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Archive pour le 26 février, 2009

Les signatures de la honte !

cnas.jpgLe directeur de l’agence de la Caisse nationale des asurances sociales (CNAS) de la wilaya de Oum El Bouaghi, également élu à l’APW, a réussi en quelques jours à collecter 17000 signatures pour le candidat indépendant Abdelaziz Boutelika. Le directeur a recouru à une méthode des plus sophistiquées: faire signer, à leur insu, 17000 assurés ! Source El Khabar  

L’affiche aux couleurs de Djezzy !

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Qui se souvient de « Quitte ou Double” ?

radiomontecarlormc1.jpgMes souvenirs m’interpellent lorsque je lis des balivernes pareilles concernant le très peu de biens déclarés par Sa Majesté Abdelaziz Bouteflika ! Dans les années 70 existait une émission radiophonique sur Radio Monte Carlo animée par Jean Pierre Foucault, qui se dénommait ” Quitte ou Double”. Ce jeu consistait à répondre à des questions posées par l’animateur sur de différents sujets d’actualité de l’époque ! Alors, je me rappelle, comme au jour d’aujourd’hui, qu’une question avait été posée et qu’il fallait trouver le ministre le plus riche ! Eh bien tenez-vous bien la réponse fut: Abdelaziz Bouteflika. Il détenait une fortune équivalant à 6 Milliards de Dinars. Pour rappel Monsieur Bouteflika était à ce moment-là ministre des Affaires etrangères sous Houari Boumedienne !
Alors, depuis ce temps-là, cet argent a sûrement pondu une somme faramineuse et que maintenant notre ex-ministre et actuel Président ne doit pas savoir ce qu’il a engrangé comme richesses.
Alors un peu de pudeur quand même lorsque l’on établit sa fiche de déclaration de patrimoine ! En plus, il ne s’agit nullement de feuille de déclaration aux impôts, car ces messieurs ne savent même pas ce que c’est payer des impôts ! Par Amghar Azamni

Si j’étais à la place de Ali Yahia…

aliyahiaabdenour.jpgFranchement, si j’étais à la place de Ali Yahia Abdennour, j’aurais dû aller écouter Lembarek Boumâarafi qu’est-ce qu’il avait à me dire sur l’assassinat du président Mohamed Boudiaf. À 88 ans, normalement, on devrait tirer les dernières cartouches de notre militantisme et prouver à la génération montante que l’Algerie a et aura toujours des hommes et qu’à cet âge, la peur de la mort aurait du être largement domestiquée…n’est-ce pas Maître du nombrilisme des droits de la personne version algérienne ??? Par A.BY

Nouvelles révélations de Khalifa

khalifa580520.jpg“Au moment où l’on disait que j’allais faire faillite, j’avais acheté 28% des actions de la Société Générale (banque française)”, a révélé Abdelmoumene Khalifa devant le tribunal de Westminster à Londres. Selon Khalifa, la décision prise par la Banque d’Algérie en 2002 concernant le gel des activités d’El Khalifa Bank n’était pas motivée financièrement, mais politiquement. Elle visait ni plus ni moins qu’à déboulonner le groupe en privant les différentes filiales, comme Khalifa Airways, des ressources financières dont elle disposait au sein de l’établissement financier. “Si vous arrêtez les allées et venues de l’argent, une banque ne peut plus fonctionner”, a encore expliqué Khalifa.

Invité par son avocat à commenter la nomination successive de MM. Djellab et Badsi, respectivement administrateur et liquidateur d’El Khalifa Bank, il assure que leur mission consistait à gérer ce qui restait des fonds avant de les transférer au Trésor public. “M. Djellab a été récompensé peu de temps après en devenant le président-directeur général du CPA”, observe l’ex-golden boy. Celui-ci n’est pas plus tendre avec M. Badsi. Se faisant l’écho d’une des trois rencontres qu’il aurait eues avec le liquidateur d’El Khalifa Bank à Londres, il révèle que ce dernier lui avait fait “une offre rocambolesque” de 10 millions de dollars pour acheter son silence et sa promesse de ne plus remettre les pieds en Algérie. Khalifa accuse, par ailleurs, M. Badsi d’avoir déformé les propos qu’il a tenus au cours de ces fameuses entrevues londoniennes et de lui en avoir prêté d’autres, comme l’aveu qu’il aurait fait sur des actifs qu’il possède à la Barclays (banque britannique). “Je ne lui ai jamais parlé de Barclays. La seule chose qui me lie à cette banque est une carte de crédit”, certifie Khelifa.

