L’affaire qui brouille Paris et Alger
Abdelaziz Bouteflika a reporté sine die la visite qu’il envisageait à Paris pour le premier trimestre 2009. Motif: l’affaire Hasseni, du nom de ce diplomate arrêté à Marseille en août 2008 et mis en examen pour «complicité d’assassinat» dans l’enquête sur la mort de l’opposant algérien Ali Mecili, en 1987. Les autorités d’Alger invoquent une confusion: recherchant un capitaine Rachid Hassani, qui aurait été le commanditaire du crime, la justice française serait tombée par erreur sur Mohamed Ziane Hasseni, directeur du protocole au ministère des Affaires étrangères algérien. Dans l’espoir d’être innocenté, le suspect a accepté d’être soumis à des tests ADN et à une analyse graphologique. Avec le changement de juge d’instruction, l’enquête repart de zéro. Le POINT
C’est la petite arête qui s’est coincé dans la gorge, une fois qu’ils l’auraient ôtés, ils vont recommencer à manger de plus belle notre chair, à boire goulûment notre sang et à avaler normalement notre moelle. C’est l’activité naturelle des vampires.
Il est où notre ami Mohand ? Cela fait longtemps qu’il a disparu
Il y a beaucoup de mohand dans ce blog, lequel cherchez vous en particulier? L’un deux , l’ennemi déclaré de certains agents spécieux a du abandonner pour quelques temps le blog pour des raisons personnelles. Mais comme il y a beaucoup de mohand notamment en Kabylie, de nom et de conviction, il ne désespère pas de voir ses idées reprisent par d’autres et vaillamment défendues également. Vous en faites partie cher Mourad.
Que le regime assassin remet l’assassin Amellou et rend justice á tout le monde et que l’on cesse ces animations de bassesses.
La famille Mecili a droit á la justice et la verité et rien d’autre.
Punto finale.
Au bon entendeur.
cher Mourad,
bienvenu parmi nous. apparemment notre ami Mohand nous a planté, vous laissant sa plume en héritage. ma foi, pourquoi pas. il faut direqu’avec les présidentielles nous avons tous fort à faire, cependant, il est vital de maintenir la flamme démocratique aussi vivace que l’est celle olympique car dans les deux cas il faut courrir longtemps pour reccueillir le trophée.
très sportivement je voudrai faire deux commentaires sur cet article du point:
premièrement, le ton et la tournure rédactionnelle bien ironique ne me plaisent guère. il s’agit d’une affaire trop grave pour se laisser aller à faire guili guili.en écrivant « les autorités d’Alger invoquent une confusion », le point laisse entendre que l’Algérie officielle fait des pieds et des mains pour faire libérer le diplomate Hasseni. on croirait aisément que l’appareil diplomatique est mobilisé pour faire pression sur Paris, la preuve « le report ine die « de la visite du Président Bouteflika à Paris. Le Point et tous les canards d’Alger et de Paris savent bien que c’est absolument faux et qu’au contraire il a fallu attendre 4, oui 4 longs mois avant que les fameuses utorités d’Alger se bougent. c’est alors que Medelci et Ould Abbas s sont mus et c’est alos qu’il y a eu ici et là qques déclarations d’ailleurs que j’ai jugées avec d’autres, dont notre amis Mohand tout à fait guignolesques. de là à faire croire que le Président en personne a pris la mouche et boude son collègue français à cause de cette affaire, c’est vraiment nous prendre pour des demeurés finis. en fait, il y a comme une tentative subliminale d’aliéner le diplomate au système alors que tout prouve qu’il a été purement et simplement abandonné à son triste sort. après le rôle de la victime idoine, les autorités des deux côtés veulent en faire l’épineux problème qui plombe les relations bilatérales. rien n’est plus faux, les relations algéro françaises sont plombées par deux conception complètement différentes : Sarkozy aime la transparence et l’éclat et Boutefika aime l’opacité et les fourrés (avec ou sans coups). au fait, celui d’entre vous qui pourrait par qque miracle tomber par inadvertance sur une qqconque déclaration de l’ambassadeur d’Algérie à Paris par laquelle il expimerait le moindre soutien à son jeune collègue réquisitionné à Paris, qu’il veuille bien le poster sur notre blog préféré ou m’en donner les coordonnées je serai ravie de voir l’attachement de ce monsieur à la libération de son jeune collègue. car enfin, si réellement le Président Bouteflika ne va pas à Paris à cause de la mise en examen du diplomate Hasseni, nous aurions entendu des vertes et des pas mures notamment de la part de l’Ambassadeur à Paris qui aurait convoqué la presse et mobilisé l’opinion publique pour regimber politiquement face à cette injustice manifeste. or il n’en est rien donc le Président ne va pas à Paris pour une autre raison qu’on veut taire.
