• Accueil
  • > Libre débat
  • > Le chanteur Zimu répond à un militant du RCD: « Fierté mal placée ou orgueil démesuré ? »

Le chanteur Zimu répond à un militant du RCD: « Fierté mal placée ou orgueil démesuré ? »

zimu.jpgPar respect à l’intelligence de mes frères restés en Kabylie et par respect aux larmes des mères qui ont vu leurs enfants arrachés à la vie à la fleur de l’âge et par respect aux âmes des jeunes kabyles qui n’ont pas eu la chance d’avoir des visas comme nous, je ne ferai pas de chansons pour leur suggérer de mourir assassiné par des gendarmes.

Des amis m’ont appelé pour me prévenir que sur un site, à la une, j’ai eu droit à un «article». J’ai suivi le lien et je suis tombé sur ce qu’a écrit un certain M. Winnat dont je ne citerai pas le nom pour lui laisser la chance de se faire connaître en utilisant sa matière grise pour produire quelque chose au lieu de chercher à se faire une réputation en pondant un semblant de «critique» sur une de mes chansons. Je ne connais pas M. Winnat et lui ne me connait pas non plus mais surtout ne connait pas mes chansons.

Certains amis m’ont demandé de lui répondre, d’autres, plus nombreux c’est sûr mais plus sages peut-être, me conseillent de laisser passer la polémique «ce n’es qu’un papier virtuel». Mais, comme vous tous, sur certaines questions comme celle-ci, nous demandons à avoir l’avis de nos amis pour finir par prendre la décision que nous croyons juste. J’ai donc décidé tout simplement de répondre.

Premièrement, je ne vois pas la motivation d’un intérêt porté sur une de mes chansons; sortie il y a plus d’une année et mise sur dailymotion depuis 24 mois, je veux dire que je ne rempli pas des zéniths, ni même des cafés théâtres de 50 places, je ne suis pas au top des ventes de CD je n’ai pas vraiment le poids pour changer ou influer sur la pensée d’une société ou sur le cours de son Histoire au regard de mon maigre succès qui ne fait pas de jaloux. Pourquoi donc, M. Winnat m’accuse à travers une de mes chansons de casser le morale des troupes kabyles mobilisées au front ou avec ses termes de «chanter la passivité, la démobilisation et l’inutilité de la lutte» !? Est-ce que ma chanson, dans cette conjoncture socioéconomique, avec tous les vrais problèmes que nous connaissons et avec tous les fléaux qui gangrènent la Kabylie, est de taille pour faire l’objet d’un article l’accusant de ralentir ou d’entraver le travail de nos élites et de nos partis politiques kabyles !? Non. Les vraies motivations de M. Winnat sont donc à chercher ailleurs.

A la lecture de ce qui a été dit sur le site, M. Winnat ne fait pas que critiquer une de mes chansons (tafsut taberkant), ce qui aurait été son droit je le confesse, si seulement il l’avait fait sans verser dans des jugements de valeurs sur mes talents d’artiste. Mais ce qui me pousse à répondre c’est de le voir, sans vraiment écouter mes 3 albums, me traiter d’«imitateur qui abuse des reprises et des adaptations qui, souvent, sont carrément des traductions, [je serai selon lui tout ça plutôt] qu’un artiste accompli». Ensuite de se permettre de me donner des conseils, vous savez, ce genre de conseils qui font émerger une espèce de chanteurs officiels … prisonniers d’idées, d’idéologies … à la solde d’un parti, d’un pouvoir ou d’un État … alors que j’ai une autre idée de la chanson que je souhaite faire. Je ne suis prisonnier que de ma liberté que je revendique ici ; celle de dire ce que j’ai envie de dire sans chercher à plaire à Winnat et ses amis et sans me soucier de vendre plus ou moins de disques. Désolé de vous décevoir M. Winnat je ne serai jamais le chanteur kabyle officiel dont vous rêvez. Je ne m’étalerai pas sur le sens de ma chanson «tafsut taberkant», qui vous dérange tellement, les auditeurs la comprennent bien et témoignent de ça en votant pour elle et en la mettant dans leurs favoris sur dailymotion.

Pour information, j’ai eu à composer deux textes sur le thème de la chanson «tafsut taberkant». Il fallait M. Winnat, prendre la peine de chercher sur Internet le plus d’informations possible sur votre «cible» pour écrire votre «article» comme le font les professionnels avant de vous lancer dans des jugements infondés sur mes talents et mes positions politiques. La première chanson sur ce qui s’est passée en Kabylie et qu’on appelle aujourd’hui «le printemps noir» est sortie en 2001/2002 dans mon premier album «Salupri» s’intitulait «tabratt n idammen», disponible à l’écoute sur Internet sur le site bgayet.net

Revenant un peu en arrière pour que vous sachiez que je ne suis pas étranger à ce que vous racontez dans votre papier. En 2001, j’étais étudiant en magistère de langue et Culture Amazighes et aussi membre actif avec Belaid Abrika, du Club Scientifique en Langue et Culture Amazighes. J’étais responsable et animateur d’un magazine entièrement rédigé en kabyle: Tira. J’étais aussi membre du comité de rédaction d’une revue d’études Amazighes qu’on a appelait Anadi. A l’éclatement des évènements après l’assassinat du jeune Guermah Massinissa dans les locaux d’une gendarmerie, j’ai été présent et mobilisé au sein de l’université de Tizi-Ouzou pour préparer un cadre et canaliser le mécontentement de la population et arrêter surtout l’assassinat de nos jeunes. Mais aussi ma présence avec une centaine d’étudiants était pour empêcher à ce qu’un groupe de je ne sais qui ne se laisse tenter par la volonté de brûler et de dégrader l’université de Tizi-Ouzou. Nous les avons repoussé plus d’une fois, des fois en plein nuit.

A l’époque j’étais aussi un habitué d’un studio d’enregistrement où, sans trop de sérieux, j’enregistrais des chansons pour le plaisir en espérant qu’un jour je fasse aboutir l’enregistrement de mon deuxième premier album.

Lors d’un week-end à Azazga je suis allé voir de mes propres yeux l’endroit où Ircham Kamal, un jeune des Ait Aissi à Yakouren, qui touché par balles, aurait, selon la version des présents, écrit avec son sang sur un mur le mot «Liberté» avant de succomber à ses blessures à l’hôpital. J’ai été profondément bouleversé de voir ce mot écrit avec du sang on distinguait même l’emprunte des doigts qui ont glissé sur le mur en marbre en écrivant les lettres du mot LIBERTE en majuscules. Rentré à l’université j’ai composé une chanson que j’ai tout de suite proposée à l’écoute à M. Ticilia avec qui je travaillais sur mon album. Nous avons décidé de la mettre sur bande. Un de mes amis artiste (Si Moh) m’a déconseillé de la chanter dans un album, il a dit qu’à ma place il attendrait au moins 5 ans avant de la sortir. Mais je ne l’ai pas écouté et la chanson est sortie avec l’album Salupri en 2001/2002 et j’ai tout de suite regretté sa sortie en l’écoutant avec un peu plus de recul. Il avait raison. Après cinq ans je n’ai pas que regretté de l’avoir chanté mais j’ai même composé «tafsut taberkant». Il faut écouter «Tabratt n idammen» pour comprendre pourquoi. Voir ici

Il faut que vous sachiez M. Winnat que pour moi l’année de l’Algérie en France ou un gala organisé par le FFS ou le RCD ou le MAK ou le FLN ou bien une émission organisée un mois de ramadhan ou un 20 avril ou un 5 juillet ou un 14 juillet ou aussi une fête organisée un noël ou un aïd … Pour moi, toutes ces occasions sont des occasions pour lesquelles je ne me bousculerai pas pour chanter sauf le jour où je le souhaiterai pour des raisons que j’ignore encore à présent ou tout simplement pour voir encore plus d’articles du genre que celui auquel je répond.

Je l’ai toujours dit pourtant, il n y a pas de Savoir dans ma chanson; ceux qui veulent acquérir un savoir quelconque n’ont qu’à fréquenter les bibliothèques et les écoles. Ma chanson ne changera pas le régime algérien, ne ramènera pas la liberté ou la démocratie, elle ne sauvera pas non plus notre identité … pour changer ou renverser le régime algérien mobilisez-vous dans des partis politiques si vous avez toujours confiance, constituez des groupes armés, faites des révolutions si vous croyez toujours que ça existe, sacrifiez-vous si vous voulez, manifestez, montez au maquis … mais ne me demandez pas de chanter pour vous l’ordonner ou même vous le suggérer. Pour sauver notre identité et nos langues et culture, écrivez, lisez plutôt les dizaines de romans et de poésie écrits en kabyle qui sortent chaque année et qui ne trouvent pas de lecteurs. Encouragez BRTV pour qu’elle s’améliore, écoutez les radios kabyles sur Internet …

N’attendez pas de moi des chansons qui galvanisent les foules comme le dit si bien l’ami du MAK que je remercie au passage d’avoir pris ma défense avec autant de talent …

Le jour où je composerai une chanson pour appeler mes semblables à affronter les balles pour se faire tuer ou prendre les armes pour tuer, je n’aurai probablement pas le temps de terminer sa composition parce que je serai déjà devant eux affrontant les balles, le fusil à la main. Mais pour l’instant, contrairement à vous M. Winnat, par honnêteté, vivant en France je n’oserai pas demander à mes semblables d’aller tuer ou se faire tuer. Comment chanter des idées pareilles alors que je vis loin de ma Kabylie. J’ai quitté la Kabylie 4 mois seulement après le déclenchement de « tafsut taberkant », je pouvais rester mais comme les milliers de kabyles j’ai fait le choix de partir et ce n’est pas à mes semblables que je cacherai mon soulagement de voir le bateau s’éloigner du port d’Alger vers Marseille. Alors par respect à l’intelligence de mes frères restés en Kabylie et par respect aux larmes des mères qui ont vu leurs enfants arrachés à la vie à la fleur de l’âge et par respect aux âmes des jeunes kabyles qui n’ont pas eu la chance d’avoir des visas comme nous, je ne ferai pas de chansons pour leur suggérer de mourir assassiné par des gendarmes. Je ne composerai pas de chansons pour faire monter l’adrénaline et glorifier la mort pour que ceux qui m’écoutent n’aient pas peur de l’affronter. Je ne composerai pas de chansons pour leur promettre le paradis et une place de martyr sur le marbre de l’Histoire pour que les futures générations retiennent leurs noms.

Vous savez, je n’écoute pas Brassens pour le plaisir de l’annoncer dans une interview et gagner quelques auditeurs ou pour paraître instruit, je l’écoute parce que ça me plait de l’entendre chanter « Le Jour du 14 juillet, Je reste dans mon lit douillet. La musique qui marche au pas, Cela ne me regarde pas ». Ou bien quand il dit : « Aucune idée sur terre n’est digne d’un trépas, il faut laisser ce rôle à ceux qui n’en ont pas ». Mais peut être que M. Winnat ne peut pas s’élever pour saisir la portée de cette sagesse ; celle de ne pas souhaiter la mort pour soi ni surtout pour les autres. Apparemment Winnat, lui, appelle ça « chanter la passivité ».

J’ai les moyens de composer et de faire des chansons sur mesure pour glorifier la JSK et le sang de (nos) martyrs et (nos) glorieux ancêtres (le « nos » déjà sonnerait comme un discours que je n’assume pas) mais si je ne le fais pas c’est parce que je m’interdis de ne pas penser ce que je dis et chante. Je ne considère pas la chanson comme une marchandise que je vends selon la demande. Je ne maitrise pas le double jeu des politiciens qui vous demandent de faire la révolution pendant qu’eux s’occupent de leurs enfants et de leurs petites carrières et sautent sur le premier poste qu’on leur propose dans les institutions officielles.

Je suis assez conscient pour comprendre que si la chanson a mobilisé à une certaine époque, de nos jours, avec l’aliénation culturelle, la mondialisation et la diversification des médias … la chanson n’est que du vent dans une flûte. Sinon comment expliquer qu’après les chansons d’Aït Menguellet, celles de Matoub, de Slimane Azem, de Ferhat, de Idir… nous, les kabyles, sommes toujours sous le joug du pouvoir algérien et nos printemps multicolores (noir, rouge …) ne nous laissent comme semblant de victoires que des dizaines de morts. Tout comme nos malheureux ancêtres (objet d’une chanson dans le 4e. album qui arrachera le sommeil à M. Winnat), nous sommes toujours impuissants, nos divisions s’accentuent et s’agrandissent de jour en jour et nous ne savons rien faire d’autre que de s’exiler au Canada, en France ou aux USA. Aujourd’hui, aucune chanson n’est censurée par le pouvoir algérien. Il n’a pas peur de nos chansons ni de la symbolique de la JSK (pour info les joueurs de la JSK et Hannachi ont assisté à la venue de Boutef à Tizi).

