Député et candidat au poste de SG d’un syndicat !
Lors d’un point de presse qu’il a animé hier, Aïssa Menadi, l’ancien SG du syndicat d’entreprise d’ArcelorMittal, actuellement député indépendant, a annoncé qu’il se porte officiellement candidat à sa propre succession et qu’aucun texte réglementaire en vigueur au sein de l’UGTA ne s’oppose au cumul de mandats électifs.
Si je puis tirer quelque enseignement de l’expérience du Satef au profit de nos camarades synicalistes de ArcelorMittal, c’est de s’accomoder de ces histoires de double mandat : politique et syndical / deux mandats exécutifs (ex. responsable syndical et directeur d’un établissement X).
Militant de base, sans aucun mandat, du Satef, la commission nationale de préparation du Congrès national (CNPC) m’a, conformément au règlement intérieur et aux statuts du Satef, chargé de la seconder dans certaines tâches, essentiellement de réflexion et de rédaction. C’était vers juillet 2000, alors que la CNPC voyait l’échéance du Congrès se rapprocher rapidement. De tâche en tâche, j’ai du prendre part à des journées d’étude nationales du Satef ainsi qu’à de multiples rencontres de/avec des cadres, dirigeants (Bureau national, Conseil national, etc) et de la CNPC, afin que le travail qui m’a été confié soit le plus adéquat possible avec le réalité abordée du point de vue du Satef, étant moi-même bien placé, en tant que militant de base, pour saisir la réalité du Satef du point de vue de son environnement. C’est ainsi que je me suis retrouvé membre du Conseil de la Coordination (devenue Section régionale) de Béjaïa et que j’ai obtenu mon « ticket » de congressiste. De là, tout ce qui s’est passé pendant le Congrès et qui a abouti à ce que l’opinion publique perçoit comme la consécration de « deux ailes » du Satef, avec, au départ, le Comité Ad-Hoc dont le dynamisme a abouti à l’achèvement des travaux du III Congrès, quelques mois plus tard, en septembre 2001, à Msila. Le Comité ad-hoc recueillait la majorité des congressistes, une partie des membres du bureau du Congrès et l’essentiel des membres de la CNPC, notamment celles et ceux avec qui j’ai eu à travailler le plus durant les mois précédents. Ce comité ad hoc a sollicité mon concours et c’était naturel de continuer la tâche, d’autant plus que l’autre partie remettait en cause l’essentiel des travaux préparés pour le Congrès : il s’agissait des projets éducatif et social ainsi que des nouvelles dispositions statutaires qui n’étaient pas pensées uniquement en vue réaménager la vie organique mais aussi de donner des outils de lutte aux syndicalistes qui répondent aux nouvelles réalités qui déjà s’installaient tout en offrant les moyens de dégager le Satef et ses militants des pressions à lesquelles il était soumis et de l’adversité, peu amène, qui commençait à se prévaloir de certains arguments dont la situation du Satef les laissait s’armer. Ces projets et ces dispositions, le Comité ad-hoc donnait l’impression qu’il les adoptait totalement, au même titre par ailleurs que la majorité des congressistes qui y trouvaient des bouffées d’oxygène très appréciables à l’époque. Avec le Comité ad hoc donc et jusqu’à la reprise des travaux du Congrès et à l’achèvement des travaux restés en suspens. J’en sors membre du Conseil national mais déjà le même jour, la partie réfractaire tenait son propre conseil qu’elle qualifait de national, en ne parlant plus des projets et en adoptant des dispositions statutaires « statu-quotrices ».
