« Bouteflika n’a pas réussi à prendre le contrôle du DRS »
Le politologue Mohamed Hachemaoui à EL Watan: « Les prétoriens à l’origine de l’avortement du processus de démocratisation, que certains présentaient volontiers en 2004 comme des «républicains» opposés au «sultanat» de Bouteflika, étaient au premier rang des personnes qui soutenaient le troisième mandat du raïs ! Après le départ de Mohamed Lamari en 2004, la mise à l’écart du général Larbi Belkheir en août 2005 et la mort de Smaïn Lamari en août 2008, il ne reste plus que le général-major Mohamed Mediene dit «Toufik», indéboulonnable patron du DRS depuis 1990. Il faut dire que le coup de l’élection présidentielle d’avril 2004 ne pouvait pas se faire sans son appui. Le DRS est l’appareil le plus important du système, c’est la colonne vertébrale du régime. Bouteflika n’a pas réussi, au cours de ses deux premiers mandats, à prendre le contrôle de cet appareil. Chacun exerce une sorte de veto sur l’autre. Y parviendra-t-il lors du troisième mandat ? »
Cette MARIONNETE n’est qu’un instrument politique du DRS, Cette demonstration politique de haute qualité vient démontré par A+B qu’il ne possedent aucun pouvoir politique et que le DRS a choisi bouteflika car il connaissent parfaitement son niveau en politique et sa culture de BAS NIVEAU et surtout sa veritable soif du pouvoir.
Lire ici:
http://www.scribd.com/doc/14795318/Preuves-sur-la-gestion-du-terrorisme-par-le-regime-algerien
Celui qui va contrôler le DRS deviendra le DRS s’il n’est pas respectueux de sa terre et de son peuple. Et, le DRS est contrôlé par une poignet d’hommes qui veulent que toute l’Algérie soit son sujet et sa propriété privée. Partout, dans tous les corps qui constituent l’ »état » Algérien existent des hommes et des femmes qui aiment leur pays et sont peuple, mais malheureusement, pour l’instant, ils n’ont pas décidé de s’unir pour remettre sur son lit le fleuve détourné, le fleuve de la liberté et de la dignité, le fleuve de la fraternité et de la solidarité et le fleuve de la justice et de la vérité.
N OUBLIEZ PAS MES CHERS AMIS QUE LES MARTYRES AMIROUCHE ET SI EL HOUAS ONT ÉTÉ VENDU PAR LE GROUPE DE OUJDA … A MON HUMBLE AVIS ET CELA AVANT LE SOIT DISANT ISTIQLAL DE L ALGÉRIE LES INTRIGUES ET LES LIQUIDATIONS PHYSIQUE ÉTAIENT TOUJOURS L ŒUVRE DU FAMEUX GROUPE D OUJDA .
APRES LE TAPPAGE MEDIATIQUE ET LE BRUIT DE LA CAMPAGNE ELECTORALE LE REGIME ALGERIENS RANGENT SES AFFAIRES ET FERME LES PORTES A COUPS DE CADENATS.CIRCULER IL Y A RIEN A VOIR ,LA TELEVISION ALGERIENNE REPREND SON STYLE STALINIEN. LES PLUMES DE NOS PSEUDO JOURNALISTES NE QUE FAIRE DES LOUANGES AU MAITRE DU MOMENT.LES PARTIS DES ECHEANCES ELECTORALE ONT DESETE LE TERRAIN POLITIQUE LAISSANT LE VIDE ET LA MAIN LIBRE A LA MAFIA DU POUVOIR.QUI SAUVERA LE PEUPLE DU CAUCHEMARD QUI DURE DEPUIS 1962?QUI AFFRANCHIRAI LE PAYS DE CES DE SES PILLEURS DES RICHESSES ALGERIENNE QUI SE DISENT MOUDJAHIDINES ET QUI VOLENT S ENRICHISSENT ILLEGALEMENT ET APPAUVRISSENT LE PAYS ET LE PEUPLE ? CES GENS A L IMAGE DE LEURS JOURNAL EL MOUDJAHID ONT GAVE LE PEUPLE DE MENSONGES A L IMAGE DE LEURS TOTALE FALSIFICATION DE L HISTOIRE. A L EPOQUE DU COLONIALISME ILS ETAIENT MEME PAS 60000, AUJOURDHUI ILS SONT DES MILLIONS . CE N EST QU UN DETAIL PARMI TANT DE LEURS POLITIQUE DE MENSENGES.
