17 février, 2009
L’Algérie a la chance d’avoir un parti comme le F.F.S en son sein
Depuis un bout de temps, une équipe est constituée pour s’occuper spécialement du F.F.S, de son président, de son premier secrétaire et de son idéal. Elle est formée de journalistes, d’agents directs du DRS (qui agissent en Algérie et à l’étranger) et de militants d’autres partis mais qui sont bien briffés. Les attaques sont soient directes comme celles du journal Ennahar et d’autres indirectes (genre, il n’y a pas d’opposition contre le pouvoir, zaïmisme, jeunesse de Karim Tabbou, villa de Aït Ahmed, le fait qu’il vit en suisse, ses alliances passées avec d’autres partis politiques, les événements de Berriane…).
Le F.F.S gêne car il est resté debout, fidèle, constant dans son combat et ses idées, formateurs de milliers de militants brillants (même si certains sont avalés par le pouvoir, ce n’est pas de sa faute car le parti n’a pas changé de ligne directrice celle de la démocratie et démocratie au sens réel, véridique et noble du terme), dévoileur de fossoyeurs de notre pays, propre dans ses intentions et ses actes, clair dans son discours, porté uniquement par son idéal de servir le pays et le peuple et militant en pleine lumière. L’Algérie a la chance d’avoir un parti comme le F.F.S en son sein c’est pour cela que le pouvoir voudrait à tout prix le voir disparaître. Ammi Said