Ces élections truquées consacreront encore plus le pouvoir autocratique de Bouteflika
Dans cette Algérie, prison à ciel ouvert, la vérité est tellement simple qu’elle est devenue simpliste. Cette élection présidentielle d’avril 2009 va discréditer, une fois de plus les Algériens, la constitution, le principe électoral universel qui fait les citoyens et les peuples libres. Cette élection n’a vraiment rien à voir avec une quelconque avancée démocratique, comme veulent nous le faire croire quelques illusionnistes en mal d’inspiration, des unilatéraux sans scrupules et autres crédules. Bien au contraire, ces élections truquées consacreront encore plus le pouvoir autocratique de Bouteflika, et balayeront ses hésitations, si jamais ils en ont, pour une présidence, enfin une résidence à vie El mouradia aux dépend de tous les Algériens réduits en sujets sans aucune humanité. Le masque destiné à camoufler un coup d’État dont la première séquence s’est déroulée un certain 12 novembre 2008, avec le «vote du parlement» portant sur la «réforme constitutionnelle», le coup grâce au principe constitutionnel, l’assassinat des maigres acquis institutionnels d’un État qui n’a plus de républicain que le nom. La nouvelle «loi fondamentale» ne comporte que deux articles : 1) le président a tous les pouvoirs, 2) Bouteflika a le droit à un mandat à vie . Le reste n’est que poudre aux yeux pour dissimuler le cadavre de la constitution. Par Moha
MALGRE LE DECOR ET LE TAPAGE MEDIATIQUE BOUTEF RESSEMBLE ETRANGEMENT AU CHIEN DE TENERIFE .QUELLE GUEULE QU’IL FAIT CE MISERABLE ASSASSIN DE 350 ENFANTS DE KABYLIE ET DU MZAB IL FINIRAIT COMME TOUS DICTATEURS MOURRIR AVEC 40KG (HOUARI BOUMEDIENNE)
le system politique en algerie a orgasiqer sortrie honnorable pendant le coût d’état constitutionnel du 12 novembre 2008 il pouvait introduit un article qui permettre à bouteflika de reste président à vie donc le pouvoir doit assume les conséquences. Au lieu de cela ils ont préfère joue à la démocratie de façade ça coût moins cher, vis à vis de l’extérieur, puisque sur le plan interne toute a été soude avec la baguette d’argent.
Notre pays traverse une période cruciale de son Histoire, une Histoire faite de tourmente et de sang. Quarante septe ans de médiocrité, de gabegie, de chape de plomb, de politique de « l’à-peu-près », n’ont pas réussi à tuer en nous l’espoir.
Nous sommes encore debout, prêts à consentir mille sacrifices, pour que l’Algérie soit à jamais cette terre d’espoir et de paix, pour qui nos aînés à travers tout le mouvement national s’étaient sacrifiés.
La confiscation de notre indépendance et la marginalisation de toutes nos compétences ont engendre ce profond marasme qui s’abat sur nous depuis des décennies. Une certaine « caste » au nom d’une légitimité- dont l’histoire et le peuple demeurent seul juge- veux fait de nous un sous peuple, une multitude faite pour subir une machine programmée pour acquiescer et applaudir.
Nos parents déçus par le semblant de projet de société des années soixante deux (62) Et traumatisés par la souffrance de notre peuple durant (07) années de guerre contre l’occupant, ont préféré le silence et la marginalisation à une nouvelle guerre cette fois fratricide. Le silence de nos aînés ouvrit la voie à toutes les aventures et notre génération fut la génération de toutes les expériences : du socialisme spécifique en passant par les programmeurs de l’état théocratique et maintenant les prommoteur du 3 ieme mandat.
Notre silence a trop duré, l’Histoire nous interpelle.
Election présidentielle de la honte!Alors que la population Algerienne souffre d’une paupérisation ravageuse,le systéme persiste à vouloir perenniser sa dictature . Malgré les appels de detresse lancés par les organisations syndicales autonomes, le pouvoir affiche un silence assourdissant.Toutes les revendications émises ne sont pas prises en considération, et en guise de réponse ces dernieres sont plutot passées à tabac.Le peuple algerien ne se reconnait plus en ses gouvernants, il l’a montré à moult reprises lors des diverses élections qui se sont déroulées dans notre pays, locales ou nationales.En réalité,la population a de tout temps boycotté tous les scrutins tenus à ce jour et ce, depuis l’indépendance nationale acquise.Mais l’insolence du pouvoir et de ses suppots à tous les niveaux ne l’entendent pas de cette oreille.Donc assurément, bientot viendra un autre coup de poing du peuple lors de l’élection présidentielle prochaine ! Une grande abstention se prépare à l’horizon et le président qui sera élu n’aura aucune légitimité.
