Le peuple a tout donné !
Le peuple est la matrice d’une nation. Le peuple est la source d’où coule toutes les énergies. Le peuple a rempli son devoir, a patienté pour voir, a donné ce qu’il possède et accepter de pardonner pour ne pas aller à la catastrophe, à l’irréparable et à ce qui fera disparaître l’unité de la nation en tant que unité viable. Une mère normale, douce, tendre et affectueuse ne peut pas tuer son fils ou sa fille. Le peuple aussi ne veut et ne peut détruire l’Algérie car il confond pas ses richesses avec son existence, il ne confond le pouvoir avec la domination et il n’use pas de sa puissance au risque d’instaurer une division irrémédiable entre ses enfants, une fitna sanglante et durable et d’ouvrir une porte au retour des étrangers qui n’attendent qu’une période propice et avantageuse pour revenir imposer leurs lois, leurs valeurs et leurs morales.
Le peuple algérien est le seul qui ne mérite pas de reproches, dites ce que vous voulez sur lui et traitez le comme vous voulez, il est et il restera la raison essentielle et profonde de l’existence de notre pays. Le peuple ne détient pas le pouvoir mais il a été toujours du côté des justes et des sincères, il leurs avait offert le gîte et le couvert, il les avait honoré et respecté, il les avait aimé et protégé et il avait patienté jusqu’à la victoire malgré la terreur et la misère. Le peuple avait cru et croit encore les promesses de ses fils et filles les plus pervers, les plus menteurs et les plus voleurs. Il leurs avait et il donne encore jusqu’à ce jour la chance de changer, de revenir sur le droit chemin, il leurs a pardonné beaucoup de crimes, il a su rester digne même dans les pires moments de sa vie et il espère encore malgré le fait que ceux qui veulent servir soient devenues une dorée rare. Tout le monde critique et juge mal le peuple.
Vous voulez qu’il se soulève et qu’il se retrouve dans des mains encore plus violentes, plus avares et plus brutales que celles qui les dirigent sans loi, sans pitié jusqu’à nous jour ? Vous voulez qu’il se soulève et qu’il détruise tout sur son passage et qu’il enlève, ainsi, toute possibilité et toute chance pour qu’une nation juste se mette en place ? Le peuple a fait son devoir, maintenant, c’est à ses élites, ses hommes politiques, ses cadres…de se mettre, sérieusement, au travail, pour construire un pays normal comme ceux qui existent, en ce moment, sur la terre.
Vive le peuple Algérien et vive ceux qui se sont sacrifiés pour lui, pour sa liberté et pour sa dignité.
Fraternellement
Voici des preuves qui démontrent la complicité du régime algérien dans la continuité du terrorisme:
http://www.scribd.com/doc/14795318/Preuves-sur-la-gestion-du-terrorisme-par-le-regime-algerien
En Algérie, il y a un peuple qui essaie de changer les choses en dénonçant et en criant et il y a un peuple qui essaie de maintenir les choses inchangées en s’enlisant dans le silence et la passivité. Comme dans la guerre de libération. Et lorsque les choses sont changées, ce peuple-là silencieux et passive criera à la victoire et prendra les règnes pour écraser le peuple qui a provoqué le changement.
Autrement dit: « ikrez-itent uzger, icca-tent ughyul ».
J’ai peur que cette histoire se répètera éternellement, car NOUS sommes trop naïfs.
nous l’avons toujours dit que les groupes terroristes sont sous les commandes des DAFistes SINON comment expliqué qu’uniquement le peuple qui est massacré?
meme pas un general ni sa famille et meme pas un membre de leur famille.
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commission d’enquete internationale independante sur les crimes perpetrés en algerie
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Algerienne – Algerien
Debout wakeUp standUp for your rights
1. une conference nationale
2. GP-radp-2m9
3. CHOIX libre sans fraude du peuple sous une observation internationale de l’ONU (NB: sans la france OFF-icielle ni les pays arabes et sans cette UA sous les commandes) + les ONG nationales et internationales + la fondation Carter
Nous avons les preuves du terrorisme d’etat qui est taché du sang du peuple algerien depuis surtout 1990/91 á nos jours 2M9.
BEAUCOUPS DE SANG A COULÈ ET COULE TOUJOURS AVEC CE REGIME SANGUINAIRE SOUTENU/PROTEGÉ PAR LA FRANCE OFFI-CIELLE
Tendrement votre
le general de-gaulle avair dit en 1962:
« j ai laisse l Algérie entre les mains des hommes qui se considerent plus français que les français ».
Nous les connaissons!
