Tizi-Ouzou: “Chaque commune aura sa brigade de gendarmerie”

Tizi-Ouzou: “Chaque commune aura sa brigade de gendarmerie” dans Actualités Algérie 2013_65340

Le commandant du Groupement de la gendarmerie de la wilaya de Tizi-Ouzou, le colonel Benazouz, a estimé, au cours d’une conférence de presse tenue, hier, au siège dudit groupement, que le taux de couverture sécuritaire “n’est pas encore suffisant.” Ainsi sur les 67 communes de Tizi-Ouzou, une vingtaine disposent d’une brigade de gendarmerie fonctionnelle. Concernant le redéploiement de ce corps en Kabylie, annoncé il y a deux ans, M. Benazouz indiquera que le programme “avance pour arriver, à terme, à une couverture satisfaisante, au moins la moyenne nationale à savoir une brigade pour deux communes.”  Source La DDK

Commentaires

  1. Anonyme dit :

    Un gendarme dans chaque jardin d’une maison jouera immédiatement le rôle du voleur, du puissant, du voleur, de la terreur…Et si n’est nécéssaire de l’assassin, tant que les fossoyeurs de notre indépendance et de nos libertés resteront au dessus de nos têtes qui ne veulent plus les voir, ni les entendre, ni les sentir, ni les croire…Vive l’Algérie des Algériens qui veulent la servir, l’autre ne sert que criminels qui la tétent.

  2. amina&amin dit :

    Rappel
    sous l’ere d’un certain general Zerowalo braise-idane, il y’avait le triangle de la mort qui faisait ravage 8la guerre contre les paysans) pour chasser ces paysans de cette plaine du Mitidja…

    la kabylie etait la « petite Suisse d’algerie »

    mais que fait le pouvoir assassin?

    l’implantation des BMPJ (brigade mobile de la police judiciaire) qui fut la furie du FFS qui avait raison car juste apres le terrorisme, la drogue et les assassinats apparaissent en Kabylie.

    Nous avons les documents le pouvoir a ses crimes et tout est repertorié et « saved » dans nos fichiers informatiques pour les generations futures…

    1980 : Printemps kabyle, 2001 : printemps noir
    27 avril 2008 21:28, par Akli si Bgayet
    Liste des victimes de la révolte Kabyle de 2001 Medjane Farid, 11 ans, tué le 26 avril 2001 à Seddouk (Vgayeth).

    Messalti Hafid, 13 ans, tué par balles par un gendarme devant la porte du domicile familial à Takrietz (Vgayeth) le vendredi 25 mai 2001.

    Didouche Ferhat, 14 ans, demeurant à Draa El Mizan (Tizi Ouzou) tué le jeudi 21 juin 2001 par balles par des gendarmes suite aux émeutes provoquées dans la ville.

    Yakoub Lyès, 13 ans, demeurant à Guenzet (Sétif), grièvement blessé par balles lors des émeutes du mercredi 20 juin 2001, succombe à ses blessures le jour même lors de son transfert à l’hôpital de Bordj Bou Arréridj.

    Boukhedad Kamel, 15 ans, tué de trois balles dans le dos, tirées par le chef de brigade de gendarmerie de Seddouk (Vgayeth) le 25 avril 2001.

    Bélaïd Ouramdane, 15 ans, tué à Addekar (Vgayeth) le 28 avril 2001

    . Abdou Mdouad, 19 ans, tué par balles par un policier le 1er décembre 2002 à Azzaba (Skikda) lors d’une manifestation de protestation.

    . Adara Fouad, 28 ans, demeurant à Sidi Aïch (Vgayeth), tué d’une balle dans la tête par un policier en civil, alors qu’il était attablé dans un café le 26 juin 2001.

    Aghadir Ahcène, 20 ans, originaire de Tizi Bouchène, tué le 27 avril 2001 à Azazga (Tizi-Ouzou) de trois balles au thorax et à l’abdomen.

