Abdelaziz Bouteflika proclamé officiellement président de la République

presidentbouteflikag.jpgLe Conseil constitutionnel a proclamé lundi les résultats définitifs de l’élection présidentielle du 9 avril 2009, remportée par le candidat indépendant Abdelaziz Bouteflika avec 13.019.787 de voix. Après examen des recours introduits au nombre de 57, tous rejetés, le président du Conseil constitutionnel, M. Boualem Bessaih a communiqué les résultats suivants : – Nombre d’électeurs inscrits : 20.595.683 – Nombre de votants : 15.356.024 – Taux de participation : 74,56 – Nombre de bulletins nuls : 925.771 – Suffrages exprimés: 14.430.253 - Nombre de voix obtenues par chaque candidat par ordre décroissant: – Abdelaziz Bouteflika : 13.019.787 – Louisa Hanoune : 949.632 – Moussa Touati : 294.411 – Djahid Younsi : 208.949 – Mohand Saïd Oubelaïd : 133.315 – Ali Fewzi Rebaïne : 124.559.

Commentaires

  1. Anonyme dit :

    La fraude version Ouyhia et Zerhouni faite avec un ordinateur occidental hyperpuissant ne peut dire que la vérité. Le peuple compte pour du beurre. Ainsi est ça Fakhamatouhou: roi incontestable et absolu !

  2. algerlacitta dit :

    Il y a une erreur dans ces chiffres diffusés par l’APS qui les a corrigés par une nouvelle dépêche.
    A force de triturer les chiffres évidemment….

  3. Rezki dit :

    Ce triste énergumène n’a pas été élu par les algériens. Il ne peut de ce fait prétendre être leur président. Les algériens ne le reconnaiteront jamais en tant que tel. Il n’a d’ailleurs jamais eu la moindre légitimité. C’est un pantin imposé aux algériens qui le subissent malgré eux.

  4. Fennec dit :

    Si vous faites l,addition des resultats obltenus des 6 candidats, vous trouverez le resultat superieur au nombre de votants expremes….Nombre de votants: 14.430.253 ….SOMME DES CANDIDATS:14.730.653…..

  5. amina&amin dit :

    A comparer Bouteflika=Hitler et Zerhouni+ouyahia+said bouhef=Naegelen

    Hitler a dit:
    plus c’est gros, plus ça passe.
    On peut tromper tout le monde quelques temps,
    on peut tromper quelques uns tout le temps,
    mais, on ne peut pas tromper tout le monde tout le temps.

    Boutef-atika a exigé un score gros et gras et le drs le lui fabrique tant que la france OFF-icielle le couvre et protege alors ca passe un certain temps mais on ne peut pas tromper tout le monde tout le temps… les bureaux de votes etaient pratiquement VIDES apres 12h et partout sur tout le territoire national malgré les buss du cous d’ouyahiya et said BouHef…

    11 avril 1948:
    Naegelen est chargé de faire de « bonnes élections » (Algérie) Le statut de l’Algérie du 20 septembre 1947, reprend le projet Bidault d’inspiration fort conservatrice. Alors que les représentants des « indigènes » demandent l’association pour les uns, l’indépendance pour les autres, ce statut définit l’Algérie, de même qu’en 1900, comme un groupe de départements doté de la personnalité civile et de l’autonomie financière.

    Un gouverneur général nommé conserve le pouvoir exécutif, le législatif reste du domaine de l’Assemblée Nationale française.

    L’Assemblée algérienne a des attributions essentiellement financières.

    La représentation y est dite « paritaire » : 60 délégués du premier collège, 60 du second.

    Le premier collège comprend 464 000 citoyens français (hommes et femmes), et 58 000 « Musulmans ».
    Le deuxième 1 300 000 électeurs « musulmans ».
    On dénombre alors en Algérie 922 000 Européens et 7 860 000 « Musulmans ».

