Hasseni veut rester à Paris pour sa protection !
Est ce qu’on s’est posé la question pourquoi Hassani veut rester à Paris ? En attendant la fin de l’instruction pour être totalement blanchi ?? mon oeil !! Et s’il avait peur de rentrer à Alger avant le sacre du roi Boutef ? Et s’il était l’otage d’une guerre de clans à Alger et qu’il ne voudrait pas être le mouton d’El Aïd. Qui l’a donné aux flics français à son atterrissage à l’aéroport de Marseille ? Avouez que ce serait une bonne affaire de part et d’autre de la méditérranée s’il lui arrivait … un accident ? N’est-ce pas que ça arrangerait tout le monde. Allez, Hassani est trés bien à Paris pour le moment. D’ici qu’il demande un statut de réfugié politique ! Par Davidlemac
Je disais donc…
J’ai bien distingué entre mon introduction (dernier poste) qui était nécessaire et ma réplique, que voici, à votre « dialectique » habituelle cent fois répétées. Malgré cette précaution vous sautez encore une fois sur une vétille et un aléa pour me descendre gentiment en flamme. Vos interlocuteurs doivent subir vos nombreuses digressions et vos dards sans qu’il ait le droit de se défendre. L’esprit militaire qui vous habite a laissé beaucoup de séquelles dans votre mentalité. Il vous fait perdre toute convenance avec les civils que vous prenez instinctivement pour des sous-fifres. Bon…!
Vous éluder ma question centrale avec une inadvertance déconcertante, qui sied tout à fait aux cabotins qui se moquent pas mal de leurs spectateurs et de l’impression qui leur auront laissé. Scrutant vos idées géniales au microscope de l’objectivité.
Toute votre dialectique repose sur la félonie dont vous gratifiez sans cesse M. Samraoui. Voilà un point central qui ne vous quitte pas. Il va pourtant nous servir de fil conducteur dans une dialectique opposée pour démontrer votre propre incohérence.
La félonie dont vous l’accusez n’est certainement pas le résultat de son témoignage contre Hassani (lui il s’en tient à ce nom). Sinon M. Aboud serait lui-même le premier félon puisque c’est lui qui était le premier à révéler le nom du commanditaire qui se trouve être son proche parent. C’est sur son insistance que M. Samraoui aurait accepté de faire éclater la vérité. M. Aboud serait donc un félon actif contre le DRS. Il serait même doublement « félon ». Une fois contre son institution à partir de laquelle le crime a été ordonné et a été planifié pour les besoins de la « stabilité politique » (grosse pilule psychotrope pour les patriotes du DRS pour les aider à être criminels) et une deuxième fois contre sa propre famille qui protège toujours son enfant et qui, pour elle, a fait simplement son devoir qu’il lui a été ordonné. Partant de cette observation, puisque vous n’avez jamais accusé M. Aboud de félonie, celle-ci trouve forcément son origine ailleurs donc que dans l’accusation de M. Hassani.
Finalement si on prend comme postulat le déterrement de l’affaire de l’assassinat de feu Mecili par les Services algériens et la divulgation des circonstances et des auteurs de son meurtre, comme le fondement de l’accusation de traîtrise, alors vous concluez par vous-même l’incohérence dans laquelle vous pataugez. Car si vous étiez honnête et objective vous vous en prendriez à M. Aboud en premier lieu. Mais ce n’est pas le cas. Votre haine viscérale contre Samraoui a visiblement une autre origine qui nécessite un autre postulat.
Le dernier postulat plausible, qu’un être sensé pourrait vous l’accorder. Peut-être reprochez-vous à Samraoui sa désertion, et la publication de son livre où il dénonce les pratiques barbares de ce que vous représentez à mes yeux. Des pratiques tirées des histoires d’horreurs. Et je pense que c’est ici où se situe votre mobile réel et principal contre le colonel. Mais là aussi il y aurait une incohérence manifeste puisque M. Aboud lui-même se vante sans être convaincant d’une dissension contre ses ex-patrons de l’armée. Lui aussi il a publié un brûlot incendiaire dans lequel il qualifie publiquement vos supérieurs de mafia, de harkis et d’autres graves accusations qui affectent sérieusement la confiance des soldats dans leurs généraux. Côté loi militaire, cela lui vaudrait théoriquement un procès dans un tribunal militaire avec une accusation de haute trahison et est passible de la peine de mort. Mais dans la réalité, côté pratique traditionnelle des nervis du DRS, il n’aurait même pas cette chance. Ses accusations lui vaudraient disparition forcée avec touts les conséquences que l’on peut imaginées. Un accident arrive vite en Algérie. Pourtant là encore de manière inexplicable vous l’excluez de l’accusation de félonie. Mieux encore le Pouvoir ne lui adresse aucun reproche. On se retrouve dans une intrigue digne de la série X-Files… Vous allez peut-être nous faire sortir un autre symbolique salvatrice et accuser ceux qui demande à voir de partisans de « Ki-est-ki » après la célèbre satire de ki-tue-ki ».
