Le roi est fou du trône !
Ah ! Si l’Algérie ressemblait au palais, nous vivrons heureux, en sécurité et bien nourris. Le roi aime le trône et le trône aime le roi. Ils sont unis pour la vie, le meilleur pour lui et le pire pour le “ghachi”. Le roi voit le trône partout. Le roi est fou du trône, la moindre petite séparation avec lui le rend malade, nerveux, agité et parfois, il est capable de piquer des colères impressionnantes par leurs violences si il y a queqlqu’un qui ose convoiter son trône. Il est fou amoureux de lui. Il voit un arbre dans sa tête se dessine un trône, il voit une personne idem, il voit un membre de sa famille de même et c’est même lui qu’il voit quand s’il se regarde dans un miroir. Le roi est prêt à tout pour conserver son trône car il est le sang qui coule dans ses veines, il est le cerveau qui fait diriger son corps, il est le coeur qui bat dans sa poitrine, il est l’oxygène qui lui permet de respirer encore et il est l’âme qui lui permet de rester vivant sur terre.
Sans le trône, il se serait suicider. Il a épousé le trône et il n’a même demandé sa main à moulaha (le peuple). Il a usurpé son identité, il a trafiqué ses papiers, il a falsifié son histoire pour être parmi les prétendants sérieux, il a manigancé et rusé pour éliminer de la course ceux qui peuvent être intéressés par les parents. Il a patienté, sans jamais se marier, des années pour la voler et la violer toutes les nuits sous le regard interloqué du monde entier et de ses parents impuissant à le refuser. Le roi est ainsi devenu le propriétaire absolu et incontesté du trône, duquel il trône comme un pharaon sur des sujets divisés pour des futilités et pour des raisons souvent puériles et infantiles, alors qu’ils sont en réalité capable de le detrôner s’ils mettent de côté, pour une petite année, leurs querelles et leurs désaccords sans intérêts pour la survie du royaume et de ceux qui l’avaient peupler depuis le début. Ainsi un faux roi trône sur un vrai trône dans un royaume crée pour une vraie liberté et sur des vrais hommes libres puisqu’ils étaient, eux aussi, ainsi crées.
en attendant abdelaziz koursi ne se tape pa la hcheuma devant barak et tzarkozy c est ce qu il voulait non ?