Le FFS: une école moderne
Voilà les hommes de valeurs qui font de leur priorité la formation et l’instruction civique et politique à la population afin de les libérer du joug de la gestion classique et de l’ignorance du pouvoir en place. Le FFS démontre qu’il est une école, une liberté ; c‘est un parti, de part cette initiative, qui veut donner un vrai sens et un repère politique au peuple algérien. Mais le FFS se doit de former ces citoyens sélectionnés sur le MANAGEMENT POLITIQUE qui est devenu indispensable face aux exigences de la mondialisation politique et économique afin de répondre aux défis majeurs auxquelles notre pays et l’humanité ont à se confronter, car «L’art le plus difficile n’est pas de choisir les hommes mais de donner aux hommes qu’on a choisis toute la valeur qu’ils peuvent avoir».
En ces temps modernes et au delà de l’approche idéologique et technocratique, les responsables politiques du parti doivent prendre en compte les impératifs de l’exercice du pouvoir tout en étant à l’écoute du peuple pour préparer une stratégie de prise de pouvoir et cela par une formation sur le comment concevoir un projet politique, l’organiser, le piloter et l’évaluer, en initiant ces concernées aux politiques de management de crise. Le FFS se doit de mettre en place une politique de management par objectifs pour donner du sens au travail et à l’action, afin de prendre conscience de l’impact de ses paroles et de ses comportements sur la population afin d’augmenter son niveau d’intelligence émotionnelle, car la gestion des affaires publiques moderne s’inscrivent désormais dans la culture du résultat, l’expérimentation, l’évaluation, l’efficacité et la communication d’une manière transparente. Contrairement au pouvoir qui persiste dans sa logique préhistorique, la classe politique se doit prendre acte du FFS afin d’être en phase avec la modernité.
Par Mohand Tahar MOHAMMEDI
En effet
Le FFS: une école moderne
son Histoire parle son propre language.
Permettez de vous presenter ce qui suit:
Le FFS de Bouira a organisé hier une conférencedébat en hommage aux 31 martyrs de la démocratie tombés un certain 17 juillet 1964 au lieu-dit Hellassa, relevant de la commune de Ouled- Rached, daïra d’Ath-Leksar, à 20 km au sud-est de Bouira.
Plusieurs figures historiques de la région ont été invitées à cet événement pour apporter leurs témoignages sur cette douloureuse page de l’histoire du pays, pour laquelle Aït Ahmed avait œuvré pour changer mais vainement.
Ainsi, selon un historique des évènements présenté par un des militants de la première heure, M. Maârouf Medjbar, membre de la fédération de Bouira, la création du FFS le 29 septembre 1962 a été l’œuvre d’éminents enfants du pays pour stopper la dictature rampante de Ben Bella qui agissait avec la bénédiction du groupe d’Oujda et l’armée des frontières dirigée par Boumediene.
Le conférencier, avant de parler du maquis du FFS de 1963/1964 évoquera la confiscation de l’indépendance par l’armée des frontières qui était prête à mettre le pays à feu et à sang pour prendre le pouvoir…
Ainsi, c’est après que Aït Ahmed et plusieurs de ses camarades de lutte pendant la révolution se sont aperçus que Ben Bella et le groupe d’Oujda étaient décidés à asseoir une dictature comme modèle de gouvernance avec le FLN comme seul parti reconnu que l’idée de créer un parti d’opposition au régime avait germé.
Et juste après la proclamation du FFS à Tizi-Ouzou lors d’un meeting où les membres fondateurs étaient des citoyens venus des quatre coins du pays, le pouvoir de Ben Bella a envoyé des chars pour réprimer dans l’œuf cette nouvelle formation politique.
C’est là que pratiquement tous les moudjahidine de la wilaya III historique ont décidé de rejoindre le maquis, non pas, insistera-t-il, pour tuer leurs frères d’hier mais pour défendre leur idéal de démocratie auquel ils croyaient fort.
Ainsi, le maquis du FFS n’était nullement un maquis séparatiste ou indépendantiste mais d’essence démocratique luttant contre l’hégémonie que Ben Bella voulait installer au lendemain de l’indépendance.
Et au sujet de ce maquis FFS auquel il avait participé, M. Maârouf, tout en évoquant les 13 martyrs tombés sous les balles du pouvoir en place, parlera d’un autre martyrs de la région, en l’occurrence M. Boumedehal Boualem tombé devant lui à Ath-Oulhadj un certain 21 juillet 1964, soit quatre jours après la mort des 13 martyrs de Hellassa.
D’autres militants FFS de 1963 ont pris la parole pour évoquer cet épisode douloureux de l’histoire contemporaine du pays. Pour sa part, M. Messaoudi, fédéral de Bouira, parlera de toutes les démarches faites par le FFS pour que le pouvoir reconnaisse le statut de martyr pour les 400 moudjahidine tombés lors du maquis FFS de 1963/1964, premiers martyrs de la démocratie de l’Algérie post-indépendance.
Par ailleurs, lors des débats, le fédéral du FFS et au sujet de la dissolution des APC et APW par le pouvoir en Kabylie réitérera la position de son parti :
“Nous resterons à nos postes et nous résisterons par tous les moyens pacifiques.”
“Par ces méthodes dictatoriales, le système de gouvernance du pays a reçu un sale coup. Vous imaginez un pays en 2005 se proclamant de la démocratie et qui ose dissoudre des conseils municipaux et de wilaya démocratiquement élus et par qui s’il vous plaît ?
Par un gouvernement désigné.
Incroyable !” conclura M. Messaoudi.