Alors M. Winnat, vous ferez mieux de jeter mes CD si vous les avez vraiment et de ne plus chercher à m’écouter (surtout le prochain) je ne changerai pas de trajectoire pour vous faire plaisir. Je serai toujours absent de vos plateaux télé le 20 avril. Le 20 avril, moi je le fête avec mes amis et nos familles, j’écoute Ferhat, Aït Menguellet, Matoub et Idir et je sors acheter ou même racheter un roman où un recueil de poésie en kabyle. Je serai absent de vos zéniths et sur les plateaux des Tv officielles. Mais néanmoins, je serai un kabyle soulagé parce que j’aurai dit encore une fois ce que je pensais tout en sachant que certains kabyles (dont M. Winnat) n’apprécieront pas. Mais je dormirai la conscience tranquille. Ma chanson, sans aucun doute, ne remplira pas des zéniths ni mes poches d’argent d’ailleurs, mais, du coup et ça me soulage, elle ne cautionnera aucune idée susceptible de remplir nos cimetières… de jeunes kabyles assassinés. Les générations futures qui se pencheront sur ce que nous leurs laisseront comme héritage ne trouveront pas ma guitare maculée de sang … sauf du mien peut être, si des gens comme Winnat, passent à l’acte pour me réduire au silence parce que je ne suis pas réglé à leur diapason. Je termine par ces vers de Lounis Aït Menguellet :

Wigi yettseggimen ccna / Ceux qui font de la belle chanson

Gher ldjiha-nnegh ad ten-id-nernu / Nous les mobiliserons à nos côtés

Ad sen-nini nettdafa / Nous leurs dirons que nous combattons

Ghef teqbaylit ad d-tehyu / Pour que ressuscite notre identité

Ad agh-id-âiwnen merra / Ils nous prêteront main forte

Kul yiwen ad d-yehdu asefru / Dédieront des poèmes à notre cause

Mi newwed s ayen i nebgha / Sitôt nos ambitions satisfaites

Ssut-nsen ad t-nemhu / Nous les réduirons au silence

Ula d afrux di lexla / Ce jour-là nous pourchasserons

Ad t-nssegged ma icennu / Même l’oiseau qui oserait ouvrir son bec pour chanter

Zimu

Commentaires

  1. Amaghar Azzamni a dit dit :

    Franchement je ne connais pas ce chanteur ni ce M WINNAT qui a osé porter des critiques sur la production des chansons mises sur le commerce par notre chanteur en question.J’ajouterai que je n’ai jamais lu le texte émanant de M Winnat par lequel ce dernier a porté ses critiques longuement reprises et mises en exergue par notre chanteur.
    Cependant,en lisant et relisant le texte ci-dessus qui fait foi de réponse aux dites critiques de M Winnat,je voudrais dire tout simplement au chanteur qui,à mon avis, est considéré comme intellectuel et donc chargé par la nature d’apporter sa contribution à une lutte pour la défense à la vie et au bien etre de tout un peuple opprimé.
    Certes,il n’est pas donné à tout le monde d’etre une personne engagée au sens propre du terme,mais pour ma part je peux affirmer que si tout le monde se désengageait comme a l’intention de le faire notre chanteur,nous irions droit vers une extinction de la voix de tout un peuple.Je voudrais rappeler ici, que se désengager totalement,fuir les lieux du combat, c’est tout simplement vendre son ame au diable.
    Il existe plusieurs façons de lutter.Sonner le glas pour un combat armé n’est certes pas lemeilleur moyen, et là je rejoins parfaitement l’idée de notre ami le chanteur qui ne veut pas faire un appel à la guerre armée!Je veux dire,que chacun de nous peut agir paifiquement, soit par des contributions écrites,soit par des campagnes de sensibilisations.Je pose la question suivante et à notre ami le chanteur d’y reflechir:la 3 éme puissance mondiale de l’époque aurait-elle quitté l’Algérie sans l’engagement de nos ainés dépourvus de moyens de lutte à part leur patriotisme?
    a BON ENTENDEUR SALUT

  2. Anonyme dit :

    « Tafsut taberkant », Zimu et la pax romana

    « Tafsut taberkant », Zimu et la pax romana
    par Halim Akli ⋅ vendredi 24 avril 2009 ⋅ Répondre à cet article

    Zimu est un bon interprète, personne n’en disconvient, mais pour le moment, il est plus imitateur qui abuse des reprises et des adaptations qui, souvent, sont carrément des traductions, qu’un artiste accompli.

    Dans son dernier album, « Apipri kan », non seulement la création est quasi absente puisque la quasi majorité des chansons sont des reprises ou des « adaptations » de Renaud, de Brassens, de Moustaki… mais au-delà, il cite nommément et pratiquement dans chaque couplet soit Renaud lui-même, mais souvent aussi son autre idole, Si Moh.

    Tout cela fait que ça donne un air de déjà vu d’une part. De l’autre part, reprendre des oeuvres magistrales certes mais avec excès et citer dans chaque couplet les noms des illustres auteurs et néanmoins idoles de Zimu, voilà de quoi mettre trop de salive dans une gastronomie des plus savoureuses !

    Concernant le titre « Tafsut taberkant » (Printemps noir), sur un air de « Les charognards » de Renaud, encore lui, très saisissante dans son entame, s’est décliné dans un conformisme béat dans sa chute finale puisque se mettre à l’air du temps qui court, c’est chanter la passivité, la démobilisation et l’inutilité de la lutte. Aborder le printemps Noir de ce côté néfaste propre à tous les mouvements insurrectionnels, c’est soit, être réduit point de vue politique, soit complice d’une campagne conçue pour diaboliser tout ce qui représente un synonyme de lutte et de revendication de nos droits les plus élémentaires. Dans cette chanson, il est question de regret d’avoir pris part aux manifestations puisque certains, sans scrupules, en ont profité. Il y est également question d’accabler « Lhocine d Saïd » qui, selon Zimu et la nouvelle science diffuse en vogue, se seraient chamaillés pour récupérer le combat. Ainsi, si Aït-Ahmed et son parti ont dès le début pris position contre le mouvement citoyen dans sa tout première mouture en l’accusant de  » produit des moukhabarates » (services secrets), sachant qu’avant que le délégué de la cité « Les Genêts » de la ville de Tizi-Ouzou et consorts ne le squattent, le mouvement citoyen n’était qu’un cadre spontané et limité dans le temps et qui ne refermait en son sein que des notables des villages et des quartiers de Kabylie, souvent illettrés et ne nourrissant guère d’ambitions politiques, désignés « démocratiquement » par les assemblées des villages exclusivement masculines, et ceci, des années avant avril 2001. rien donc, du côté de ses structures traditionnelles n’a été prémédité.

    A l’origine, ce mouvement ne s’était assigné comme objectif que le fait d’appeler et d’amener les jeunes et les manifestants à arrêter de s’exposer aux tirs assassins des gendarmes décidés à commettre un véritable génocide sous l’égide du chef de l’Etat et chef suprême des armées, Bouteflika. Mettre un terme à la tuerie de nos jeunes, voilà l’unique raison de la réaction commune des comités de villages, que sont les tijemmuyaâ. En revanche, Saïd Sadi et son parti s’était positionné dès le début « au côté du mouvement citoyen, sans nourrir de velléité de le récupérer, le parti a le devoir d’accompagne un mouvement sociale de cette ampleur » (dixit le RCD). A ce titre, le président du RCD avait même pris part à la marche du 14 juin 2001 et beaucoup de blessés de la marée humaine de ce jour là avaient trouvé refuge dans l’enceinte même du siège du RCD sis à Didouche Mourad (ex rue Michelet). La communication qui laisse à désirer au niveau de ce parti avait été à l’origine de la confusion qui entourait ses motivations réelles. Les dissensions partisanes, quant à elles, au sein du mouvement citoyen n’ont vu le jour qu’après que le FFS ait décidé d’intégrer le mouvement qu’il avait qualifié, à son apparition, de « moukhabarates », ceci d’une part. De l’autre part, ces divisions ont été exacerbées à partir du moment où quelques représentants commençaient à être mis en avant médiatiquement par rapport aux autres, piétinant ainsi le principe de l’horizontalité de la structure ; ce qui s’avérera prémédité dès le début 2003, c’est-à-dire, à quelques semaines du fameux simulacre de dialogue avec le chef du gouvernement Ahmed Ouyehia qui fut ministre de la justice dans le gouvernement qui avait tiré sur les 126 kabyles assassinés en 2001 ; un dialogue dont les contours auraient été, selon certaines indiscrétions, dessinés en prison, ce qui, en cas de preuves palpables, jetterait le doute et le discrédit jusqu’à l’arrestation puis l’emprisonnement de ces « délégués » qui, en 3 mois, sortent de prison avec de bonnes mines après près de 50 jours de grève de la faim !!! et de bonnes intentions vis-à-vis de ce qu’ils ont appelés, quelques mois avant, « le pouvoir assassin ». Ces têtes étrangement surmédiatisées iront jusqu’à recourir à la délinquance locale pour suppléer toute autre autorité en Kabylie, notamment dans les grands centres urbains comme Tizi-Ouzou ou Béjaïa, sous l’œil vigilant et « amusé » des services de sécurités dont certaines indiscrétions avaient rapporté et confirmé l’ordre reçu « d’Alger » de rester passif devant l’insécurité qui prenait chaque jour un peu plus possession de la rue kabyle. « Le pourrissement sera entretenu jusqu’à ce que la population en aura marre et réclamera elle-même l’intervention de l’Etat et le retour de la gendarmerie » auraient confié certains policiers de proximité qui sont issus de la population locale. Ceci pour l’histoire.

    Dans tous les cas de figure, cette vision réductrice et complètement illogique produite à dessein, par le pouvoir certainement, vise à maintenir dans l’immobilisme les deux partis les plus influents en Kabylie et, partant, marginaliser tout autre cadre de mobilisation citoyenne et politique, ce qui ôtera à cette région ses repères qui ont, jusque là, peu ou proue, maintenu la Kabylie hors d’influence de l’islamisme et du pouvoir. En effet, cette vision de Zimu vient conforter cette attitude stérilisante qui consiste à dire que les partis politiques et l’attitude militante qui a jusque là fait de la Kabylie ce qu’elle est, sont, ou coupables d’absence et de non soutien à une population en révolte dans le cas où ces parties, par respects au mouvement et par soucis de ne pas entamer sa cohésion, décidaient de se mettre à distance et ne pas intervenir. Ou alors, ces mêmes entités politiques seraient accusées en revanche de tentative de récupération s’ils intervenaient, ce qui est, du reste, le rôle naturel de tout parti politique ! En fait, la classe politique est mise en demeure de rester figée, indécise, passive pour ne pas être accusée de ceci ou de cela, ce qui est inévitable dans l’esprit zimuiste !

    Quand le jeune Zimu dit « Tamazight n’a besoin que d’être enseignée… », une idée sans contenu mais qui peut très bien séduire en ces temps de « fatigue sociale », insinuant par là que la lutte et la mobilisation porteuse de risques de révolte avec son corollaire qu’est la violence est inutile, voire stupide, la balourdise aura atteint son paroxysme car, pour être enseignée et reconnue, tamazight a plus que jamais besoin de notre union, de notre mobilisation de notre lutte car, monsieur Zimu, vous feignez d’oublier qu’en face de vous, le système n’est pas prêt pour vous servir des cadeaux juste pour les beaux yeux de Khalida, Benyounès ou Ould Euro. Pire, le régime algérien tente toujours de corrompre afin de bien mener à terme son fantasme de toujours qui est celui de faire disparaître un jour toute trace de notre culture, de notre langue et de notre identité et de faire de l’Algérie ainsi débarrassée de sa « vermine amazigh/kabyle », un pays totalement arabisé ; donc arabe. La nouvelle chaîne de télévision en tamazight que vient de lancer Bouteflika durant la dernière campagne électorale est criante à ce propos.

