16 février, 2009
Quand vous avez affaire à plus fort que vous, vous vous mettez en bas !
Ils savent qu’il est Algérien; il travaille au ministère des affaires Étrangères à un poste de responsabilité élevé. Il le considère comme étant innocent (d’ailleurs il l’est tant que la preuve certaine de son implication n’est totalement prouvée) et il supplie l’Etat français de le libérer (Avons-nous encore une diplomatie, un pouvoir, un Etat…?). C’est vraiment incroyable. Ils nous considèrent comme des moins que rien (le peuple et tout ceux qui le composent) mais ils sont des minables, des incapables et des pleureuses dés qu’ils ont affaire aux étrangers.
Tapez sur la table comme des hommes d’un Etat souverain et indépendant. Si Mr Hasseni est innocent, montrez que vous êtes dignes de diriger un pays de 35 millions d’habitants et 1 million et demi de chouhada. Montrez que vous avez encore un peu de dignité et un peu de nif et montrez que vous refusez d’accepter l’inacceptable. Ah ! Avec nous, vous êtes impitoyables, terribles et insensibles. Ah ! Vous avez fait de nous des esclaves, des sous-hommes, des peureux et moutons uniquement pour le plaisir puisque vous possédez notre armée, nos policiers, nos gendarmes, notre argent, notre administration, notre justice…puisque vous avez fait taire toute opposition (évidemment par tout les moyens en votre possession), censurer toute idée, infiltrer toute la socièté et empêcher toute révolte et toute union.
Ah ! Vous nous avez dépouillé de tout (des nos rêves, du savoir, de nos espoirs, de notre courage, de notre histoire, de nos valeurs…) et vous ne cessez de nous mépriser et de nous narguer (dir wach ethab, ehna yemout kaci, ewth ikarayen wen alihidh !). Ah ! Vous dansez, vous jouissez, vous voyagez, vous parlez… en toute liberté et en toute sécurité et nous, nous vous regardons et nous pleurons sur notre sort. Ah ! que vous êtes beaux, forts, riches, puissants, dignes, vertueux, pieux, propres, en bonne santé, éduqués, intelligents…et, nous, nous sommes devenus des mendiants, des lâches, des fous, des drogués, des chômeurs, des ignorants, des tueurs, des sdf, des exilés forcés…
Ah ! Vous êtes la haut, nous sommes en bas mais quand vous avez affaire à plus fort que vous comme la France, vous vous mettez en bas et vous nous poussez à creuser pour aller au fond. Aka ! Le faux lion se comporte comme un vrai lion avec les lions qui se croient moutons, mais avec le vrai lion, il devient un mouton. Malheureusement les vrais lions qui se croient moutons, ne savent pas que c’est lui le vrai mouton. AKA ! Un jour, nous allons nous réveiller inchallah !
Fraternellement Ammi Said
Commentaires(1)
Cher Benderouiche, ainsi que promis voici une modeste contribution au débat induit par la déclaration de l’avocat Mokrane Aït Larbi.
L’Algérie peine à se faire admettre à la Fédération internationale des comptables (IFAC). Jelil Bouraoui, membre du board de l’IFAC, qui s’exprimait lors du 5e congrès scientifique de l’Ordre des experts- comptables, des commissaires aux comptes et des comptables agréés, impute cet échec à l’attitude de l’Algérie dans sa quête du sponsoring d’un pays membre. Cette organisation estime que «la profession doit jouir de plus d’indépendance vis-à-vis de l’administration», faisant allusion au projet de loi sur le statut de l’expert-comptable qui entend rattacher la corporation à l’administration. Cette réglementation n’est pas du goût des professionnels, qui redoutent d’ailleurs un impact négatif sur les tentatives de l’Algérie d’adhérer à l’IFAC. Mohamed-Lamine Hamdi, président du conseil national de l’Ordre des experts-comptables, a reconnu hier que la bataille n’est pas encore gagnée. La plus importante, selon lui, est de doter les professionnels d’un statut indépendant. Source El Watan
Le docteur Loth Bonatiro candidat à la candidature à l’élection présidentielle du 9 avril prochain, a rendu publique hier sa déclaration de patrimoine. Le candidat atteste ne posséder à l’intérieur du pays “qu’un appartement de 3 pièces et une voiture Chevrolet Optra année 2005”. Le prétendant à l’élection présidentielle affirme “ne rien posséder à l’étranger”.
Algérie Télécom, qui a réalisé un chiffre d’affaires d’un peu plus de 60 milliards de dinars pour l’exercice 2008 et avec ses 50 milliards de créances impayées, ne sera pas privatisé et compte se développer tout seul avec ses propres moyens sans ouvrir son capital au privé. Algérie Télécom ne sera ni privatisée ni ouverte au privé. «Aller vers l’ouverture du capital ne se justifie plus pour nous», a déclaré Moussa Ben Hamadi, P-DG d’Algérie Télécom, lors de son passage hier sur la Chaîne III de la Radio nationale. «Nous sommes en train de nous restructurer et améliorer nos procédures de gestion et notre performance en matière de management. Nous avons des actions de formation aussi bien au niveau de l’encadrement qu’au niveau des agents d’exécution. Nous avons des capacités pour le faire», a-t-il ajouté.
En décidant de boycotter l’élection présidentielle d’avril prochain, le FFS veut dire non à ce 3ème quinquennat ! Tout le monde se rappelle dans quelles conditions a été porté au pouvoir Abdelaziz Bouteflika. Depuis qu’il a accédé aux commandes, par des moyens que l’on sait, l’idée de quitter le pouvoir ne lui a tout simplement jamais effleuré l’esprit. Son rêve était de rester président à vie. Durant son règne, il a réussi à instau un capitalisme de bazar et installer à la tète de l’Etat un clan mafieux. Ce clan est dirigé par un irresponsable qui procède à la distribution, à tort et à travers, de sommes faramineuses pour, dit-il, achever son programme de réalisations. Le chef de l’Etat »gère » l’argent des Algériens comme s’il s’agit de sa proprièté privée.
Depuis la diffusion, en avril 2004 par l’ONEC, d’un document attestant que son père était un Harki durant la guerre de libération nationale, Anis Rahmani, (son vrai nom Mohamed Mokadem) lèche-botte du pouvoir, serpillière du DRS, pantoufle de la DGSN, directeur du quotidien Ennahar, ne cesse de prouver qu’il est prêt à tout faire pour plaire à ses chefs. Après avoir soutenu le candidat Ali Benflis en 2004, Rahmani a tourné la veste en 2009. Il est vrai que la lâcheté s’est inclinée devant le directeur d’Ennahar ! 




