..etc..et leur donner de l’importance qu’il ne méritent même pas, et ignorer la vrai source sur laquelle on doit s’appuyer: Le peuple, dans lequel on doit investir, serait se prendre pour un orguilleux.
On peut se passer de l’armée, de la police, du DRS..etc….les dissoudre et créer d’autres services à partir du peuple, mais on ne peut pas se passer du peuple.
L’université algérienne est démissionnaire, elle donne le savoir sans donner la personnalité, elle sème la peur au lieu du courage, et la preuve est la qualité des cadres qu’elle forme sur le plan personnalité, et le rôle qu’ils jouent sur la scène politique, au lieu d’être l’avant garde, ils sont devenus des harraga légaux vers l’occident.
Au lieu de parler des think tank propres à l’Algérie, on nous importe des idées des occidentaux!!!
Bref. 
Par Achour

Ils entassent les cadavres et ils nous disent circulez, il n’y a rien à voir

cad.bmpTout le monde sait mais personne ne peut. Tout le monde veut mais personne ne fait. Ainsi va la justice dans les mains de l’injustice proclamée et assumée. Ainsi va un pays où les assassins, les voleurs et les menteurs sont intronisés, protégés et parfois adorés et loués.
Tout ceux qui sont injustement assassinés sont connus (pourquoi cette façon de cacher le soleil avec le tamis). Il y a trop de crimes impunis pour en douter. Une centaine d’intellectuels, de journalistes, de jeunes, d’artistes et d’hommes et de femmes assassinés et dont les criminels sont impossibles à identifier d’accord. Mais là, ces des centaines et des centaines de crimes sont aucun criminels ne soient jugés normalement et condamnés justement.

Ils entassent les cadavres et ils nous disent circulez, il n’y a rien à voir. Rentrez chez vous, pleurez-les, manifestez si vous le souhaitez, criez même « pouvoir assassin », « pouvoir assassin »…veillez-les, dites Allah irhmhoum et que Dieu les Accueille dans Son Vaste Paradis, enterrez-les, consolez leurs familles, écrivez des livres sur eux, composez des poèmes à leur gloire, chantez des chansons à faire pleurer le diable, fêtez quelques anniversaires de leurs disparitions ou si vous voulez chaque anniversaire d’une façon continue mais ensuite oubliez-les, oubliez qu’ils étaient, oubliez pourquoi ils étaient tués, oubliez pourquoi ils étaient sacrifiés ou souvenez vous mais taisez vous.

Pour des futilités, ils savent arrêter les coupables, ils savent les juger et les condamner sévèrement et sans pitié. Mais l’assassinat d’hommes utiles pour l’Algérie, indispensables à l’éveil des consciences, guides de ceux qui sont oubliés, défenseurs de la liberté et de notre dignité, porte-parole des voix étouffées, soucieux de la vérité et impossible d’être corrompus n’est jamais élucidé. Même si le coupable est arrêté, il invente une raison qui fera qu’il sera impossible à juger, il adopte une loi qui fera qu’il va être pardonné voire même récompensé et il le garde au chaud en attendant que la victime soit complètement oubliée.

Tant que les fossoyeurs de notre liberté, ceux qui dirigent notre pays depuis avant notre indépendance (certains le situe à 1957)demeureront au pouvoir, aucun crime barbare ne sera élucidé, aucun coupable ne sera vraiment désigné (commanditaires et exécuteurs), aucun un jugement équitable et véritable ne sera organisé et aucune condamnation juste et étayée ne sera prononcée. Mr Meceli est injustement assassiné, c’est une perte inestimable pour l’Algérie, c’est une douleur inconsolable pour sa famille et c’est une catastrophe inimaginable pour ceux qu’ils défendaient et qu’ils formaient aux combats de droits de l’homme, de la liberté et de la démocratie, il ne sera rétabli dans ses droits que le jour où l’indépendance de notre pays sera une réalité que personne ne pourra contester.
Fraternellement Ammi Said

Algérie: Accusations de viols contre la CIA

Une enquête visant le chef du bureau de la CIA en Algérie a été ouverte par les Etats-Unis. L’homme est soupçonné d’avoir violé deux musulmanes après avoir versé de la drogue dans leurs boissons. « Les Etats-Unis prennent très au sérieux toute accusation d’inconduite de quelque membre que ce soit du personnel américain à l’étranger« , a déclaré Robert Wood, porte-parole du département d’Etat. « L’individu en question a regagné Washington et le gouvernement américain enquête sur l’affaire« , ajoute-t-il. Le JJD