    Je crois, pour ce qui me concerne qu’au lieu d’accabler l’opposition politique de tous les maux bien qu’elle soit loin d’être exempt de tout reproche, ce qui ne nous exonère point l’accabler quand il le faut et ce n’est pas les raisons qui manquent, mais jamais en place et lieu du pouvoir, véritable coupable de la situation gravissime que connaît la Kabylie où, pour reprendre Zimu « on vole même les vieilles dames », donc au lieu d’aller dans cette voie régressive, totalement surréaliste et peu valorisante, nos artistes seraient mieux inspirés de reprendre le sens de l’histoire et de cesser de se prendre pour des donneurs de leçons et des moralisateurs de mauvais goût, car, Matoub et la génération des artistes militants des années 70 et 80 se seraient trompés de combat en choisissant celui qui mène soit aux geôles de la dictature, soit à l’exil ou à la mort au lieu de celui de certains chanteurs « des temps modernes » qui, ne pouvant assumer des choix difficiles, se mettent à louanger « la pax romana » en diluant dans des généralités le bourreau et la victime au motif de vouloir vivre en paix.

    Ce ne sont pas nos révoltes, qui sont justes et qui n’ont rien à prouver, qui ont produit ce marasme mais le pouvoir qu’il faut combattre sans arrêt et sans perdre de vue nos nobles objectifs qui ont de tout temps, imprimé ce combat identitaire, démocratique et citoyen. La leçon à tiré du printemps 2001 c’est inéluctablement le fait que toute révolte non canalisée politiquement sombrera dans le chaos et l’anarchie et devient vulnérable au point où la délinquance peut se retrouver aux règnes de la contestation, ce qui est suffisant pour prédire une fin proche à ce genre d’action. Ensuite, il est plus que temps que les acteurs politiques, les artistes, le mouvement associatif et syndical, les femmes, les chômeurs, les travailleurs… mettent de côté leurs sentiments, leurs rancoeurs, leurs différents personnels, leurs frustrations et leur méprise pour se retrouver autour d’un texte qui énumérera les principaux points de convergences qui doivent imprimer dorénavant leurs actions, leurs réactions et leur mobilisation communes de telle sorte que chacun, en dehors de ce SNMG démocratique et républicain, peut jouir de sa totale indépendance pour se positionner individuellement sans pour autant que le texte unificateur ne soit remis en cause. Tout le reste, vraiment tout le reste n’est que mauvaise foi et tromperie et, dans le meilleur des cas, enfantillage politique. Zimu, une graine de star prometteuse qui mérite mieux que sa présente trajectoire idéologique.

    Halim AKLI

    _____________________________

    http://kabyles.net/Tafsut-taberkant-Zimu-et-la-pax,04310.html

  3. Massy dit :

    Ce Halim Akli se prend pour un intellectuel, alors qu’il n’a rien dans la cervelle !

  4. Amaghar Azzamni a dit dit :

    Je trouve que Hakim a su analyser la situation passée et présente de la région Kabyle.J’ai décelé à travers sa contribution beaucoup d’éléments nouveaux qui pourraient guider nos futures actions pacifiques pour la continuité du combat démocratique.
    Merci à Hakim en espérant que l’intention soit suivie d’effet.
    Salutations fraternelles.

  5. Amaghar Azzamni a dit dit :

    Merci vivement à Hakim d’avoir complété mon commentaire ci-dessus concernant le chanteur en question.L’incitation à la démobilisation chantée et déclamée par ce chanteur n’est pas permise.

  6. A. Said dit :

    Tafsut taberkant (Le printemps noir) de Zimu, Une vision réaliste.
    28 avril 2009, par K. Said Permettez-moi de tenter une lecture critique de la chanson de Zimu. Au préalable, je crois qu’il convient de pointer du doigt quelques fausses évidences relevées à la lecture de certains commentaires.

    1. Premièrement, certains intervenants dressent des murs trop hauts entre les adaptations et les créations littéraires (pures si pureté existe en littérature). La chanson de Zimu Tafsut taberkant, est considérée comme une adaptation d’une chanson de Renaud (Les charognards), d’abord par l’auteur par soucis d’honnêteté intellectuelle, comme il l’avoue lui-même dans une émission télévisée, ensuite pour réduire de sa qualité et de sa « pureté » par opposition aux créations littéraires pures, comme le fait remarquer l’auteur de l’article le journaliste H. A. et certains intervenants. Malheureusement cette attitude de ne pas considérer les adaptations comme d’authentiques créations littéraires n’a aucun fondement objectif en littérature. En effet, La littérature est un domaine immense, aucune œuvre n’est unique. On ne devient pas poète sans lire la poésie ni écrivain sans lire des romans. De par là même, toute œuvre est une création. Donnons un exemple dans la chanson kabyle essayez d’énumérer le nombre de chansons portant sur la thématique de « Lemri » (le miroir) (les plus connus : Cherif Kheddam, Zeddek Mouloud …) sans compter l’allusion à cette thématique dans des dizaines d’autres chansons. Un thème traité bien des fois dans la chanson mais chaque texte est porteur de subtilité. Heureusement d’ailleurs pour nous, sinon, la production en littérature serait limitée dans le temps et s’épuiserait depuis des siècles parce que tout a été dit comme on le dit chez nous.

    2. Deuxièmement, je vous invite aussi à écarter tout doute sur l’originalité de la chanson de Zimu en vous rappelant la chanson originelle de Renaud. Renaud dans sa chanson les charognards raconte l’histoire d’un jeune homme « né à Sarcelles et qui crève aux Champs Elysées » dans un « braquage foiré ». Touché par balles, le jeune braqueur gisant sur le sol dans une marre de sang, nous rapporte (par la voix de Renaud qui s’est mis dans sa peau) les réactions xénophobes et méchants des commerçants et de certains passants, mais, (la tendresse de la chanson et sa chute) le jeune tué a aussi distingué l’humanité de cette jeune fille, qui ne le connait pas pourtant, mais, qui le pleure de toute ses forces quoi qu’il ait fait parce que « c’est un être humain avant tout … » et que devant la mort il n y a jamais de victoire même pour celui qui a tué.

    3. Troisièmement, il est tout à fait honorable pour Zimu, dont je n’ai pas aimé quelques passages de sa réponse diffusée sur Internet même si très pertinents et très bien fournis, de voir sa chanson alimenter un débat contradictoire. Le journaliste de l’article H. A., est d’ailleurs en complète contradiction avec lui-même en avançant au début de sa critique son point de vue subjectif sur les talents de Zimu. Zimu devrait se réjouir aussi de voir une chanson à lui, mériter un dépiautage alors que des albums entiers de nos grands artistes passent inaperçus mis à part quelques papiers dans les journaux destinés aux acheteurs pour faire vendre le plus grand nombre de CD. En citant Aït Menguellet à la fin de sa réponse, Zimu, aurait aussi bien fait de citer le dernier passage de Lounis dans la chanson (Aqbayli). Cette chanson est une autocritique pertinente de notre société mais à la fin Aït Manguellet, redoutant sûrement les critiques comme celles que reçoit Zimu aujourd’hui, a pris de court les auditeurs en devinant leurs dires : (Atas ara s-yinin, leflani la r-yessefcal … Beaucoup diront sans doute, que Lounis nous « démoralise, démotive …etc) et c’est exactement le cœur du sujet de l’article de H. A. qui reproche à Zimu de chanter (l’inutilité de la lutte) mais la chanson de Zimu, comme j’essaierai de vous le démontrer est loin de scander l’inutilité de la lutte.

    Zimu, dans les quatre premiers couplets de sa chanson nous donne une description remarquable de la « mise à mort » d’un jeune. Ces couplets captivant mettent l’auditeur directement dans le bain du sujet. Avec le choix d’un lexique courant et une interprétation émotionnelle (j’écoute la version envoyée sur dailymotion, qui est, à mon avis nettement meilleure), Zimu a su remarquablement dresser le décor de sa chanson.

    Dans le 5e. Couplet Zimu introduit un crochet à partir du 1er. Vers pour pointer le désappointement du jeune assassiné en se voyant s’octroyer un mérite et des fleurs sur sa tombe alors que « personne ne parlait de lui lorsqu’il épuisait ses jours au village » « maintenant que son corps est pourri 3 mètres sous terre on le couvre de gerbes de fleurs » [Même le premier ministre Ahmed Ouyahia qui a eu droit à un slogan durant les manifestations du printemps noir (Ouyahia Axabit (le traître)) a eu l’honneur de déposer une gerbe de fleur sur la tombe de Massinissa le premier jeune à tomber sous les balles des gendarmes]. Pour vous dire la grande déception de toute une génération de révoltés.

    Le 6e. Couplet est dédié aux manipulateurs qui ont tout fait par leurs discours pour que des jeunes tombent encore et encore après des mois de l’assassinat du 1er. Jeune kabyle.

    Le 7e. Couplet a porté sur nos politiciens symbolisés par « Said d Lhusin » qui « se chamaillent, toujours sur la tombe du jeune assassiné ». Là, H. A., prend à son compte une interprétation subjective de ce vers en parlant de « récupération de la mort des jeunes » alors que Zimu, à mon avis, oppose la bassesse des chamailleries des deux partis devant la tragique mort de jeunes kabyles, l’heure est grave lorsqu’il y a mort d’Hommes. La tragédie aurait dû peut être unir les rangs des kabyles dispersés par le multipartisme.

    Toujours dans le 7e. Couplet et le 9e. Sont dédiés aussi à ceux qui la tragédie a profité : Ceux qui ont produit des albums, ceux qui sont bénéficiaires des locaux de Bouteflika (les fameux locaux des genêts, nommés ironiquement par les citoyens au début du chantier ‘‘la plate forme n leksar’’), les voyous avec la multiplication des agressions, il est devenu d’ailleurs impossible de se garer gratuitement surtout à Tizi-Ouzou sans voir une bande de jeunes vous réclamer de l’argent, ceux qui ont essayé de refuser ont été tabassé ou assassinés (1 ou 2 cas) et le mouvement citoyen n’a rien fait pour arrêter cette anarchie pendant qu’il était mobilisateur.

    Le 8e. Couplet porté sur le mouvement citoyen (les ârouch éclatés) : un groupe allié aux partis politiques, nous nous rappelons bien du groupe mené par Bouceta qui a appelé à voter RCD en 2004). Il y avait aussi les archs qui parlaient d’une plate forme scellée et non négociable mais qui sont finalement allé négocier. Il y a aussi ces archs « virtuel » dont parle Zimu celui des « gamins » sincères mais naïfs parce qu’il « rêvent » de changer la situation en « jetant des pierres ». Enfin, Zimu parle aussi de ces archs d’ulac smah ulac qui ont finalement pardonné [en invitant exemple Ouyahia à déposer une gerbe de fleur sur la tombe de Massinissa] n’est ce pas là un signe on ne peut plus clair de tourner la page !?

    Dans le 10e. Couplet et le début du 11e. Le jeune assassiné, pour lequel Zimu prête sa voix dans cette chanson, parle à ses amis impliqué dans le mouvement il les voit rêvant toujours d’un printemps meilleur et leur donne son point de vue maintenant qu’il est mort car il regrette d’avoir franchi la porte de chez lui le jour où il a été assassiné.

    Maintenant, je le sais, Je le sais mais c’est hélas trop tard, Ma mort, qu’à t-elle apportée de plus A la plate forme d’El ksar ? Si c’est pour Tamazight que je suis mort Elle a seulement besoin qu’on l’écrive et qu’on la parle (voir sur ce point après la traduction) Si je suis mort pour que tombe l’injustice C’est mon frère qui est à son origine (Ahmed Ouyahia est kabyle non ? … sans citer d’autres) Si je suis mort pour l’Algérie Pourquoi la mort n’a emporté que des kabyles ? (Là le sens mérite un autre article à mon avis)

    A propos de tamazight : je suis étonné de voir H. A. parler de l’enseigner en interprétant le vers des 5e. Et 6e. Vers du 11e. Couplet, n’oubliez pas que Zimu, selon sa biographie sur son site a fait des études en langue Amazigh et qu’il est auteur d’un recueil de nouvelles en kabyle qu’on ne trouve plus sur le marché apparemment. Zimu donc, soutient un avis sérieusement défendable en sociolinguistique selon lequel une langue vivante est celle qui se parle (point/). Par ailleurs, Zimu, n’affirme pas que l’enseignement suffise à l’émancipation de tamazight. Dans l’émission de BRTV, il a parlé de consommer la langue dans toute sa dimension culturelle et identitaire et c’est une position claire et positive. Permettez-moi de vous rappeler cette anecdote attribuée à Mohand Ouhyahia ou M. Mammeri selon laquelle un jeune kabyle aurait dit qu’il était prêt à mourir pour Tamazight mais pour qui Mammeri ou Mohand Ouyahia a répondu « tamazight a besoin de toi vivant ! ».