Nul n’est égal à Dieu ou à Bouteflika (laa charika lahoumaa).
Monsieur M. Hachemaoui a fait une excellente analyse sur le régime algérien et les rapports de force entre Bouteflika et son rival aux pouvoirs exorbitants; le général Tewfik,
Il est difficile de croire que Bouteflika; tout assoiffé de pouvoir qu’il est; eut la prétention de prendre le contrôle total du DRS. Rusé comme un renard, il tira la leçon en méditant sur le sort de ses prédécesseurs qui se seraient crus tout permis. Sa stratégie, en fait, était simplement de contraindre les militaires à ne pas s’immiscer dans les affaires politiques. Il se résigna à l’idée qu’il est extrêmement hasardeux de piétiner sur leurs plates-bandes. Il comprit très vite qu’il faut éviter de suivre la politique du défunt Boudiaf qui paya très cher son idéalisme et sa volonté de s’attaquer aux grands dossiers de la corruption. C’était le premier « équilibre des pouvoirs » entre le nouveau locataire d’El-Mouradia et ses parrains. Bien sûr cet équilibre instable ne reposait sur aucune référence constitutionnelle. Un tel consensus transforme, ipso facto, le président en un otage du DRS et en présidaillon puisqu’il le prive d’une partie importante de son pouvoir et de ses prérogatives constitutionnelles. Un otage moins vulnérable que Chadli, Boudiaf ou Zeroual, mais il reste jusqu’à aujourd’hui un président au statut tronqué malgré ses gesticulations fantasques et ses déclarations fracassantes au début de sa première investiture où il déclamait à cor et à cri qu’il n’acceptait pas d’être un trois-quarts de président.
Son duel de sourds avec les patrons du DRS était donc de limiter au maximum les ingérences de celui-ci dans sa chasse- gardée: les affaires politiques et la gestion des problèmes socioéconomiques. Il mit à l’écart tout ce qui pouvait constituer une entrave à son programme politique. Ce serait l’une des conditions qu’il posa avant d’accepter l’adoubement en 1999. Toute la tragédie avec son fleuve de sang et de larmes, qui eut lieu avant son arrivée au sommet du Pouvoir, va devenir un atout redoutable et une carte maîtresse entre les mains de Bouteflika pour imposer son autonomie face aux prétoriens du régime comme l’a indirectement précisé monsieur Hachemaoui.
Avec un bilan sécuritaire très lourd, avec un président écarté, un autre abattu, un troisième qui leur faussa compagnie, les faiseurs de rois cherchèrent désespérément une couverture présidentielle crédible à n’importe quel prix. L’oiseau rare fut trouvé parmi les fossiles des années 60-70. Monsieur Bouteflika fut donc ressuscité du néant politique humiliant dans lequel le même régime l’a largué en 1981.