    Agri Ali, 31 ans, marié et père de 3 enfants, tué par balles par les brigades anti-émeutes, près de la de Tazmalt (Vgayeth).

    Ahmane Mourad, 33 ans, tué le 28 avril 2001 d’une balle dans la tête à Tizi Rached (Tizi-Ouzou) par un gendarme.

    Aït Aba née Aït Ouslimane Nadia, 30 ans, enseignante à Sidi Ali Ouyahia , tuée le 28 avril 2001 par des gendarmes alors qu’elle était au domicile d’une amie, situé au 5e étage d’un immeuble. Un jeune citoyen qui participait à son évacuation sera tué par les gendarmes (Naït Amara Omar).

    Ait Mansour Saddek dit Nabil, grièvement blessé par balles à la tête par les services de sécurité le 4 novembre 2002 à Seddouk (Vgayeth) succombe à ses blessures le 14 février 2003 à l’hôpital de Tizi-Ouzou après 105 jours de coma.

    Akkouche Abderrahmane , 19 ans, demeurant à Tadmaït (Tizi-Ouzou), tué par balles le lundi 28 mai 2001 par des gendarmes.

    Alkama Djamel, 19 ans, tué le 28 avril 2001 à Larbaâ Nath Irathen (Tizi-Ouzou).

    Alouane Hocine, 22 ans, tué le 28 avril 2001 à Mekla (Tizi-Ouzou).

    Amghar Tahar, 29 ans, tué le 27 avril 2001 d’une balle dans la tête à Fréha (Tizi-Ouzou).

    Amini Karim, jeune citoyen de Maatkas (Tizi-Ouzou), est tué par balle par un commerçant du village le 8 octobre 2002 suite à une manifestation pour protester contre les « élections » communales.

    Amir Aïssa, 21 ans, écrasé par un camion lors des manifestations le 28 avril 2001.

    Arab Noureddine , 25 ans, tué par balles le 25 avril 2001 à L’ Kseur (Vgayeth).

    Arezoug Slimane, 28 ans, demeurant à Akbou (Vgayeth), tué par balles le lundi 18 juin 2001 à hauteur de l’hôtel Le Palace.

    Aribi Abdelkader, 81 ans, demeurant à la cité Rabia de Vgayeth, mort dans la nuit du 25 mai 2001 à son domicile, suite à une asphyxie par gaz lacrymogènes.

    Aribi Yamina, 71 ans, épouse d’Aribi Abdelkader, demeurant à la cité Rabia de Vgayeth, morte dans la nuit du 25 mai 2001 à son domicile, suite à une asphyxie par gaz lacrymogènes.

    Arkam Salem, 17 ans, lycéen, originaire du village Issaradjène, tué par des gendarmes à Boudjima (Tizi-Ouzou) le samedi 28 avril 2001.

    Asbaï Yahia, 19 ans, tué par balles le 26 avril 2001 à L’Kseur (Vgayeth).

    Ayad Ramdane, grièvement blessé par une grenade lacrymogène le 18 juin 2001 à Talla Legradj (Ait-Ouartilane – Sétif), succombe à ses blessures le 22 juin à l’hôpital de Sétif.

    Azouani Saïd, 24 ans, originaire du village d’Aït Azouane, tué d’une balle dans la tête le 28 avril 2001 à Bouzeguène (Tizi-Ouzou).

    Bayou Idir, 19 ans, lycéen de terminale, demeurant à Tadmaït (Tizi-Ouzou), grièvement blessé par balles à la tête le 28 mai 2001, succombe à ses blessures le 9 juin à l’hôpital de Tizi-Ouzou, après 12 jours de coma.

    Becha Massinissa, 25 ans, originaire de Tizi-Ouzou, Grièvement blessé par arme blanche par des inconnus lors de la marche du 14 juin 2001 à Alger. A succombé à ses blessures le 15 juin.

    Belhouane Azzeddine, 25 ans, tué par une balle explosive le 26 avril 2001 à Larbaâ Nath Irathen (Tizi-Ouzou).

