Le délit de rang social en Algérie
Dans quel pays du monde la justice condamne-t-elle pour délit de rang social? En Algérie bien sûr. Une première dans les annales de la justice vient de faire l’objet d’un article de presse paru dans le quotidien national “Echourouk” du 31/01/2009. Un homme de condition sociale modeste a été condamné par un tribunal algérien à six mois de prison pour avoir osé demander en mariage mademoiselle Zerhouni wali de Mostaganem; la justice algérienne a interprété cette demande en mariage comme une insulte à l’autorité du wali et l’autorité de l’Etat.
Dorénavant en Algérie, les gens de condition sociale modeste ne doivent en aucun cas s’aventurer à demander en mariage une personne de rang social plus élevé, sinon c’est la prison d’office pour délit de rang social .
Sommes-nous dans la République Algérienne Démocratique et Populaire ou dans la République Zerhouniènne?
Par Fouzi Benabi/ Oum El Bouaghi
ECHAH FIH MASABCH WACH IRROUH YAKHTAB , RAH KHTAB TOBBA A LUNETTES!!??
si c’est vrai c’est scandaleux. ceci dit le monsieur aurait du vérifier d’abord si la demoiselle était consentente. je voudrai dire aussi qu’en tant que femme je suis contre les quolibets et l’isulte gratuite d’autant que je la trouve assez mignonne cette dame.
il est fou ce monsieur de prétendre à une Zerhouni. franchement! si au moins il était riche comme crésus. en plus apparemment il n’est même pas de Tlemcen. s’il était riche beau et célèbre, à la rigueur de Nedroma ou de Maghnia, peut être aurait – il pu prétendre à la nesba avec cette grande famille ( au sens numérique bien sûr, parce que pour le reste faut voir les antécédents, n’est ce pas). que nenni le pauvre homme se voyait déjà dans les salons de la République en train de génuflexer face à la tribu et au chef de la bande.
enfin, noukta hlouwa. balach ya habibi.
El meskin! Wallah il me fait pitié. il va peut-être maudire ses copains qui se sont payé sa tête.
C’est Shrek en personne mais son histoire a mal tourné. Il est pas à Hollywood malheureusement. You can’t dream here my friend.
El meskine, el maghboun! Un jeune de 28 seulement ans qui voulait yestor une wliya ménauposée. Jenesse perdue et pas d’enfants! Tant de sacrifices Wallah hram aliha. Hahahaha!
Hlouwa cette histoire
Ceci dit les organisations des droits de l’homme ont un mot a dire sur cette affaire où la justice algérienne a été instrumentalisée par une famille puissante. Après les sordides et scandaleuses affaires des 4 ans contre un « mageur de ramadhan », et la condamnation d’un mome de 5 ans comme un vulgaire criminel, cette histoire vient prouver encore une fois que la justice et l,équité restent un mirage insaisissable en Algérie.
elle aurait du accepter , elle va le regretter sinon elle terminera vieille fille, si au moins elle était belle ,
pour avoir voulus rendre une femme heureuse 6 mois de prison
c’est fort de café elle a du avoir peur de passez la nuit la plus folle de sa vie elle qui et habituée au stylo !
voila comment il réprime le peuple a cout de n’importe quoi juridique !
aprés les 6 jeunes de biskra condamnée a 5 ans d’emprisonnement pour avoir rompu le jeune du ramadan!
les deux journaliste condanée a 3 mois ferme pour avoir dénoncée un charlatan !
et les parent des harraga passible de peine de prison et de lourde amende !
maintenant on comprend mieux pourquoi les magistrats on eu des augmentation de salaire !
la justice de ce pays par en sucette ?!
c’est pour sa quelle n’est pas marié si a chaque fois qu’un homme viens la demandée elle le jéte en prison elle ne risque pas de ce reproduire remarquez avec la tète qu’elle a seule
un âne peut prendre du plaisir quoique allez savoir si elle n’ai pas lesbienne celle la que sa ne m’étonnerais pas !
Appel à tous les célibataires désireux de se marier à la traditionnelle
Ne laissez plus vos mamans aller en quête d’une Aroussa chez les voisins ou dans les hammams au risque d’écoper 06 mois de prison.
La prétention peut vous jouer de mauvais tours.A vouloir monter haut dans la société , on en redescend avec une chute vertigineuse et fracassante.C’est ce qui est arrivé à notre pauvre malheureux!Comme quoi qu’il faut toujours garder ses pieds par terre! Non ?