deuxièmement, le sous entendu de l’article me dérange au plus haut point. quant est ce que les jounalistes français comprendront que les hauts fonctionnaires algériens d’aujourd’ui sont en majorité aujourd’hui sortis de grandes écoles. la plupart méritent amplement leur promotion encore que depuis 1999 le régionalsme a décimé les qualités premières de la compétence et de l’intelligence au profit des liens tribaux et du népotisme.
toujours est-il que les hauts fonctionnaires mêmes retraités sont en mesure de comprendre l’allusion nauséabonde que recouvre la phrase suivante : « la justice française serait tombée par erreur sur Mohamed Ziane Hasseni, directeur du protocole au ministère des Affaires étrangères algérien. »
ce genre d’écrit porte atteinte à la présomption d’innocence, un pilier du droit français, comme nous l’ont démontré des férus du droit, du reste avec brio, j’ai nommé TheKabil et Taous.
de grâce qu’on nous prenne pas pour de idiots finis. l’ironie allusive est ici très malvenue car le diplomate est une victime, une de plus de l’affaire Mécili qui est une grave affaire dont le mystère qui l’entoure semble s’opacifier grâce au concours actif de l’ex colonel Samraoui et du juge Thouvenot. perso je pense que le juge a été subjugué par l’ex colonel.
Article d’une platitude et d’une banalité affligeantes; Et aussi truffé d’inexactitudes.
Mais c’est que nous tous nous aurions adoré que « les autorités d’Alger », d’ailleurs pourquoi d’Alger et pas algérienne ? aient designé le capitaine Rachid Hassani. Nous savons que c’est loin d’etre le cas et que ce ne le sera jamais.
Ensuite, et autre boniment, » la justice française serait tombée par erreur sur Mohamed Ziane Hasseni ». Mon oeil!!
Et pour la journaliste qui a commis cette « article », l’histoire est tout de meme un peu plus compliquée que ça. Rien que sur ce site elle aurait eu de la matière pour torcher un superbe article, tant du point de vue fond que forme.
On n’est pas du métier mais là, pour le coup, on pourrait leur donner des leçons de journalisme et de déontologie, les doigts dans le nez !! Ouallah !!
Ya qu’à comparer avec le dernier article du Grand Amer Ouali. Ca c’est du boulot.
S’apercevant de sa «bourde» téméraire incontestable qui touche à des questions de secrets d’États et sachant que son compte à rebours a sonné le glas, il laissa une lettre, une dont le genre qu’on laisserait flotter dans des bouteilles à la mer et où il écrit:
«Lorsqu’on ouvrira cette lettre, se sera accomplie une destinée qui, depuis ma plus tendre enfance, n’aura jamais cessé de hanter mon esprit. Je meurs sous des balles algériennes pour avoir aimé l’Algérie. Je meurs seul, dans un pays d’indifférence et de racisme. Je meurs pour avoir vu mourir l’Algérie au lendemain même de sa naissance et pour avoir vu bâillonner l’un des peuples de la Terre qui a payé le plus lourd tribut pour affirmer son droit à l’existence».
Par Abdelwahab Benyelles*
http://ffs1963.unblog.fr/2009/02/20/plaidons-coupables-et-nous-y-vaincrons-tous/#comments
Algerie a la clé de la solution:
IL FAUT REMETTRE L’ASSASSIN AMELLOU A LA JUSTICE FRANCAISE.
La famille Mecili a droit á la justice et la verité. Punto finale.
Au bon entendeur.
qu’es que la france en a a foutre que boutef vienne ou vienne pas avec la crises mondial la france a d’autre chats a fouetté comme si que alger étés devenue une capitale incontournable!
incontournable oui mais dans la corruption et le fezti !
J’ai du mal à adhérer à cet article et ses assertions car l’on imagine mal un Chef d’Etat concerné par une échéance aussi importante qu’un scrutin présidentiel programmer un voyage officiel durant le dernier virage.