S’exprimant sur les raisons qui l’ont poussé à quitter l’Algérie précipitamment et à trouver refuge au Royaume-Uni, l’ex-patron nie avoir fui le pays par crainte de poursuites. “Je suis parti pour des raisons sécuritaires. J’ai su que j’étais poursuivi une semaine après mon départ”, affirme-t-il. De son point de vue, les motifs des poursuites ne tenaient pas la route. “On m’a sorti une histoire d’assurance d’avions, en m’accusant d’avoir assuré directement les appareils à Londres, alors qu’il fallait d’abord passer par une compagnie algérienne. Or, nous avions toujours fait ça sans qu’il y ait eu le moindre problème”, clame Khalifa. Pour lui, le mandat d’arrêt lancé contre lui au moment des faits en 2003 avait uniquement pour but de le faire revenir en Algérie et de le neutraliser. 

Ses sorties médiatiques hostiles au Président sont, à ses yeux, à l’origine de la cabale judiciaire dont il dit être victime. Il cite à cet égard des charges supplémentaires qui ont été jointes à son dossier, suite à la reprise de la diffusion de K-TV en 2004 et à son engagement dans une campagne défavorable à la réélection de Bouteflika. Khelifa révèle que le provider établi en Allemagne, ainsi que le locateur des studios d’enregistrement ont été contactés par les autorités algériennes pour se démarquer de K-TV. D’après lui, cette chaîne a finalement arrêté d’émettre pour des raisons financières. “Elle était trop chère”, observe Khelifa.

Réfutant les informations qui décrivaient sa retraite londonienne comme un exil doré, il dit avoir vécu à Putney, un quartier de Londres où il s’employait à mettre en place un journal en ligne. “Les gens disent que j’ai des milliards cachés quelque part, que j’ai volé les clients d’El Khalifa Bank. C’est faux. L’argent est en Algérie. Un jour, je le prouverai”, promet le patron déchu. La preuve de son innocence consiste, selon lui, dans l’abandon par la brigade économique et financière de Scotland Yard des poursuites pour blanchiment d’argent, suite auxquelles il a été arrêté en 2006.  Source Liberté

Fawzi Rebaine crie à la censure !

faouzirebaine109405797.jpgLe candidat à la candidature pour l’élection présidentielle d’avril prochain, Ali Fawzi Rebaïne a fait l’objet de censure par lEntv et le CIP. Dans un communiqué rendu public hier, le président du parti AHD 54, dénonce et proteste contre certaines pratiques dont il a fait l’objet. «Le meeting que je devais organiser, le 20 février, au CIP a été annulé, sans même que je sois prévenu», a protesté M.Rebaine. Alors qu’il devait animer une conférence face à plusieurs journalistes de la presse écrite et audiovisuelle, le candidat a été abasourdi de constater qu’«aucun journaliste ne s’est déplacé pour couvrir l’événement», a-t-il ajouté. Concernant l’ENTV, le candidat, affirme, que certains passages de sa déclaration, tenus à sa sortie du Conseil constitutionnel, ont été censurés au JT 20H.

Affaire Hasseni: Il n’y aura pas de verdict aujourd’hui

verdict.jpgJe n’ai pas entendu directement le ministre des Affaires étrangères pour connaître les termes précis qu’il a employés mais je connais l’ignorance des procédures par quelques confrères. Sachez tout de suite qu’il n’y aura pas de VERDICT. Le Droit ce n’est pas de la poésie où l’on peut faire dire aux mots ce qu’on veut. Un verdict est prononcé par une cour d’assises à l’issue d’un procès. On est quand même loin de cette situation. Les avocats du diplomate ont plaidé devant la chambre d’instruction de la cour d’appel qui est chargée de vérifier le travail du juge d’instruction. Ils ont déjà plaidé une première fois devant cette chambre sans obtenir de cause. Ils le font encore parce qu’ils estiment avoir de nouveaux éléments pour motiver leur requête. Si cette nouvelle demande est rejetée ça ne voudra pas dire que M. Hasseni est reconnu coupable ou condamné mais simplement qu’il restera inculpé en attendant les suites de l’enquête du juge d’instruction. Si la DECISION de la chambre d’instruction lui est favorable, elle donnera le signal d’un non-lieu (aquittement) ultérieur.