Rachid Tlemçani: « Depuis l’arrivée de Bouteflika, le DRS est le grand vainqueur »

tlem.jpgDans un long entretien accordé à El Watan, Rachid Tlemçani, enseignant-chercheur au département des sciences politiques de université d’Alger a réagi aux dernières déclarations du général à la retraite Rachid Tlemçani qui a affirmé que l’armée est exclue du pouvoir. Pour M. Tlemçani a indiqué que le contibution de M. Benyelles n’examine pas rigoureusement la relation de l’armée avec la politique. « Cette relation repose en réalité sur 4 variables essentielles évoluant dans une économie de bazar : la Présidence, l’état-major de l’armée, la police et le DRS.

Pour renforcer son pouvoir, le président de la République a su magistralement faire jouer ces appareils les uns contre les autres. Tout compte fait, l’état-major est apparemment le grand perdant de cette lutte. L’armée fut «éjectée» de la scène politique au profit de la professionnalisation de ses structures. Le grand vainqueur est le DRS qui est devenu, tout en se redéployant horizontalement et verticalement, une structure indépendante, comme l’Etat hégélien, au-dessus des sensibilités politiques et des groupes de pression. Sur la base de cette nouvelle configuration, des cercles de pouvoir tentent de pousser les islamistes à accaparer le pouvoir formel.

Selon des think-tanks, la stabilisation de la «rue arabe» passe inévitablement par une alliance stratégique entre le turban et le képi et entre la mosquée et le bazar. L’islamisme «modéré», quand il est bien guidé économiquement, par les institutions multilatérales, serait en mesure de produire de la croissance économique et de créer des emplois pour une jeunesse sans repères. Selon cette vue de l’esprit, l’islamisme modéré peut assurer à la fois la stabilité politique et le décollage économique. »

Abdelhamid Mehri: « L’arrestation de Hasseni est une humiliation pour la diplomatie algérienne »

mehri2.jpgL’ancien secrétaire général du FLN, Adbelhamid Mehri, a qualifié l’arrestation en France de Mohamed Ziane Hasseni d’humilitation pour la diplomatie algérienne. « La diplomatie algérienne est humiliée par la France qui a procédé à l’arrestation de Hasseni », a regretté Mehri. « Je ne vois pourquoi on maintient sous contrôle judiciaire le diplomate algérien alors que son innocence est établie », s’est interrogé l’invité de l’hebdomadaire El Khabar El Ousbouai avant d’affirmer que la diplomatie algérienne fonctionne « aala bab Allah ». Pour rappel, Abdelhamid Mehri occupait le poste d’ambassadeur d’Algérie à Paris au moment de l’assassinat de l’avocat et opposant Ali Mecili. El Mouhtarem

Ahmed Ouyahia: «ceux qui boudent la présidentielle sont des politicards de salons»

ouy.jpgLe Premier ministre et patron du RND, Ahmed Ouyahia, a qualifié hier, lors de son intervention à l’ouverture des travaux de la journée parlementaire sur la réconciliation nationale, ceux qui boudent la présidentielle d’avril 2009 de «politicards de salons». «L’Algérie n’est pas constituée de salons politiques et elle n’est pas aussi un marché pour argent malsain. Si ces gens ont tendance à oublier, nous leur rappelons ce qui s’est passé en 2004. Le peuple est la base de la démocratie et le seul décideur», a-t-il indiqué.  Pour rappel, la Journée est organisée par les députés de l’Alliance présidentielle.

Le CDH décide de suspendre le statut consultatif spécial de la Commission arabe pour les droits de l’homme pour une durée d’un an

mecili.jpgLe Comité a pris une décision pour sanctionner une violation de la résolution 1996/31 de l’ECOSOC par la Commission arabe pour les droits de l’homme (CADH), organisation dotée du statut consultatif spécial auprès de l’ECOSOC.  La délégation de l’Algérie avait en effet formulé une plainte à son encontre, le lundi 21 janvier*, lui reprochant de s’être fait représenter à une réunion du Conseil des droits de l’homme, le 10 juin 2008, par un de ses membres, M. Rachid Mesli, qui était aussi membre d’une organisation figurant sur la liste 1267 du Conseil de sécurité, liste qui contient les noms d’organisations ayant des activités terroristes.