    Le 12e. Et dernier couplet, Zimu, dans une prise de parole poétique, fait parler le jeune homme assassiné en dressant le constat d’une tragédie terminée (ass-agi tekfa tedyant). Les kabyles sont redevenus comme avant. La tragédie est éteinte elle n’est maintenant qu’un souvenir communément appelée « Un printemps (seulement) noir ». Mais cependant, la mère du jeune assassiné est toujours en pleurs elle n’arrive pas à l’oublier et son père a finalement accepté de l’argent pour se taire (allusion faite à l’indemnisation proposée par le gouvernement algérien refusée au début puis acceptée par tous les parents des victimes du printemps noir. (là on eu droit à 2 versions je vous ai parlé de celle de dailymotion mais celle sortie dans le CD en vente maintient le refus du père de toucher l’indemnisation proposée par le gouvernement).

    Voilà chers lecteurs. Vous verrez bien que l’originalité de Zimu et son courage est d’essayer de relater une tragédie non pas en glorifiant d’inutilité de la lutte mais on interpellant notre classe politique et nos élites à beaucoup plus de responsabilité et à réfléchir sur d’autres moyens plus efficaces pour venir au bout des obstacles. H. A., demande à Zimu indirectement d’être patriotique et militant ou de faire dans les discours mobilisateurs alors que le militantisme maintenant est d’être conscient et la conscience vient de la vérité mais la vérité il faut la voir et la montrer et ce que fait Zimu à travers cette chanson. Ttif tidett yesseqrahen lekdeb yessefrahen. Quoi que l’on dise d’aucun aujourd’hui ne peut affirmer que les remarques de Zimu dans cette chanson sont erronées. Cet artiste, parce que notre chanteur mérite largement cette qualité, est d’ailleurs très dégourdi dans ce genre d’entreprise ; je vous invite d’ailleurs à voir la portée de ces chansons « Aghennay Ouzekka » ou bien « yyad ma a teddudh ». Le dernier album de Zeddek Mouloud mérite une très grande attention je vous invite, puisque ce site semble interessé par ce genre de critique à décortiquer la chanson phare de l’album « lihala n tmurt ». Merci d’avoir pris le temps de me lire.

  7. hchicha dit :

    Bravo à Zimu… cela valait e coup finalement de répondre à ce billet.

    Le débat est interessant je trouve dans le sens où Zimu n’hésite pas à assumer sa façon de faire de la chanson, même si cela lui cause des attaques de ce genre.

    Je pense aussi que chez les Kabyles, on en est arrivé à ne plus « vivre normalement » tellement LE THEME politique a gangréné tous les autres.

    Je crois comprendre que Zimu ne démobilise pas les concitoyens, bien au contraire. Il contribue (à sa très jolie façon) à en faire de vrais citoyens complets, cultivés, réellement interessés par leur culture, identité, leur théâtre, littérature, cinéma … etc

    Il y’a déjà de cela longtemps que « chanter l’amour » par exemple, était une honte chez les kabyles, une façon de démobiliser les gens … disent certains acharnés …

    On en est encore là malheureusement…

    Encore bravo Zimu, ta façon de le chanter est une bouffée d’air frais dans un climat kabyle  » Co2′isé  » à outrance par certains! :) ))

    Sahitoo

  8. Ammisaid dit :

    La chanson a pour mission de chanter tout, de dire tout et d’être diverses pour exprimer tout ce qui traverse une socièté donnée. La pensée unique tue, sclérose et assèche les esprits. Zimu est un artiste plein de talent, qui a un style bien à lui, il doit persévérer et continuer à nous enchanter et à nous aider à s’ouvrir vers un ailleurs plein de promesses et de liberté au sens large du terme.
    Bon courage Zimu pour la suite de ta carrière.

  9. Med dit :

    Azul d slam fellawen
    monsieur Halim Akli, je crois que cette fois vous vous êtes trompés de cible et vous vous êtes fourvoyé dans un labyrinthe sans fin. en vous attaquant à l’un des meilleurs chanteurs de cette nouvelle génération, vous vous êtes ridiculisé à un tel point que votre nom sera toujours associé à ce « winnat » que Zimu lui même vous a donné, qui ne sait distinguer la critique et l’acharnement bestiale ,sous divers pseudos, sur cet artiste de talent que je connais fort bien.
    sachez monsieur halim que Zimu est d’un grand humanisme, son grand coeur lui interdit de pousser la chansonnette dans les dédales de la voyoucratie que votre parti,avec les agents du DRS, a contribué à instaurer en kabylie. ce « Zimu » que vous avez attaqué sans l’avoir même pas ecouter est la preuve vivante que l’intelligence peut s’allier à l’art. sa grande perspicacite a été usé pour créer des oeuvres musicales et poêtiques magistrales. mais pas pour dénigrer sans aucune connaissance préalabre des gens qui essayent par la chanson et l’écriture de donner quelques années de plus à notre culture berbere.
    et à toi mon cher ami Zimu,je te souhaite une vie de succées et de productions et enchante nous avec tes créations et tes adaptations. tu es un artiste…

  10. Hakim.Benz dit :

    Bonjour.

    j’aurais voulu, au départ, dire a zimu …quand ça vient d’en bas…on tire la chasse…concernant ce qu’a écrit ce fameux Winnat sur toi.

    Mais, en lisant ta réponse,je t’en aurai voulu de ne pas lui avoir répondu ainsi.

    Je n’ai point besoin d’ajouter quoique ce soit…sauf ..merci pour cette réponse, merci pour tes chansons…et merci de rester Le Zimu que tu es.

  11. Amaghar Azzamni a dit dit :

    Je voudrais dire à Amghar Ouceqqif que le pseudo Amaghar azzamni n’appartient pas à Hakim.
    Par ailleurs,je voudrais apporter une remarque importante à mon sens: Appeler à la démobolisation des militants de la liberté,c’est purement de la lacheté.
    Il ne s’agit pas de fournir de la chair à canon au pouvoir ,mais de suggérer d’autres formes de luttes pacifiques,des actions politiques susceptibles d’apporter un changement dans notre pays.
    Ammi Said, dont j’adore lire les commentaires tant ils sont clatvoyants et pleins de bon sens,m’a aujourd’hui décu quelque part.

  12. Ammisaid dit :

    Amaghar azzemni,
    Je suis désolé que tu sois déçu par mon commentaire mais je reste convaincu qu’il ne faut pas imposer ou exiger d’un artiste d’écrire, de chanter, de peindre ou sculpter autre chose que ce qui vient de son ressenti, de son inspiration et de ses émotions. Il faut qu’il ait une diversité d’opinion et il faut que le public puisse choisir ce qui lui plaît. Les textes de zimu son forts et il a le droit d’exprimer son point de vue. Il faut comme tu le dis si bien cesser de fournir de la chair à canon à ceux qu ont la gachette facile. Tu sais, je regettes beaucoup que toute une région ait subi une gréve d’une année scolaire (jamais cela s’est vu dans l’histoire de l’humanité) pour ensuite voir les leaders du mouvements négociés, normalement, avec le pouvoir. Ce dernier est perfide, il ne perd rian à nous voir, divisé, inculte, assassiné, isolé, haine et méfiant les uns des autres. Soyons fermes avec eux mais soyons tolérants et doux entre nous.
    Fraternellement et respectueusement à toi, à toutes et à tous.

  13. Lmizan dit :

    Heureusement qu’on est pas sur le site extrémiste et qu’ici c’est un espace de liberté. Zimu est claire dans sa réponse. sa chanson ne dérange en effet que les prochains Ould-ali-Lhadi !! Sa chanson coupe l’herbe sous le pied des opportunistes et nous invite à poser les vraies questions pour nous mobiliser mieux et éviter des 1989 : qui a vu les efforts du MCB déviée pour la constitution d’un parti RCD et éviter des 1994 qui a vu la greve du cartable aboutir à la distribution de poste dans une institution ratachée à la présidence et nous éviter aussi 2004 qui a vu la révolte de tout une génération sacrifiée pour essayer d’élire Benflis au lieu de Boutef avec la participation du RCD.
    C’est fou, ce que nous enseigne notre histoire récente en kabylie. Et ce n’est pas un hasard si le RCD revient toujours dans ces tristes épisodes qu’à connu l’Algérie. C’est pas un hasard aussi de voir un cadre du RCD Halim Akli taper sur le chanson de Zimu Tafsut taberkant !!

  14. Smail.S dit :

    On dit bien qui se sent morveux se mouche le nez…Je dirais que Zimu a derangé de par sa franchise et aussi,sa liberté intellectuelle dont H.A ne connait pas la signification.Il y’a une frontière a ne pas franchir entre critique d’une oeuvre intellectuelle et critique personnelle que je trouve d’ailleurs pas du tout intellectuelle.Bravo zimu,continue a nous emerveiller !!!

  15. Kabyle du MAK dit :

    je suis intervenu 2 fois sur le site kabyles.net. Mais je ne suis plus retourné lorsque j’ai constaté comme un acharnement sur zimu alors que sa chanson est une œuvre magistrale. Zimu est un chanteur engagé au fond mais son engagement il faut être profondément conscient de ce qui se trame à l’encontre de la kabylie pour le voir.
    ce qui me touche dans cette affaire c’est de voir que le journaliste Halim Akli n’a pas dévoilé sa véritable identité sur le site kabyles.net. Il est finalement militant du RCD !!! Ce détail rend son jugement de la chanson tafsut taberkant dénué de tout sens et logique et plutôt subjectif !! Les Rcdistes, c’est connu, sont les destructeurs de tous nos mouvement comme ilo essayent de faire maintenant avec le MAK.
    Zimu, continue de chanter, on est derrière toi.
    Un kabyle du MAK

  16. Djamal dit :

    Les gens du RCD, ils sont prêt à tout. La chanson de Zimou sonne l’alarme !! Arrêtez de bercer les kabyles fakou !!! Au lieu de reprocher à zimu de démobiliser c’est au contraire le RCD et les âarouchs qui ont conduit la population à ne plus faire confiance et à se démobiliser !! L’Histoire va retenir tous vos magouilles !!
    Bravo Zimou, tu as trouvé leur point faible !! encore d’autres chansons !!

  17. Kabyle du Mak dit :

    Zaâma on n’utilise pas les ciseaux dans Le site kabyles.net !! je leur aid emandé de publier ça j’espère qu’ils vont le faire sinon merci pour ce site :

    Pourquoi halim Akli ne dit pas qu’il est du RCD et qu’il est candidat aux élections de 2007 ? Pourquoi halim Akli au lieu de taper sur une chanson de Zimu, pourquoi il ne publie pas son article sur Mohammed Allaoua , puisque ce chanteur semble satisfaire aux exigences artistiques du grand Halim Akli ? Comment un candidat aux élections de 2007, un ex-ami de Ould euro et un toujours fidèle de Saadi qui a offert 3 ministres à Boutef quelque jours seulement après avoir appelé « la fraude du siècle  » son élection et quelques mois avant que son ministre de l’intérieur n’ordonne la tuerie de 123 jeunes kabyles, comment halim akli arrive t-il à fermer ses yeux devant ces énormes bêtises et oser critiquer une chanson qui porte un témoignage pour les générations futures sur les raisons du non aboutissement de nos révoltes face à des Ould-Ali, Benyounes et des Halim Akli … Un message est envoyé sur kabyles.net pour démasquer les modérateurs de ce site qui suppriment nos commentaires.

  18. Lascar dit :

    On a tout vu !! Depuis quand un parti politique se permet-il de critiquer un chanteur. J’ai lu le billet de ce personnage Halim Akli. Il reproche à Zimu de dire la vérité sur le printemps noir !! Nos artiste sont libre de chanter ce qu’ils veulent !! C’est ça aussi la democratie et l’acceptation de la critique !! Alors il faut revoir vos positions subjectives at athmathen !!
    Quand au site qui publie les billets de Halim Akli, que je viens de découvrir, je crois qu’il est fabriqué par la SM alégrienne ou le l’extrême droite française, je ne souhaite pas leur faire de la Pub mais ça vaut le détour !!