Donc dans les deux cas de figure vous manquez de cohésion dans votre accusation contre Samraoui. La logique veut que les deux hommes soient félons du point de vue des militaires algériens et du Pouvoir. De ce fait un « traître »… peut-il être crédible. Peut-on accepter son témoignage comme une preuve de la vérité. De cet angle-là le régime algérien a fait preuve de malhonnêteté en s’appuyant sur M. Aboud en l’utilisant comme un témoin à décharge.
La vérité est qu’il serait malséant et ridicule de reconnaître, qu’un haut diplomate se fait sauver et sauve l’honneur d’un pays par un « traître ». Vous voyez un peu la situation cocasse de M. Hasseni, présumé innocent. Il se trouve pris en sandwich par deux « traîtres »… Monsieur Hasseni représentant l’autorité algérienne M. Medelci serreront-il la main de M. Aboud, le traître, une fois son innocence déclarée.
Vous voyez, chère Taous, que derrière votre furie suspecte il n’y a que des préjugés et un procès inique. Aucune trace de débat respectable et respectueux. Votre dialectique teinte d’un ton revanchard et tendancieux ne repose sur rien d’objectif. Vous êtes loin donc d’un débat neutre, impartial, qui répond aux règles de la bienséance. Mais habituée, comme nos soudards, à mépriser vos compatriotes, cela bien sûr ne vous gêne pas du tout. C’est votre rôle et votre devoir d’obéir sans discuter…
On peut aller plus loin que ce constat. La problématique de la félonie que le Pouvoir, dont Taous est l’illustre représentante, réserve exclusivement au colonel dissident, peut révéler d’autres éléments insoupçonnés que rien n’empêche de les mettre sur le tapis si débat on veut. Peut-être ce sera pour une autre fois.
Je m’excuse auprès de M. Aboud et M. Samraoui d’avoir utilisé le mot traître et félon à leur endroit. C’est pour le besoin de démontrer la logique décousue de ceux qui insultent gratuitement un acteur de cette affaire sans rien apporter de vraiment objectif au débat.
Vu l’histoire nauséabonde qui a marqué notre pays ces trois dernières décennies, il serait peut-être bon de s’incliner devant des félons bénis que devant des fidèles maudits.
Je reviendrai sur votre position sur Belkheir et sur le reste un plus tard. Vous n’allez pas me griffer pour cela aussi…
Bonne soirée,
Tinawiren,
Puisque vous etes une cause perdue et que rien n’y fait, je decide de ne plus avoir quelque type de contact que ce soit avec vous. Vous n’en valez decidemment pas la peine. Je n’ai pas lu votre derniere tirade car, en la parcourant en diagonale, je me suis rendue compte que vous vous entetiez a reproduire une tactique de diversion totalement eculee et contreproductive. Puisque vous refusez le debat serein et contradictoire, je ne perdrai plus mon temps avec vous et continuerai a partager mon point de vue avec ceux qui le voudront bien.
PS: je crois vous avoir deja dit que votre style me rappelai un blogueur assidu, alors pour des raisons d’economie, je vous zappe, vous le clone, et me concentrerai sur l’original.
@Taous.
Vous me boudez déjà…
Quel dommAAAge! Et moi qui croyais être votre préféré…
Mais expliquez donc à n’importe qui d’autre pourquoi Samraoui est un félon et M, Aboud non. Prouve-leur un minimum de sérieux dans votre logique décousu…
Dites-vous bien qu’avec votre défection du débat de fond je n’ai pas perdu grande chose. Au contraire, je me sens plus serein. Vous, vous ne cherchez pas un débat mais de l’obéissance ou une faible résistance…
Mais au moment venu, vous me retrouverez sur votre chemin si j’ai le temps, même si vous jouez au muet(te)…
je viens de lire sur TOUT SUR L’ALGERIE la depeche suivante. Je la soumets à l’attention des internautes car elle dement de façon categorique les supputations des uns et des autres sur deux points cruciaux: la fuite vers l’Algerie du diplomate Hasseni et la supposée nécessité pour lui de demeurer en France pour dàacadabrants motifs.
Affaire Mecili : le diplomate Hasseni de retour en France après un séjour en Algérie
Par AFP , le 27/03/2009
Le diplomate algérien Mohamed Ziane Hasseni, mis en cause par la justice française dans le meurtre de l’opposant Ali Mecili en 1987, était de retour à Paris vendredi après un séjour en Algérie faisant suite à une levée partielle de son contrôle judiciaire, a-t-on appris auprès de ses proches à Paris. C’était le premier séjour dans son pays de Mohamed Ziane Hasseni interpellé le 14 août à l’aéroport de Marseille et inculpé sous contrôle judiciaire le lendemain pour complicité d’assassinat de M. Mecili.
La chambre d’instruction de la cour d’appel de Paris l’a autorisé le 27 février à quitter la France, déclenchant la colère de la partie civile selon laquelle cette décision risquait « d’enterrer » une affaire diplomatiquement sensible.
« Ce retour à Paris contredit les spéculations de la partie civile. C’est bien la preuve que M. Hasseni n’est pas concerné par ce dossier. Il est revenu pour permettre à la justice de poursuivre sereinement ses investigations », ont assuré ses proches. Après l’allègement de son contrôle judiciaire, il a été entendu le 3 mars par le juge d’instruction Alain Philibeaux.