Algérie: l’histoire officielle est fausse !
Le livre en question est de l’auteur Henri Jacquin, probablement aujourd’hui général en retraite. Son titre est “La guerre secrète en Algérie”. L’éditeur est “Olivier Orban”. L’année d’édition est 1977 à Paris.
Aux gens anonymes qui refusent les témoignages de l’histoire, je dis que l’histoire officielle est fausse. L’histoire partisane est l’histoire partisane, elle est sélective et partielle, donc incomplète. Il y a plusieurs témoignages d’officiers français, qui, après le délai légal, ont témoigné aussi bien contre De Gaulle que sur les méthodes utilisées pour vaincre l’ennemi, le FLN-ALN historique. Le témoignage de Jacquin ne se limite pas à Messali, mais englobe trois autres. L’arbitraire a fait choisir à notre anonyme le seul Messali. Il y a aussi le congrès de
la Soummam qui a pris position contre Messali et ses partisans, dont le général Bellounis qui agissait aux côtés de l’armée coloniale contre l’ALN, avant d’être tué par ses serviteurs, car il était un mercenaire. Tel est aussi le cas de Kobus, Belhadj, ancien instructeur de l’OS et dont la famille a reçu les délégués au congrès du MTLD en 1947 dans leur ferme, à Zeddine. L’histoire est l’histoire, elle doit être totale, objective, impartiale pour servir d’enseignements aux autres générations. Toute nation a ses traites, ses lâches, ses audacieux, etc.Telle est la nature humaine.
Quant au témoignage de Constantin Melnik contenu dans son livre “300 jours à Matignon”, il renferme beaucoup de données. L’auteur était le patron des services secrets français sous De Gaulle durant la guerre coloniale. Il appartient aux mis en cause d’apporter la preuve du contraire. Quant à notre internaute anonyme qui doute que je pourrais être un agent de la France, je lui dis que le doute est source de la connaissance. Cherchez, peut-être vous allez trouver quelque chose, même le zéro a été trouvé. S’il veut démentir les propos de Jacquin, il n’a qu’à le faire. Même Yacef a voulu démentir Aussaresse lors qu’il a mis en cause dans la mort de plusieurs patriotes. Bitat est mort, sinon il pourrait témoigner qui l’a vendu aux autorités coloniales pour l’arrêter et le jeter en prison. L’histoire continue, son écriture aussi, les témoignages aussi, comme celui de Bouragaa sur le rôle de Benchérif. J’ai un autre document historique, envoyé par Messali aux autorités coloniales, où il ne revendique plus l’indépendance. Alors, alors, à vos plumes et à vos connaissances basées sur des faits et confirmées par des documents…..sinon ce serait du mensonge historique etIbn-Khaldoun en connaît quelque chose…..Par Maamar Boudersa
OS fut eclaté grace á un sergent decoré de l’armee francaise un certain Ben bella juste apres le hold up de la poste d’oran.
En 1961, Bouteflika etait escorté et protegé par les services secrets francais surtout lors de sa visite á Aulnoy Paris prison de santé oú les SIX chefs historiques etaient gardés pour choisir BenBella le plus corrompu comme futur president de l’Algerie independante connu contre le congrés de la Soummam cad pour la primauté du militaire sur le civil.
Ce jour-lá Bouhef lui avait glissé un numero de telephone dans l’album photo et en cachette sur les autres chefs historiques. ( reference voir le livre « les accords d’Evian » de Redha Malek).
Amicalement votre
Renseignement précieux que l’existence de ces deux livres !
Merci M. Boudersa
Il ne reste plus qu’à se les procurer.
Soyez plus soucieux de vos références historiques…Prendre comme parole d’honneur celle d’Henri Jacquin me semble risquée. Ci-joint la notice d’une critique par l’institut Maghreb-Europe datant des années 90. Qu’en pensez-vous monsieur Boudersa.
_________________________________________________________________________________________
Henri Jacquin servit dans la légion étrangère pendant vingt-cinq ans puis fut chef du deuxième bureau de l’Etat Major d’Alger en 1958, traite de la guerre d’Algérie dans sa version « secrète » : batailles du renseignement, intoxications, manipulations, ruses et coups fourrés… Mais le livre contient de graves erreurs historiques (Messali ne s’est jamais rendu à Moscou en 1931 !, et « l’Algérie libre » n’est pas un journal en langue arabe), des invraisemblances et contre-vérités. Ainsi Ben Bella n’a jamais été trahi par aucun membre du comité central du PPA en 1949. Et pas un seul des membres fondateur du FLN n’est issu du courant « Oulémas ». Henri Jacquin fait de Messali un informateur de la police française en 1945…sans avancer la moindre preuve (Messali était alors déporté à Brazzaville). La lecture de ce livre donne le sentiment que l’auteur poursuit sa « guerre d’intoxication » vingt ans après la fin du conflit.
Fiche de lecture : Dictionnaire des livres de la guerre d’Algérie
Institut Maghreb-Europe
1990
_______________________________________________________________________________________
Arezki
Et donc, merci aussi pour ces précieuses précisions, Arezki
Note est prise !
