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Archive pour le 4 janvier, 2009

Des lycéens hissent le drapeau français à Bab El-Oued

drapeaufrance.gifLes quatre élèves des classes terminale du lycée Okba-Ben Nafaâ à Bab El-Oued viennent d’être exclus de l’établissement et seront poursuivis en justice. Ces quatre lycéens, ayant bénéficié des cours de soutien, ont arraché l’emblème national, pour le remplacer par le drapeau français, tout en écrivant  » Vive la France « . 

Devant cet état de fait, les parents de ces quatre lycéens ont tenu un rassemblement devant le lycée Okba-Ben Nafaâ, pour demander au ministre la « clémence », mais ce dernier maintient toujours son engagement de les poursuivre en justice.

Le procès de Mohamed Baba Nedjar reporté

nedjar.jpgA 11h00, Mohamed Baba Nedjar, fait son entrée dans la salle d’audience de la cour de Ghardaia.  Vêtu d’un jogging blanc, le jeune Mohamed, petit de taille, Salue les présents dans la petite salle.  Etaient présents des membres du secrétariat national du FFS, à leur être le premier secrétaire, des membres du conseil national, des militants du parti, l’ancien premier secrétaire Ali Laskri, des membres de la LADDH, Sala Eddine Sidhoum…

Le frère cadet de Mohamed, âgé de 14 ans, les larmes aux yeux, se lève de sa place pour mieux voir son frère, victime d’une injustice… Le juge appelle les témoins et les avocats de deux parties. Le collectif de défense de Mohamed Baba Nedjar était composé de plusisieur avocats dont Maitre Mostafa Bouchachi, président de la LADDH, maïtre Ahmine…

Le juge appelle à la barre le jeune Baba Nedjar. « Mohamed Baba Nedjar, fils de…et de… né le 4 janvier 1981,… » « Non, je suis né le 4 janvier 1984, Sidi Rais », rétorque Baba Nedjar (…). (La veille de son 24ème anniversaire !).

A l’extérieur de la salle, des milliers de personnes scandaient « LLAH Akbar, Baba Nedjar ». Les manifestants se sont rassemblés, tôt le matin, devant la cour pour exiger un procès équitable à Baba Nedjar.
Le juge décide de reporter le traitement de l’affaire à une date ultérieure. Il faut souligner que Mohamed Baba Nedjar.

Par El Mouhtarem, présent sur lieux.  

تجار غردایة في إضراب عام تضامنا مع قضیة  »محمد بابانجار »

الیوم 03 جانفي 2009 تجرى محاكمة الشاب « محمد بابا نجار » الذي راح ضحیة تصفیة حسابات سیاسیة بین السلطة المحلیة وحزب معارض في قضية مفبركة اتھم في حرق وقتل مسؤول في الھلال الأحمر الجزائري بغردایة السید « بازین ابراھیم »، لكسر نشاط ونشطاء في حزب سياسي معارض حزب جبھة القوى الإشتراكیة.
وبالمناسبة استجاب تجار بلدیة غردایة للإضراب العام حیث بلغت نسبة لإضراب 95 % الذي دعا إلیھ حزب جبھة القوى الإشتراكیة تضامنا مع الشاب محمد بابانجار وطلب فیھ إظھار الحقیقة في القضیة، وحضر المحاكمة شخصیات
وطنیة وحقوقیین منھم رئیس الرابطة الجزائریة للدفاع عن حقوق الانسان السید « مصطفى بوشاشي » وإطارات الحزب الأفافاس على رأسھم السكریتر الأول السید « كریم طابو » ومنتخبي المجالس الولائیة للحزب وأعضاء المكتب الولائي
( Amnesty International ) لمنضمة العفو الدولیة
الامضاء
د/فخار كمال الدین

«L’armée algérienne» a t-elle une identité ?

arme.jpgDans l’état d’esprit de chaque citoyen algérien, il pense que militaire veut dire homme à tuer et il est au service des clans et non du peuple. Dés lors que son émanation sociologique est d’origines tribales et chaque CHEF d’Etat désigné par une secte de décideurs et qui succède au pouvoir change de constitution et s’autoproclame via son clan en l’exploitant  en un instrument POLITIQUE pour se maintenir et installer par la force un régime inhumain et des plus atroces.

