3 mai, 2009
A quand le bilan et la date précise de la levée de l’état d’urgence ?
Par Mohand Tahar MOHAMMEDI
Le peuple ALGERIEN aspire à un changement réel du régime qui n’a produit que de la négation et s’il y a bien un évènement important qui puisse rassembler tous les citoyens dans leur grande majorité, c’est bien la connaissance effective de
la DATE PRECISE de la levée de l’état d’urgence instaurée par la junte militaire en place depuis 1991. Nous actuellement les méfaits de l’état d’urgence vis-à-vis de la société et nous savons qu’il est illégitime et qu’on s’en est servit non pas pour assurer la sécurité du citoyen ou pour un quelconque ordre social, mais plutôt pour arrêter le processus démocratique initié en 1989. L’état d’urgence a privé le citoyen de vivre en toute liberté et de choisir son destin, associer à cela une société prise en otage par des dirigeants incompétents, imprévoyants qui DEPUIS environ 18 ANS ont fait subir au peuple la misère, la manipulation et le mensonge sans aucune perspective à court, à moyen et à long terme dans tous les domaines : politique, social, économique et culturel.
Commentaires(14)
Par Sniper
«Nous pouvons facilement avancer le taux de 35 à 40% de journalistes non déclarés dans la presse privée. Malheureusement, les journalistes ne dénoncent cette situation qu’une fois licenciés », indique à El Watan Nadir Benseba, représentant de la Fédération internationale des journalistes (FIJ), à Alger. «Il existe des journaux où seul le directeur et une poignée de responsables sont assurés socialement, alors que les journalistes et autres employés n’existent pas sur le fichier de la caisse d’assurance», ajoute M. Benseba.
Qu’est-ce qui se passe entre la chargée de communication de la présidence, Farida Bessaâ, et le ministre de l’Intérieur, Noureddine Yazid Zerhouni ? Décidément, la fonctionnaire de la Présidence n’apprécie pas que Noureddine Yazid Zerhouni fasse, comme à son habitude, des déclarations à la presse lors des visites présidentielles. Hier encore, Mme Bessaâ a piqué une colère noire en voyant le ministre entouré de nombreux journalistes qui l’interrogeaient sur des questions d’actualité nationale. «Laissez les ministres tranquilles ! Aujourd’hui, il n’y a qu’un seul sujet», déclare-t-elle aux journalistes une fois que le ministre s’est éloigné. Elle a même menacé les journalistes de ne pas les accepter la prochaine fois dans les activités présidentielles. Ne sait-elle pas que le journaliste est à la recherche de l’information ? Sait-elle que son travail à elle n’est pas de dicter aux journalistes ce qu’ils doivent faire ? El Watan.
Le ministre de l’Intérieur et des collectivités locales, Noureddine Yazid Zerhouni, a intérrogé, hier, les journalistes sur leurs conditions de vie. ”Touchez-vous au moins le SNMG ? “ a demandé Zerhouni aux journalistes qui ont couvert la visite du président Abdelaziz Bouteflika au Jardin d’essais. Cette information a été rapporté par le quotidien La Dépêche de Kabylie, un journal, faut-il le souligner, qui paye le moins en Algérie. El Mouhtarem