La chambre d’instruction était autrefois la chambre d’accusation. Son nom a changé depuis la loi du 15 juin 2000. Présente dans chaque cour d’appel, la chambre de l’instruction a pour fonction de contrôler la décision que le juge d’instruction a prise en première instance. C’est une juridiction d’appel permettant aux [parties] d’avoir une appréciation à deux niveaux. Relevant de la cour d’appel, c’est une juridiction collégiale composée de 3 magistrats : – le président de la chambre de l’instruction – 2 conseillers.

La chambre est une juridiction d’appel qui statue sur les décisions du juge d’instruction, sur les nullités invoquées contre les décisions du juge d’instruction et possède un pouvoir de révision de l’intégralité des décisions en matière criminelle. Elle est garante de la durée des procédures d’instruction. Elle s’assure du bon fonctionnement de l’instruction et vérifie que les procédures ne subissent aucun retard injustifié. En matière criminelle, la chambre peut user de son droit général de révision du dossier, droit n’intervenant que lorsque l’instruction est terminée.

La compétence de la chambre couvre le ressort de la cour d’appel dans laquelle elle est implantée.

Par O. Ouali

Anwar Haddam n’est plus le représentant d’une quelconque fraction du FIS

anwarhaddam.jpgL’interview de Haddam est claire et nette. Il appelle à participer à la farce électorale du régime. Il faut la lire et la relire. De plus Haddam a parlé en son nom personnel et même pas au nom de l’association qu’il a créée avec ses amis boulitiques: le MLJS. Ce mouvement n’est pas le FIS. Haddam a donc quitté le FIS. Pourquoi parlerait-il au nom de parti. El Khabbar est sincère, Abbassi Madani, le président du FIS a appelé au boycott des élections. Il a une position opposée à celle d’Anwar Haddam qui apelle à participer. Abassi Madani rejoint ainsi la position de pas mal d’Algériens qui forment cette forte tendance vers le boycott. Que le pouvoir annonce un grand score, cela ne change rien à la réalité des faits. Le mensonge et la falsification restent les méthodes préférées du pouvoir et de ses bouffons et relais.

Haddam attend la formation d’une opposition unifiée sans aucune précision. Il y a l’opposition pacifique et démocratique qui veut changer la nature du système de pouvoir politique. Il y a les groupes armés, dont la filiatioin reste à définir, il y a l’opposition au personnel politique, il y a l’opposition à l’opposition démocratique et pacifique composée de Said Sadi et Anwar Haddam, les deux faces d’une même médaille, car Hddam se positionne contre le boycott, c’est-à-dire pour la participation; c’est-à-dire qu’il s’aligne sur la position du pouvoir. Anwar Haddam oublie le Contrat national qu’il a cosigné et renié. Il a unifié la position de l’opposition pacifique et démocratique et a appelé à l’arrêt de l’effusion de sang, la violation des droits de l’homme, le retour à la souveraineté populaire, etc…Relisez le contrat national et vous allez découvrir le génie du peuple algérien qu’Anwar Haddam et consorts ont dilapidé.

Ils ont fait perdre au peuple algérien plus de 20 ans. Le pouvoir a repris le mot d’ordre du Contrat national ” la réconciliation nationale” pour la vider de sa substance et la présenter comme une coquille vide avec la bénédiction d’Anwar Haddam et consorts. De ce fait, toute expression libre est sujet à critique, et toute critique est soumise à critique. Le débat n’est pas oui ou non; n’est pas avec ou contre, le débat est la recherche collective du plus court chemin de sortie de la crise avec les méthodes pacifiques et démocratiques selon la seule volonté du peuple algérien. Réduire le débat politique à la participation ou au boycott de la force électorale est position opportuniste, occasionnelle qui ne changera rien à la donnée du problème. Alors à vos plumes. Maamar Boudersa 

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