27 janvier, 2009
Le pouvoir de l’ombre existe parce que il a trouvé une personne qui le représente et le couvre, et cette personne est le président de la république
En réalité, il y a du vrai comme il y a du faux dans ces dires. Le vrai, c’est que le DRS est l’unique corps de sécurité qu’on ne peut pas contrôler, c’est-à-dire qu’il échappe au contrôle, car il peut exercer dans les deux sens, avec l’Etat et en parallele à l’Etat, contrairement au corps de la police ou la gendarmerie ou même l’armée qu’on peut, quelque soit la couverture, réussir à connaitre et à dénicher les personnes coupables.
Le faux c’est que, se ne sont pas tous les officiers du DRS qui sont à l’origine des complots et des conspirations en Algérie; il suffit de prendre le Colonel Samraoui, et d’autres qui ont été liquidés même par leurs collègues du DRS, ce qui prouve qu’il ne faut pas mettre tout le monde dans le même panier. Il faut savoir en outre que ce corps ou un autre comme l’est à travers le monde entier, repose sur la discipline, et l’exécution des ordres, ce qui signifie que chaque élément est appelé à obéir sans discussion aucune, donc, le problème reste posé au niveau des décideurs politiques, les décideurs politiques sont les premiers responsables de tous les crimes, quelque soit leur nature, même les crimes économiques.
Je dois préciser dans ce cas que c’est le Président de la république et le parlement qui sont les responsables de tous les crimes commis durant la période de leur exercice. On ne peut jamais accuser un militaire ou un policier, quelque soit son corps de crime sauf s’il a commis ce crime hors du service ou à titre personnel. Celui qui prend la responsabilité complète c’est l’organisme politique sous l’autorité duquel ces crimes ont été commis.
La situation en Algérie est connue, des gens bien placés et qui sont contre le pouvoir et ses agissements existent et on les connait, donc pas la peine de chercher à en créer d’autes ou à en importer de l’étranger !!!
La question primordiale et qui est une priorité pour tous, et de trouver un homme derrière lequel le peuple, et tout le peuple ou au moins la mojorité écrasante du peuple le suit pour guider ce peuple vers une sortie sans trop de dégats, car pour réussir à renverser le pouvoir, il faut savoir qu’on va affronter le monde entier, surtout aujourd’hui que ce pouvoir s’est donné une raison d’exister et qui consiste en la lutte anti terroriste !!!
Le pouvoir de l’ombre existe parce que il a trouvé une personne qui le représente et le couvre, et cette personne est le président de la république. Si ce pouvoir de l’ombre ne trouve pas de protecteur, il dispraitra de lui-même, mais comme il est protégé par une institution politique, et malheureusement votée par une partie du peuple, il restera là, à manigancer et à manipuler, à s’infiltrer au sein de l’administration pour semer la zizanie pour un temps que je considère encore long.
Tout revient à accuser le choix du peuple, ceux qui ont voté pour que la médiocrité continue et s’enracine et durer encore. Par Achour
Commentaires(1)
Demain mercredi 28 janvier 2009 à 22h00 (heure algérienne), le Premier secrétaire du Front des Forces Socialistes, Karim Tabbou sera l’invité de la chaîne de télévision marocaine 2 M. L’émission sera consacrée aux relations algéro-marocaines. El Mouhtarem
Bravo ! Le DRS vient d’être absous de tout soupçon avec brio. Les généraux sont rétablis dans leur honneur. Les assassinats politiques, les massacres impunis sont un incident de parcours. Seuls les lampistes sont coupables comme les présidents et les ministres. Circulez il n’y a rien à voir. On nous assène que ce ne sont pas les militaires qui ont placé 45 milliards de dollars en USA. Donc ils sont innocents de tout. On croit entendre le sénateur Hadad défendre le général Toufik. Qui en 1999 a intronisé celui qui joue avec l’argent du peuple au moment où d’autres candidats de grande valeur se sont investit pour sauver le pays. Les questions comme cela il y en a des tonnes..
