Le fils d’Ali Benhadj jugé le 5 mai
Pas moins de 40 affaires criminelles seront examinées par le tribunal criminel près la cour de Tizi Ouzou durant la deuxième session ordinaire de l’année 2009 dont l’ouverture est prévue pour le 3 mai prochain. 162 personnes impliquées dans différentes affaires seront appelées à la barre. Sur le nombre total, une personne est en fuite, 70 sont détenues et 40 autres non détenues et ceux qui sont sous contrôle judiciaire. Sur cet ensemble, 16 affaires sont liées au terrorisme (appartenance à des groupes terroristes, financement et soutien). L’affaire du fils de Ali Belhadj est programmée pour le 5 mai prochain.
Il est poursuivi pour intégration d’un groupe terroriste, port d’armes sans autorisation, kidnapping dans le but de bénéficier d’une rançon et homicide volontaire avec préméditation. L’affaire de l’‘‘émir’’ de Yakouren, Hachemi Rabah, est quant à elle programmée pour le 17 mai. Le mis en cause est poursuivi pour appartenance à un groupe armé et kidnapping. D’autres affaires se rapportant à des détournements de deniers publics, atteintes aux biens publics, vols, coups et blessures, homicide volontaire avec préméditation, association de malfaiteurs et tentatives de meurtre et viol figurent aussi sur l’agenda du tribunal. Source Le Courrier
il doit etre content de savor que son fils est en vie mr belhadj . c est mieux que rien
Le drs a mis trop de temps de reconnaitre qu’il detient le fils de Belhadj …
Ce drs n’avait-il pas annoncé par ses medias d’algerie que le fils de Belhadj etait mort dans un accrochage?
pauvre algerie
Pauvre justice
pauvre president
pauvre decideur
pauvre souteneur/protecteur international
Tendrement votre
Tel père, tel fils; tel tel régime, tels islamistes:
http://geoffroyidouassem.blogspot.com/
Accusé sans preuve d’avoir assassiné Matoub Lounes,Medjnoun Malek est incarcéré à la prison de Tizi-ouzou.Un simulacre de procès le 0/06/2008 a accouché de la décision de la nécessité d’un complément d’enquète sans résultats apparents.La défense du prévenu a été sevré de l’opportunité de demander sa libérté provisoire.