    Belkacem Mouloud, 31 ans, tué le 28 avril 2001 à Larbaâ Nath Irathen (Tizi-Ouzou) par un gendarme alors qu’il tentait de porter secours à un blessé.

    Belkacemi Djamel, 31 ans, tué le 28 avril 2001 à Larbaâ Nath Irathen (Tizi-Ouzou).

    Bellahcène Rachid, 14 ans, collégien, grièvement blessé par un tir de grenade lacrymogène le 24 mars 2002 lors des émeutes de Seddouk (Vgayeth) succombe à ses blessures lors de son transfert à l’hôpital

    Benaïssa Hamza, 18 ans, tué par balles au niveau du thorax le mercredi 23 mai 2001 à Feraoun (Tizi-Ouzou).

    Benattou Idriss, 30 ans, marié, grièvement blessé par une grenade lacrymogène, avant d’être violemment heurté par un camion de police le 24 mars 2002 lors des émeutes de Seddouk (Vgayeth), succombe à ses blessures de 30 mars à l’hôpital de Tizi-Ouzou.

    Benhamidi El Hadj, 31 ans, tué par balles le samedi 26 mai 2001 à Chorfa (Bouira).

    Bensalem Mourad, 31 ans tué le 28 avril 2001 d’une balle dans la tête à Larbaâ Nath Irathen (Tizi-Ouzou).

    Bettar Lyés, 17 ans, originaire de Tiliouacadi, près de Sidi Aïch (Vgayeth), grièvement blessé le jeudi 21 mars 2002 à la tête d’une balle de Seminov, lors des émeutes de Chemini (Béjaïa), succombe à ses blessures à l’hôpital de Tizi-Ouzou où il a été transféré.

    Bouarab Samir, tué le 28 avril 2001 aux Ouadhias (Tizi-Ouzou).

    Boughrara Arezki, 28 ans, tué d’une balle dans le thorax le lundi 28 mai 2001 .

    Bouguerra Rachid, 25 ans, originaire de Maâtkas (Tizi Ouzou), bénévole au Croissant Rouge Algérien, blessé par balle le 27 avril 2001 par des policiers de la BMPJ à Boghni, selon le témoignage de son frère, a succombé à ses blessures à l’hôpital de Tizi-Ouzou.

    Bouremoua Zahir dit Djamel, 21 ans est mortellement blessé par balle par un policier à Toudja (Vgayeth) le 9 octobre 2002 (veille des “élections” communales). Brahmi Saddek, 35 ans tué par balles le 26 avril 2001 à Ouzellaguen (Vgayeth).

    Chaïbet Hocine, 16 ans, tué le 26 avril 2001 à Aït Yahia Moussa par un milicien de la garde communale. Selon le témoignage de sa famille, le père de la victime avait été également tué par le même milicien en 1996.

    Chekal Rachid, 24 ans, originaire de Tigrine , tué par balles lors des affrontements du lundi 18 juin 2001, près de l’hôpital d’Akbou.

    Cherat Ali, dit Noureddine, 36 ans, originaire de Ait Yenni et demeurant à Alger, disparu lors de la marche du 14 juin 2001 à Alger, découvert mort à la morgue de l’hôpital d’Alger.

    Chilla Farid, 28 ans, tué par balles le 26 avril 2001 à Ouzellaguen (Vgayeth).

    Chilla Nacer, 16 ans, tué le 26 avril 2001 à Ouzellaguen (Vgayeth).

    Chirani Ali, gardien à la direction de l’action sociale (DAS) de Khenchela, mort suite à un traumatisme crânien le 19 juin 2001. Il avait reçu un pavé sur la tête lors des émeutes dans la ville.

    Daïd Mebarek, 42 ans, marié et père de 03 enfants, tué d’une balle dans le cou le 28 avril 2001 à Irdjen (Tizi-Ouzou).

    Djebbar Mourad, tué le 27 avril 2001 à Azazga (Tizi Ouzou).

    Feddi Lamara, 25 ans, tué aux Ouadhias (Tizi-Ouzou) le 28 avril 2001.