Y. Y.
x-trait de:
http://www.lesoirdalgerie.com/articles/2005/07/20/article.php?sid=25861&cid=23
Tendrement votre.
Le ffs doit creer de nouveaux reflexes pour ses militants pour répondre aux attentes du peuple algerien vis a vis du FFS et surtout dans la gestion des affaires publique
a AMIN ET AMINA- je vous informe mais vous le savez dejà, que apparemment malgré son militantisme indiscutable , Mr. Messaoudi a subi les foudres de la direction nationale qui a fini par l’EXCLURE.- ALLAH IRRAHMAK A SI MEJBER MAROUF -Nous continuons a combattre l ‘oligarchie- le combat detourné-la confiscation et l exclusion COMME TU NOUS L A APPRIS-REPOSE EN PAIX A SI MEJBER.
l’école « de la chasse aux sorcières »
l’algérie et le projet démocratiques ont besoin plus que des actions de tape à l’oeil, d’un sursaut, véritable pour faire bouger les lignes, une école, pour former quoi? Des militants qui obéissent au doigt et à l’oeil du chef, du nouveau gourou, il faut sortir le ffs du siège et redonner la parole aux militants, ceux qui restent encor
Merci Dr. amina&amin,
dans la vie il y’a effectivement celui/celle qui parle et autre qui fait/active et justement l’on constate que ce parti democratique a toujours ete actif…
Par Ghada Hamrouche
La Tribune du 24 janvier 2009
Loin du brouhaha de l’élection présidentielle, le Front des forces socialistes (FFS), clairement démarqué de cette échéance, ne compte pas, pour autant, rester en hibernation.
Le parti a tracé un riche programme d’activités qui a débuté ce week-end, notamment dans les wilayas d’Alger et de Tizi Ouzou.
La réunion du conseil fédéral de la wilaya d’Alger organisée jeudi s’inscrit, selon la direction du parti, dans le cadre de la restructuration organique du FFS, a expliqué le secrétaire national du parti chargé de la communication, M. Sadeg Nassim.
Cette réunion qui intervient à la veille de la session ordinaire du conseil national du FFS, prévue pour les 12 et 13 février prochain, permettra aux militants de base d’échanger leurs points de vue lors du débat et d’émettre des propositions qui seront soumises au conseil national, a ajouté ce responsable.
La convocation du conseil fédéral, après la session ordinaire du conseil national du FFS, réunie les 25 et 26 décembre dernier, permettra aussi d’expliquer aux militants et aux élus le plan d’action et le programme d’activités du secrétariat national du parti pour l’année en cours, a encore indiqué M. Sadeg.
Il a, en outre, souligné que cette réunion, qui coïncide avec la tenue de trois autres réunions des conseils fédéraux des wilayas de Tizi Ouzou, Béjaïa et Bouira, aura à discuter du processus de restructuration du parti lancé par l’actuel secrétariat national.
Il s’agit également de faire le point, a-t-il précisé, sur l’opération d’installation de l’ossature statutaire et organique du FFS, à travers la mise en place des administrations de sections et des administrations fédérales dans le but de « réunir un climat favorable à la restructuration du FFS ».
Relevant la « réussite » de la première session de l’école du FFS Ali Mecili, avec la participation de 1 000 étudiants, M. Sadeg a annoncé la tenue d’une deuxième session, pour le 30 janvier prochain, consacrée à « l’agression israélienne contre la bande de Ghaza ».
« Les conférences et les thèmes qui seront abordés à cette occasion seront communiqués ultérieurement », a-t-il souligné.
Une école de formation politique du FFS ouvrira ses portes, fin janvier, au siège central de ce parti situé à Alger, a annoncé jeudi le premier secrétaire du FFS.
S’exprimant sur ce même sujet lors d’une rencontre qu’il a animée au siège de la section de Tizi Ouzou, le premier secrétaire du parti, M. Karim Tabbou, a indiqué que « le millier d’étudiants inscrits à l’école sont issus de 18 universités du pays.
Une première étape qui sera suivie par d’autres pour toucher d’autres catégories sociales ».
Il a précisé que l’encadrement de cette formation politique « sera assuré par des universitaires et des experts tant nationaux qu’étrangers, issus de l’Internationale socialiste, de députés européens, en plus d’animateurs de fondations proches des partis socialistes occidentaux ».
Par ailleurs, M. Tabbou a fait état de la « programmation pour la semaine prochaine » par le secrétariat national du FFS d’une « rencontre avec des représentants d’organisations palestiniennes pour débattre de la réalité et des perspectives de la cause palestinienne ».
Abordant l’aspect organique de cette formation politique, le conférencier a appelé les responsables des structures locales de son parti à « activer l’opération de restructuration des sections communales du FFS, à travers l’organisation de leurs congrès », en fixant la date du 14 mai prochain pour la tenue du congrès de wilaya.
En plus de son école de formation, dont l’activité est maintenant effective, le FFS compte relancer d’ici la fin de ce trimestre, selon son premier responsable, l’édition de son journal, devant intervenir concomitamment avec l’installation du département de la communication au niveau de son siège central, en plus de l’enrichissement de son site Web et de l’impression des documents du parti sur des CD.
G. H.
http://www.ffs-dz.com/Le-FFS-poursuit-sa-restructuration.html
Comme dit le sage: il y’a celui/celle qui critique pour uniquement critiquer (destruction) et il y’a celui/celle qui active (travaille) et se performe…
WaSalama/artufat
L’autosatisfaction et l’autosuffisance d’un certain personnel politique de « l’opposition » est come le programme d’autosuffisance alimentaire du régime: il a mené oça a mené. Arrêtez de vous prendre pour le nombril du monde