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Archive pour le 1 mars, 2009

Me Hervé Temmime, avocat de Hasseni: « La prochaine étape, une confrontation avec Samraoui »

maitre.jpgLa justice française vient de décider la levée du contrôle judiciaire pour Mohamed Ziane Hasseni. Cela veut dire quoi en termes juridiques ?

Me Hervé Temmime: Cela veut dire que la chambre d’instruction a considéré que les modalités de poursuites judiciaires imposées à M. Hasseni n’ étaient plus justifiées. Maintenant, il a pour obligation de répondre aux convocations des juges et de ne pas entrer en contact avec les personnes qui ont été entendues comme témoins dans la procédure.

Quelle sera la prochaine étape du procès ?

Les prochaines étapes sont pour le moment la fin de l’instruction avec une confrontation avec M. Samraoui, dans des conditions pas encore définies. Les actes de l’instruction seront communiqués.

Cette décision implique-t-elle pour vous un changement dans la stratégie de défense de votre client ?

Absolument pas, la stratégie de défense de notre client n’a jamais été compliquée, elle est claire, et nous sommes convaincus de l’innocence de M. Hasseni. Il va naturellement continuer à participer à la procédure de l’instruction au cours de laquelle nous espérons obtenir un non-lieu.

Est-il, désormais libre de ses mouvements ?

Il est totalement libre de ses mouvements, il peut rentrer en Algérie quand il le souhaite. Et je reste serein pour la suite des procédures. Source Le Temps

Otages enlevés au Sahara algérien:La Suisse classe son enquête

suisse.jpgLe Ministère public de la Confédération (MPC) a classé la procédure judiciaire qu’elle avait lancée après l’enlèvement de quatre otages suisses dans le Sahara algérien en 2003. Il n’a pas été possible d’identifier les ravisseurs présumés et de les confronter aux faits qui leur sont reprochés, a déclaré la porte-parole du MPC, Jeannette Balmer, à la radio alémanique DRS. En outre, selon des informations des médias, une grande partie des suspects ont été tués lors de combats, a-t-elle ajouté.

Le MPC avait ouvert une enquête préliminaire en avril 2003 et des demandes d’entraide judiciaire ont été déposées auprès de l’Algérie, du Mali, de l’Allemagne et de l’Autriche. Selon la DRS, Alger n’a jamais répondu à ces demandes, malgré des rappels répétés. Trente-deux touristes allemands, suisses, néerlandais et autrichiens avaient été enlevés dans le Sahara algérien en février/mars 2003, et libérés en deux vagues successives. Selon des informations jamais confirmées de source officielle, une rançon de cinq millions d’euros avait été versée pour leur libération. Une otage allemande était décédée des suites d’une insolation. Source: SDA/ATS

Maître Bouchachi: « L’affaire Mecili est une affaire politique »*

bouchachi1.jpgSilence honteux, silence coupable. Plus de 21 ans après l’assassinat à Paris de l’opposant Me Ali Mecili, les autorités d’Alger persistent sur la voie du déni de justice. Deux décades durant, la justice algérienne, peu ou pas du tout concernée par l’affaire Mecili, s’est efforcée de réinventer le crime politique impuni et d’entraver par sa démission caractérisée la manifestation de la vérité.

Malgré des éléments probants de la culpabilité de Abdelmalek Amellou, assassin présumé de Mecili, aucune enquête judiciaire n’a été officiellement ouverte. Aucune suite positive n’a été donnée aux deux commissions rogatoires internationales délivrées par la justice française. La première, en mars 1988, la seconde dix ans après, en 1998. Pis, l’assassin présumé, qui expédia froidement de trois balles dans la tête le militant nationaliste, brillant officier des services de renseignements de l’ALN, six pieds sous terre, bénéficie de la bienveillante indifférence des autorités algériennes. Pour ne pas dire plus.