    Ghorab Djamel (, 13 ans, demeurant à Aïn M’lila (Oum El Bouaghi), tué par balles le 19 juin 2001 par un responsable d’une société nationale (SNLB), suite à l’attaque de son domicile par des manifestants.

    Guendoud Amar, 23 ans, tué le 27 avril 2001 à Maâtkas (Tizi-Ouzou).

    Guermah Massinissa, 19 ans, lycéen , grièvement blessé à la brigade de gendarmerie du village le 18 avril 2001. Succombe à ses blessures le lendemain à l’hôpital Mustapha d’Alger.

    Haddad Nadir, 26 ans, tué par balles le 25 avril 2001 à Ouzellaguen (Vgayeth)

    Hamache Arezki, 32 ans, tué le 28 avril 2001 à 15h 30 par des gendarmes à Larbaâ Nath Irathen (Tizi-Ouzou).

    Hameg Nacer, demeurant à Tizi-Ouzou, mort par asphyxie suite aux jets de grenades lacrymogènes le lundi 28 mai 2001.

    Hamened Youcef, 18 ans, lycéen en classe de terminale, originaire de Timizart, tué le samedi 28 avril 2001 à Mekla (Tizi-Ouzou) par des gendarmes.

    Hamidechi Mohamed, grièvement blessé par balles à la tête le lundi 28 mai 2001 à Tadmaït (Tizi-Ouzou), succombe à ses blessures.

    Hamouda Mohamed, 26 ans, tué par balles le 29 mai 2001 à Tadmaït. (Tizi-Ouzou)

    Hamoudi Yahia, 60 ans, tué d’une rafale de kalachnikov à Sétif le 27 avril 2001.

    Hamza Rachid, tué le 23 mai 2001 à Feraoun (Tizi-Ouzou).

    Hanniche Hamid, 19 ans, lycéen originaire de Frikat, près de Tizi-Ouzou, grièvement blessé d’une balle dans la tête par un militaire, en faction devant l’Amirauté d’Alger, à la fin de la manifestation pacifique du 31 mai 2001, (alors que la victime se trouvait dans un camion s’apprêtant à rejoindre son village) succombe à sa blessure le 5 mai à l’hôpital Mustapha.

    Harem Slimane, 34 ans, originaire du village d’Aït Mesbah, milicien de la garde communale de Tizi-Ouzou grièvement blessé lors de l’assaut donné par les manifestants au siège de la garde communale le 24 mai 2001, succombe à ses blessures le 6 juin 2001.

    Harfi Mokrane, 25 ans, originaire du village Takhourt Neldjir, tué par des gendarmes à Boudjima (Tizi-Ouzou) le samedi 28 avril 2001.

    Hassan Noureddine, 17 ans, tué par balles le 26 avril 2001 à Ighzer Amokrane (Vgayeth).

    Haya Noureddine, 27 ans, demeurant à Helouane, près d’Ighzer Amokrane (Béjaïa), grièvement blessé par balles le 19 juin 2001, succombe à ses blessures de 20 juin à l’hôpital d’Akbou.

    Heddad Hamza, tué le 27 avril 2001 aux Ouadhias (Tizi-Ouzou).

    Hettak Youcef, 22 ans, originaire de Bouzeguène (Tizi-Ouzou), disparu lors de la marche du 14 juin 2001 à Alger. Son cadavre est retrouvé à la morgue de l’hôpital d’El Harrach.

    Ifis Ramdane, originaire d’Ighram (Vgayeth) tué le 6 juin 2001.

    Irchane Kamel, 27 ans, originaire d’Aït Aïssi (Yakouren), tué le 27 avril à Azazga (Tizi-Ouzou) par balles au niveau du thorax par des gendarmes postés sur des terrasses, alors qu’il portait secours à un blessé.

    Kennache Aziz, 27 ans, tué le 28 avril 2001 à Larbaâ Nath Irathen (Tizi-Ouzou).