 

L’armée doit être un élément dans l’Etat et sert le peuple. Son premier rôle est de protéger la nation en tenant compte de la menace, des enjeux, de l’idéologie et du système de valeurs qui prévalent dans la société, mais lorsque cette «armée» est défiée par des forces concurrentielles (milices, bandes armées, mafia, gangs) sur son propre territoire, lorsqu’il se retrouve dans l’incapacité TECHNIQUE de protéger ses citoyens contre les menaces de toutes sortes, cette situation remet en question sa légitimité et ne possède aucune crédibilité.

 

Cette situation est le résultat d’un processus de son institutionnalisation par  la continuité du produit politique de l’armée coloniale pendant la révolution et la relation  entre la nation et l’armée n’a jamais existé.  De plus «L’État  et l’armée algériens» n’ont aucune philosophie et stratégie de sécurité ni d’idéologie ni  d’objectifs ni d’IDENTITE qui va lui permettre de s’adapter à la nouvelle vision d’un monde où les questions de sécurité ne se limite plus dans un système militaire classique . Une armée professionnelle, APOLITQUE,  basée sur une formation civique, militaire et bien intégrée dans un concept démocratique et républicain ne peut être qu’un plus pour la nation, d’autant plus que la nôtre se trouve au bord du gouffre.

 

Notre société a besoin de paix et de stabilité. Nous avons tous envie de vivre comme des gens normaux, sans crainte, ni peur et surtout dans un état libre et démocratique qui va permettre d’identifier les EXPLOITANTS de cette armée qui émane du PEUPLE ALGERIEN.
 
Par Mohand Tahar MOHAMMEDI

Quand le journal « El Fadjr » «use de méthodes déloyales pour obtenir des informations» d’un enfant mineur

Questionalfadjr.jpg : Est-ce qu’un journal a le droit de publier la photo d’un enfant mineur sans l’autorisation de ses parents ? J’ignore ce que le code de l’information prévoit en la matière mais, nul besoin d’un code pour répondre par « non ». Non, parce qu’il s’agit d’un enfant mineur, sous la responsabilité de ses parents.

 

En feuilletant le quotidien « El Fadjr », (édition du 30/12/2008), je suis tombé sur un article accompagné de la photo d’un enfant, en guise d’illustration. Dans ce papier, il est question d’un jeune garçon qui a dû, selon le journal, abandonner ses études pour aider sa famille en vendant des « Mhadjeb », préparées à la maison.

 

Le plus choquant dans ce que le journal présente comme un « scoop », réside dans la fourberie, la méthode déloyale adoptée par l’auteur pour attirer sa « proie », Yacine, 9 ans.  En effet, et le journal a le mérité d’être « honnête » – avoue avoir proposé au petit marchand ambulant, croisé dans un cybercafé entrain d’écouler sa marchandise, de lui acheter quelques « m’hadjebs » en contrepartie que celui-ci accepte de répondre à ses questions et relater son quotidien et les circonstances qui l’ont conduit à déserter les bancs de l’école.

 

Le journal a-t-il mesuré, un seul instant, le préjudice moral que cela peut laisser chez cet enfant, aux yeux de ses camarades et chez sa famille ? Yacine est victime de son innocence, certes mais aussi et surtout de l’indécence d’un « journaliste ». Cela s’appelle, ni plus ni moins  « corruption morale » et « extorsion d’informations ».

 

Dans la Charte de l’éthique et de la déontologie des journalistes algériens, l’article 18 stipule « Ne pas user de méthodes déloyales pour obtenir des informations, des photographies et des documents. » Sous d’autres cieux, où les droits de l’enfant ne sont pas que discours et scrupuleusement respectés, cela aurait provoqué un tollé général.

 

L’article 16 de la convention internationale des droits de l’enfant que l’Algérie a ratifiée le 16 avril 1993, énonce que « Nul enfant ne fera l’objet d’immixtions arbitraires ou illégales dans sa vie privée, sa famille, son domicile ou sa correspondance, ni d’atteintes illégales à son honneur et à sa réputation. L’enfant a droit à la protection de la loi contre de telles immixtions ou de telles atteintes. »

 

Tout simplement scandaleux !