  19. Anonyme dit :

    Je crois savoir qu’après cet épisode le Halim Akli a été même grondé par ses maîtres, c’est ce qui ressort de son dernier billet !!

  20. Anonyme dit :

    Tawes, ou devrais-je dire, Halim Akli, parce que nous savons tous que les pseudos de Halim sont nombreux !!
    Pourquoi vous ne signez pas vos billets Halim Akli, cadre du RCD et ex-candidat aux elections 2007 ? Pourquoi ? Cette information aurait été d’un apport considérable pour l’analyse de la « critique » de la chanson Tafsut de Zimou. Croytez-vous vraiment que se présenter aux élections 6 ans seulement après la tuerie de nos 126 jeunes est un comportement engagé ? Zimou dans sa chanson justement ne s’attaque qu’à ces opportunistes, spécialement, ceux du RCD comme Halim Akli Ould Euro et Khalida et Benyounes …etc
    La chanson tafsut taberkant est un témoignage de Zimu pour que les générations futures ne s’investissent pas dans des révoltes troquées d’avance contre des postes et des lots de terrains ou des locaux !! Mais il faut surtout ne pas être du RCD pour comprendre ça.
    Il est facile de dire que la chanson de Zimu ne mobilise pas, mais, à dire vrai, elle mobilise contre nos traîtres et les faux kabyles, les charognards qui se nourrissent des cadavres de nos enfants assassinés chaque printemps !!
    Halim akli a écrit sur Allaoua : un chanteur repsectable dans son genre mais n ‘ y a’t-il pas lieu de se poser des questions sur sa présence trop fréquente à l’ENTV, Canal algérie (durant l’année de l’Algérie en FRance), BRTV … Ces institutions officielles seraient-elles devenues engagées aussi pour notre cause kabyle ? Si oui répondez-moi. Alors qu’elles sont les motivations de Halim Akli pour défendre ce genre de chansons kabyles (babacheikh, Hebbou, nhemdikallah …) ? et de critiquer un chanteur qui essaye au moins de faire une chanson qui suscite reflexion !!!? En plus publier tout ça sur un site qui reprend des articles publiés par juif.org ? N’est-ce pas là une volonté de manipulation de l’opinion ? Pourquoi Halim Akli n’écrit-il pas sur la chanson qu’il juge mobilisatrice pour lui faire de la publicité au lieu de s’acharner sous ses dizaines de pseudos sur un genre de chanson qui « démobilise » selon lui !!? Pourquoi Halim Akli ne profite pas de l’espace Internet que lui offre kabyles.net pour parler de Nourdine Ait Hamouda puisqu’il a refusé de l’accueillir à Ait Bouadou ? tant de pourquoi… qui méritent des réponses.
    Occupez-vous de ce que vous croyez utile et laissez passer la polémique dans votre intérêt.

  21. Alghem n Canada dit :

    Juste des questions à halim Akli que j’ai trés bien connu dans les années 90-94.
    Qui a soutenu le coup d’Etat des généraux en 91-92, en faisantc roire que c’était pour sauver l’Algérie ? Elle est sauvé l’Anegérie aujourd’hui ? Elle est entre les mains de qui ?
    Qui a foiré le boycott scolaire pour participer au vote de 1995 ? MCB coordination RCD ?
    Qui a participé au gouvernements de Bouteflika en 1999 ? RCD ?
    Qui a foiré la mobilisation citoyenne des aârchs 2004 pour participer au présidentielles derrière Benflis ? ârchs des mechras et Bouceta du RCD ?
    Qui a fait le point noir du boycott des élections de 2009 ? Les ould-ali, Benyounes et Khalida qui viennent d’où ? du RCD ?

    Alors Halim akli si tu as vraiment un minimum d’engagement dans ton coeur pour la Kabylie, si tu es vraiment mobilisé pour notre patrie et notre peuple Kabyle la carte du RCD que tu trimbale dans ta poche mais que tu cache soigneusement en critiquant tafsut taberkant du chanteur Zimu, cette carte nous montre quel opportuniste tu es au fond de toi !! Rien à ajouter.
    Vive le MAK
    Vive La kabylie autonome.

  22. Tawes dit :

    quelle belle leçon de démocratie ! Vous supprimez mon commentaire et vous validez quand même les réactions que mon commentaire supprimé a suscité !!! On est pas sorti de l’auberge et vous pouvez continuer à voir halim akli derrière chaque nom oui pseudo, ce n’est rien d’autre que l’expression d’un prodfond désarroi et le comprotement de zimu lui-même est édifiant à cet effet. Quand à vous de ce blog, excusez-moi de m’être trompé de porte, car quand on est pas de la même culture, on est forcément pas les bienvenus. La démocratie est un très long et très pénible apprentissage… Cordialement.

    Tawes

  23. war isem dit :

    Tawes (Halim Akli) votre « commountir » il est seulement en page 2. Sur ce blog vous n’êtes pas sur kabyles.net (site alimenté par juif.org). Ici vous êtes en plein démocratie, sur un terrain libre, le terrain d’une vraie opposition au régime algérien le FFS. Ici vous êtes loin des espaces du RCD ; le parti de Halim akli, le parti qui a participé au gouvernement de Boutef, qui a pris 10 jours avant de retirer ses ministres alors que des dizaines de jeunes kabyles sont assassinés …
    Zimu, maintenant, s’occupe de ses affaires maintenant. Ce sont ses amis qui s’occupent à le défendre partout jusqu’à l’eclatement de la vérité sur les vraies motivations derrière l’acharnement de Halim Akli sur sa chanson.

  24. El djoudi dit :

    Je suis content de voir cette affaire atterir ici pour un débat beaucoup plus positif. Le jour où j’ai su sur facebook que l’auteur du billet Halim Akli sur kabyles.net était un militant du RCD j’ai tout de suite déposé un message sur kabyles.net mais evidemment rien n’a été publié. Il faut surtout pas que les gens sachent qui est tellement dérangé par une chanson qui ne dit que la vérité sur un printemps encore vendu pour une élection !!!
    La chanson du chanteur Zimu ne dit que la vérité au contraire j’aurai aimé y rajouter quelques refrains pour parler par exemple du retour de la gendarmerie, des kabyles qui ont invité Ouhyahia pour voir la tombe de Massinissa ou encore les kabyles du RCD qui se sont occupés de la campagne de Bouteflika .. C’est des choses tellement véridiques et tellement juste !! Pourquoi alors il ne faut pas les chanter dans une chanson ? Pourquoi avoir peur de la vérité ? Et pourtant il nous faut voir tout ça pour éviter d’être encore une fois trahis par Le RCD et ses produits dérivés. Mais justement Halim Akli au fond ne reproche que ça à la chanson de Zimu. Halim akli reproche à la chanson de Zimu d’être trop vraie au point de faire des kabyles des citoyens qui ne diront jamais OUI aux opportunistes du RCD et d’ailleurs. Halim Akli a peut être peur de ne plus pouvoir devenir député si des milliers de kabyles ont le luxe d’écouter une chanson qui leur rappellera que certains kabyles sont prêt à tout pour arracher des locaux de commerce ou des postes de députés à l’APN.
    Vous n’imaginez pas quel soulagement de dire tout ça sans avoir la crainte d’être supprimé un grand MERCI à Elmouhtarem qui mérite tous nos encouragements. J’aurai aimé dire plus mais tout a été dit ou presque par d’autres !!

  25. tislit benzar dit :

    Merci de publier ma réaction.
    J’ai pris connaissance de cette histoire sur l’internet il y a quelques jours. J’aime trés bien écouté le chanteur Zimu mourad, j’ai ses deux albums qui sont d’une qualité excellente. Les paroles, la musique et surtout la voix. Des chanteurs comme lui, l’algérie à besoin de leurs talents. Normalement un militant du rcd doit critiquer autre chose, critiquer d’autres partis pourquoi critiquer la chanson d’un chanteur. Pour moi c’est de la pure manipulation. Laissez nos artistes travailler pour le bien de notre culture.
    A bon entendeur salut

  26. Amichi dit :

    tislit benzar, un militant du rcd peut critiquer tout. Mais dans le cas de la chanson de zimu ce qu’il critique de la chanson n’est que la vérité comme le disent les commentaires. En écoutant la chanson thasuth thaberkant ; il n y a que ce qui se passe dans la kabylie après le printemps noir qui est raconté. Mais on a l’habitude avec les militants du Rcd déjà depuis qu’on est étudiants que c’est des manipulateurs, des provocateurs même si je ne connais pas ce halim akli. mais cette fois-ci ils sont tombé bien bas en critiquant une chanson majestueuse, ils vont se casser la gueule ! Le Rcd va disparaître de la politique algérienne dans 2 années avec la création d’un 2eme Parti par les dessidents et tous ceux qui ont demissionné. ce parti a beaucoup trop fait de mal jusqu’à présent. Si on croit ce qui se dit un peu partout c’est la SM qui a encouragé sa création.
    mais bon, là c’est une autre histoire !!

  27. Tawes dit :

    Réponse à warisem qui dit que mon commentaire supprimé se trouverait en page 2 de cet espace de « démocratie » : Mentez si vous en trouvez du plaisir mais au moins, mentez bien car mon 1er commentaire a bel et bien disparu après quelques heures seulement de sa mise en ligne. Cela d’un côté.

    De l’autre côté, c’est quand même à la limite de l’ineptie que la plus part des « anonymes » ou des « warismawen » osent reprocher à halim akli qui a toujour signé ses écrits en assumant pleinement son identité puisque ce sont ses nom et prénom authentiques, de ne pas dévoiler son identité en signant par autre chose que son nom et prénom ! Plus ridicule que ça, tu meurs…

    Vous me prenez pour halim ajli qui se cacherait derrière mon prénom Tawes, cela n’est guère étonnant de la part d’un ou des personnes complètement affolé(es) au point de verser dans la projection qui veut dire en psychanalyse : voir en d’autres ce qu’on est soi-même ou ce qu’on fait nous-même. Sinon, que zimu (ou d’autres ?) me soupçonne d’être halim akli, cela veut dire que mes capacités de rédaction rivalisent avec celle de ce journaliste et cela, m’honore et me réjouis ! Merci au moins pour ce beau compliment en filigrane.

    En définitive, Vous parlez d’acharnement sur zimu sur kabyles.net, pourtant, en dehors de 3 ou 4 réactions déplacées en effet, le reste des réactions sont assez consistantes de par leurs argumentaires assez solides mais surtout, ce qu’il y’a lieu de noter, c’est que ces réactions en assenant des arguments de débat n’ont à aucun moment manqué de respect à la personne du chanteur et je crois que c’est cette force qui explique pourquoi certains fuient le débat pour venir dans des espaces plus restreints et où on se sent entre potes !

    Permettez-moi de vous ajouter que si vous aviez pris la peine de ne pas censurer mon premier commentaire où j’ai donné des liens aux éventuels lecteurs de ce forum qui leur permettra de prendre connaissance de la réalité dans toutes ses dimensions, surtout si certaines mauvaises foi aurait pris la peine de consulter au moins la contribution du journaliste qui n’est pas moins auteur, romancier, poète… et un grand militant pour la laïcité, donc si certains ont pris la peine de lire cette contribution où il est question d’analyse critique sur les partis de l’opposition dont le RCD, ils auraient compris que en effet, comme il le dit dans son dernier chef-d’oeuvre (La critique en débat), halim akli que je souhaite avoir l’honneur de rencontrer un jour, peut être tout sauf un opportuniste ou un cerveau formaté qui réagi avec violence dès qu’il y’a critique. Mais, bon, cette analyse qui est sans pitié avec le RCD et où il suggère textuellement à son parti et aux autres de ne plus participer aux élections d’ordre national dont la présidentielle, les législatives et les référendum tant que le régime reste le même car ça ne sera que caution sur caution à des fraudes annoncées depuis longtemps. continuer à lui attrribuer des visées opportunistes dans ce cas de figure, c’est encore et encore de la mauvaise foi quoi que vous disiez d’ailleurs. Mais bien entendu, ce blog est un espace du ffs comme l’a dit un intervenant et pour cela, la critique des partis ne plaira pas non plus puisque certaines vérités crues et irréfutables concernant le ffs y sont également présentes dans cette contribution de halim akli qui a toujours revendiqué sa liberté de pensée et qui a toujours refusé de ne voir qu’à travers le prisme de son parti. Cela est déjà une autre histoire mais gageons que souvent c’est notre culture et notre mentalité encore trop ancrée dans le passé qui fait qu’opn assimile la critique à quelque chose de personnel, souvent à quelque chose de négatif, or, aussi sévère et frontale soit-elle, la critique est une valeur-attribut de l’esprit moderne et c’est justement la critique qui incite à l’effort, à la créativité et à la perfection. Sans la critique, il n’est point de démocratie, point d’intelligence, point de créativité… que de la médiocrité qui cherche après la médiocrité pour faire la guerre aux derniers bastions de l’intelligence et de son corollaire qu’est la critique qui sont perçues comme une menace à l’équilibre et aux habitudes dont baigne et prospère la médiocrité. Tout le reste n’est que mauvaise foi et balivernes de bas étages.

