رسالة تركتها في هاتف بوتفليقة اليوم الجمعة بعد نتائج الرئاسيات
يمكن سماع نص الرسالة من المرفقات أو على رابط اليوتوب
http://www.youtube.com/watch?v=6hTqaKvnq78
السيد عبد العزيز بوتفليقة
كنت أتمنى أن أجاملك على الأقل مراعاة مني لفارق السن فأهنأك بانتخابك رئيسا، لكن الأعراض الخطيرة التي وصلها النظام السياسي على يديك حتى أصبح يصدق الأكاذيب التي يصنعها بيديه ويؤمن بشعبية وهمية من إخراج التلفزيون، كل ذلك يضطرني إلى إبداء مشاعر الشفقة عليك وعلى نظامك الفاقد للأهلية المدمر نفسه وشعبه
Le monde entier a vu/temoigné que la majorité des bureaux de vote ont ete VIDE!
les 70% de l’assassin ZerHaine est une INSULTE contre tous les algeriens sans exception.
A midi, tous les bureaux etaient VIDES et 5% etait le taux REEL qui a mis la foudre sur ce pouvoir assassin pour appliquer le plan d’Ouyahiya cad le bourrage des urnes par tous les moyens.
Le pouvoir etait entrain de penser evacuer BouHef vers les pays du Golf et les autres….
alors la solution c’etait le bourrage des urnes pour eviter la fuite de BouHef mais surtout les autres, les ouyahiya, belkhradem, aboujrad et la suite…, la france OFF-icielle a elle seule s’attendait á plusieurs milliers de la mafia du pouvoir algerie ce qui n’arrange pas leur situation en france c’est pourquoi cette france OFF-icielle s’etait precipité de reconnaitre cette fraude immense avant meme que le conseil constitutionnel ne reconnait ces chiffres precipités de ZerHaine et de la mafia au pouvoir en algerie.
Tout est devoilé!
En Kabylie
de Tizi-Ouzou, en passant par Bouira en allant jusqu’á Bejaia, le taux de participation ne depasse pas les 5%
Le centre
le taux varie entre 5-9%
Est
le taux oscille entre 9-12%
Ouest
le taux varie entre 6-13%
Sud
le taux varie entre 6-14%
Avons-nous des OFFICIERS militaires peureux/laches? sont-ils des corrompus?
est-ce toute la classe politique et intellectuelle sous les ordres? ou des peureux et laches?
le peuple algerien doit se reveiller pour chasser ces Zer-Haines et valets de l’algerie…
Ils sont le darkness/obscurité/diable sur la terre.
Tant que les BouHef/Zer-Haines et cie (ouyahiya,belkhradem,aboujrad) existent plus il y’a des crimes et injustices sur terre.
Les intellectuels peureux et laches (s’il y’en a) sont responsables de ce drame frauduleux vol/viol de la constitution algerienne.
y’a-t-ils des officiers dignes et decents en algerie ou bien sont-ils tous des corrompus?
Les intellectuels et les officiers algeriens sont des comiques au yeux du monde entier, regarder la mauritanie, la georgie, la tailande et autres pays … leur peuple sont aidés pour se soulever contre leur tyran pour les chasser.
Nous accusons nos intellectuels s’ils existent et nos officiers superieurs peut-etre des corrompus et assassins
Tendrement votre
et bien boutef peu ce targuait d’avoir accomplie sa mission téléguidé par les monarchies du Golfe, ces 5 années à venir seront les années plus sombre que l’Algérie n’a jamais vécue!!!
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Après les promesses électorales, la réalité reprend le dessus
L’Algérie sur un baril de poudre
Devant une salle abritant son dernier meeting électoral et face à un public acquis à sa « volonté », Abdelaziz Bouteflika crie : « Antoum ahrar (vous êtes libres). » Une phrase clé de son vocable de campagne. Il s’adresse bien entendu aux électeurs, leur rappelant un droit « oublié », le droit de glisser le bulletin de vote dans une urne opaque. Cette liberté, dont le « candidat » parle, prend fin lorsque le « président » arrive. Elle est donc chronométrée : elle commence à l’ouverture des bureaux de vote et se termine à la proclamation de « sa » victoire ! Le peuple électeur n’a pas un droit de regard sur ce que fait l’« élu » de son mandat. Il n’a pas le droit de demander des comptes ni de « récupérer » le mandat en cas de dérive. Fini le vote, le citoyen est vite prié de ranger sa langue sauf pour acquiescer ou encenser la parole du maître.