Après un long débat et un vote nominal, le Comité a décidé, par 18 voix pour et une abstention (États-Unis), de suspendre le statut consultatif spécial de cette organisation pour une durée d’un an.  Cette mesure a été assortie de la décision d’adresser une lettre à l’organisation, pour lui demander de fournir la liste de tous ses membres avant le 1er avril 2010.

Les délégations se sont ensuite exprimées longuement sur ce dossier, la majorité soutenant l’idée d’une sanction qui était initialement proposée pour une durée de trois ans.  Le délégué de l’Algérie a d’abord expliqué que la personne qui avait pris la parole au nom de l’ONG dotée du statut consultatif spécial avait un lourd casier judiciaire, ayant commis des activités criminelles qui ont été jugées comme telles par les autorités algériennes.  Appuyé par Cuba, le Qatar, la Guinée, le Soudan, la Turquie, la Chine, la Dominique, le Pakistan, l’Angola et la Fédération de Russie, le représentant de l’Algérie a demandé que le Comité prenne des mesures contre l’usage abusif de ce statut consultatif spécial et empêche ainsi l’ONG de s’en prévaloir pendant trois ans.  La délégation de la Chine a rappelé que, dans des cas qu’il avait examinés dans le passé, le Comité avait pris ses décisions de sanction sans attendre.

(…) De son côté, le représentant des États-Unis, rappelant son rôle de chef de file dans la lutte contre le terrorisme et dans la défense des droits de l’homme, a souligné l’importance pour le Comité de respecter les procédures avant de prendre toute mesure de sanction.  Reconnaissant la violation de son statut par l’ONG considérée, il a estimé qu’il serait préférable d’opter pour un blâme.  Pour décider d’une sanction telle que la suspension, il nous faudrait davantage d’informations, a-t-il fait remarquer.  Le représentant a précisé que la délégation qui a introduit la demande de sanction n’a pas communiqué les éléments que sa délégation demandait.  M. Mesli a obtenu le statut de réfugié en Suisse en 2000, a-t-il aussi noté, avant de demander à la délégation de ce pays de donner des précisions sur son statut.  «Nous aurions souhaité que cette plainte soit déposée plus tôt», a aussi indiqué le représentant des États-Unis, par exemple au cours des réunions du Groupe de travail en décembre dernier, afin de disposer de plus de temps pour recueillir toutes les preuves nécessaires à une décision de suspension.

(…) La représentante de l’Algérie a conclu ce débat en soulignant la souplesse dont a fait preuve sa délégation qui a décidé de ne pas demander un retrait du statut mais seulement sa suspension.  Elle a rappelé que les autres délégations n’ont ni la compétence ni la prérogative de se prononcer sur les activités criminelles de M. Mesli qui ont été jugées par les juridictions algériennes.  Le représentant des États-Unis, a-t-elle aussi relevé, a donné des précisions sans citer ses sources.  «Nous ne sommes pas là pour faire le procès de l’Algérie ou de la Suisse, ni pour apprécier le statut de réfugié de M. Mesli», a-t-elle ajouté.  L’Algérie n’a d’ailleurs jamais dénoncé l’octroi du statut de réfugié politique à M. Mesli par la Suisse, a-t-elle fait observer.  Selon la représentante algérienne, le Comité ne devrait pas s’éloigner du mandat qui est conféré en s’abstenant de sanctionner une violation flagrante.  Elle a considéré que la suspension est la sanction minimum et s’est montrée ouverte à une autre durée.