    Cordialement et bonne chance à tous et à toutes.

    Tawes de Bouzaréah n’en déplaise aux sceptiques et autres déséquilibrés

  28. Taoues dit :

    A warisem, un anonyme qui pourrait être aussi un pousseur de chansonnettes, et qui dit que mon commentaire supprimé sur un blog proche de Zimu qui traite Allaoua de chanteur de moindre valeur mais dont l’article que Halim akli lui a consacré (Allaoua : L’exception artistique) s’est avéré frustrant pour le jeune chanteur engagé à ne pas chanter l’engagement militant et/ou politique et après avoir critiqué Oulehlou dans sa chanson controversée d’avoir construit sa célébrité sur les cadavres du champs de bataille de 2001 que « le chanteur apiprikan », selon ses propres propos, avait fuit quelques jours après l’assassinat de Massinissa, se trouverait en page 2 de cet espace de « démocratie » qui est différent de kabyles.net traité, cette fois-ci, de « site alimenté par juif.org », je dirai ici car là-bas, heureusement que ce n’est qu’un blog ! j’y suis censurée : Mentez si vous en trouvez du plaisir mais au moins, mentez bien car mon 1er commentaire a bel et bien disparu après quelques heures seulement de sa mise en ligne.

    De l’autre côté, c’est quand même à la limite de l’ineptie que la plus part des « anonymes » ou des « warismawen » osent reprocher à halim akli qui a, à ma connaissance, toujours signé ses écrits en assumant pleinement son identité puisque ce sont ses nom et prénom authentiques, de ne pas dévoiler son identité en signant par autre chose que son nom et prénom ! Plus ridicule que ça, tu meurs…

    Vous me prenez pour halim ajli qui se cacherait derrière mon prénom Tawes, cela n’est guère étonnant de la part d’un ou des personnes complètement affolé(es) au point de verser dans la projection qui veut dire en psychanalyse : voir en d’autres ce qu’on est soi-même ou ce qu’on fait nous-même. Sinon, que zimu (ou d’autres ?) me soupçonne d’être halim akli, cela veut dire que mes capacités de rédaction rivalisent avec celle de ce journaliste et cela, m’honore et me réjouis ! Merci au moins pour ce beau compliment en filigrane.

    En définitive, Vous parlez d’acharnement sur zimu sur kabyles.net, pourtant, en dehors de 3 ou 4 réactions déplacées en effet, le reste des réactions sont assez consistantes de par leurs argumentaires assez solides mais surtout, ce qu’il y’a lieu de noter, c’est que ces réactions en assenant des arguments de débat n’ont à aucun moment manqué de respect à la personne du chanteur et je crois que c’est cette force qui explique pourquoi certains fuient le débat pour aller dans des espaces plus restreints et où on se sent entre potes ! Les carcans, c’est connu, C’est, en effet, plus rassurant !

    Permettez-moi de vous ajouter que si vous aviez pris la peine de ne pas censurer mon premier commentaire (je ne m’adresse pas à kabyles.net bien sûr mais au blog des potes du chanteur engagé pour le désengagement) où j’ai donné des liens aux éventuels lecteurs de ce forum qui leur permettra de prendre connaissance de la réalité dans toutes ses dimensions, surtout si certaines mauvaises foi aurait pris la peine de consulter au moins la contribution du journaliste qui n’est pas moins auteur, romancier, poète… et un grand militant pour la laïcité, donc si certains ont pris la peine de lire cette contribution où il est question d’analyse critique sur les partis de l’opposition dont le RCD, ils auraient compris qu’en effet, comme il le dit dans son dernier chef-d’oeuvre (La critique en débat), halim akli que je souhaite avoir l’honneur de rencontrer un jour, peut être tout sauf un opportuniste ou un cerveau formaté qui réagi avec violence dès qu’il y’a critique. Mais, bon, cette analyse qui est sans pitié avec le RCD et où il suggère textuellement à son parti et aux autres de ne plus participer aux élections d’ordre national dont la présidentielle, les législatives et les référendum tant que le régime reste le même car ça ne sera que caution sur caution à des fraudes annoncées depuis longtemps… Continuer à lui attribuer des visées opportunistes dans ce cas de figure, c’est encore et encore de la mauvaise foi quoi que vous disiez d’ailleurs. Mais bien entendu, ce blog des potes du « chanteur engagé pour le désengagement » est un espace du ffs comme l’a dit un intervenant et pour cela, la critique des partis ne plaira pas non plus puisque certaines vérités crues et irréfutables concernant cet autre parti y sont également présentes dans cette contribution de halim akli qui a toujours revendiqué sa liberté de pensée et qui a toujours refusé de ne voir qu’à travers le prisme de son parti. Cela est déjà une autre histoire mais gageons que souvent c’est notre culture et notre mentalité encore trop ancrée dans le passé qui fait qu’on assimile la critique à quelque chose de personnel, souvent à quelque chose de négatif, or, aussi sévère et frontale soit-elle, la critique est une valeur-attribut de l’esprit moderne et c’est justement la critique qui incite à l’effort, à la créativité et à la perfection. Sans la critique, il n’est point de démocratie, point d’intelligence, point de créativité… il y’a juste de la médiocrité qui cherche après la médiocrité pour faire la guerre aux derniers bastions de l’intelligence et de son corollaire qu’est la critique qui sont perçues comme une menace à l’équilibre et aux habitudes dont baigne et prospère cette même médiocrité. Tout le reste n’est que mauvaise foi et balivernes de bas étages.

    Cordialement et bonne chance à tous et à toutes.

    Tawes de Bouzaréah n’en déplaise aux sceptiques et autres déséquilibrés

  29. Ouyidir dit :

    Effectivement je viens vous apporter mon témoignage. je vous confirme donc que : Taoues, Tawes, Amazigh1 … Sont des pseudos de Halim Akli.

    Signé : un ex rédacteur dans Kabyles.net.

    Je fais ça uniquement pour remettre les choses à leur place.

  30. Moussa dit :

    J’ai bien suivi cet épisode désolant sur le net depuis la réponse de Zimu diffusée sur facebook.
    Je crois que ce qui se passe nous informe beaucoup sur la mentalité rétrograde et mégalomane de certains d’entre nous comme Halim Akli.
    Zimu, un artiste, compose une chanson qu’il diffuse. Halim Akli, au lieu de se contenter de critiquer uniquement la chanson a laché sa plume pour retirer à zimu son mérite d’être un artiste de talent. Zimu, en toute logique répond à la subjectivité de Halim Akli qui n’était finalement qu’un sombre militant du RCD toujours en activité. Mais dès la sortie de la réponse de Zimu en dehors de facebook on a assisté à un déchaînement sans précédent sur l’artiste. Nous étions (ses amis) dans l’obligation de répondre mais kabyles.net nichée dans son islamophobie a filtré nos réponses et a orienté les débats. Cette situation ne s’est arrêtée que lorsqu’un inconnu militant du RCD a dévoilé la véritable identité de Halim Akli dont les liens sont diffusés sur facebook ont permis à des milliers de kabyles de démasquer Halim Akli qui n’est qu’un opportuniste du RCD.
    Le blog d’Elmouhtarem a repris cette affaire pour permettre aux allergiques à kabyles.net et aux véritables démocrates de s’exprimer.
    Si pour vous se défendre et donner son avis est est synonyme de non acceptation d’une critique, pourquoi critiquer Zimu ? Contentez-vous de donner votre avis sur ce qui s’est passé au printemps noir. C’est ce que Zimu a fait. Il a donné son avis dans une chanson. Vous répondez dans un article sans le commencer par des paragraphes subjectifs du genre … « zimu abuse des reprises … ». Tout le monde sait que Zimu au contraire a toujours veillé à l’originalité de ses oeuvres. Vous avez aussi dévalorisé ses adaptations des chansons alors que son travail est formidable il n’est pas donné à n’importe qui de réécrire des chansons de Brassens en Kabyles en gardant toute la subtilité des mots et des histoires. Zimu, ne vous plait pas, c’est votre avis ça se respecte. Mais pourquoi ne pas parler de ceux qui vous plaisent. Encourager la chanson que vous croyez mobilisatrice ; parlez de Allaoua, vous l’avez déjà fait dans un autre contexte refaites-le sur kabyles.net en commençant par expliquer la chanson « nhemdik Allah » ou « a baba cheikh » … mais peut être que Marie du site ou genevieve vous laisseront pas parler d’un chanteur kabyle né à Alger pronfondément musulman et encouragé par tous les médias de l’Algérie officielle !? Vous avez tant de pistes à explorer sans passer par ecraser un artiste de talent qui ne fait que chanter ce qu’il aime sans demander à plaire à tout le monde.
    Maintenant comment osez-vous reprocher à une chanson tellement réaliste la démobilisation alors que vous êtes toujours militant d’un parti politique RCD à l’origine de la démobilisation de toute une région !?

    Alors Mr Halim Akli et/ou Mme Taoues ou bein Amazigh1,zina (la fameuse étudiante de magistère amazigh qui n’existe pas je peux même vous le prouver) selon les pseudos choisis, vous ferez mieux de faire profil bas avant de voir cette affaire reprises ailleurs. Je le souhaite un peu pour pousser zimu à sortir de sa reserve et assumer ses talents !!
    Je vous connais trés bien. Nous avons pris des litres de cafés dans le même café même si nous ne partageons que rarement la même table.

  31. Mohand dit :

    Moussa aurait pu et du se contenter de défendre son point de vue sans en rajouter à cette paranoïa qui s’est installé parmi l’entourage de zimu qui voit partout le journaliste qui l’a critiqué. continuer dans cette voie est contreproductif car, personne n’est dupe, ce que vous reprochez à Halim akli peut très bien être reprocher à zimu lui-même et personne n’a de preuve pour vérifier l’identitié de tous les pseudo et de tous les anonymes qui défendent d’une part zimu et ceux qui défendent le point de vue de la critique contre la chanson de zimu, d’autre part.

    Finalement, ce qui intéresse les lecteurs ici, sur kabyles.net ou ailleurs, c’est pas « qui dit » mais « que dit » chacun des intervenants.

    Mon avis à moi c’est que Zimu et halim akli sont respectables et nous leurs devons notre respect pour ce qu’ils font chacun à sa manière. Après ça, dans l’absolut, il faut de la critique dans tous les domaines pour que les choses puissent évoluier vers le positif et le mieux. Tout le monde peut critiquer tout le monde et souvent, les excès de l’un permettent justement à la personne critiquée d’en tirer profit en réagissant avec philosophie et sagesse s’il ne s’emporte pas comme c’est le cas de zimu qui a été jusqu’à régir par un texte fleuve tellement long que certains, pour ne pas dire beaucoup n’arrive pas à en terminer sa lecture avant de créer carrément un blog spécialement pour se défendre en montrant, par inexpérience surement, qu’il s’était donné une peine énorme pour fouiller dans la vie de son « adversaire » (à ne pas confondre avec énnemie) et tenter d’argumenter sa défense par une appartenance partisane qui somme toute naturelle et normale comme toutes les autres appartenances partisanes qui sont une liberté indiscutable en démocratie mais qui ne peut être un argument pour dévaloriser un point de vue car, aussi militant et aussi partisan d’un parti soit-on, dans nos écrits journalistiques et dans les prises de positions sur les divers sujets de la vie, cette appartenance n’intervient pas systématiquement pas seulement dans le cas de ce journaliste mais c’est une situation impossible à exister de nos jours. Donc, ce que j’essaye de dire c’est que zimu s’est trompé à mon avis de voie en allant tenter de prouver la critique en question par une motivation partisane, ce qui aurait pu être vrai s’il sagissait d’un artiste d’envergure comme Matoub, Aït-Menguellat, cherif Kheddam, Ferhat, Idir, Medjahed Hamid… encore même dans ce cas là, on peut soupçonner mais on ne peut accuser sans preuve et l’appartenance à un parti , surtout quand on y occupe aucune responsabilité comme c’est le cas de halim akli je suppose, ne peut être une motivation pour une critique.