Par ailleurs, six mois seulement ont suffi à Alger pour libérer son «soldat Hassen» des tenailles de la justice française, qui l’accusait énergiquement d’avoir commandité l’exécution de l’avocat des droits de l’homme et cheville ouvrière de l’opposition démocratique, le 7 avril 1987. Pourquoi la justice algérienne se désintéresse-t-elle du «cas Mecili» ?

 Le traitement inique réservé à cette affaire ne fait pas en soi «une exception», estime Me Bouchachi, président de la Ligue algérienne de défense des droits de l’homme (LADDH) «L’affaire Mecili est une affaire politique. Et comme la justice algérienne n’est pas indépendante, la possibilité pour elle d’ouvrir une enquête judiciaire paraît peu vraisemblable.» Si la justice sait se montrer, selon l’avocat, prompte à poursuivre les opposants politiques, elle l’est beaucoup moins quand il s’agit de leur rendre justice. «Les assassinats politiques en Algérie existent depuis l’indépendance. Néanmoins, ce n’est un secret pour personne, les autorités s’interdisent systématiquement d’ouvrir des enquêtes judiciaires, alors que c’est du devoir de la justice à chaque fois qu’un Algérien se fait assassiner.»

Extrait d’un article de Mohand Aziri d’El Watan/ Titre d’El mouhtarem

NB. Les propos de M. Bouchachi sont soulignés en bleu.

Affaire Hasseni/ Medelci: «Nous souhaitons d’autres clarifications»

medelci.jpgLe ministre des Affaires étrangères, Mourad Medelci a réagi à la décision de la justice française de lever partiellement le contrôle judiciaire à l’encontre du diplomate Mohamed Ziane Hasseni. «Nous enregistrons avec une très grande attention cette décision. Nous nous attendions depuis  plusieurs mois à cette décision qui innocente comme chacun le sait notre diplomate.» Le chef de la diplomatie algérienne souhaite avoir des «clarifications» pour une innocence définitive du diplomate. «Nous espérons avoir, dans les prochains jours, un type de clarifications allant vers la levée définitive des charges qui pèsent sur un homme innocent», a-t-il souhaité.

Affiche de boycott présentée par notre ami R.Z

boycottdevoir.jpg

Un crime justifié

mecili1.jpgCet acharnement de défendre non pas la victime du crime mais les criminels en question, prouve que l’ALGERIE est gouvernée par des assassins, est qu’en théorie ce pouvoir peut tuer tous le monde. C’est un secret de polichinelle pour la CONSCIENCE algérienne qui a enfin compris, à travers cet acte, la face cachée de ce régime. L’assassinat de Mecili répond à des calculs stratégiques, tactiques et politiques du régime. Ce dernier a mobilisé son personnel, en ces circonstances, pour brouiller les vraies pistes de l’assassinat d’un homme politique de valeur en l’occurrence Ali MECELI, car tout compte fait quelque soit Hassini, Hasseni, Hassina ou autres, Ali MECILI reste la victime principale et par respect à la dignité et à la justice humaine, ce régime se doit présenter le vrai HASSANI à la justice française pour le dénouement de l’affaire. Cette dernière est d’ailleurs nécessaire pour comprendre les tenants et les aboutissants du vrai pouvoir algérien ainsi que les commanditaires de cet assassinat. Cette remise en liberté de l’un des leurs,  n’en remet jamais en cause la continuité du combat pour l’éclatement de la vérité sur l´assassinat de Ali MECILI, au contraire l’opinion publique à pris acte et s’est informée de cette affaire et commence dors et déjà à se poser des questions sur la non condamnation du pouvoir algérien de ce crime crapuleux, qui, par ailleurs, démontre que le pouvoir «ALGERIEN» justifie ses crimes et défend ses criminels. Car cette victime n’est que cet enfant qui défendait la démocratie et la dignité du peuple algérien  pris en otage par ces monstres qui ne veulent pas comprendre qu’il est temps de rendre des comptes devant le peuple algérien et devant  l’histoire pour permettre l’émergence d’un système démocratique tel espéré par Ali MECILI.

