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Archive pour le 28 mars, 2009

« Les partisans du boycott sont des terroristes »

Le wali de Sidi Belabbes a qualifié jeudi dernier, lors d’une rencontre avec les représentants de la « société civile » de la commune de Ben Badis, les partisans du boycott du scrutin présidentiel d’avril prochain de terroristes.

Hannachi indésirable

hannachi1.jpgLe directeur de campagne du candidat Abdelaziz Bouteflika, Abdelmalek Sellal n’a pas apprécié la présence du président de la JSK, Moh Cherif Hannachi, au meeting animé, jeudi dernier, par le président candidat à Tizi-Ouzou. « En 2004 Hannachi a préféré se rendre à Paris pour ne pas soutenir Bouteflika, aujourd’hui, il fait tout pour se montrer aux côtés du président« , a déclaré Abdelmalek Sellal devant des journalistes. El Mouhtarem 

Trois ministres face à une salle vide !

ph31louh.jpgBoubakeur Benbouzid, ministre de l’Education nationale, Amar Ghoul, ministre des travaux publics et Tayeb Louh, ministre du travail étaient contraints, jeudi dernier, d’annuler le meeting de campagne en faveur du candidat à l’élection présidentielle, Abdelaziz Bouteflika dans la wilaya de Mila. Et pour cause, les ministres ont refusé d’animer le meeting dans une salle vide. Source El Khabar.

Bouteflika a réalisé un port de pêche à Sétif !!!

fontaine20setif.gifLe président de la République, Abdelaziz Bouteflika, a réalisé un port de pêche à Sétif. L’information a été donnée par le site officiel de campagne du président candidat.  Sétif est une wilaya qui ne possède pourtant pas de bande maritime.

Réalisations majeures de 1999 à 2009 :
Logements --> 68.662, Foyers raccordés au gaz naturel --> 36.370, Foyers raccordés à l’électricité --> 91.000, Ecoles primaires réalisées --> 38, Collèges réalisés --> 20, Lycées réalisés --> 08, Etablissements de la formation professionnelle (CFPA et Instituts) --> 08, Places pédagogiques de l’enseignement supérieur réalisées --> 12.800, Places d’hébergement  de l’enseignement supérieur réalisées --> 11.000, Polycliniques réalisés --> 01, Centres de santé réceptionnés --> 03, Locaux commerciaux --> 1.043, Réalisation de station de traitement et d’une station de pompage  débit de 18000 m3/jour --> 01, Réalisation de station d’épuration --> 01, Réalisation d’un périmètre irrigué  --> 4885 ha,
Réalisation de port de pêche  --> 01, Réalisation de tunnel sur RN 43 628 m de longueur --> 01, Réalisation de viaduc de 145 m sur oued Dar El Oued --> 01, Réalisation et équipement d’internats --> 10, Réalisation de  stades omnisport --> 02 

Phrase du jour

haa2.jpg« Soyons réalistes, les plus vulnérables d’entre nous, ou les plus fragiles parce que tentés, continuerons à être travaillés au corps pour les faire abdiquer et les soumettre ou pour le moins entretenir le doute et la confusion dans l’esprit des militants les plus sincères ». Hocine Aït-Ahmed, le 20 janvier 2007.

Le diplomate Hasseni de retour en France après un séjour en Algérie

hasseni1.jpgLe diplomate algérien Mohamed Ziane Hasseni, mis en cause par la justice française dans le meurtre de l’opposant Ali Mecili en 1987, était de retour à Paris vendredi après un séjour en Algérie faisant suite à une levée partielle de son contrôle judiciaire, a-t-on appris auprès de ses proches à Paris. C’était le premier séjour dans son pays de Mohamed Ziane Hasseni interpellé le 14 août à l’aéroport de Marseille et inculpé sous contrôle judiciaire le lendemain pour complicité d’assassinat de M. Mecili. La chambre d’instruction de la cour d’appel de Paris l’a autorisé le 27 février à quitter la France, déclenchant la colère de la partie civile selon laquelle cette décision risquait « d’enterrer » une affaire diplomatiquement sensible. « Ce retour à Paris contredit les spéculations de la partie civile. C’est bien la preuve que M. Hasseni n’est pas concerné par ce dossier. Il est revenu pour permettre à la justice de poursuivre sereinement ses investigations« , ont assuré ses proches. Après l’allègement de son contrôle judiciaire, il a été entendu le 3 mars par le juge d’instruction Alain Philibeaux. AFP

La ville de Tizi-Ouzou quadrillée

boutef5.jpgDans leur majorité, les habitants de Tizi Ouzou ont tourné le dos à Bouteflika. Les rues de la ville ont accueilli de nouveaux visages : des invités d’une matinée peu ordinaire.