    Sinon, pour rester dans l’objectivité ou pour tenter de ne pas trop nous éloigner, concernant halim akli dont les écrits et l’engagement pour la laïcité n’est plus à présenter pour certains, pas pour ceux qui ne le connaissent pas évidemment ! je pense qu’en effet, le prélude à sa critique était trop décalé par rapport au cropus de la critique car, le prélude qui présente un peu zimu en général n’annonce pas que la suite de la critique ne concernera que la chanson sur le printemps noir. Ensuite, dans ce même prélude, il aurait pu développer sa vison du concept de « l’artiste » qui , en effet, est une qualité qui nécessite un débat approfondi ppour en arriver à une certaine définition plus réaliste car, d’ »aucuns pensent en effet que la qualité d’artiste ne s’octroie pas forcément au début d’un parcours artistique, quand ‘autres pensent qu’il faut avoir une production conséquente et de qualité pour accéder au satut d’artiste, enfin, d’autres encore pensent qu’être artiste suppose une manière d’être, un engagement militant pas seulement au sein d’un parti, ce qui reste aussi un droit, mais pour une cause qui porte la société vers sa liberation de tous les jougs politiques, sociaux… Qui a raison et qui a tort ? Personne et c’est justement sur ces questions que le débat doit s’axer et c’est tout le mérite de nos deux hommes Halim akli et zimu qui, à travers cet épisode, posent la question lancinante de la place de l’artiste dans sa société et au-delà, de la critique en tant que élément fondamentale de cette vie moderne à laquelle nous aspirons tous et toutes mais avec des méthodes différentes.

    Toutes mes excuses si j’ai été trop long et prière aux uns et autres de réajuster leurs propos vers des questions plus intéressantes et plus utiles et de sortir de cette logique de confrontation qui caractérise toutes les société qui ont du mal à s’émanciper de leurs archaïsmes. Continuer à éviter les vraies questions pour alimenter le doute sur les identités des uns et des autres ça décrédibilise l’intervenant et le site lui même et ça rend stérile et ordurier le débat s’il en est un.

    Mohand

  32. El Djoudi dit :

    Mohand, c’était long mais j’ai quand même lu jusquau bout. Mais je m’excuse je suis sorti avec le sentiment que ce que vous avez écrit n’est qu’une manière « intelligente » de soutenir Halim Akli. Il est tout à fait normal de chercher à connaitre nos adversaires pour mieux comprendre les motivations de leurs écrits. C’est même impératif.

    L’appartenance de Halim Akli au RCD (avec tout le poids du passé de ce parti) et surtout sa candidature aux élections de 2007 sont deux informations qui ont fait totalement basculer le débat. La « critique » de Halim Akli de la chanson de Zimu Tafsut Taberkant et ses allégations subjectives sur ses talents d’artiste sont enfin de compte de fausses accusations, des tentatives de manipulations reprimables qui n’ont pas lieu d’exister.
    Moi même j’ai fouillé dans les archives de Halim Akli, et je suis à l’origine de la diffusion de certains liens, et je suis tombé sur des contradictions énormes. Si vous ne voyez pas vraiment l’intérêt de dévoiler l’identité de Halim Akli dans cette affaire c’est que vous souhaitez le protéger ou vous soutenez ses dires ce que l’on sent d’ailleurs à travers vos définitions de la notion d’artiste. Il ne faut pas chercher à cacher le soleil avec Agherbal.

    Zimu a eu droit à une vraie propagande négative sur le site kabyles.net, qui reprend des articles de juif.org (un détail aussi à ne pas oublier). Si cette affaire n’a pas eu la chance de sortir du site kabyles.net nous n’aurons pas autant de vérités. Je remercie vivement Elmouhtarem d’avoir pensé à reprendre cette histoire.
    Croyez-moi cette affaire aura des petits. Sauf si, Halim Akli, comme c’est suggéré sur le site Kabyles.net daigne faire des excuses à Zimu. Halim Akli s’est juste trompé c’est tout on pourra lui pardonner.

  33. Mohand dit :

    Wa Ldjoudi a gma,

    Tamezwarut, je ne soutiens jamais les personnes mais les idées etcela est mon droit le plus absolu comme il est de ton droit de choisir les idées que tu veux soutenir.

    Ensuite, ce n’est pas une manbière intelligente de soutenir Halim Akli mais je lui apporte mon soutiens avec clareté concernant certaines idées qu’il a développé dans sa critique. En revanche j’ai bien dis aussi que je ne partage pas ce qu’il dit dans le prélude de sa critique, c’est à dire dans l’introduction où il a porté un jugement sur zimu en tant que chanteur alors que la critique ne concerne qu’une chanson.

    Ce que je n’apprécie pas en revanche chez zimu c’est la manière avec laquelle il a réagi et continu de réagir donnant l’image de quelqu’un qui a perdu son sang froid. D’abord, le mépris affiché envers son détracteur, envers le site kabyles.net qui a marqué des points, que l’on veuille ou pas, en procédant à la mise en ligne de la réponse de Zimu sans que celui-ci ne la leur envoie et avec toute sa charge de mépris et d’insinuations négatives envers l’auteur de la critique et le site lui-même ! Zimu qui a critiqué toutes les versions du mouvement citoyens, tous les partis politique y compris le RCd, le FFS, le MAK etc… qui a critiqué Oulehlou et qui n’a pas asséné étrangement autant de flèches envers le pouvoir et sa gendarmerie, Zimu qui vient aussi de récidiver en plantant un coup de poignard dans le dos à Allaoua qu’il caresse avec l’autre main et ce, juste parceque halim akli lui a consacré un bel article du reste à l’occasion de son dernier album qui est une véritable réussite sur tous les plans et de l’avis de beaucoup d’observateur de la scène artistique… donc autant de critiques que se permet zimu et je lui reconnais ce droit de les critiquer, ben, je trouve en toute logique que lui aussi devrait s’attendre à des critiques du même genre et peu importe d’ailleurs la couleur paryisane des critiques qu’il a reçu, c’est beaucoup plus sa mauvaise communication, entendre sa réaction intempestive, qui a été son plus grand énnemie.

    Cela dit, personnellement, j’admire beaucoup de chansons de zimu, pas toutes évidemment et je peux affirmer, contrairement à Halim akli, que zimu est un très bon chanteur point de vue musical et interprétation. Comme tous les artistes qui évoluent, lui aussi doit cependant apporter des améliorations au niveau de sa thématique et surtout perfectionner la qualité de sa communication, cela est indéniable. Autrement dit, si quelqu’un me dit que je dois dire que zimu est parfait sur tous les plans et qu’il n’a rien à améliorer pour ne pas être soupçonné de soutien à halim akli, alors, je dis que si zimu est aussi parfait, tant mieux pour nous , seulement, une telle subjectivité dépasse tout entendement car, en art, le seul principe qui guide les ténors du monde c’est justement le fait d’être conscient de ses faiblesses et de ne jamais cesser de se perfectionner et de se corriger et c’est tout le mal que je souhaite sincèrement à zimu et à tous nos chanteurs.

    Concernant ma propore définition de « l’artiste », je crois que tu devras relire ce que j’ai écris, car même si j’ai le droit d’avoir ma propre définition de l’artiste, dans ce que j’ai écris dans mon 1er post, je n’ai fais qu’énumérer les quelques défintions qui se sont manifestées à travers le débat sur cette hsitoire entre zimu et halim akli aussi bien sur le forum de ce blog que sur kabyles.net que sur bgayet.net et ailleurs.

    Enfin et Concernant l’appartenance partisane de halim akli, je persiste et je signe que je ne partage pas ton point de vue qui est une opinion d’un militant d’un autre parti que je respecte aussi bien que le RCD, le MAK … sur ce registre, je peux me vanter d’être plus objectif que toi a Ldjoudi car, je suis non affilié à aucun parti mais je respecte tous les partis tout en ayant un regard analyste et vigilant sur chacun d’eux et je parle exclusivement du FFS, du RCD, du MAK, et du MDSL (ex MDS). A ce propos aussi, l’appartenance partisane de halim akli n’est qu’un faut argument qui ne peut convaincre personne d’autant plus qu’en jetant un coup d’oeil sur le blog de halim akli qu’il aurait pu fermer s’il voulait réellement taire cette appartenance et il peut fermer son blog aujourd’hui même s’il le souhaitait ! ben en jetant donc un regard sur son blog, nous constaterons une fausse information que vous n’arrêtez pas d’avancer puisque contrairement à vos dires, halim akli n’a pas été candidat mais simplement candidat à la candidature et sa candidature qu’il avait présenté d’une manière originale et moderne, a été tout bonnement rejetée pour ne pas dire marginalisée par des pratiques archaïques qu’il combat. Donc, il n’a pas été candidat et le fait d’avoir tenté de se porter candidat aux locales car ils est aussi question dans son blog de quelqu’un qui refusent les élections nationales. Zimu dans son désir de trouver coûite que coûte une information avec laquelle il ira accabler halim akli, a cru bon de crier au scandale en disant que 6 ans après les événements du printemps 2001, halim akli se portait aux élections !!! c’est quand même surprenant de quelqu’un d’intelligent comme zimu car, si lui a attendu 6 ans après 2001 et 26 ans de militantisme sans jamais avoir été candidat comme il le dit dans son blog que vous indiquez aux internautes, ben zimu n’a pas seulement présenter sa candidature à une élection après les 125 victimes de 2001 mais il avait même chanté des chanson satiriques, des chansons sentimentales moins de 6 ans après le même massacre et si on regarde à travers la logique de zimu, avouez que chanter après un massacre c’est plus grave que se porter candidat 6 ans après à une élection locale qui est une logique politique qui peut être une continuité du combat si après être élu par le peuple (très important comme détail) on ne courbe pas l’échine sous le diktat du chef de daira ou du wali.

    C’était juste pour remettre les pendules à l’heure comme on dit, et croyez-moi que j’essaye de participer à ce débat avec beaucoup d’amitié et de fraternité que je souhaite voir se tisser entre vous tous qui êtes les enfants de la démocratie, de l’amazighité et de la culture.

    J’ai reproché à zimu la longueur démesurée de sa réation, je vois que je lui emboite le pas ! c’est vous dire que nous snous ressemblons tellement que nous sommes forcément des frères !!!

    Pardon et mille fois pardon pour ce très long commentaire mais, croyez-moi, c’est avec le coeur dans le cerveau que j’ai tout dis.

  34. Mohand dit :

    Wa Ldjoudi a gma,

    Tamezwarut, je ne soutiens jamais les personnes mais les idées etcela est mon droit le plus absolu comme il est de ton droit de choisir les idées que tu veux soutenir.

    Ensuite, ce n’est pas une manbière intelligente de soutenir Halim Akli mais je lui apporte mon soutiens avec clareté concernant certaines idées qu’il a développé dans sa critique. En revanche j’ai bien dis aussi que je ne partage pas ce qu’il dit dans le prélude de sa critique, c’est à dire dans l’introduction où il a porté un jugement sur zimu en tant que chanteur alors que la critique ne concerne qu’une chanson.