M. Bouteflika a réussi en dix ans à renvoyer l’Algérie à la période de glaciation politique en instaurant un « pluralisme unique ». Les Algériens ont perdu en l’espace d’une décennie la liberté retrouvée au lendemain des « jacqueries » d’octobre 1988. Tour à tour, tous les espaces de la « libre » expression sont fermés. La télévision redevient une courroie de transmission de la voix officielle. Les chaînes de la Radio nationale n’ont plus de place pour les voix dissonantes. Des amendements ont été introduits au code pénal en 2001 à même de pouvoir mettre en prison les journalistes usant encore de leur libre ton hérité du « défunt » code de l’information. Les journalistes et les responsables de journaux indépendants, refusant de se résigner, se trouvent régulièrement au banc des accusés, appelés à répondre des plaintes de responsables…
Les libertés malmenées
Entre temps, les bénéficiaires de la concorde civile en 1999, puis ceux de la réconciliation nationale en 2005 se pavanent librement dans les rues des villes ensanglantées par une décennie de terrorisme. La chasse aux libertés ne se limite pas au domaine de la presse. Le royaume des interdits étend ses tentacules touchant à la vie privée des gens subissant une sorte de « police des mœurs », à l’image de ce qui se pratique dans les monarchies du Golfe. Sur le plan politique, il n’est plus possible de créer une formation politique. Des partis nouvellement créés tels que El Wafa de Taleb El Ibrahim ont essuyé un refus d’agrément. Ceux déjà agréés, et qui sont dans l’opposition, rencontrent des difficultés à organiser des activités, à véhiculer leur message et à faire connaître leurs programmes. Pas de pluralisme syndical. L’unique organisation nationale reconnue officielle demeure l’Union générale des travailleurs algériens (UGTA). Plusieurs syndicats autonomes ne sont pas reconnus. Malgré leur représentativité démontrée à maintes reprises sur le terrain, ils sont interdits, leurs membres pourchassés, réprimés et même poursuivis en justice. Le mouvement associatif a été transformé en un simple appendice du pouvoir, sur lequel il s’appuie lors de rendez-vous électoraux. Les villes algériennes sont fermées à toute manifestation politique, syndicale ou associative. Cela depuis la marche historique de 2002 à Alger, conduite par le mouvement citoyen de Kabylie. Une marche réprimée dans le sang. L’état d’urgence, instauré en 1992, est toujours maintenu malgré les incessantes affirmations officielles du retour à la paix et à la sécurité. Des livres, comme Le Village allemand de Boualem Sansal ou Le journal d’un homme libre de Mohamed Benchicou, ont été censurés. Plusieurs titres de la presse étrangère, vendus en Algérie, subissent aussi la censure lorsqu’ils publient des articles critiques envers les gouvernants.
L’état d’urgence toujours maintenu
Plusieurs personnes se sont retrouvées devant les tribunaux, certaines pour « avoir porté atteinte » à la sacralité du mois de Ramadhan en refusant d’observer le jeûne. D’autres pour avoir osé épouser une autre religion que l’Islam. Il est ainsi aisé de relever qu’au bout de dix ans sous le règne de Bouteflika, l’Algérie fait un bond en arrière en termes de libertés. Les rapports d’ONG nationales et internationales ont été durant ces dernières années particulièrement accablants sur ce sujet. Le dernier en date est celui du département d’Etat américain qui mettait l’Algérie sur une liste noire. Ce rapport parlait notamment d’une régression en matière de respect des libertés religieuses, de centres de détention en piteux état, de pression sur les médias et d’intrusion politique dans les mosquées. Le prochain quinquennat serait-il celui d’un grand retour à la pensée unique ?
Par M. A. O.
http://www.elwatan.com/L-Algerie-sur-un-baril-de-poudre#forum44910
@Adrariw : essalamou alaikoum je voudrais vous apporter une precision a savoir que les laico-democrate-erradicateurs regroupant le rcd,les journalistes d elwatan,soir d algerie,liberte, le matin ……etc ont une grande part de responsabilite de la perennite de cette junte militaire , ils n ont qu a prendre leurs mouchoirs et …….pleurnicher