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Archive pour le 29 janvier, 2009

Algérie: Accusations de viols contre la CIA

Une enquête visant le chef du bureau de la CIA en Algérie a été ouverte par les Etats-Unis. L’homme est soupçonné d’avoir violé deux musulmanes après avoir versé de la drogue dans leurs boissons. « Les Etats-Unis prennent très au sérieux toute accusation d’inconduite de quelque membre que ce soit du personnel américain à l’étranger« , a déclaré Robert Wood, porte-parole du département d’Etat. « L’individu en question a regagné Washington et le gouvernement américain enquête sur l’affaire« , ajoute-t-il. Le JJD

Rachid Tlemçani: « Depuis l’arrivée de Bouteflika, le DRS est le grand vainqueur »

tlem.jpgDans un long entretien accordé à El Watan, Rachid Tlemçani, enseignant-chercheur au département des sciences politiques de université d’Alger a réagi aux dernières déclarations du général à la retraite Rachid Tlemçani qui a affirmé que l’armée est exclue du pouvoir. Pour M. Tlemçani a indiqué que le contibution de M. Benyelles n’examine pas rigoureusement la relation de l’armée avec la politique. « Cette relation repose en réalité sur 4 variables essentielles évoluant dans une économie de bazar : la Présidence, l’état-major de l’armée, la police et le DRS.

Pour renforcer son pouvoir, le président de la République a su magistralement faire jouer ces appareils les uns contre les autres. Tout compte fait, l’état-major est apparemment le grand perdant de cette lutte. L’armée fut «éjectée» de la scène politique au profit de la professionnalisation de ses structures. Le grand vainqueur est le DRS qui est devenu, tout en se redéployant horizontalement et verticalement, une structure indépendante, comme l’Etat hégélien, au-dessus des sensibilités politiques et des groupes de pression. Sur la base de cette nouvelle configuration, des cercles de pouvoir tentent de pousser les islamistes à accaparer le pouvoir formel.

Selon des think-tanks, la stabilisation de la «rue arabe» passe inévitablement par une alliance stratégique entre le turban et le képi et entre la mosquée et le bazar. L’islamisme «modéré», quand il est bien guidé économiquement, par les institutions multilatérales, serait en mesure de produire de la croissance économique et de créer des emplois pour une jeunesse sans repères. Selon cette vue de l’esprit, l’islamisme modéré peut assurer à la fois la stabilité politique et le décollage économique. »

Abdelhamid Mehri: « L’arrestation de Hasseni est une humiliation pour la diplomatie algérienne »

mehri2.jpgL’ancien secrétaire général du FLN, Adbelhamid Mehri, a qualifié l’arrestation en France de Mohamed Ziane Hasseni d’humilitation pour la diplomatie algérienne. « La diplomatie algérienne est humiliée par la France qui a procédé à l’arrestation de Hasseni », a regretté Mehri. « Je ne vois pourquoi on maintient sous contrôle judiciaire le diplomate algérien alors que son innocence est établie », s’est interrogé l’invité de l’hebdomadaire El Khabar El Ousbouai avant d’affirmer que la diplomatie algérienne fonctionne « aala bab Allah ». Pour rappel, Abdelhamid Mehri occupait le poste d’ambassadeur d’Algérie à Paris au moment de l’assassinat de l’avocat et opposant Ali Mecili. El Mouhtarem

Ahmed Ouyahia: «ceux qui boudent la présidentielle sont des politicards de salons»

ouy.jpgLe Premier ministre et patron du RND, Ahmed Ouyahia, a qualifié hier, lors de son intervention à l’ouverture des travaux de la journée parlementaire sur la réconciliation nationale, ceux qui boudent la présidentielle d’avril 2009 de «politicards de salons». «L’Algérie n’est pas constituée de salons politiques et elle n’est pas aussi un marché pour argent malsain. Si ces gens ont tendance à oublier, nous leur rappelons ce qui s’est passé en 2004. Le peuple est la base de la démocratie et le seul décideur», a-t-il indiqué.  Pour rappel, la Journée est organisée par les députés de l’Alliance présidentielle.

Le CDH décide de suspendre le statut consultatif spécial de la Commission arabe pour les droits de l’homme pour une durée d’un an

mecili.jpgLe Comité a pris une décision pour sanctionner une violation de la résolution 1996/31 de l’ECOSOC par la Commission arabe pour les droits de l’homme (CADH), organisation dotée du statut consultatif spécial auprès de l’ECOSOC.  La délégation de l’Algérie avait en effet formulé une plainte à son encontre, le lundi 21 janvier*, lui reprochant de s’être fait représenter à une réunion du Conseil des droits de l’homme, le 10 juin 2008, par un de ses membres, M. Rachid Mesli, qui était aussi membre d’une organisation figurant sur la liste 1267 du Conseil de sécurité, liste qui contient les noms d’organisations ayant des activités terroristes.

Après un long débat et un vote nominal, le Comité a décidé, par 18 voix pour et une abstention (États-Unis), de suspendre le statut consultatif spécial de cette organisation pour une durée d’un an.  Cette mesure a été assortie de la décision d’adresser une lettre à l’organisation, pour lui demander de fournir la liste de tous ses membres avant le 1er avril 2010.

Les délégations se sont ensuite exprimées longuement sur ce dossier, la majorité soutenant l’idée d’une sanction qui était initialement proposée pour une durée de trois ans.  Le délégué de l’Algérie a d’abord expliqué que la personne qui avait pris la parole au nom de l’ONG dotée du statut consultatif spécial avait un lourd casier judiciaire, ayant commis des activités criminelles qui ont été jugées comme telles par les autorités algériennes.  Appuyé par Cuba, le Qatar, la Guinée, le Soudan, la Turquie, la Chine, la Dominique, le Pakistan, l’Angola et la Fédération de Russie, le représentant de l’Algérie a demandé que le Comité prenne des mesures contre l’usage abusif de ce statut consultatif spécial et empêche ainsi l’ONG de s’en prévaloir pendant trois ans.  La délégation de la Chine a rappelé que, dans des cas qu’il avait examinés dans le passé, le Comité avait pris ses décisions de sanction sans attendre.