Le prix de Bouteflika fut négocié et accepté lors du conciliabule avec les faiseurs de rois. Profitant de cette faiblesse et de ces concessions, Bouteflika donna son âme et son corps au diable. Son but était de prendre sa revanche sur ses anciens adversaires qui l’ont privé d’une intronisation à la magistrature suprême. Une présidence qu’il lui revient, croyait-il, de droit en 1978. Une revanche qu’il dégustera à pleines dents probablement jusqu’à ce que mort s’ensuive. Tout vient à point à celui qui sait attendre… Le deal ou l’équilibre obligeait chaque partie de s’abstenir de franchir les lignes rouges tracées par l’autre partie. Acculés par une pression internationale, toutes dents dehors, les Janvieristes pour qui tout port est bon dans une tempête, en fins tacticiens, cédèrent une grande partie de leurs « champs de compétence » et leurs fabuleuses prérogatives confisquées par la force un certain 5 octobre 1988. Date à laquelle ils firent leur baptême de feu contre leur peuple. Ils cédèrent donc le temps que la tempête se calme et tout soit « oublié » de gré ou de force. Le temps de se faire une virginité pour échapper à la vindicte publique et aux suspicions internationales. Le deal va également permettre aux Janvieristes de profiter de tout leur butin algérien engrangé pendant la sale guerre, en toute quiétude, finir leurs dernières années paisiblement et bénéficier ensuite de funérailles solennelles et grandioses dans le cimetière d’El-Alia; lequel est en passe de devenir le club des pins dans le royaume des morts. Loin des cadavres des 250 000 morts, loin des cadavres des 10 000 disparus et loin des regards tristes des centaines de milliers de victimes encore vivantes de la décennie rouge. Bouteflika a pris cette responsabilité et accomplira les termes du contrat jusqu’au bout. Il leur délivrera un certificat de virginité au nom du peuple par le truchement d’un référendum préfabriqué, en échange d’un pouvoir civil sans partage.
Après le massacre d’avril 2001 en Kabylie, il aurait soutiré une autre concession du DRS qui a la gâchette facile devant des cibles civiles inoffensives. Il aurait exigé de cesser d’abuser de leurs armes ou faire usage de violence meurtrière contre les manifestants ou les opposants au système. Cela s’est traduit sur le terrain par moins de pertes humaines lors des futurs affrontements entre des protestataires et les forces de l’ordre comme elle eut pour conséquence une flambée d’émeutes sporadiques et locales au point qu’elles sont devenues un phénomène banal qui ne fait plus la une des journaux.
Il fit ceci non pas par philanthropie ou par respect au peuple algérien, mais pour un objectif égoïste. Il voulait prévenir toutes les implications néfastes sur sa réputation d’homme d’Etat sur le plan strictement international.
Chemin faisant, les éléments de la nature ou le hasard, ont donné un sacré coup de pouce à Bouteflika. Ils ont conforté miraculeusement les assises de son pouvoir face au DRS. Ainsi, il prit du galon après la démission sans heurt du général Lamari. Son aura prit de l’ampleur après la disparition du général Smaïn; un des principaux acteurs de décennie rouge. La déchéance physique du plus grand gourou de la junte militaire – le général Belkheir – a fait basculer définitivement la balance du pouvoir de son côté. La hausse historique du prix de pétrole lui permettant de s’asseoir sur un matelas financier jamais atteint, a fait le reste. L’Algérie n’a jamais été aussi riche ni aussi pauvre qu’avec le président Bouteflika.
Le « combat » de Bouteflika pour se réapproprier tous les pouvoirs constitutionnels ne s’inscrit malheureusement pas dans une optique républicaine salutaire ou une stratégie pour un changement démocratique. Il veut une concentration des pouvoirs pour s’affirmer et se faire aduler comme l’homme le plus fort du régime. Il n’y a que cette perspective qui lui permettra de vraiment mourir… tranquille. Son lige, Ould Abbes, a magnifiquement dépeint son patron à Biskra à la veille de la formation du nouveau gouvernement…: « Il y a Dieu et il y a Bouteflika ». Entre les deux, par leurs basses flatteries, les courtisans de ont déjà fait leur choix.
Cette analyse est incomplete pour la simple raison que les hommes du DRS ne sont pas libres dans leurs décisions mais ils obéissent à des directives et des ordres qui émanent de l’étranger, comme d’ailleurs tous les services du monde entier.
