Pourquoi je ne crois plus aux élections
Le RCD a suggéré la présence d’observateurs étrangers lors des élections présidentielles du mois d’avril 2009.
En qualité de jeune algérien, je ne crois plus aux élections dans notre pays. Pourquoi ?
1-Comment expliquez-vous votre présence à l’APN avec un taux record d’abstention, soit environ 75% des Algériens qui n’ont pas jugé utiles de voter.
2- A chaque élection, vous signalez une fraude ; alors il est inutile de se porter candidat à une élection qui se prépare déjà par des fraudes.
3-Trouvez-vous juste qu’un député algérien perçoit un salaire mensuel de 300.000,00 dinars au moment où certains Algériens (nes) ne possèdent même pas un domicile ?
4-Pour ma part, en référence à nos qualités d’algériens (solidaires), comment acceptez-vous de percevoir ces 300.000,00 dinars au moment où vos frères mangent qu’un seul maigre repas par jour et parfois même pas.
5- Parfois ça m’arrive d’avoir honte de mon algérianité suite à cette situation.
6-Les partis politiques sont les seuls défenseurs des citoyens après le pouvoir bien sûr qui est censé de défendre ces citoyens.
7-C’est pour cela que je n’ai pas confiance plus aux élections.
J’espère que notre chère Algérie deviendra le premier pays juste, démocratique du monde.
Mes remerciements.
Arezki, jeune algérien
A mon frère ou mon fils jeune Algérien
Moi aussi je ne crois pas aux élections et au fond de moi, je n’ai jamais cru à leurs élections et je ne croirais jamais plus à leurs élections tant que je serais vivant et tant qu’ils seront au pouvoir. Je suis prêt à croire aux miracles les plus imprévisibles et les plus incroyables mais je croirais pas à leurs élections en gros et en détail. Je suis prêt à ne plus croire à toutes mes convictions les plus profondes, les plus anciennes et les plus claires(religieuses, spirituelles, intellectuelles, humaines…) mais je pourrais plus croire à leurs élections, jamais plus, même si je dirais oui sous l’effet de la torture et de la douleur au fond de moi, je ne croirais pas à leurs élections. Comme je ne crois pas qu’ils vont changer, qu’ils vont nous respecter, qu’ils vont partir comme ça, qu’ils vont nous écouter, qu’ils vont nous comprendre, qu’ils vont s’intéresser à nous, qu’ils vont nous demander pardon pour tout le mal qu’ils nous ont fait et qu’ils continuent à nous faire et qu’ils vont s’humaniser un jour. Je ne les crois plus cher frère ou cher fils car ils n’avaient pas souffert durant la guerre. Ils n’avaient pas connu la misère, le deuil, l froid, la faim et la terreur. Car, ils étaient les amis, les oreilles, les yeux, les langues et les serviteurs du colonisateur. Car ils n’avaient pas connu la douleur qu’avait ressenti le coeur d’une mère ou d’une épouse ou d’un père ou d’un fils ou d’une fille qui avait perdu un être cher en combattant comme un lion ceux qui s’opposaient à sa liberté et à la conservation de sa dignité sur son propre sol sur la terre de ses ancetres aussi loin qui vont ses souvenirs. Car ils avaient vécu au chaud, le ventre plein, costume cravate, sommeil généreux et réparateur et avec une santé de feu pendant que notre terre buvait goulûment le sang de ses martyrs, pendant que nos maisons explosaient sous le feu nourri de leurs redoutables bombes et pendant que la désolation s’installait dans chaque coin et recoin de cette terre rebelle depuis la nuit des temps. Car, ils étaient restés loin de la mort qui rodait nuit et jour pendant sept longues années partout sur notre sol. Car, ils avaient passés leurs plus belles années à se préparer au jour de la victoire pour l’arracher de force et par la ruse à ceux qui étaient épuisés par ces sept années pleines de souffrances, de frustrations, de doutes, de peur, de deuils, de blessures et tortures. Car, ils n’avaient jamais goûté aux succès par la sueur, par le manque, par la patience, par le risque et le combat acharné et sans pitié contre un ennemi puissant, redoutable et sans coeur. Car, ils n’ont jamais connu la notion de sacrifices pour un idéal noble et universel : se libérer du joug de ceux qui veulent vous soumettre injustement pour devenir leurs esclaves ou leurs serviteurs. Car, ils étaient très habitués à obtenir tout par le vol, la manipulation, la fourberie, le mensonge, la rumeur, la trahison, le crime et la torture. Car, jusqu’à maintenant, ils n’ont pas honte de s’en prendre à leurs frères et à leurs soeurs. Car, ils n’ont toujours pas honte de nous massacrer, de nous humilier, de nous brimer, de nous voler, de nous tuer par centaines, de nous torturer, de nous écraser, de mépriser et de nous haïr de plus en plus fort. Car, ils n’ont pas honte de nous voir diviser, de nous voir perdre nos valeurs, de nous voir mendier, de nous maintenir dans l’ignorance, de nous pousser au suicide, à la folie, à la fitna, à la guerre, à la pauvreté et la régression de plus en plus irréversible mon cher fils ou mon cher frère. Car, ils ont l’argent, la force et le pouvoir mais au lieu de construire notre pays pour lui offrir la lumière, ils ont décidé de le détruire et de le plonger dans les ténèbres de l’enfer. SAHA YAZMAN !
Salutations fraternelles ou paternelles selon ton âge. Continue sur cette voie cela sera bien pour ton pays et pour toi.
il est vrai que tous ceux qui sont contre ezzaim sont soit des fossoyeurs,soit des flics ou alors
des anti rabbi estaghfir allah.
votre ezzaim est tout le mal qu’a engendre l’algerie pour sa democratie.
celui qui s’accoquine avec les destructeurs de l’algerie berbefelenistes et les integristes appel
les foudres de tous ceux qui aiment ce pays.
yaha abdelhafid entre autres n’est entre en jeu que parce que votre messie ne voulait pas rentrer au pays.
et ce n’est qu’apres les demarches de si hafid pour deposer les statut du parti ffs et sous l’influance de nait
djoudi qu’il s’est enfin reveillé pour jeter sahaine sur ses anciens amis ainsi que les jeunes du mcb qui avaient
osés creer un parti.
mais toute verité n’est pas toujours bonne à dire n’est-ce pas ?.
n »est-ce pas lui qui avait dit un jour « j’ai les montagnes derriere moi »?.apparemment il ne les à plus…
à bon entendeur.
par(adjouadi)