Le ridicule ne tue plus chez nous!!! Eux ils viennent d’ou? c’est des beggarines merde ils n’ont aucun passé wallou rien nada.
Mon nom est Fahima , je suis Algéroise et je suis une demoiselle endurcie, une vieille fille.Mon avis dans cette affaire est le suivant:
Mademoiselle zerhouni, que vous soyez wali , issue d’une famille appartenant au sérail , ne vous donne aucunement le droit de jeter un homme en prison parce qu’il vous avoue son amour et qu ‘il désire vous épouser sur « SOUNAT ALLAH WARASSOULOU »,vraiment c’est plus que de la « hogra ».
Pour être franche ,les hommes de la trempe de cette homme, ils se font de plus en plus rares en Algérie, il a vraiment de l’audace et des couilles en acier, je le salue avec le plus grand respect et une grande admiration pour sa personne.
Et pour toi Zerhouni la femme et non le wali, je dirai tout simplement: « la solitude tue même si on est une Zergouni et wali. »
-Fahima /Alger
Halte au bradage de l’ENSI
Posté par Benderouiche le 10 janvier 2009
Les travailleurs de l’Entreprise nationale des systèmes informatiques (ENSI) ont initié un mouvement de protestation qui dure depuis le 28 septembre 2008, et ce en solidarité avec leur directrice générale qui avait été relevée de ses fonctions le même jour, refusant ainsi catégoriquement cette décision abusive et illégale qu’ils considèrent contraire aux intérêts de leur entreprise. Pour expliquer leur action et leurs revendications, les travailleurs de l’ENSI s’appuient sur ce qui suit: leur entreprise vivait avant 2004 des difficultés sérieuses qui menaçaient sa pérennité puisqu’elle souffrait d’un endettement de plus de 800 millions de dinars et qu’elle enregistrait des pertes d’exploitation de plus de 100 millions de dinars chaque année. Elle risquait donc d’être fermée avant la fin de l’exercice 2004.
Leur directrice générale avait pris ses fonctions à la fin de l’année 2004 dans ces conditions difficiles, et a réussi, au cours des six premiers mois seulement, à redresser la situation et à permettre à l’entreprise de continuer son activité. Dès 2005, l’ENSI avait réalisé son premier bénéfice d’exploitation depuis plus d’une décennie de déficit chronique. Elle a par ailleurs évolué depuis dans un climat social saint et serein, où l’objectif de tous était celui de conduire l’entreprise vers la réussite et la pérennité, grâce à la stratégie ambitieuse et réaliste définie par la directrice générale. La veille de l’Aïd et le 28 septembre 2008, la SGP Diprest a mis fin aux fonctions de la directrice générale, ce qui a provoqué le mécontentement et l’incompréhension des travailleurs qui considèrent cette décision abusive, discriminatoire, illégale et surtout qui va à l’encontre des intérêts de l’entreprise.
Les travailleurs de l’ENSI sont par ailleurs outrés de n’avoir eu droit à aucune réponse ni explication depuis le 28 septembre. Au contraire, ils se retrouvent victimes d’agressions physiques et verbales, de menaces, d’intimidations et de procédures disciplinaires illégales. Leurs bureaux ont été cassés et leurs documents fouillés et pillés. Depuis le 28 septembre, les travailleurs de l’ENSI sont toujours en protestation. Le nouveau directeur général par intérim a fait appel à d’anciens employés qui étaient des chauffeurs et des gardiens licenciés dans le passé pour des fautes graves et qui avaient pour tâche de forcer les bureaux et les armoires des cadres et de menacer le personnel.
Plus de 50 jours depuis le début de ce mouvement de protestation, les travailleurs qui vivaient en paix depuis quatre ans jusqu’à 2008 sont livrés à leur sort, craignant pour eux et pour leur entreprise désormais livrée à des vandales et à des malfrats.
Les travailleurs refusent ce fait accompli et s’opposent au bradage de leur entreprise. En effet, l’ENSI, héritière de l’ex-CNI (Commissariat national à l’informatique) à l’origine de l’informatisation des secteurs administratifs et économiques, doit être maintenue dans le giron des entreprises publiques économiques. C’est là un devoir moral national et un acte patriotique.
Les travailleurs de l’ENSI