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Archive pour le 3 mai, 2009

A quand le bilan et la date précise de la levée de l’état d’urgence ?

khalednezzar.jpgPar Mohand Tahar MOHAMMEDI  

 

Le peuple ALGERIEN aspire à un changement réel du régime qui n’a produit que de la négation et s’il y a bien un évènement important qui puisse rassembler tous les citoyens dans leur grande majorité, c’est bien la connaissance effective de
la DATE PRECISE de la levée de l’état d’urgence instaurée par la junte militaire en place depuis 1991. Nous actuellement les méfaits de l’état d’urgence vis-à-vis de la société et nous savons qu’il est illégitime et qu’on s’en est servit non pas pour assurer la sécurité du citoyen ou pour un quelconque ordre social, mais plutôt pour arrêter le processus démocratique initié en 1989. L’état d’urgence a privé le citoyen de vivre en toute liberté et de choisir son destin, associer à cela une société prise en otage par des dirigeants incompétents, imprévoyants qui DEPUIS environ 18 ANS ont fait subir au peuple la misère, la manipulation et le mensonge sans aucune perspective à court, à moyen et à long terme dans tous les domaines : politique, social, économique et culturel.

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Nul n’est égal à Dieu ou à Bouteflika (laa charika lahoumaa).

bouteflika1.jpgPar Sniper 

Monsieur M. Hachemaoui a fait une excellente analyse sur le régime algérien et les rapports de force entre Bouteflika et son rival aux pouvoirs exorbitants; le général Tewfik. Il est difficile de croire que Bouteflika; tout assoiffé de pouvoir qu’il est; eut la prétention de prendre le contrôle total du DRS. Rusé comme un renard, il tira la leçon en méditant sur le sort de ses prédécesseurs qui se seraient crus tout permis. Sa stratégie, en fait, était simplement de contraindre les militaires à ne pas s’immiscer dans les affaires politiques. Il se résigna à l’idée qu’il est extrêmement hasardeux de piétiner sur leurs plates-bandes. Il comprit très vite qu’il faut éviter de suivre la politique du défunt Boudiaf qui paya très cher son idéalisme et sa volonté de s’attaquer aux grands dossiers de la corruption. C’était le premier “équilibre des pouvoirs” entre le nouveau locataire d’El-Mouradia et ses parrains. Bien sûr cet équilibre instable ne reposait sur aucune référence constitutionnelle. Un tel consensus transforme, ipso facto, le président en un otage du DRS et en présidaillon puisqu’il le prive d’une partie importante de son pouvoir et de ses prérogatives constitutionnelles. Un otage moins vulnérable que Chadli, Boudiaf ou Zeroual, mais il reste jusqu’à aujourd’hui un président au statut tronqué malgré ses gesticulations fantasques et ses déclarations fracassantes au début de sa première investiture où il déclamait à cor et à cri qu’il n’acceptait pas d’être un trois-quarts de président.

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Démocratie: L’Algérie à la 133ème place

Le rapport élaboré par The Economist Intelligence Unit sur l’index de la démocratie dans le monde a classé l’Algérie au 133e rang sur un total de 167 pays.  La Jordanie (117e), la Mauritanie (118e), l’Egypte (119e). Le Maroc devance l’Algérie classée au 133e rang et la Tunisie à la 141e place.  El Mouhtarem

« Au moins 40% de journalistes algériens non déclarés »

cnas.jpg«Nous pouvons facilement avancer le taux de 35 à 40% de journalistes non déclarés dans la presse privée. Malheureusement, les journalistes ne dénoncent cette situation qu’une fois licenciés », indique à El Watan Nadir Benseba, représentant de la Fédération internationale des journalistes (FIJ), à Alger. «Il existe des journaux où seul le directeur et une poignée de responsables sont assurés socialement, alors que les journalistes et autres employés n’existent pas sur le fichier de la caisse d’assurance», ajoute M. Benseba.

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Farida Bessaâ menace les journalistes

dessininternet15b34db.jpgQu’est-ce qui se passe entre la chargée de communication de la présidence, Farida Bessaâ, et le ministre de l’Intérieur, Noureddine Yazid Zerhouni ? Décidément, la fonctionnaire de la Présidence n’apprécie pas que Noureddine Yazid Zerhouni fasse, comme à son habitude, des déclarations à la presse lors des visites présidentielles. Hier encore, Mme Bessaâ a piqué une colère noire en voyant le ministre entouré de nombreux journalistes qui l’interrogeaient sur des questions d’actualité nationale. «Laissez les ministres tranquilles ! Aujourd’hui, il n’y a qu’un seul sujet», déclare-t-elle aux journalistes une fois que le ministre s’est éloigné. Elle a même menacé les journalistes de ne pas les accepter la prochaine fois dans les activités présidentielles. Ne sait-elle pas que le journaliste est à la recherche de l’information ? Sait-elle que son travail à elle n’est pas de dicter aux journalistes ce qu’ils doivent faire ? El Watan.

Zerhouni aux journalistes « Touchez-vous au moins le SNMG ? »

depechedekabylie.jpgLe ministre de l’Intérieur et des collectivités locales, Noureddine Yazid Zerhouni, a intérrogé, hier, les journalistes sur leurs conditions de vie.  ”Touchez-vous au moins le SNMG ? “ a demandé Zerhouni aux journalistes qui ont couvert la visite du président Abdelaziz Bouteflika au Jardin d’essais. Cette information a été rapporté par le quotidien La Dépêche de Kabylie, un journal, faut-il le souligner, qui paye le moins en Algérie. El Mouhtarem

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