Ils se RE-connaissent!
ils gerent l’algerie comme un vrai bordel, ils font et de-font des presidents, gouvernements et autres á leurs guises et se foutant du peuple algerien mais surtout de la communauté internationale car ils ont reussi á corrompre le france OFF-icielle qui les protege partout … et puis ils sont leur ex. harkas cad collaborateurs et traitres …
Ces harquis qui sont passés pour des maquis et qui veulent réaliser ce que la France pendant 130 ans n’a pas pu…
CC ciaocaracaramia
Une résolution de l’ONU sur la disparition forcée pour lutter contre l’impunité
Alkarama for Human Rights. 29 avril 2009
Une Résolution générale du Groupe de travail sur les disparitions forcées de l’ONU assimile la disparition forcée à un crime contre l’humanité.
Le Groupe de travail sur les disparitions forcées et involontaires de l’ONU (GTDF) a adopté une Résolution générale à sa 87ème session, assimilant la pratique de la disparition forcée, lorsqu’elle a un caractère systématique et généralisé, à un crime contre l’humanité.
L’instance Onusienne estime que la définition du crime contre l’humanité de l’article 7§1 des Statuts de la Cour pénale internationale peut être appliquée aux dispositions de la Déclaration pour la protection de toute les personnes contre les disparitions de 1992.
Le texte régissant la Cour pénale internationale considère que : » Aux fins du présent Statut, on entend par crime contre l’humanité l’un quelconque des actes ci-après lorsqu’il est commis dans le cadre d’une attaque généralisée ou systématique lancée contre toute population civile et en connaissance de cette attaque » Parmi ces actes figurent les » disparitions forcées de personnes « .
Par cette Résolution générale, le GTDF affirme que désormais il examinera les cas de disparitions forcées à la lumière des critères établis par cette définition et prendra l’initiative le cas échéant de transférer les cas de disparitions forcées qui lui sont soumis aux instances internationales compétentes pour juger des crimes contre l’humanité.
Cette Résolution s’inscrit de toute évidence dans la ligne constante adoptée par l’Assemblée Générale des Nations Unies qui a souligné à plusieurs reprises la gravité de ce crime qui constitue un » outrage à la dignité humaine « .
Dans le cadre spécifique de l’Algérie, il est aujourd’hui établi que durant la décennie 90, les forces de sécurité, tous corps confondus, se sont livrées à une pratique massive et systématique d’arrestations arbitraires suivies de disparitions forcées. Cette politique organisée et planifiée au plus haut niveau de l’Etat a conduit Sir Nigel Rodley, expert du Comité des droits de l’homme, à qualifier cette pratique de crime contre l’humanité lors de l’examen du 3ème rapport périodique de l’Algérie, au cours de la séance du 23 octobre 2007.
Sur un nombre de disparitions forcées estimé entre 10 000 et 20 000 par les ONG, l’Etat algérien, en 2005, a reconnu lui-même 6146 cas qu’un membre de l’institution nationale des droits de l’homme vient de corriger à la hausse en le chiffrant à 8 023.*
Jusqu’au mois d’avril 2009, 2730 cas de disparitions forcées ont été communiqués par les diverses ONG algériennes et internationales au Groupe de travail sur les disparitions forcées dont plus d’un millier par Alkarama.
Les autorités algériennes refusent systématiquement de faire la lumière sur les cas de disparitions soumis au Groupe de travail de l’ONU et pratiquement aucun d’entre eux n’a été élucidé en raison de l’absence de collaboration des autorités officielles.
A ce jour, celles-ci refusent d’enquêter sur le sort de près de vingt mille disparus, mais elles ont surtout décrété en 2006 une amnistie générale des auteurs de ces crimes de masse, dont certains continuent d’occuper les plus hautes fonctions de l’Etat, en violation de toutes les conventions et pactes internationaux.
La possibilité de transférer les cas de disparitions forcées non élucidés par les autorités algériennes aux instances internationales compétentes pour juger des crimes contre l’humanité est une perspective particulièrement bien accueillie par les milliers de familles de victimes, les organisations nationales et les militants des droits de l’homme algériens.
Cette possibilité constitue également un moyen supplémentaire pour combattre l’impunité dont continuent à bénéficier les principaux responsables de la tragédie algérienne.
* Le Monde du 11 mars 2009.
http://www.algeria-watch.org/fr/mrv/mrvdisp/resolution_onu.htm
Nous l’avions toujours dit qu’il y’a plusieurs milliers de CHARNIERS á travers toute l’algerie « X »
BouHef doit AUSSI etre poursuivi pour complicité des crimeS contre l’humanité
Au bon entendeur