Omar Alilat directeur de campagne de Bouteflika à Béjaia
Le directeur de campagne de Abdelaziz Bouteflika, Abdelmalek Sellal, a chargé Omar Alilat, député RND, de conduire la campagne électorale du chef de l’Etat au niveau de la wilaya de Béjaia.
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Et puisque le patron du RND-Béjaia a « réitéré » par un avis à la population d’Akbou, le soutien du RND au PAPC de cette localité, au moment même où les élus RND de la même APC ont signé une déclaration commune de neuf élus ( y compris deux co-listiers indépendants et vices présidents du PAPC en poste) demandant à ce dernier de démissionner de son poste de PAPC, on peut d’ores et déjà deviner le chargé de la campagne présidentielle à Akbou
Je serai curieux de savoir ce que penserait l’avocat Mokrane Ait Larbi de cette nomination, ou bien de son frère Arezki ?
Quand le cynisme s’ajoute au mépris !
On se serait cru revenu cinquante ans en arrière. L’époque où les harkis (supplétifs de l’armée française) emmenés par les puissants bachaghas endimanchés et fièrement décorés, donnaient de la voix pour clamer haut et fort de Gaulle et ses généraux.
A l’exception d’un drapeau qui a changé de couleurs, hier à la coupole d’Alger, l’intronisation de Bouteflika pour un troisième mandat a pris la forme des grands rassemblements que pilotaient jadis avec brio les stratèges de l’Algérie-Française, qui étaient entièrement coupés de la réalité du terrain…et comme chacun le sait, la suite de l’Histoire leur a été fatale…
Certes, une autre « Algérie-Française » a vu le jour depuis 1962, mais les deux fonctionnent sur le même schéma.
Les colons ont été remplacés par les hommes du sérail qui se reproduisent entre eux pour consolider leur règne. Les harkis de 2009, sont plus « civilisés » et mieux instruits que ceux qui servaient la soupe à Soustel et Bigeard mais ils remplissent les mêmes fonctions, à savoir plébisciter toutes les actions du pouvoir. Et ils sont très nombreux à vouloir accéder à ce statut pécuniairement très rentable.
Le tout est chapeauté par les hommes d’ombre d’une armée qui suivant ses recompositions internes, change le scénario à sa guise, même dans l’urgence, dixit Boudiaf (revanchard, intéressé et naïf) et sa mise à mort en direct.
Plus stupéfiant encore, avec toute cette cohorte d’intervenants minutieusement embrigadés, Bouteflika annonce qu’il se présente comme « candidat indépendant ».
On savait depuis très longtemps que l’humour à l’algérienne avait des subtilités que peu de gens pouvaient comprendre les arcanes, mais dans ce cas précis il est teinté d’un mépris qui en dit long sur la rapacité du septuagénaire chancelant.
Les autres candidats-guignols à la présidence, dans leurs petits costumes étriqués et souliers vernis, n’ont droit qu’au studio de l’unique pour venir nous raconter leur amour de l’Algérie et nous faire étalage de leurs programmes ennuyeux. Mais ils s’accommodent bien de cette situation grotesque superbement rénumératrice. Car en fait ils ne sont que les faire-valoir d’un régime qui veut se donner des airs de démocratie.
Une démocratie assez spéciale, qui permet à un « candidat indépendant » de prendre accession gratuitement des locaux de la coupole, d’utiliser les moyens de l’état pour rameuter tout son monde fait d’opportunistes, tout en oubliant pas d’envoyer des milliers des jeunes gens et jeunes filles harceler le citoyen dans la rue pour garantir sa réélection à 99,99 pour cent.
Devant ce tableau (très peu exhaustif) fait d’indécence et de risible, la seule arme qui reste entre les mains d’un esprit un tantinet logique est le boycott.
Après cela ils peuvent grimper aux rideaux, faire repousser les cheveux du président-candidat, lui rajouter des dizaines de centimètres, le rendre immortel, lui faire épouser miss univers…….
Pour ma part, toujours subversivement indépendant et au vu de ce cirque impudent….j’annonce officiellement à la face du monde que: je m’en tamponne le coquillard…et croyez-moi avec une force que vous ne pouvez soupçonner !
Heureusement que l’on ne s’est pas tapé à fond les « aarchs taiwan » à l’époque de Ali Benflis et qu’on s’est contenté de gens clopin-clopant entre goguenardise opportuniste et ambition politique. Comme quoi, quand on évite le degré zéro de la politique en tirant vers le haut, c’est déjà ça
le président BOUTEFLIKA ( Président il l’était,l’est et le restera, sans l’ombre d’un doute , avec OU SANS Mr. ALILAT).Celui-ci,en réalité,n’aura aucun impact significatif pour sa réélection dans la wilaya de Béjaia mais il ne manquera pas de le faire croire avant et aprés . Par contre lui n’a d’autre alternative que de d’aller au charbon,le temps de la campagne bien sur… Il le faisait auparavant pour ses ambitions personnelles alors que les moyens étaient comptés .Aujourd’hui a-t-il le choix de ne pas faire ce qu’on attend de lui ?
Mr.SELLAL est apprécié dans la wilaya et plus particulierement dans la vallée de soummam ,notamment à Ifri car les promesses qu’ils avait faitesont été tenues.Cela peut etre vérifié et j’en ai personnellement des preuves…mais qu’il en parle ??
Vive l’Algérie en espérant qu’elle reconnaitra enfin ses enfants sincéres et surtout modestes et intégres sans lesquels elle se serait écroulée depuis longtemps.
la corruption gongrinne l’economie national la douane est les autre ecteur sanser prote………bon bref c est fotuuuuuuuuuuuu.
mr alilat est un grand homme si il a ete choisi c pas pour rien grace a lui le rnd est devenu une force politique incontournable a bejaia ils c sacrifier pour son parti dans tout les domaine c normale ya des gens qui l envie car il gravite des echelons.
sincere genereux ils a aider tout les gens qui le sollicite .ils ecoutent tout le monde il sait que c son role entant que chef de parti .vive le rnd a bejaia avec lui les chose avance on laissera personne detruire notre wilaya echaab fak .