    Khelfouni Kamal, 28 ans, demeurant à Tizi-Ouzou, tué par balles le jeudi 21 juin par des gendarmes.

    Khorsi Hamza, tué aux Ouadhias (Tizi-Ouzou) le 28 avril 2001.

    73. Laadlani Saïd, 50 ans, agent du PMU, mort le 22 mai 2001 à Maâtkas (Tizi-Ouzou), suite à une asphyxie par gaz lacrymogènes.

    Lamini Samir, 19 ans, meurt écrasé par un camion de la gendarmerie le 19 juin 2001 à Larbaâ Nath Irathen (Tizi-Ouzou) lors des affrontements qui ont eu lieu dans la ville.

    Madjane Mehdi, 35 ans, tué le 28 avril 2001 à Seddouk (Vgayeth).

    Makhmoukhen Kamal, 18 ans, tué de deux balles dans le dos tirées par des gendarmes le mercredi 25 avril 2001 à Ighzer Amokrane (Vgayeth) selon le témoignage de sa famille.

    Malek Kamel, 24 ans, journalier, originaire de Timézouine Chorfa, tué d’une balle dans le thorax, le 27 avril 2001 à Azazga (Tizi-Ouzou).

    Mehadi Mustapha, 30 ans, cuisinier de profession, tué d’une balle dans le thorax, le 27 avril à Azazga (Tizi-Ouzou).

    Menad Benabderrahmane, 32 ans, marié et père d’un enfant, grièvement blessé d’une balle dans la tête le vendredi 25 mai 2001 à Tazmalt (Vgayeth), succombera à ses blessures le dimanche 27 mai à l’hôpital d’Akbou.

    Merzouki Arezki, 75 ans, père de 4 enfants, demeurant à Tala N’Chebiha, près de Tigzirt (Tizi-Ouzou), grièvement blessé lors de la marche du 14 juin 2001 à Alger, succombe à ses blessures le 25 juin à l’hôpital de Tizi-Ouzou.

    Mesbah Abdelkrim, dit Krimo, 20 ans, originaire de Guendouz, près d’Ighil Ali (Vgayeth), tué par balles le lundi 18 juin 2001 près de l’hôpital d’Akbou par le policier Ali Belhbib, selon le témoignage de sa famille et de ses amis.

    Meziani M’Henni, 19 ans, lycéen, originaire d’Iloula, tué le 28 avril 2001 à Boubhir, près de Bouzeguène (Tizi-Ouzou).

    85. Mimoun Charf Eddine Mourad, 15 ans, originaire de Boukhlifa, tué le jeudi 26 avril 2001 à Tichy (Vgayeth).

    Mokdaden Djamel, 16 ans, tué le 25 avril 2001 à Seddouk (Vgayeth).

    Mokhtari Amar, tué le 27 avril aux Ouadhias (Tizi-Ouzou).

    88. Mokrab Oulbane, dit Azeddine, 23 ans, tué le 28 avril 2001 par balle par des gendarmes à Larbaâ Nath Irathen (Tizi-Ouzou).

    Morsli Baghdad, demeurant à Labiod Sidi Cheikh (El Bayadh), tué d’une balle dans la nuque le 4 octobre 2001 par un policier selon le témoignage de ses proches lors des émeutes qui avaient éclaté dans cette localité.

    Mouter Sofiane, 21 ans, tué d’une balle au thorax, le 27 avril 2001 à Azazga (Tizi-Ouzou).

    Naâmane Tewfik, 25 ans, originaire d’Aït Toudert (Tizi-Ouzou), mortellement blessé par un véhicule banalisé au Hamiz (Boumerdés), alors qu’il se dirigeait à la marche du 14 juin à Alger.

    Naït Amara Omar, 29 ans, tué par balles par des gendarmes le 28 avril 2001 à Tizi-Ouzou, alors qu’il participait à l’évacuation de Mme Aït Aba Nadia, mortellement blessée.