(…) Reprenant la parole, le représentant des États-Unis a expliqué sa position de principe, estimant que les allégations ne sont pas très claires à ce stade.  Il a estimé que le statut de réfugié politique de M. Mesli exige que l’on prenne plus de temps pour vérifier s’il est véritablement impliqué dans l’organisation figurant sur la liste 1267 du Conseil de sécurité, lui-même n’y figurant pas. (…)

Source CDH/ ONU

Kasdi Merbah n’a pas été tué par des terroristes

merbah.jpgJe confirme vos dires sur la mort de Kasdi Merbah, il a été assassiné près d’Alger-plage, et la manière dont l’opération a été exécutée et l’heure, ainsi que les armes utilisées montrent que se ne sont pas des terroristes qui l’ont préparé mais plutôt des gens qui avaient la garantie qu’ils ne seront pas dérangés durant leur boulot.
Le motif de cet assassinat était la sacoche (cartable) que portait avec en ce moment là, Mr Kasdi Merbah……

Le problème qui se pose, c’est que les unités stationnées dans cette zone en ce moment, ont reçu l’ordre de ratisser cette zone pour chercher un véhicule ou des véhicules signalés par la population, qui ont été utilisés pour la dite opération et d’essayer de récupérer une sacoche ou cartabe, ce qui prouve que le haut commandement en cette période sous le commandement de Mohamed Lamari, n’était pas à l’origine de l’opération, mais qu’il y a d’autres organismes qui opéraient parallèlement !!

Je dois confirmer, qu’il y a un organisme en Algérie qui opère dans l’intérêt de la multinationale, cette organisme n’a rien à voir ni avec l’armée, ni avec les services secrets algériens…. Cet organisme est plus structuré qu’on le croit, et dépend de sociétés secretes qui opèrent dans un but mondial, même les Etats ne peuvent pas le contrôler. Peut-être qu’il y a des officiers ou des personnes haut placées qui sont à l’origine de ces opérations, mais il reste toujours à prouver.

Les Algériens, et sous couvert de la lutte anti terroriste, ont été privé de leur liberté et leurs droits civils. Et sous couvert de la lutte anti terrotiste, on combat l’opposition, car combattre l’opposition, serait combattre la liberté et le droit de crier haut. Et sous la couverture de la lutte anti terroriste on combat l’islam. L’Algérie en réalité est devenue un marché au profit de la multinationale, il suffit de savoir qui produit pour savoir qui est derrière ce qui se passe en Algérie.
L’Algérie ne doit pas produire, elle doit consommer. Si l’occident nous accepte et nous tolère c’est seulement parce que nous sommes un pays désarmé, un pays qui ne représente aucun danger pour l’occident. Si l’Occident sent que nous pensons, je dis penser, à devenir indépendants dans notre décision, il vont débarquer chez nous, et le terrorisme est une façon de déstabiliser le pays pour le contrôler et le cerner pour l’asphyxier.

La question reste posée: qui est l’organisme qui est derrière ce qui se passe en Algérie ? Il ne faut pas accuser, mais il faut apporter les preuves, car il faut constituer un dossier pour pouvoir accuser, aucun juge ne peut accepter des paroles, mais des preuves et rien que des preuves. Par Achour

Da Medjber, nous ne t’oublierons jamais

medjber.jpgVoilà déjà un an, le 29 janvier 2008, disparaissait à jamais mon cher et regretté ami Da Medjber MAROUF, infatigable militant de la démocratie. Il a donné sa vie au FFS en 1963 et depuis, il a consacré son temps au combat démocratique et mis ses moyens au service du parti dont il était un des poumons depuis sa légalisation en 1989. Depuis cette date jusqu’au jour où il s’est éteint suite à une longue maladie, dont il avait souffert en silence, Da Medjber n’a cessé de se battre et cela en dépit  des attaques personnelles gratuites et infondées qui l’ont beaucoup affectées et auxquelles il a refusé de répondre.

Ayant accompli deux mandats d’élu local (APC/APW), il avait toujours privilégié les intérêts de sa commune et de sa wilaya aux intérêts partisans. O combien il aimait Bouira. Repose en paix Da Medjber. Que tes leçons de militantisme, de loyauté, de droiture, d’engagement, d’intégrité, d’humilité, de dignité, de constance et surtout de fidélité soient retenues à jamais par les jeunes militants. Même quand tu as été déçu par certaines personnes, tu leur es resté fidèle jusqu’à ton dernier souffle.

ALLAH yarahmak ouALLAH yasmahlhoum. A tous ceux qui t’ont connus, aimés et appréciés, je leur demande d’avoir une pieuse pensée en ta mémoire. Que Dieu le Tout-Puissant, Clément et Miséricordieux t’Accueille en Son Vaste Paradis. Ton fidèle ami Kaci HAMADI  

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