Les pauvres n’ont jamais été aussi nombreux en Algérie, que depuis que Ould Abbes est le chouchou de son Président.
En Algérie la maladie de la réunionite stérile nous exacerbe, voila qu’on transpose les mêmes procédés à l’étranger.
Entre une association de soutien au Président et ces réunions parisiennes y a t il une différence ? Non. Elles sont menées suivant les mêmes procédés et elles atteignent toutes les mêmes objectifs, c’est-à-dire rien de concret, si ce n’est de donner du travail à l’APS pour justifier les déplacements à l’étranger et les notes de frais.
On s’agite à un moment donné, puis on ferme les portes. Ce vieux monsieur doit aller se reposer au lieu de continuer à jouer un jeu qui n’est pas fait pour un homme de son âge. Il a montré ses limites, il a atteint son degré d’incompétence. Les pauvres n’ont jamais été aussi nombreux en Algérie, que depuis qu’il est le chouchou de son Président. Par ailleurs un lobby ne se decréte pas. Ce sont des hommes et des femmes de bonne volonté qui le construisent pierre après
pierre , là où ils sont.
On n’a pas la modestie d’agir dans l’ombre, les Algériens ne se satisfont pas de l’accomplissement de mission qu’ils se sont fixées, ils veulent le prestige que procurent les gouvernants. Toute organisation montée, à l’ombre des pouvoirs politiques ne peut être crédible, elle ne survive pas car à la base il y a des intérêts de personnes.
Les associations soutenues par les pouvoirs ne sont jamais saines, elles jouent un rôle d’une scène pendant un temps. Ceux qui pensent d’abord à ce qu’ils peuvent retirer d’avantages dans toutes les situations et à tout moment ne peuvent former un socle fort. Les occasions sont nombreuses pour dire et redire les choses. Ils en profitent il faut bien combler le temps de l’oisivité des séjours parisiens…
Il aurait été mieux inspiré de s’occuper des Sans papiers, des SDF et des injustices courantes de faciés, de la misère que vivent nos Algériens (y compris des étudiants) c’est ça son boulot. Les associations algériennes à Paris en tout genre devraient mieux être inspirées en commençant par ça en étant solidaires des plus faibles. Les réunions de circonstances et les multiples discours des uns et des autres, on sait à quoi ils servent, sans oublier les piques assiettes à cravates …et la multitude de larbins qui pillulent dans ce genre de rencontres. Par Mohand
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