 

Par R.Z.

Parlez-nous…

parole.bmpChaque fois qu’un Algérien excédé des exactions et des injustices qui se déroulent à ciel ouvert en Algérie, on élabore des stratégies, on écrit de scénarios.
Des méthodes du KGB ont été employées et continuent d’être utilisées pour expliquer au pauvre peuple combien il est faux de croire ces opposants.
Par contre ils ne s’avisent jamais de traiter des questions que tous les Algériens réprouvent et elles sont nombreuses.

 

Alors comme on aime bien le dire chez nous FAKOU, c’est fini, vous êtes nus, vous êtes des menteurs et des lâches et vous paierez sur terre et dans l’au-delà les méfaits que dénoncent ceux qui ont été excédés de vos agissements et qui ont décidé en leur âme et conscience d’agir pour vous arrêter.
Au lieu de discourir sur eux pourquoi vous ne traitez pas des sujets sérieux portant sur cette Algérie que vous dirigez sans partage depuis longtemps.

 

Parlez-nous plutôt de ce que vous avez fait, de ce que vous faites encore de nos jours, parlez-nous des décideurs qui continuent de sévir et de penser que l’Algérie leur appartient. Parlez-nous de ceux qui font les malins et qui exercent un chantage non pour changer la situation de l’Algérie et des Algériens mais pour assouvir leur soif du pouvoir et leur avidité matérielle sans limite. Parlez-nous de la corruption qui touche toutes les catégories socioprofessionnelles. Parlez nous de la dilapidation du patrimoine national. Parlez nous de ces projets chimériques et qui ont fait la trame du premier et du second mandat. Parlez nous de ces tentatives de soudoyer même des étrangers.

 

Parlez nous de ces promotions qui s’opèrent sans aucune rationalité ni critère objectif. Parlez nous de vos hommes de main, dans les Ambassades, dans les Ministères, dans les Entreprises, dans les Assemblées élues, dans les rues, que vous engraissez pour les asservir encore plus. Parlez nous de cette Algérie sans projet, sans homme. Parlez nous de ces villes d’Algérie que vous avez détruites pour en faire de vastes étendus de Gourbis. Parlez nous des palais de vos semblables. Parlez nous des villas du domaine public que vos proches se sont accaparées pour des poignées de dinars. Parlez nous des habitations d’astreintes réquisitionnées pour des besoins privés. Parlez nous de ces banques qui vous servent de porte monnaie. Parlez nous du patrimoine de vos ministres et de vos généraux ainsi que vos ambassadeurs etc.. en Algérie et à l’Etranger. Parlez nous de vos comptes bancaires en Suisse, au Luxembourg, et dans tous les paradis fiscaux européens, américains et arabes.

 

Qu’avez-vous entrepris pour comprendre la corruption. Qu’avez-vous fait pour éduquer les jeunes et favoriser leur devenir. Qu’avez-vous fait pour récupérer l’argent illégalement pris par les dirigeants algériens passées et actuels. Parlez nous des 400 mille gourbis. Parlez nous des millions de jeunes chômeurs. Parlez nous du niveau de nos universités et de nos écoles et par ricochet de la formation des cadres de demain. Dites nous comment l’Algérie sera achevée. Rendez compte au peuple de l’utilisation de son argent du pétrole.

 

Dites nous enfin pourquoi , en Algérie, chaque fois vous tombez avec tous les moyens possibles, sur les quelques personnes qui vous disent ne pas partager vos méthodes. A chaque fois c’est les mêmes procédés, c’est les mêmes techniques. Vous rabâchez des discours vides de sens, vous critiquez ceux qui osent. Vous glorifiez vos pantins, vos menteurs, vos agents dormants de l’ombre.
Lorsqu’un jour vous vous remettrez enfin à parler de vos devoirs de l’intéret des Algériens et de l’Algérie. Lorsque vous commencerez par donner l’exemple alors nous vous lirons et nous commencerons à regarder aussi d’un regard neutre les écrits de vos vils défenseurs.

 

Des journalistes en Algérie, il en reste plus, il n’y a que des secrétaires patentées servant de pseudo dans le vaste entreprise de démoralisation et de démobilisation des Algériens. Comme on voit même le net il en échappe pas.

Par Mohand

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