C’est le président de la République qui vient et il est accueilli en tant que tel par les officiels, comme le wali. Peu avant 9h, le réseau téléphonique mobile est brouillé et cela a duré jusqu’à la fin de la visite, vers 13h. Tizi Ouzou a été isolée pendant toute la matinée. Certains jeunes, peu intéressés par la visite, criaient : « Rendez-nous le champ ! » Leur ville est quadrillée par plusieurs centaines de policiers en tenue et des dizaines en civil, postés tout le long de l’itinéraire présidentiel. Le bouclage de la ville est provoquant ; des véhicules de police sont disposés en travers des chaussées, empêchant toute circulation automobile et piétonne. Les commerçants sont contraints de baisser rideau. Cela rappelle l’ère, si lointaine déjà, où les commerces fermaient en signe de protestation pour une quelconque cause.

Les archs, qui avaient menacé de perturber la visite du Président, se sont discrètement éclipsés. Abdelaziz Bouteflika ne pouvait pas espérer meilleur accueil. Saïd, son frère, est là, organisant le contact des photographes et des cameramen avec le Président pendant le trajet de près d’un kilomètre effectué à pied. De nouvelles têtes ont été choisies pour composer la haie d’honneur : l’ancien boxeur, Loucif Hamani, les anciens footballeurs internationaux Ali Fergani et Hakim Medane, l’équipe de la JSK et Ali Féraoun, fils de l’écrivain. Celui-ci est chargé de remettre un burnous au Président, mais ce dernier saute la première étape, abandonnant Féraoun le burnous sur les bras.

Mais il finira quand même de le lui remettre dans la salle Mouloud Mammeri, remplie par « la société civile ». Là, Ould Ali L’hadi, directeur de campagne à Tizi Ouzou, fait une intervention plus longue que celle du Président, vantant les mérites de Bouteflika quant au développement de la wilaya. Quand le Président entame son discours, de nombreuses personnes massées à l’extérieur se sont dirigées par groupes vers les bus qui les ont transportées. Saïd Gada El Watan

Les clients de Khalifa Bank réclament leur argent

khalifa.bmpLe collectif des clients de la banque Khalifa a rendu public hier un communiqué dans lequel il s’élève contre la situation que vivent «les milliers de victimes d’un escroc agréé par l’Etat», en soulignant que le candidat Bouteflika « n’a pas pu tenir sa promesse de rendre leurs biens aux citoyens spoliés ». Les concernés rappellent que le directeur de campagne du candidat Bouteflika s’est engagé en 2004 à rembourser, «dans les semaines suivant immédiatement le début du mandat», les clients spoliés, sans que la promesse soit respectée. Le collectif interpelle de nouveau le président candidat sur la suite à donner à ce qu’il appelle la «spoliation massive» dont ont fait l’objet des milliers de déposants de cette banque. L’association des victimes ne manque pas de noter son incompréhension du «silence assourdissant» du chef de l’Etat actuel devant «les appels angoissés des victimes de l’escroc institutionnel».

Les USA et l’UE ne se soucient plus de la démocratisation de l’Algérie

boutefbush.jpgIl y a un facteur externe qui favorise le maintien du même système. Il s’agit, selon Isabelle Werenfels, du rôle que jouent les grandes puissances mondiales que sont les USA et l’Europe. «Les Etats-Unis d’Amérique et l’Union européenne ne se soucient plus de la démocratisation de l’Algérie. Ce qui les intéresse, c’est la stabilité du pays», explique-t-elle. C’est-à-dire que les Occidentaux accordent plus d’importance à la protection de leurs intérêts dans le pays qu’à l’instauration d’un système démocratique. La France joue également, dit-elle, un rôle dans le maintien du système algérien. Preuve en est le soutien du président français, Nicolas Sarkozy, à un troisième mandat pour Bouteflika. Source El Watan. 

Après quelques verres de vin…

vin.jpgInvitée au forum Les Débats d’El Watan jeudi dernier,  Isabelle Werenfels, politologue suisse et chercheuse à l’institut allemand Stiftung Wissenschaft und Politik a raconté une anecdote:  « Au cours d’un entretien avec un responsable algérien, j’ai été émerveillée par ses idées favorables au changement. Mais après quelques verres de vin, il me proposa d’enter avec lui dans des affaires de business en Suisse. J’ai compris alors qu’il avait un argent à blanchir».

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