    Naït Lamara Mohand El Hocine, 19 ans, lycéen, originaire du village d’Abouhassant, près Tizi-Ouzou est tué le 28 mars 2002 par balle lors d’affrontements près de la brigade de gendarmerie d’Abi Youcef .

    Nedjma Fadhila, 26 ans, journaliste au quotidien Echourouk, écrasée par un bus, lors de l’incendie du dépôt de la RSTA de la rue Hassiba Benbouali (Alger) par des émeutiers le 14 juin 2001. Elle succombera à ses blessures à l’hôpital Mustapha.

    Nekali Abderrahmane, 27 ans, demeurant à Akbou (Vgayetha), tué par balles le lundi 18 juin 2001 à hauteur de l’hôtel Le Palace.

    Ouahab Rachid, 17 ans, lycéen, tué le 27 avril 2001 à Maâtkas (Tizi-Ouzou) par des gendarmes d’une balle dans la tête.

    Raab Slimane, 23 ans, originaire de Bouzeguène (Tizi-Ouzou), grièvement blessé au cou par des tirs de gendarmes le 28 avril 2001, décédé le 12 mai à l’hôpital de Tizi-Ouzou suite à ses blessures.

    Rahim Karim, 20 ans, employé à l’hôtel Thiniri de Boghni (Tizi-Ouzou), poignardé par un manifestant le 28 avril 2001 lors du saccage de l’établissement.

    Rihane Mohamed, 18 ans, originaire d’Almabouamane, près de Timizart (Tizi-Ouzou), grièvement blessé à la tête lors d’un tabassage par les services de sécurité le 26 mars 2002 à Fréha (Tizi-Ouzou), succombe le lendemain à ses blessures (hémorragie cérébrale).

    Saddek Brahim, 38 ans, tué par balles le 26 avril 2001 à Ouzellaguen (Vgayeth) par des gendarmes.

    Sadet Youcef, 20 ans, originaire de Tamassert (commune d’Aghribs), grièvement blessé d’une balle dans la tête à Azazga (Tizi-Ouzou) le 27 avril 2001. Mort à l’hôpital Mustapha trois jours plus tard.

    Saïdani Djamel, 39 ans, originaire de Béjaïa, grièvement blessé lors de la marche du 14 juin à Alger, succombe à ses blessures le 18 juin.

    Saïdi Akli, 35 ans, originaire d’Aokas, routier de profession, tué d’une balle dans la tête à Ouzellaguen (Vgayeth) le 25 avril 2001.

    Sebas Lahcène, 15 ans, lycéen, demeurant à Tizi N’Braham, commune de Bouandas (Sétif) tué par balles le 30 mai 2002, lors des manifestations de rejet des « élections  » législatives.

    Sennour Boudjemaâ, 14 ans, collégien, originaire d’Aït Abdelkrim (Ouadhias), tué le 28 avril 2001 aux Ouadhias (Tizi-Ouzou).

    Serraye Hafnaoui, 30 ans, demeurant à Béjaïa, circulant en moto avec son compagnon, fut violemment percuté par une voiture banalisée de la police lors de la reprise des manifestations, le vendredi 15 juin 2001. Ses amis accusent le policier surnommé Ali Bab El Oued d’être l’auteur de ce meurtre. Selon le témoignage de son frère, la moto aurait été ensuite incendiée par des policiers.

    Sidhoum Karim, 17 ans, originaire de Chellata, grièvement blessé par balles le 18 juin 2001 à Akbou (Vgayeth), succombe à ses blessures à l’hôpital de Sétif.

    Slimani Nafaâ, 23 ans, originaire du village Ikoussa, est tué par balles au thorax par des gendarmes le 23 mai 2001 à Bouzeguène (Tizi-Ouzou).

    Tounsi Djamel, 25 ans, originaire de Mizrana, est tué par arme blanche le 1er avril 2002 à Tigzirt (Tizi Ouzou) suite aux affrontements avec les gendarmes.

    Yagouni Noureddine, 34 ans, père de 2 enfants, tué le 28 avril 2001 de plusieurs balles par des gendarmes à Chemini, près de Sidi Aïch (Béjaïa).