Elections de la Honte!Pendant que la population affronte avec difficultés un climat de paupérisation généralisée et accentuée par une crise financiere ravageuse, le systéme va organiser des élections présidentielles pour perenniser son pouvoir.Une honte !Le peuple algerien , à travers les differentes organisations syndicales autonomes, a lancé un sos de detresse , mais le pouvoir reste sourd et affiche un mépris total aux diverses revendications .Les Algeriennes et les Algeriens n’ont plus confiance en leurs gouvernants et suppots.Ils savent pertinemment que les futures elections présidentielles ne leurs apporteront rien de bénéfique qui puisse améliorer un tant soit peu leur mode de vie.Bien au contraire, le systéme va maintenant s’accaparer du reste des richeses qui restent dans ce pays, et compromettra à tout jamais l’avenir des générations montantes!Le peuple algerien a été abisé à plusieurs reprises par des formes d’élections à la Naeglen.Une abstention presque générale se profile à l’horizon et le President qui en sortirait n’aurait aucune légitimité populaire.Mais, nous savons que nous avons à faire à un pouvoir qui entend mais qui n’écoute pas les lamentations de son peuple!Honte ! Honte ! Honte ! Quelle infamie !Nos glorieu chouhada doivent se remuer dans leur tombece jour déclaré journée du Moudjahid!
A sa douzième année de pouvoir, le président Abdelaziz Bouteflika a perdu tout son vernis et finit dans l’indignité qui s’empare inévitablement de tout autocrate. Quelques exemples.
La victoire de Bouteflika à l’élection présidentielle du 9 avril 2009 était truquée. C’est un câble diplomatique classé « confidentiel » révélé par Wikileaks et datant du 13 avril 2009 qui l’affirme. Les diplomates américains relèvent dans ce câble les dérives d’une stratégie que le gouvernement Algérien a mis en place pour booster « la fraude ».
Abdool Rahman, le chef de la mission des observateurs mandatés par les Nations Unies, a crié au scandale. Lors de ses entrevues avec des diplomates américains, cet observateur onusien a confié que le gouvernement Algérien à largement utilisé « la fraude » durant cette élection présidentielle pour bourrer les urnes.
Ainsi, « pour chaque inquiétude que nous soulevions, le gouvernement pouvait sortir un point du code électoral », a dénoncé Abdool Rahman qui a parlé de « procédures compliquées » utilisées par les autorités Algériennes pour « maintenir l’apparence de transparence » !
Par ailleurs, « à l’exception de Bouteflika », aucun candidat ou partis de l’opposition « n’a eu » suffisamment « accès aux médias pendant la période de campagne officielle » s’étalent du 19 Mars au 7 avril, signale encore Abdool Rahman qui a ajouté que tout au long des élections, les partisans du boycott « ont été interdits de s’exprimer ».
De leur côté, les diplomates américains rapportent que les chiffres de la participation donnés par le ministre de l’Intérieur, dirigé à l’époque par Yazid Zerhouni, ont été « largement exagérés ». Et pour cause, les fonctionnaires de l’ambassade US à Alger ont constaté à travers plusieurs visites sur le terrain que « les bureaux de vote étaient presque vides ».
Et pour convaincre la communauté internationale que les Algériens ont voté massivement, la télévision nationale n’a pas hésité à utiliser « des images d’archives des élections précédentes », s’indignent les diplomates américains.
Dans ce contexte, et selon plusieurs observations, les diplomates américains de l’ambassade US à Alger ont fait remarquer que « la participation a été plus proche de 25 à 30 % que des 74 % annoncés » ! Tous ces éléments, démontrent en outre, qu’une « stratégie soigneusement orchestrée » a été élaborée par le gouvernement Algérien « pour contrôler le processus électoral », indique encore ce câble.
Les élections du 9 avril ont été donc, concluent l’ambassadeur américain, David D. Pearce, « un retour au système du parti unique » en l’Algérie. Pis encore, la statu quo auquel a donné naissance cette élection présidentielle porte préjudice à l’avenir de l’Algérie. D’ailleurs, ce pays est « assis sur un volcan », estiment des observateurs onusiens !
Enfin, avec un Pouvoir « de plus en plus détaché de la société », « l’Algérie est toujours kaotique avec son peuple bouhiyouf