Nouveau scandale aux portes du Gouvernement
Des marchés « de gré à gré » pour le Festival Panafricain
Le gouvernement est revenu encore une fois à l’attribution «à l’amiable» des projets et des marchés, au lieu de les soumettre aux avis d’adjudications, dans le cadre de la préparation du festival culturel panafricain qui sera organisé à Alger durant le mois de Juillet prochain. Le journal officiel a révélé, hier, qu’en vertu de la décision commune entre les deux ministères de la culture et celui des finances, quant à la non soumission des frais de qualification et de préparation du festival culturel panafricain 2009, organisé en Algérie entre le 5 et le 20 Juillet prochain, à la loi des marchés publics. Ainsi les marchés seront attribués à «l’amiable».
La décision ministérielle, n’ayant pas cité les raisons, intervient au moment où l’Algérie a adopté un discours prônant l’obligation de se plier à la loi sur les marchés publics afin de freiner la corruption. Elle s’est même engagée à le faire lors des cérémonies internationales pour la lutte contre la corruption. Djillali Hadjadj, président de l’association nationale pour la lutte contre la corruption, a affirmé, hier, à El Khabar que l’association «a condamné et condamne toujours les procédures d’attribution des marchés à l’amiable». Ce dernier considère que «la décision du ministère de la culture est un autre dépassement indiquant l’élargissement du périmètre de la corruption en perdant des centaines de milliards, et élimine les bases de la concurrence pour l’obtention des marchés».
Le président de l’association qui représente la branche d’Alger de l’organisation « International Transparency » a indiqué que le décret présidentiel n° 2-250 promulgué en date du 24 Juillet 2002, est claire en matière d’attribution des marchés à l’amiable. Il a fixé des conditions « exceptionnelles à appliquer sur le cas du festival panafricain, du fait que le facteur temps (6 mois) permet l’attribution des marchés publics à travers les adjudications. El Khabar
Commentaire: Nous apprenons que l’entreprise Tahkout assure le transpot des étudiants des universités de Sétif depuis le 5 janvier dernier. Le marché est conclu de gré à gré. El Mouhtarem
Nous les artistes peintres algériens nous savons déja que ce sont les memes « commissaires » qui ont été engagés lors de « Eldjazair, une année de l’Algérie en France » puis « Alger, capitale du monde arabe » qui sont Orif, Zoubir, Ferroukhi, Laggoune et Sergoua avec leurs clientéles et leurs clans d »artistes ». Encore ce sont les memes qui vont enpocher l’argent publique. Pauvre est l’art algérien ,pauvre il mourera.
wellah j arrive pas a comprendre comment pense les gens, ou est ce ke c moi ki comprend mal vue ke mon niveau est tres limite, a chake fois ke je rentre a ce site ou un autre site algerien c tjrs la meme histoire denoncer cela ceci un detournement par la une atteinte au droit de la personne c tjrs la meme litterature, svp ca avance a koi de denoncer moi un simple algerien ki mon niveau ne depasse pas le primaire je suis plus ke convaincu ke l algerie n est k un pauvre bordel a ciel ouvert j ai pas besoin d ait ahmed ou addi lahouri pour aprendre ca ,j ai tjrs pense ke l elite politik d un pays c de trouver de guide les simples gens dont je suis pour se debarasse de la mafia ki nous gouverne je m excuse de l expression vulgaire etant donne ke j ai pas trouve un autre terme plus deplomatik
Normal, ya benderouiche !
C’est nouveau chez nous LE BUSNUS_ART au détriment de la culture oui c’est nouveau dans ce bled bien jouer khalida