    Yahiaoui Habib, 34 ans, demeurant à Dahra (Chlef), tué le samedi 28 juillet 2001 par balles par le maire du village, suite à un mouvement pacifique de protestation devant le siège de la mairie.

    Yahia Chérif Karim, 31 ans, tué par balles le jeudi 26 avril 2001 à El Kseur (Béjaïa).

    Yousfi Azzeddine, 36 ans, marié et père de 2 enfants, demeurant à Tassaft, près de Beni Yenni (Tizi-Ouzou), tué par un tir de grenade lacrymogène près de la brigade de gendarmerie de Tassaft le 29 mars 2002.

    Zekkar Fatiha, épouse Remadni mère de famille, demeurant à Khenchela, tuée d’une balle dans le thorax le 11 juin 2001, alors qu’elle se trouvait sur son balcon, observant les manifestations.

    Zerrouk Adel, 25 ans, journaliste au quotidien El Bilad, meurt écrasé par un bus, lors de l’incendie du dépôt de la RSTA de la rue Hassiba Benbouali (Alger) lors de la marche du 14 juin 2001.

    QUESTION: qui est responsable de ces crimes humanitaires?
    REPONSE: le pouvoir politique d’algerie.

    avez-vous vu un certain K-senti-ni et/ou un certain Rezzag Barra (actuellement recompensé par le drs comme ambassadeur en afrique)?

    Pour le futur:
    nous avons leurs crimes repertoriés dans des fichiers informatiques pour le futur TPI/CPI, le pouvoir a ses crimes humanitaires…

    Ces gendarmes, sont-ils pour la securité des citoyen(NE)s ou bien pour les terroriser/massacrer?

    Malheureusement avec des preuves entre les mains, cette gendarmerie est sanguinaire et est au service de la junte militaire au pouvoir.
    Elle est tachée de beaucoups de sang de ce peuple heroique.

    Tendrement votre.

  3. kamel dit :

    Je m’incline devant leurs mémoire et je prie dieu de les accueillir en son vaste paradis et leurs familles leurs donner le courage nécessaire pour, au moins, s’habituer à leur absence car aucun Kabyle ne peut oublier ce qui s’est passé.
    moralité: Tant que je suis vivant je ferai tout pour que la Kabylie ne se soulève plus jamais. nous avons assez donné pendant que les autres algériens nous traitent de séparatistes au point d’en convaincre certains d’entre nous.
    à bon entendeur salut

  4. arezki dit :

    vive le ffs et longue vie a hocine ait-ahmed,la kabylie resistera a tous les complots conquoctes dans les laboratoires du drs du regime d’alger.vous pouvez meme mettre des brigade dans chaque village.le regime d’alger tombera et tous les generaux avec.rira bien qui rira le dernier.

  5. massi dit :

    pourkoi pas un gendarme par chambre ??? ya la3reb arkhiss
    vive la kabylie on tous cas nous ce que on veut on l’as récupéré ( TAMAZIGHT )

  6. massi dit :

    ad yarhem rebbi tous les martyres à cause de TILELLI

  7. lila dit :

    moi je mapel lila jabite a la kabilie jai 20 ans jai vicu les evenement de printemps noire en 2001 mais la question que je posse as tout les gendarme son des tueur ……..

  8. silina dit :

    moi je mapel silina j 16 ans jaime les gendarme et jaime les kabylie c tune chouse tré tré facil q taime les 2 m je sui pas un kbeyliya je sui arbiya et jabite a tizi ouzou pui 4ans.j’ditèste les rasiste q laime pas les gendarme wla les kabylies nou some touse des algrines ma kech farek binetn aya massi vive les kabyle vive les arabe et 1 2 3 viva lalgérie wwwooooooooooope…………
    (wal nikache yebka maftouhan)

  9. dj dit :

    les kabiler oublier tout

  10. ouddane messtafa dit :

    rapor pour .m directour de armai de la wilaya de tizi ouzou pour dat de 19/05/2010

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