    Les clauses qui annonçaient des progrès réels (suppression des communes mixtes, indépendance du culte musulman, enseignement de l’arabe, droit de vote aux femmes « musulmanes »), restent des promesses vaines parce que soumises à des décisions de l’Assemblée algérienne et subordonnées à l’impossible majorité des deux tiers. Les députés « musulmans » algériens, même modérés, avaient refusé unanimement ces dispositions.

    Le 11 février 1948, Edmond Naegelen, est nommé gouverneur général d’Algérie en remplacement d’Yves Chataigneau, jugé trop faible. Celui-ci avait tenté désespérément de faire appliquer le statut de 1947, combattu par les colons. « Membre éminent de la SFIO, Naegelen n’a été choisi que pour couvrir le sabotage pratique dudit statut. ». Il ordonne à l’administration de faire de « bonnes élections » .
    Réalisée « sous le signe de la fraude, de la peur et du sang » les 4 et 11 avril, cette élection avait été minutieusement combinée et réglée pour confirmer, à l’échelle du pays, les résultats passablement trafiqués des élection municipales.
    Au premier collège: cinquante-cinq députés de droite, quatre socialistes, un communiste.
    Au second collège, quarante-deux élus(?) « administratifs » ,
    neuf MTLD (Messali Hadj),
    huit UDMA (Fehrat Abbas), un socialiste.
    « Mais alors que le premier tour laissait pressentir une nette victoire du MTLD, une gigantesque opération de trucage dénatura totalement le scrutin du second tour.
    Le bourrage des urnes, l’arrestation préventive des assesseurs suspects et le quadrillage des douars par l’armée aboutissaient à « l’élection » de 41 candidats administratifs (sur 60) […] » «

    Les élections qui suivirent [en 1951 et 1954], furent toutes des triomphes pour l’administration.
    Mais la validation constante de ces « élections » par les Assemblées de la IVème République fit partager à la France la responsabilité de ces errements.

    A pratiquer cette politique, les gouverneurs Naegelen puis Léonard désespérèrent les Musulmans mais gagnèrent l’amitié reconnaissante des Français d’Algérie.
    Persuadés que la ruse et la force pourraient maintenir le statu quo, ceux-ci ne firent aucune concession. ».

    On comprend la sombre prophétie qu’aurait formulée Ferhat Abbas devant le maréchal Juin: « Il n’y a plus d’autre solution que les mitraillettes. »

    Sources :
    André Mandouze, Mémoires d’outre siècle: D’une résistance à l’autre, Ed. Viviane Hamy, 1998, page 183-184; Ch.-Robert Ageron, Histoire de l’Algérie contemporaine, Que Sais-je n, page 97; Bernard Droz, Evelyne Lever, Histoire de la guerre d’Algérie, Seuil-Histoire, 1982, page 33-36.

    Tot ou tard la justice et le droit triompheront,
    la france coloniale s’etait taillé apres 132 ans de misere et crimes humanitaires contre le peuple algerien et meme si elle avait implanté/imposé en 1962 ses sequelles au pouvoir en algerie qui finiront aussi par s’auto eclipser mais que sera alors les dommages et interets du peuple algerien contre ces bandits, leurs enfants et familles et amis… plus ce regime commet des crimes humanitaires contre le peuple algerien plus la note s’alourdit pour eux/enfants/familles et amis.

    No evolution without a revolution
    Une Revolution pacifique sans effusion de sang
    Amicalement votre

  6. nacer dit :

    bonjour,
    je remercie notre dernier intervenant, il à touché l’essentiel, moi personnellement j’en ai ras le bol de voir ces bandits tiennent le pouvoir, jusqu’à quand?? même ceux les nouveaux sangs comme ouyahia et tant d’autres ont la même politique de voir les choses que le bondieu les prennent une fois pour toute pour soulager le pauvre peuple algérien…

  7. benameur dit :

    side rayas rahe 3endh fi bamako 15 ana rany melit men el hogra herabt nakwl liketbha raby
    elhamdo lah jabek rabi lina bech takhdem leblad ya sid ryass
    nteleb menk mo3awna fi sabi leh
    bi meblag seger 10 000.00 euro
    bech njo nchfouk ya side raiss
    ana
    garib elhalak

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