Les hommes du DRS, en réalité ne sont que des pions, qui coopèrent avec un organisme étranger, c’est une conspiration international.
Pour comprendre ce qui se passe en Algérie, il faut le mettre dans le contexte international; l’Algérie n’est pas un ile.
Ceux qui manipulent les choses sont à l’ombre, ce sont eux qui donnent les ordres au hommes du DRS……
Si vous voulez les connaitre vous n’avez qu’à assiéger l’ambassade américaine à Alger…..
J’ai oublié d’ajouter que les hommes du DRS à l’intérieur du pays sont complètement marginalisés, et leurs rapports ne sont pas pris en compte.
Ceux qui ont truqué le scrutin, ne sont pas du D.R.S. mais c’est l’administration algérienne…mon voisin et votre voisin….!!!
interview ma foi intéressante et sensée pour simplement comprendre ce qui se passe en algérie. Interview proche de vérités libératrices. Que demander de plus? Comprendre suffit et la véritable solution c’est d’arriver à mettre beaucoup de monde au travail et laisser les questions de pouvoir à ceux qui s’y intéressent
Je pense qu’il est temps d’unir tous les algérien (les islamistes, les laics, les démocrate …) tous les gens qui aiment l’algérie pour mettre fin à ce pouvoir corrompu, qui sert que quelques personnes (le généraux importateurs …) et les ( généraux à 20% …) affairistes qui ont mis l’algérie à feu et à song
Cordialement
algériennes, algériens, ne vous inquiéter pas, ou plus, dans 10 ans nous rentrerons chez nous, dans notre pays, notre terre ou le sang de nos ainés a telement coulé… tous ensemble, algériens, kabiles… et nous vivrons dans la prospérité, je le promet devant allah aujourd hui, moi A.M.G que cela soit écrit et accompli, garder la foi mon peuple
il n’est capable de rien ce petit con de merde imposer par les gouvernements européens c’est un léche botte une éponge de couille dieu merci il va trés bientôt disparaitre ce hagare ce virus allah iguetllete ya r’khiss il n’a pas de dignité d’ailleurs on n’a qu’a vérifié son lieu de naissance pour connaitre tout de lui.
IL FAUT VOIR LA VERITE EN FACE?L4ALGERIE EST LE SEUL PAYES AU MONDE OU SON PEUPLE EST GOUVERNE PAR DES ETRANGERS.UNJOUR ELLE SERA ENTRES LES MAINS D4ALGERIENS.
Incroyable ces gens de la DRS! Ils font des defont des presidents comme bon leur semblent. Ils ont mis un president en l’occurence Bouteflika complement nul et incomptent. Maintenant que les generaux savent que Bouteflika n’est rempli quede paille, ils vont le « liquider » (avec oi sans force) et le remplacer probablement par qlq comme Ouyahia.
Ces criminels et maffia de generaux et avec cette imposture de Bouteflika vont continues de la sorte jusqu’a la destruction totale de notre cher pays.
Je ne sais pas pourquoi on pose toujours les mêmes questions alors que les réponses sont connues depuis plusieurs années, notamment le jour de l’assassinat de Boudiaf, ce jour là, ils ont confirmé ce que nous avons toujours pensé. L’Algérie est un pays impossible à gérer par des hommes démocrates, justes et compétents. Le système qui nous guide est incompatible avec la démocratie. Il suffit simplement de se poser quelques questions et vous allez tout de suite comprendre que j’ai raison.
Vous n’avez pas remarqué que:
1. Bouteflika se réveille seulement la veille des élections présidentielles, c’est le seul moment où il accorde un tout petit peu de valeur à son brave peuple..