Par Mohand Tahar MOHAMMEDI

Réduire l’identité algérienne aux deux seules composante: berbère et arabe est trop simpliste

massinissa.pngDe mon point de vue, votre analyse est insuffisante. Réduire l’identité algérienne aux deux seules composante: berbère et arabe est trop simpliste. D’autant qu’on peut légitimement s’interroger sur la signification réelle de l’identité “arabe”. Que faites-vous de la composante phénicienne/punique ? On sait que le domaine de Carthage empiétait largement sur tout l’Est algérien et que la plupart de nos ports, y compris à l’Ouest, sont d’anciens comptoirs phéniciens. Il est absurde de croire que plus de 1000 ans de présence phénicienne/punique n’ont laissé aucune trace. Saint Augustin connaissait le grec et le latin mais s’adressait au peuple en punique et non en berbère. L’”arabe”, au moins dans les régions punicisées, ne s’est pas substitué au berbère, mais au punique. Beaucoup de spécialistes pensent d’ailleurs que le parler maghrébin, faussement appelé arabe dialectal, résulte d’une évolution du substrat punique (voire les travaux de Abdou El Imam et d’autres) et que si les populations se sont facilement “arabisées”, c’est qu’elles étaient depuis longtemps familières du punique, qui est une langue sémitique, au même titre que l’arabe. D’ailleurs, Salem Chaker, spécialiste du berbère, reconnait lui-même qu’il n’y a aucune preuve que Massinissa parlait le berbère. Du reste, quand on voit les noms des souverains des dynasties numides, on ne peut qu’être frappé par la consonnance punique de la plupart d’entre eux (Adherbal, Mastanabal…).

On ne pourrait pas comprendre également l’adoption de l’Islam par les Maghrébins si l’on n’admet pas que:
1) Le judaisme était présent en Afrique du Nord, bien avant l’arrivée des “Arabes” et donc que la population était déjà acquise au monothéisme. Faut-il rappeler que la Kahina était juive selon la plupart des historiens, soit une Berbère convertie au judaisme ou la descendante de juifs berbérisés. Il faut savoir que les premiers juifs sont arrivés au Maghreb dans le sillage des phéniciens mais les plus gros contingents sont ceux ayant fui les persécutions des Assyriens de Nabuchodonosor pour se réfugier au Maghreb.
2) Dès son apparition, le christianisme, qui était au départ une évolution du judaïsme, s’était largement répandu en Afrique du Nord, l’Egise d’Afrique ayant été l’une des plus importantes. N’oublions pas que Saint-Augustin était l’un des 4 pères de l’Eglise. Il n’est donc pas surprenant de constater que les Maghrébins aient adopté l’Islam, d’autant que l’arrivée des musulmans permettait de se débarrasser du joug des Byzantins.
Bien entendu, d’autres influences ont contribué à la formation de l’identité culturelle maghrébine. Par Ikosim

Affaire Mecili:Rien ne peut enterrer le dossier !

mecili.bmpOn n’en attendait pas moins, des réactions tout azimut de satisfecit. Bien comme nous l’avons toujours dit, le diplomate Mohamed Ziane Hasseni, s’il est établi qu’il n’est en rien concerné par le dossier, on ne peut que se féliciter de le voir libre. Notre satisfaction sera cependant encore plus grande si les criminels seront confondus plus tard.
Bien sûr l’aubaine est belle de tomber à bras raccourcis sur la cible des services secrets algériens, celui qui risque de leur faire perdre de leur superbe. Evidemment il y a les porteurs de messages qui ne manqueront pas de faire feu de tout bois dans le seul but qu’ils se sont assignés maintenant que la question est bien appréhendée. Les éléments du dossier d’instruction restent à l’abri des manipulations politiciennes et policières. Mais la logique veut que nous ne perdions pas de vue que l’assassin court toujours et les commanditaires et les complices eux sont tapis dans leurs coins.