A PROPOS DE BENCHERIF REGARDEZ CE QUE J AI TROUVÉ ÉCRIS SUR CETTE PHOTO !
http://www.ac-creteil.fr/lycees/93/asabatierbobigny/docs/El%20youm/Photo%20de%20Bencherif%20par%20Marc%20Garanger,%20novembre%201960.jpg
Arezki a rappporté une critique du témoignage de Jacquin. Elle reste une critique et le témoignage reste un témoignage. Les mis en cause n’ont jamais apporté la preuve du contraire de ce qu’avance Jacquin qui donne le nom du couvert de Messali « Léon », car Léon le sécrétaire de l’autoproclamé émir Abdelkader.
Jacquin était un actif de la guerre subversive. IL a excellé en Algérie, mais il a perdu, comme Constantin Melnik, dont le livre-témoignage est « 1000 jours à Matignon » et non « 300 jours » comme e l’écrivais auparavent.
Benkhedda, dans son livre » aux origines du premier novemebre » a publié en annexe l’aveu de Benbella à la police coloniale. Il a servi de motif pour demander la levée de l’imminuté parlementaire à Khider qui était député à l’Assemblée nationale française au nom du MTLD qui a expulsé Messali de ses rangs dans son congrès de 1953 après le congrès dde Belgique organisé par Messali et ses partisans, lequel Messali a renié le programme de l’Etoile Nord-Africaine qui exigeait l’indépendance en le remlaçant par un autre objectif: l’émancipation. Les archives historiques existent.
L’existence de deux sources divergentes doit donner aux chercheurs un stimulus pour trouver la vérité des faits et non pas pour trouver des contre-vérités qui remplacent la vérité, toute relative de l’histoire.
Un incrédule poltron et anonyme?
Merci pour le nouveau titre que vous m’avez donné: porte-parole de Jacquin. Est-il encore vivant? Qui vous a informé que je suis son porte-parole? Est-ce une nouveau emballage d’une nouvelle étiquette? J’espère que vous connaissez mon contrat de travail avec Jacquin? Que dit-il incrédule anonyme? Combien je reçois? Quant à organiser une nouvelle bleuite, c’est que vous ne connaissez pas l’opération. Vous avez entendu parler. Je vous conseille de lire la version de M’hamed Yousfi, un ancien de l’OS, du MALG, DG de la police de Benbella, ambassadeur à Berne et historien à la fin de sa vie.
Un peu de pudeur incrédule. Jacquin a témoigné comme d’autres et notre histoire n’est la propriété de personne. Quant à ton conseil de me voir réservé, garde-le pour toi. Je persiste et signe que je suis engagé sans réserve contre la fausse histoire et pour la vrai histoire celle que les hommes ont vécue et non celle que des scribes ont peint pour servir leurs maitres.
Pourquoi le livre du commandant AMMAR Mellah, officier de l’ALN et de l’ANP, auteur avec Zbiri de la tentative du coup d’état de 1967 contre le régime de Boumedienne a été retiré des librairies d’Alger sans décision judiciaire? C’est aussi une partie de notre histoire qui reste inconnue.Pourquoi le pouvoir a interdit aux Algériens le droit de lire leur histoire selon diverses versions. Pourquoi les livres de Ferhat Abbas publiés en France après l’indépendance n’existent pas en Algérie. C’est aussi une autre version de l’histoire. Alons poltrons, ceux qui ont peur des livres, des écrits, de la parole libre. Allons, exibez encore votre haine et votre rancune, anonyme incrédule qui a peur de son nom, qui a peur de dire qu’il est, c’est-à-dire le fils de son père et de sa mère. Incrédule est commun, il ne peut être un nom propre. Alors, sois propre, décline ton nom et prénom et à chacun ses arguments.
Oh j’ai eu beaucoup de pudeur par rapport à vous qui sans la moindre hésditation vous vous attaquez de la plus vile manière à des symboles héroiques de l’histoire de l’Algérie. Il est vrai que les morts ne parles pas. Vous pouvez les traîner dans la boue et il ne réagisent pas. Mais devant le devoir de mémoire et de reconnaissance. On réagit sainement à des attaques gratuites.
Quan j’ai dit que vous ête le porte-parole dans dans un sens absouluemnt figuré. Par contre je suis convaincu que vous vous égaré complètement et sans le savoir vous humilier des morts qui toutes leur vie ont combattu les Jacquins et les Salan. Vous ne pouvez pas vous reférer à eux pour insulter des symboles des patriotes. A quoi vous servira mon. C’est l’histoire qui compte. Vous fabulez et vous mysthifiez les propos des services secrets.
Pourquoi veulent-t-on caché que l’ »Histoire secrète » de Messali Hadj. N’était-il pas l’ennemi juré du FLN qui a pristout le pouvoir en Algérie? Le FLN vouliat-il le blanchir en interdisant vos sorces? C’est à vous d’être un modeste et pudique envers les grands patriotes de l’Histoire. Arretez de fabuleren induisant en erreur vos compatriote. Jamais un historien n’est capablkes de salir les combattant de cette manière. IOl eut des guerres entre les combattants Agériens qui revendiquait l’indépendance ou l’identité musulmanes.
Vive Messali hadj
Vive Ferhat Abbas
Vives les oulamas
Gloire aux martyres
Il y eut des guerres entre les combattants Algériens qui revendiquait l’indépendance ou l’identité musulmanes. Mais ils ne sont pas des traîtres.
Les traîter de traîtres n’est pas de la pudeur M. Boudersa. C’est une grave responsabliter que vous prenez. On dirait Hanoun qui s’exprime contre les boycotteurs.