Producteurs laitiers à Bouira trouvent une nouvelle forme de lutte !
Quelque 225 éleveurs de vaches laitières de la wilaya de Bouira sont montés au créneau pour dénoncer le comportement jugé inconcevable des collecteurs de lait locaux, dont le complexe laitier de Aïn Bessem et l’entreprise Giplait (ex-Orlac) de Draâ Ben Khedda (Tizi Ouzou) qui ont, selon les plaignants, cessé d’acheter le lait produit localement depuis le 28 mars dernier, rapporte El Watan. Devant cette situation pour le moins contraignante et qui peut être à l’origine de la faillite de certains éleveurs, ces derniers qui disent avoir tenu leur promesse consistant en la production de plus de 2000 litres/jour, menacent de recourir aux actions de rue. Entre autres actions envisagées, le déversement du lait produit quotidiennement au niveau du siège de la wilaya en signe de protestation.
[Interrogé sur la détérioration de la situation sécuritaire en Kabylie, le Directeur Général de la Sûreté Nationale a répondu que l’Etat n’a pas réussi à réaliser ses projets prévus dans cette wilaya, notamment, la construction de postes de police, pour l’absence des terrains bien de l’Etat.]
Mais la prison de Lkemis à Vghayet est presque terminé, le régime dz viendra en Kabylie en temps que colonisateur que certaines traitres de la région l’ont déjà tracé le chemin, peuple Kabylie réveillez-vous à la guerre !!, désolé mais l’heure est grave !!
Celui qui a assassiné 124 jeunes et plus de milliers d’handicapés à vie, brulé toute la Kabylie en 2007 n’a aucune bonne intention si ce n’est de la soumettre à ses désires pervers, ils sont perfides !!, la vendetta est en course.
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Social
Au nom de l’Intérêt général
Des algériens expropriés de leurs terrains qui sont accordés à des autres par décrets.
Plusieurs familles algériennes sont passées de la richesse à la pauvreté suite à une décision politique qui les a privées de leurs biens immobiliers sous prétexte de « Nationalisation » ou de « Socialisme ». Le Gouvernement a, ensuite, corrigé cette erreur et remboursé toute personne ayant perdu ses biens auparavant.
Cependant, dès que l’Algérie ait renoué avec le monopartisme, ces pratiques ont surgit sous une autre forme, à savoir, « l’expropriation pour l’intérêt public », pour que les algériens se retrouvent, de nouveau, expropriés de leurs biens, qui ont été accordés à d’autres personnes, par décrets exécutifs.
L’article premier de la loi n°11/91, daté du 27 Avril 1991, portant l’expropriation pour l’intérêt général, est considéré comme « mesure exceptionnelle à laquelle on ne puisse recourir qu’après avoir tenté toutes les solutions possibles sans en arriver à une solution ». C’est peut être à partir de ce principe que le président de la République a appelé les habitants de
Tizi-Ouzou à trouver des terrains pour que l’Etat puisse les acheter et en réaliser des projets à intérêt général. Dans les projets à venir, l’Etat se comportera ainsi avec les biens des citoyens, en cas de nécessité, avant de passer à l’expropriation par la force de la loi.
Interrogé sur la détérioration de la situation sécuritaire en Kabylie, le Directeur Général de la Sûreté Nationale a répondu que l’Etat n’a pas réussi à réaliser ses projets prévus dans cette wilaya, notamment, la construction de postes de police, pour l’absence des terrains bien de l’Etat.
Les habitants des villages situés près de la route reliant Tizi-Ouzou à Azazga, s’apprêtent à s’opposer à toute tentative de l’Etat portant la réalisation d’un projet d’élargissement de cette route au détriment de leurs propriétés, et se souviennent toujours de la souffrance qu’ils ont subie lorsque leurs terrains leur ont été enlevés pour réaliser la première route sans être remboursés, en vertu de la politique de la nationalisation qui ne reconnaît pas la propriété privée.
Une fois l’Etat a décidé de les rembourser, à l’instar de tous les algériens qui ont perdu leurs terrains pendant le régime socialiste, ils ont été indemnisés aux anciens prix de l’immobilier et non pas avec les prix actuels.
En parallèle d’une telle situation caractérisée par les dépassements et par certains biens privés perdus et certains dans leur voie d’être perdus, des parties influentes bloquent la réalisation de projets qui soulageront des milliers d’Algériens, justifiant cela par les Droits assurés par la constitution.
15-04-2009
Par M. Iouanouagen/ Traduit par S. Ahmed Ouatera
http://www.elkhabar.com/quotidienFrEn/lire.php?idc=145&ida=152409
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je mis quelques témoignages des militaires la légion d’Afrique durant la conquête française de 1830, dont le dey offrit à la Convention toutes facilités pour faire ses achats de blé que son peuple et son armée risquaient d’être affamés déjà en 1794 où son territoire était envahi sur plusieurs points par les Anglais.
« Les beaux orangers que mon vandalisme va abattre !… je brûle aujourd’hui les propriétés et les villages de Ben-Salem et de Bel-Cassem-ou-Kassi. » (Région de Bougie, 2 octobre 1844.)
« J’ai brûlé plus de dix villages magnifiques. » (Kabylie, 28 octobre 1844.) « II y avait encore des groupes nombreux d’ennemis sur les pitons, j’espérais un second combat. Ils ne sont pas descendus et j’ai commencé à couper de beaux vergers et à brûler de superbes villages sous les yeux de l’ennemi. » (Dahra, mars 1846.)
« J’ai laissé sur mon passage un vaste incendie. Tous les villages, environ deux cents, ont été brûlés, tous les jardins saccagés, les oliviers coupés. » (Petite Kabylie, mai 1851.)
« Nous leur avons fait bien du mal, brûlé plus de cent maisons couvertes en tuile, coupé plus de mille oliviers. » (Petite Kabylie, juin 1851.)
Tel est le témoignage de Saint-Arnaud
« Cette colonne était commandée par le général Yussuf. Sur ce même général, le même auteur rappelle le fait suivant, si militaire (D’Hérisson : La Chasse à l’Homme, p. 349.)
« En 1857, le maréchal Randon, que les lauriers de Saint-Arnaud empêchaient de dormir, monte à l’assaut de la Kabylie pour exercer ses 25 000 hommes et y recommencer les incendies de ses prédécesseurs. C’est dans cette expédition qu’on vient dire au général Yussuf : « Encore une tribu, mon général, qui en a assez et qui demande l’aman (le pardon). » — Non, répondit Yussuf, il y a là, sur notre gauche, ce brave colonel qui n’a encore rien eu. Laissons-lui cette tribu à éreinter ; cela lui fera un bulletin ; on donnera ensuite l’aman »
[A cette époque, Napoléons III avait eu beau venir en Algérie les assurer de sa sympathie : « les oreilles indigènes valurent longtemps encore 10 francs la paire, et leurs femmes demeurèrent, comme aux, d’ailleurs, un gibier parfait » (D’Hérisson : La Chasse à l’Homme, p. 349.)]