2. Le recrutement à la police, anp, gendarmerie, sonatrach etc… est réservé uniquement pour une certiane catégorie de personnes
3. Bouteflika (et tous les ministres) ne répondent jamais aux lettres émanant du peuple algérien
4. La justice algérienne est injuste, incompétente, corrompue
5. La télévision algérienne (surtout les informations de 20h) ne transmet jamais des informations utiles
6. Le ministère des affaires religieuses joue un rôle contradictoire à l’islam
etc…etc…
A la fin du mois de janvier, j’ai été hospitalisé à la clinique Algérienne ENNADJAH d’Oran, pour une opération du rachis lombaire : hernie discale L4 L5. Et malgré les radios et leurs résultats y afférents, ainsi que le dossier complet, le neurochirurgien Bouchakour Maàmar, en même temps chef du service neurochirurgie a l’hôpital d’Oran (Algérie), m’a opéré sur un disque sain, au lieu du disque malade.
Je m’explique : je suis entré dans cette clinique pour y subir, comme annoncé plus haut une opération de l’hernie discale. J’en suis ressorti, non pas en bonne santé, mais handicapé, et, le bilan détaillé est comme suit :
1- Dysurie de trouble sphinctériens sous forme de rétention urinaire
2- Une perte de force, et une lombalgie aigue, en post opératoire
3- Douleur neuropathiques, neurogènes intense et mixtes très invalidante
4- Dépression qui nécessiterait une hospitalisation en psychiatrie
5- Fatigabilité, variabilité des performances et existence d’une protrusion discale
6- Déficit du membre inferieur et raideur lombaire .7- Hépatique médicamenteuse entrainant un dysfonctionnement du foie, accompagné de séquelles traumatismes.8- Une impotence fonctionnelle à la marche nécessitant l’utilisation de deux béquilles
• Le handicap fonctionnel est décrit comme important
Le résultat ne devait être que catastrophique, et, évidemment m’emmenait directement à un handicap généralisé
Devenu, comme je suis, après cette lamentable opération neurochirurgicale je me devais de vous en informer car non seulement l’opération a échoué, mais j’ai été également maltraité par les propos infâmes tenus par ce neurochirurgien en même temps refus catégorique de me remettre le protocole du bloc opératoire, et je crains logiquement qu’on ne transforme son résultat, je vous signale, que mes douleurs ont terriblement augmenté, et que , la prise de vingt comprimés par jour ont complètement changé mon physique , et, que ma pauvre mère est devenu subitement diabétique a cause de l’échec de mon opération.
N’est il pas logique que je m’adresse directement à vous afin d’élucider cette pénible situation, et je vous dirai qu’une confrontation directe avec ce neurochirurgien réglerait définitivement, et sans aucun doute cet énigme.
Je me trouve dans une situation telle, que, ne pouvant ni travailler ni exercer aucun emploi même le moins fatiguant. Donc je serai condamné à vivre dans la misère.
il doit reconnaitre sa faute et la réparée.il est malheureux de lire de tel propos car un travail noble il ne faut pas le salir.ce qui ne faute pas c’est dieu,quant même il faut qu’il comprenne ce qu’il a fait ,tout neuro chirurgien qu’il est:,,,,,,……
Il ne faut pas généraliser , c’est vrai qu’il y’ a quelques brebis galeuses au niveau de la DRS qui sont prêt a vendre même le pays pour de l’argent, mais rien d’alarmant du moment que le premier responsable est propre, juste et patriotique , donc il ne faut pas s’inquiéter,si il doit taper sur la main de quelqu’un , il le fera sans hésiter même si c’est la main de son propre fils.
cest pas le drs qui ont la gachette facile mais cest les gendarme entre les mains des chaouis et les arabes de l’est qui ont massacre les kabyle je te dis encore que le drs est majoritairement kabyle il est temps anous les kabyle de faire alliance avec les algeriens de l’ouest contre l’est raciste est anti kabyle
un fils de chahid ma dit que si son pere se reveillera je le tuerai a nouveau je lui dit pour quoi il me repond que celle la ne valait pas la peine de se donner la vie car s’est d’avance une cause trahi et perdue