    Ce que je n’apprécie pas en revanche chez zimu c’est la manière avec laquelle il a réagi et continu de réagir donnant l’image de quelqu’un qui a perdu son sang froid. D’abord, le mépris affiché envers son détracteur, envers le site kabyles.net qui a marqué des points, que l’on veuille ou pas, en procédant à la mise en ligne de la réponse de Zimu sans que celui-ci ne la leur envoie et avec toute sa charge de mépris et d’insinuations négatives envers l’auteur de la critique et le site lui-même ! Zimu qui a critiqué toutes les versions du mouvement citoyens, tous les partis politique y compris le RCd, le FFS, le MAK etc… qui a critiqué Oulehlou et qui n’a pas asséné étrangement autant de flèches envers le pouvoir et sa gendarmerie, Zimu qui vient aussi de récidiver en plantant un coup de poignard dans le dos à Allaoua qu’il caresse avec l’autre main et ce, juste parceque halim akli lui a consacré un bel article du reste à l’occasion de son dernier album qui est une véritable réussite sur tous les plans et de l’avis de beaucoup d’observateur de la scène artistique… donc autant de critiques que se permet zimu et je lui reconnais ce droit de les critiquer, ben, je trouve en toute logique que lui aussi devrait s’attendre à des critiques du même genre et peu importe d’ailleurs la couleur paryisane des critiques qu’il a reçu, c’est beaucoup plus sa mauvaise communication, entendre sa réaction intempestive, qui a été son plus grand énnemie.

    Cela dit, personnellement, j’admire beaucoup de chansons de zimu, pas toutes évidemment et je peux affirmer, contrairement à Halim akli, que zimu est un très bon chanteur point de vue musical et interprétation. Comme tous les artistes qui évoluent, lui aussi doit cependant apporter des améliorations au niveau de sa thématique et surtout perfectionner la qualité de sa communication, cela est indéniable. Autrement dit, si quelqu’un me dit que je dois dire que zimu est parfait sur tous les plans et qu’il n’a rien à améliorer pour ne pas être soupçonné de soutien à halim akli, alors, je dis que si zimu est aussi parfait, tant mieux pour nous , seulement, une telle subjectivité dépasse tout entendement car, en art, le seul principe qui guide les ténors du monde c’est justement le fait d’être conscient de ses faiblesses et de ne jamais cesser de se perfectionner et de se corriger et c’est tout le mal que je souhaite sincèrement à zimu et à tous nos chanteurs.

    Concernant ma propore définition de « l’artiste », je crois que tu devras relire ce que j’ai écris, car même si j’ai le droit d’avoir ma propre définition de l’artiste, dans ce que j’ai écris dans mon 1er post, je n’ai fais qu’énumérer les quelques défintions qui se sont manifestées à travers le débat sur cette hsitoire entre zimu et halim akli aussi bien sur le forum de ce blog que sur kabyles.net que sur bgayet.net et ailleurs.

    Enfin et Concernant l’appartenance partisane de halim akli, je persiste et je signe que je ne partage pas ton point de vue qui est une opinion d’un militant d’un autre parti que je respecte aussi bien que le RCD, le MAK … sur ce registre, je peux me vanter d’être plus objectif que toi a Ldjoudi car, je suis non affilié à aucun parti mais je respecte tous les partis tout en ayant un regard analyste et vigilant sur chacun d’eux et je parle exclusivement du FFS, du RCD, du MAK, et du MDSL (ex MDS). A ce propos aussi, l’appartenance partisane de halim akli n’est qu’un faut argument qui ne peut convaincre personne d’autant plus qu’en jetant un coup d’oeil sur le blog de halim akli qu’il aurait pu fermer s’il voulait réellement taire cette appartenance et il peut fermer son blog aujourd’hui même s’il le souhaitait ! ben en jetant donc un regard sur son blog, nous constaterons une fausse information que vous n’arrêtez pas d’avancer puisque contrairement à vos dires, halim akli n’a pas été candidat mais simplement candidat à la candidature et sa candidature qu’il avait présenté d’une manière originale et moderne, a été tout bonnement rejetée pour ne pas dire marginalisée par des pratiques archaïques qu’il combat. Donc, il n’a pas été candidat et le fait d’avoir tenté de se porter candidat aux locales car ils est aussi question dans son blog de quelqu’un qui refusent les élections nationales. Zimu dans son désir de trouver coûite que coûte une information avec laquelle il ira accabler halim akli, a cru bon de crier au scandale en disant que 6 ans après les événements du printemps 2001, halim akli se portait aux élections !!! c’est quand même surprenant de quelqu’un d’intelligent comme zimu car, si lui a attendu 6 ans après 2001 et 26 ans de militantisme sans jamais avoir été candidat comme il le dit dans son blog que vous indiquez aux internautes, ben zimu n’a pas seulement présenter sa candidature à une élection après les 125 victimes de 2001 mais il avait même chanté des chanson satiriques, des chansons sentimentales moins de 6 ans après le même massacre et si on regarde à travers la logique de zimu, avouez que chanter après un massacre c’est plus grave que se porter candidat 6 ans après à une élection locale qui est une logique politique qui peut être une continuité du combat si après être élu par le peuple (très important comme détail) on ne courbe pas l’échine sous le diktat du chef de daira ou du wali.

    C’était juste pour remettre les pendules à l’heure comme on dit, et croyez-moi que j’essaye de participer à ce débat avec beaucoup d’amitié et de fraternité que je souhaite voir se tisser entre vous tous qui êtes les enfants de la démocratie, de l’amazighité et de la culture.

    J’ai reproché à zimu la longueur démesurée de sa réation, je vois que je lui emboite le pas ! c’est vous dire que nous snous ressemblons tellement que nous sommes forcément des frères !!!

    Pardon et mille fois pardon pour ce très long commentaire mais, croyez-moi, c’est avec le coeur dans le cerveau que j’ai tout dis.

    Mohand

    PS:suite à ton comentaire à gma Ldjoudi, j’ai jeté aussi un regard sur kabyles.net. Tu as encore mal lu, c’est pas à Halim qu’on y demande de présenter ses excuses mais bel et bien à zimu !!! C’est juste une précision qui ne m’engage pas personnellement !

  35. El Djoudi dit :

    Mohand Là tout est dit. Tu es qui tu sais !!

  36. Madjid dit :

    Oui, effectivement c’est Mohand le lieutenant de Marie Machin du site kabyles.net. Il se propose comme pompier dans cette affaire mais il n’est pas objectif. Ces propos sont subjectif à 1000 km. Il ne veut même pas nommer zimu en tant qu’artiste mais uniquement comme bon interprète tout comme halim Akli le militant du RCD au début de son torchon sur Zimu. Comparer la composition de chansons à l’implication politique d’un opportuniste dans des élections pour un pouvoir qui assassine des kabyles. On a tout entendu dans cette affaire.
    L’objectif de son écrit est de proposer aux intervenants de ne pas citer la carrière partisane de AbdelHalimhafedh Akli, alors que c’est le noeud de l’histoire.
    Alors halim akli, encore un conseil, quand on est membre d’un parti qui fabriqué dans les bureaux de Belkhir, un parti qui a sacrifié le boycoot scolaire pour des élections 1995, impliqué selon quelques versions dans l’assassinat de Matoub, un parti membre de l’alliance au gouvernement de boutef 1999, quand on est membre du parti qui a fait de Ould Euro elhadi, khalida toumi, benyounes ait aoudia … ce qu’ils sont maintenant il FAUT FAIRE PROFIL BAS ET RASER LES MURS ET SURTOUT NE PAS CRITIQUER CEUX QUI TENTENT DE DE LEUR MIEUX POUR APPORTER UNE PETITE CONTRIBUTION A NOTRE CULTURE. Ensuite demander pardon comme s’est suggéré par votre entourage sur kabyles.net (di lkhater-ik a Ldjoudi)

  37. Un anonyme qui s'assume dit :

    N’importe quoi à Madjid, une réthorique politicienne pleine de démagogie qui déborde de quoi elle dénonce. ayant suivi personnellement ces chamailleries depuis le début, je crois pouvoir dire enfin que plus vous déborder des arguments de la critique, plus vous vous éloignez du vrai débat et j’ai comme l’impression que vous le faites volotairement car, étant à court d’arguments.

    Je résume tout en ceci : Halim akli a produit une critique discutable mais sans détours, c’est-à-dire très claire. Zimu a régit d’une manière très négative, c’est incontestable, vous pouvez consulter n’impotre quel expert en communication, il vous le confirmera.

    Après, dans les forums, certains tentent tant bien que mal de réagir sur le vif du débat pendant que d’autres, de part et d’autres, versent dans l’insulte, l’invective et la déraison. La majorité de l’opinion, c’est-à-dire, ces milliers de citoyens qui lisent sans réagir, sans insérer un commentaire, eux, ils sont loin d’être dupes et savent que le vrai débat c’est d’abord si les reproches de Halim akli par rapport à la chanson incriminée sont d’une telle évidence telles que perçues non pas par halim akli ou zimu, mais par les auditeurs de la chanson ou de ce genre de chanson. ensuite, le débat pose la question de la critique et de sa nécessité ou pas. Tous le reste comme les insinuations, les accusations d’opporunisme, les reproches insensées pour un esprit démocratique sur l’apartenance à un parti…etc tout ça c’est rien d’autre que des propos superflux et totalement inutiles…aux yeux de la majorité qui lit mais qui ne commente pas.

    A bon entendeur salut

    Un anonyme qui s’assume (c’est stupide comme signature mais ça répond un peu à l’esprit de certains)

  38. Un anonyme qui s'assume dit :

    Je ne trouve rien à rajouter à ça :
    Halim Akli, encore un conseil, quand on est membre d’un parti qui fabriqué dans les bureaux de Belkhir, un parti qui a sacrifié le boycoot scolaire pour des élections 1995, impliqué selon quelques versions dans l’assassinat de Matoub, un parti membre de l’alliance au gouvernement de boutef 1999, quand on est membre du parti qui a fait de Ould Euro elhadi, khalida toumi, benyounes ait aoudia … ce qu’ils sont maintenant il FAUT FAIRE PROFIL BAS ET RASER LES MURS ET SURTOUT NE PAS CRITIQUER CEUX QUI TENTENT DE DE LEUR MIEUX POUR APPORTER UNE PETITE CONTRIBUTION A NOTRE CULTURE. Ensuite demander pardon comme s’est suggéré par votre entourage sur kabyles.net

  39. Buzitwar dit :

    Juste un détour par cette affaire. Zimu encore quelques jours et les chiens arrêteront d’aboyer.

  40. Arached dit :

    Azul Fellawen , dabord, ça me réjouit autant d’etre tous daccord sur un point, « Zimou est un tres bon interprete » ayagi donc iban, mais interprete kan, et il peut pas assumer responsablité de poete original ou de créateur authentique en poesie, ou meme compositeur de musique ga3, j’en suis daccord avec amghar azemni qui a cité notre exemple exemplaire contre la puissance française 54/62 , oui mais est ce vraiment encore valable pour notre époque 2009, puisse encore marcher ? faut l’essayer en tout cas , et c’est fait , mais je constate que c’est plus le peuple de 54/62, plus du tout les memes principes , c’est plus pareil a gma , j’en ai meme les larmes aux yeux , dayen c’est fini thina , dans le passé les gens de l’époque la vie dure la misere , hogra ; leur a acquis les principes de tirugza , nnif , lherma . Mais tura ses principes la sont plus accessibles pour une grande partie en tout cas , que par le biais de l’eveil intellectuel , et pas forcément en etre instruit , donc au mieux ça serait de remplacer la bouteil de vinaigre 1L ilaq ? negh 75 ? par une bouteil d’eau fraiche pour se rafraichir le visage quand on a someil et fatigue de lecture .
    On a ni a regretter nos martyrs , ils sont heureux ihi , si y’aurai une premiere classe , ils seront dedans. Ils nous manquent certes , mais on les aime aussi. En ce qui concerne Mr Winnat , acu tura ? netta d axdam donc ilaq ad yaf axdim , meme s’il a balak des convictions ,ça va rien changer pour zimou , ni pour Winnat ça nous regardent meme pas nous les auditeurs , c’etait toujours comme ça , ceux qui ont de l’influence , sont toujours visés , que ça soit zimou ; ou Mr Winnat , mais pour nous on devra faire jugement et écarter le moins resonnable , et dans ce cas je dirai que Winnat est fautif , pour la seule raison , qu’il a pris parole des auditeurs , a juger zimou , alors que ça devrait etre nous lghachi ak , qui vont le juger , c’est a la majorité de faire , aka i tella ay arrac negh primauté de l’interieur sur l’exterieur , sahitou !!

Laisser un commentaire

FRONT NATIONAL - Bouches-du... |
Mouvement des Jeunes Social... |
15ème circonscription du No... |
Unblog.fr | Annuaire | Signaler un abus | Sagvar, le Roman Noir de la...
| Sarkophage
| UES - Claude WEBER