Le Comité a examiné une nouvelle fois la plainte déposée par l’Algérie concernant la Commission arabe pour les droits de l’homme (CADH). La délégation algérienne reproche à cette organisation non gouvernementale, dotée du statut consultatif spécial auprès de l’ECOSOC, de s’être fait représenter à une réunion du Conseil des droits de l’homme, le 10 juin 2008, par un membre d’une organisation figurant sur la liste du Comité 1267 du Conseil de sécurité qui contient les noms d’entités ayant des activités terroristes. Le représentant du Pakistan a ainsi fait part des résultats des discussions informelles du Groupe de travail officieux du Comité des ONG qu’il préside, et qui s’était réuni précédemment. Ce Groupe, a-t-il dit, a estimé avoir recueilli suffisamment d’informations de la part de l’Algérie. Il a proposé au Comité de prendre une décision mercredi matin. Il a indiqué que certains membres du Groupe de travail souhaitaient se prononcer immédiatement, d’autres voulant disposer de davantage de temps afin de pouvoir consulter leurs capitales. La déléguée de l’Algérie a, de son côté, rappelé les raisons pour lesquelles son pays avait décidé de déposer une plainte par le biais de la Section des ONG. Les réponses apportées par l’organisation concernée confirment qu’elle était informée du dossier judiciaire de Rachid Mesli, a-t-elle dit. Il ressort des rapports du Secrétariat du Conseil des droits de l’homme et du Bureau des Nations Unies à Genève que cette organisation, qui s’est vue octroyer un statut consultatif auprès de l’ECOSOC, a permis à un individu dont elle connait la situation judiciaire de rentrer à l’intérieur du Palais des Nations, de s’asseoir en face du pays qui l’avait condamné et de prendre la parole en son nom, a-t-elle précisé. Il s’agit là d’une violation flagrante de la résolution 1996/31 de l’ECOSOC, a ajouté la représentante de l’Algérie, rappelant que l’article 57 stipule les cas de retrait et de suspension du statut consultatif des ONG. Elle a ainsi plaidé en faveur d’une suspension du statut consultatif, « afin que les autres ONG puissent savoir qu’elles ont non seulement des droits, mais aussi des devoirs ». Le délégué des Etats-Unis a souhaité obtenir des informations complémentaires de la part de l’Algérie, notant que, selon les réponses apportées par l’organisation, la personne concernée disposait du statut de réfugié en Suisse. Le Comité doit bénéficier de toutes les informations avant de se prononcer sur cette question, a-t-il insisté. Cette position a suscité une vive réaction de la part de la représentante de l’Algérie, qui a demandé si une telle requête ne visait pas à revenir sur un jugement prononcé par la justice algérienne. Les délégués de Cuba, de la Turquie, du Qatar, du Soudan, de l’Egypte et de la Chine se sont également exprimés.
Réagissant aux festivités organisées, la semaine écoulée, au siège de la wilaya de Béjaia par des élus du FLN et des représentants de l’ONM et de l’ONEC, à la mémoire de certains officiers de l’ALN, le président de l’APW, Hamid Ferhat, a accusé les organisateurs d’“avoir souillé la mémoire des vrais martyrs de la Révolution”.
L’ex PDG d’Algérie Télécom, Kheireddine Slimane, et son directeur financier ont été placés sous mandat de dépôt par le juge d’instruction près la Cour d’Alger, rapporte Le Courrier. Les mis en cause sont accusés de passations de marchés non-conformes à la réglementation. Le troisième suspect, propriétaire d’une entreprise privée dénommée SOFAFE, se trouverait en fuite à l’étranger. En effet, l’entreprise privée avec laquelle les marchés ont été conclus est spécialisée dans la vente et la pose de câbles. Les enquêteurs reprochent aux inculpés, outre l’irrégularité des marchés eux-mêmes, le fait qu’Algérie Télécom ait conclu un autre contrat d’achat juteux au moment où un premier n’avait même pas été honoré. Il semble ainsi que les inculpés ne se soient pas contentés de surfacturer les produits acquis comme cela se produit bien souvent dans la passation des marchés publics en Algérie.
Il y a une habitude chez les fellahs et les agriculteurs traditionnels qui pour effaroucher les oiseaux volants, ils mettent en évidence un ou des épouvantails et le tour est joué. Accréditer l’idée en 2009, que la SM nous regarde, nous espionne, va nous tomber dessus, va nous faire disparaître, nous faire licencier, nous faire juger et condamner, surveille le Président, le menace et j’en passe et des meilleures, c’est du cirque.
Le pouvoir néo-colonial instauré par la force des armes en 1962, ayant à sa tête l’adjudant des Tabors marocains, un certain Benbella, qui selon la constitution de 1963, n’avait pas les conditions exigées pour devenir président, car il n’a pas la nationalité algérienne d’origine, a instauré une culture, une tradition, celle de l’assassinat politique, depuis Khemisti, premier ministre des affaires étrangères, ancien Sécrétaire Général de l’UGEMA, Union Générale des Etudiants Musulmans Algériens qui a regroupé toute l’élite universitaire engagée pour la libération du pays. Il a été assassiné et sa mort est restée inconnue. Selon Benbella, son assassin a agi par mobile passionnel. Il serait, selon l’adjudant l’amant de la femme de Khemisti. Les connaisseurs savent que l’exécutant de Khemisti a été gracié par Benbella. Selon les connaisseurs, la femme de Khemisti s’est remariée et vit en Suisse. Le crime a profité à Bouteflika, devenu ministre des affaires étrangères.
Le système a tissé sa toile araignée comme l’a écrit un des internautes sur le site. La rente et la sécurité ne profitent qu’au système et presque pas du tout au peuple. Nous le savons tous et toutes. Il n’ y a pas de doute que ce système ne pourra lâcher le pouvoir sans y être invité par une force qui ne cherchera que la victoire (comme dans notre histoire). Quelle ruse qu’ils n’ont pas utilisé pour perdurer? Quelle limite qu’ils se sont interdits de ne pas franchir ? J’en vois quand je regarde ce qu’ils ont fait de nous. C’est dans la confusion que se cachent, souvent, les ennemis de l’Algérie. Une fois l’indépendance acquise, des virus coriaces, affamés et hautement meurtriers s’étaient introduits sournoisement et doucement dans cette liberté obtenue avec des sacrifices inimaginables (ceux qui ont vécu cette époque s’en souviennent et ceux qui ne l’ont pas vécu portent encore les traces).