Ce n’est pas Abdelhamid Mehri ni les autres qui s’aventureront à éclairer la justice. Il y a for à parier que Charles Pasqua et Pandraud pourront être entendu même s’ils peuvent invoquer les raisons d’Etat. On oublie aussi que rien n’est secret en Algérie pour les services français spécialisés. La seule appréhension que nous pouvons avoir est que l’Etat français est impliqué directement ou indirectement dans cette affaire. Sinon, avec de la ténacité des parties civiles, tout se sera ou du moins tous seront entendus puisqu’ils courent le risque d’être accusé d’empêcher le déroulement normal de l’instruction et de la justice. Il y a aussi un témoin visuel et une autre personne assez bavarde…. l’affaire n’est pas terminée et tant mieux. L’assassin et ses complices demeureront justiciables encore longtemps. Les justices française et européenne ne les laisseront jamais tranquilles comme le fait le Pouvoir algérien qui apparaît comme un complice, dans l’assassinat de Mecili. La constitution de Boutef donne des droits… pourtant.

Pour ma part, je considère que c’est tout à fait logique, que les conditions de la mise en examen de Hasseni soient assouplies, le délit sur lequel porte les investigations est complicité de meurtre. La justice a agi de la même manière pour la Rwandaise accusée de complicité de crimes.  Rien ne peut enterrer le dossier, sauf si la famille Mecili, abandonne (pour n’importe quelle raison), sinon tout ira à son terme même s’il faut encore 30 ans. La déclaration de Me Comte, ne disait pas exactement ce qui a été rapportée. Il a dit que le dossier Mecili risquait d’être enterré pour des raisons d’Etat, comme du temps de Pasqua. Ce dernier avait téléphoné à MEHRI, alors ambassadeur d’Algérie à Paris,  pour lui annoncer ce qu’il avait fait pour couvrir le pouvoir d’Alger. Les comportements des hommes politiques de l’autre coté de la méditerranée ont changé, les lois européennes aussi. Disons cependant que l’affaire Mecili reste vivace et beaucoup de partisans n’abandonneront pas ce dossier. Tous les charlots algériens qui ouvrent la bouche sur la manière dont ce dossier est géré outre méditerranée devraient être mieux inspiré par ce qui se passe dans le pays dont ils sont les maîtres incontestés. La manière dont la justice est rendue est à leur image, catastrophique. 

Si l’association pour la vérité sur l’assassinat de Mecili dont le Ministre français des AE est membre ne suffit pas, nous créerons une association algérienne. Nous dirons alors à la justice française, à Nicolas Sarkozy et Mme Rachida Dati, nous dirons à l’Europe, nous rappellerons aux Algériens qui semblent l’oublier que MECILI est Algérien et ses frères veulent savoir qui l’a tué et pourquoi ? Enfin ceux qui s’acharnent sur leur ami d’hier sont sans intérêt. Ils le font car ils savent et on leur a dit, qu’il est l’une des voix libres qui peut dire des vérités et qui feront mal aux menteurs. Les Elections présidentielles vont se passer sans ombrages, puis les choses sérieuses vont recommencer à poindre le bout de leur nez. Ceux qui s’imaginent pouvoir continuer à faire ce qu’ils ont toujours fait se fourrent le doigt dans l’oeil. Le monde a changé gare aux criminels tapis dans les salons feutrés, ils ne pourront pas continuer à gérer le pays à la Staline, et ça c’est sûr ! Et la montre avance inexorablement tic tac tic tac. Par Mohand