(…) De son côté, le représentant des États-Unis, rappelant son rôle de chef de file dans la lutte contre le terrorisme et dans la défense des droits de l’homme, a souligné l’importance pour le Comité de respecter les procédures avant de prendre toute mesure de sanction.  Reconnaissant la violation de son statut par l’ONG considérée, il a estimé qu’il serait préférable d’opter pour un blâme.  Pour décider d’une sanction telle que la suspension, il nous faudrait davantage d’informations, a-t-il fait remarquer.  Le représentant a précisé que la délégation qui a introduit la demande de sanction n’a pas communiqué les éléments que sa délégation demandait.  M. Mesli a obtenu le statut de réfugié en Suisse en 2000, a-t-il aussi noté, avant de demander à la délégation de ce pays de donner des précisions sur son statut.  «Nous aurions souhaité que cette plainte soit déposée plus tôt», a aussi indiqué le représentant des États-Unis, par exemple au cours des réunions du Groupe de travail en décembre dernier, afin de disposer de plus de temps pour recueillir toutes les preuves nécessaires à une décision de suspension.

(…) La représentante de l’Algérie a conclu ce débat en soulignant la souplesse dont a fait preuve sa délégation qui a décidé de ne pas demander un retrait du statut mais seulement sa suspension.  Elle a rappelé que les autres délégations n’ont ni la compétence ni la prérogative de se prononcer sur les activités criminelles de M. Mesli qui ont été jugées par les juridictions algériennes.  Le représentant des États-Unis, a-t-elle aussi relevé, a donné des précisions sans citer ses sources.  «Nous ne sommes pas là pour faire le procès de l’Algérie ou de la Suisse, ni pour apprécier le statut de réfugié de M. Mesli», a-t-elle ajouté.  L’Algérie n’a d’ailleurs jamais dénoncé l’octroi du statut de réfugié politique à M. Mesli par la Suisse, a-t-elle fait observer.  Selon la représentante algérienne, le Comité ne devrait pas s’éloigner du mandat qui est conféré en s’abstenant de sanctionner une violation flagrante.  Elle a considéré que la suspension est la sanction minimum et s’est montrée ouverte à une autre durée.

(…) Reprenant la parole, le représentant des États-Unis a expliqué sa position de principe, estimant que les allégations ne sont pas très claires à ce stade.  Il a estimé que le statut de réfugié politique de M. Mesli exige que l’on prenne plus de temps pour vérifier s’il est véritablement impliqué dans l’organisation figurant sur la liste 1267 du Conseil de sécurité, lui-même n’y figurant pas. (…)

Source CDH/ ONU

Kasdi Merbah n’a pas été tué par des terroristes

merbah.jpgJe confirme vos dires sur la mort de Kasdi Merbah, il a été assassiné près d’Alger-plage, et la manière dont l’opération a été exécutée et l’heure, ainsi que les armes utilisées montrent que se ne sont pas des terroristes qui l’ont préparé mais plutôt des gens qui avaient la garantie qu’ils ne seront pas dérangés durant leur boulot.
Le motif de cet assassinat était la sacoche (cartable) que portait avec en ce moment là, Mr Kasdi Merbah……

Le problème qui se pose, c’est que les unités stationnées dans cette zone en ce moment, ont reçu l’ordre de ratisser cette zone pour chercher un véhicule ou des véhicules signalés par la population, qui ont été utilisés pour la dite opération et d’essayer de récupérer une sacoche ou cartabe, ce qui prouve que le haut commandement en cette période sous le commandement de Mohamed Lamari, n’était pas à l’origine de l’opération, mais qu’il y a d’autres organismes qui opéraient parallèlement !!

Je dois confirmer, qu’il y a un organisme en Algérie qui opère dans l’intérêt de la multinationale, cette organisme n’a rien à voir ni avec l’armée, ni avec les services secrets algériens…. Cet organisme est plus structuré qu’on le croit, et dépend de sociétés secretes qui opèrent dans un but mondial, même les Etats ne peuvent pas le contrôler. Peut-être qu’il y a des officiers ou des personnes haut placées qui sont à l’origine de ces opérations, mais il reste toujours à prouver.

Les Algériens, et sous couvert de la lutte anti terroriste, ont été privé de leur liberté et leurs droits civils. Et sous couvert de la lutte anti terrotiste, on combat l’opposition, car combattre l’opposition, serait combattre la liberté et le droit de crier haut. Et sous la couverture de la lutte anti terroriste on combat l’islam. L’Algérie en réalité est devenue un marché au profit de la multinationale, il suffit de savoir qui produit pour savoir qui est derrière ce qui se passe en Algérie.
L’Algérie ne doit pas produire, elle doit consommer. Si l’occident nous accepte et nous tolère c’est seulement parce que nous sommes un pays désarmé, un pays qui ne représente aucun danger pour l’occident. Si l’Occident sent que nous pensons, je dis penser, à devenir indépendants dans notre décision, il vont débarquer chez nous, et le terrorisme est une façon de déstabiliser le pays pour le contrôler et le cerner pour l’asphyxier.

La question reste posée: qui est l’organisme qui est derrière ce qui se passe en Algérie ? Il ne faut pas accuser, mais il faut apporter les preuves, car il faut constituer un dossier pour pouvoir accuser, aucun juge ne peut accepter des paroles, mais des preuves et rien que des preuves. Par Achour

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