L’Algérie est riche par sa diversité

aza.jpgL’Algérie est riche par sa diversité. Tout ce qu’elle posséde, tout ce qu’elle est et tout ce qu’elle sera doit être respecté, enrichi, amélioré et soutenu. Son histoire n’est pas un handicap si elle n’est pas niée, morcellée, falsifiée et utilisée pour la faire avancer et la faire développer. Ses valeurs ancestrales étaient toutes issues des brassages des cultures qui s’étaient installées sur son sol, il faut les préserver, les diffuser et les inscrire dans la durée. Nous sommes le produit de notre passé et de notre vécu et rien de ce que nous sommes ne doit être ignoré, délaissé et écarté. Assumons nous tel que nous sommes et essayons d’avancer dans l’unité, la farternité, la solidarité et la paix. Ceux qui nous gouvernent n’ont ni idéologie, ni croyances, ni convictions, ni idéaux. Ils ne sont interréssés que par: le pouvoir, la richesse et la puissance que les deux leur procurent pour durer. Ils ont massacré la langue Arabe, ils ont essayé d’assassiner thamazigh et ils ont dilapidé tout le butin que representait la langue française. Ils voudraient que notre langage, à toutes et à tous, puisse se resumer à: na3am, anaam, oui et yes. Le langage d’un esclave soumis à jamais.  La langue ne peut servir que ceux qui ont un coeur humain, une âme apaisée et un esprit éveillé, ouvert au savoir et possédant la volonté d’apprendre, de comprendre et de progresser. Si la langue kabyle est toujours là parceque nos ancestres l’avaient protégé (avec uniquement la mémoire) et des hommes comme Mammeri, Chaker…ont essayé de la valoriser. Alors, préservons notre langue par tous les moyens (livres, poésies, théâtre, recherche, enseignement…) et apprenons les autres langues sans aucune hésitation, elles ne feront aucun mal à notre amazaghité. L’unité du peuple est indispensable pour se débarraser de ce pouvoir négateur de notre Algérianité dans toutes ses dimensions et elle indispensable à l’instauration d’une nation démocratique, libre, juste, tolérante, fraternelle, solidaire et fière de tout ce qu’elle est.
Fraternellement Amghar Azamni

C’est au Parlement d’effacer la dette!

parlement.jpgEn annonçant la décision d’effacer les dettes des paysans et éleveurs, Boutef se comporte en président et non en candidat qui a commencé sa campagne avant les autres. Mais l’effacement de la dette est une prérogative du Parlement et non pas du président. Mais comme il veut corrompre son monde, il décide seul, comme s’il n’y avait pas de Constitution qu’il ignore. El-Watan du 28 février a publié une publicité de l’instruction présidentielle du 7 février 2009. Elle est inconstitutionnelle, car la Constitution a donné le pouvoir au président de signer les décrets, les lois et les ordonnances. Il n’y a pas d’instruction. Dans un Etat de droit et de la loi, le Conseil d’Etat aurait annulé l’instruction et le conseil constitutionnel l’aurait déclarée inconstitutionnelle. Mais la réalité est autre. Dans cette instruction et au point trois, il est écrit que « choix souverain du responsable chargé de présider au destin de la nation… ». La constitution parle d’élection du président de la République, ainsi que la loi électorale. Le concept de président du destin de la nation est inconstitutionnel. C’est une nouvelle création de la perversion du pouvoir, car la constitution n’a pas donné ce titre au président de la République, chef de l’Etat. Allez voter, c’est renforcer le pouvoir dans sa perversion, ne pas y aller, c’est donner une leçon au pouvoir. Gangner une demi-heure en restant à la maison, ou en allant se promener, ou faire ses achats, ou rendre visite à un malade, à un ami, à la famille, c’est faire vivre au pouvoir cinq ans de cauchemar. Ne pas voter, c’est le cauchemar du pouvoir. Faites-lui vivre ce cauchemar, pour qu’il découvre le génie et le refus du peuple algérien d’être son domestique. Etre libre, c’est refuser le statut de domestique, de valet, de sujet. Etre citoyen, c’est dire non à la farce du pouvoir en refusant d’accomplir son droit formel, car il n’existe pas, sauf sur le papier et dans les discours des malades politiques. Par Maamar Boudersa

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