Tout cela, parce que les militants et les cadres du Satef avaient les plus grandes difficultés à expliquer les effets du double mandat (syndical et politique ; double mandat exécutif) de leur premier homme ou Secrétaire général à l’époque. Et que l’ex-Secrétaire général ne se voyait nullement mis par le Congrès devant le choix entre l’un de ses deux mandats en vue de libérer le SATEF de sorte qu’il puisse s’acquitter des tâches qu’il s’est tracées. Ce genre de situations, profitent finalement beaucoup à des opportunistes qui investissent les deux parties du conflit qui ‘ouvre et finissent par phagocyter l’ensemble des énergies, voire les disperser centrifugeusement. C’est ce qui s’est passé aussi bien parmi ceux qui étaient intéressés par le soutien au statu-quo anté et à l’ancien secrétaire général, que parmi ceux qui ont investi la perspective ouverte de Comité ad-hoc.
Après cela, il n’est même plus possible d’établir le bilan des actions les plus positives pour chaque camp -et donc pour l’ensemble du syndicat- à même d’aider à surmonter une crise vieille de déjà huit (08 ans) !
Autant dire qu’il est préférable de fonder un nouveau syndicat qui, dès l’annonce de sa création, se donne comme consubstance le principe de l’interdiction du double mandat (en essyant de s’aménager des circonstances majeures exceptionnelles) : c’est plus facile et meilleur pour la poursuite de l’activité syndicale que d’essayer de réglementer un fait accompli pur (qui n’est pas une infraction à la réglementation préalablement établie) qui, de nature, ne répond pas, ne correspond pas, ne favorise pas, ne s’accorde pas avec une quelconque disposition réglementair.
Député et Sg d’un syndicat comme celui d’el hadjar, c’est vraiment se prendre pour Tarzan. C’est que député, chez nous, en général, c’est du pipeau. Du pipeau bien rémunéré à tous points de vue…ne parlons pas des services rendus à la Nation, ceux là faut les chercher à la loupe. Les cumulards du parlement, avec ses 2 chambres, sont majoritaires. Ils sont dans les affaires, le barreau, etc….le système en place ne le leur interdit pas, même qu’il l’encourage. La moralité de cette histoire: le parlement ne représente que lui même, et, Menadi, comme les autres en profitent. PAUVRE ALGERIE.
Menadi est un monument à Annaba. Ridicule et lamentable en même temps. En principe il prend le chemin de la prison. tôt ou tard comme chef maffieux; pour le moment exploité par Sidi Saïd, Ouyahia et la clique personnelle du roi
Putain voir une tête pareille, pas la peine de faire de grandes études pour deviner que c’est un individu du milieu qui touche a tout.
BLED MIKI TOUT EST POSSIBLE.
LES LOUPS NE SE MANGENT PAS ENTRE EUX.DEMANDEZ AUX BONOIS ILS VOUS APPRENDRONT DES CHOSES SUR LE SIEUR menadi .comment il a gravi les echelon,comment il amassé une fortune colossale,comment il est venu au monde des affaires …la liste est longue.
MENADI L’illettre: déuté-président d’un club de laD1-SECRETAIRE G d’un syndicat d’une usine qui etait la fierté de L’ALGERIE PAUVRE PAYS
MENADI L’illettre: déuté-président d’un club de laD1-SECRETAIRE G d’un syndicat d’une usine qui etait la fierté de L’ALGERIE PAUVRE PAYS
le cas de AZZI ARAB…un tube digestif ayant pris la casquette du FFS et …une fois depute…n a pas voulu quitter le poste de responsable du SATEF…legitimant ainsi les loups de l ugta …………ACTUELLEMENT combien s ont ils dans l ugta ou dans les autres syndicats neo-liberaux( snapap felfoul,satef-2,unpef,cnes,et dans certains syndicats de corporation de la santé ??? ° et portent toujours la casquette du FFS……..est ce par cecité politique …ou une infiltration du pouvoir pour neutraliser le FFS???? je pense que c’est le moment de regagner la confiance de la population en instaurant des gardes fous dans le FFS…en renouvelant leurs cartes d adhesions,ces apla-ventristes se sont engagés de respecter la ligne du parti…c’est a la direction nationale de leurs « interdire » les postes de responsabilité……….c est a K.TABBOU DE LE FAIRE….AU LIEU DE COMPOSER AVEC EUX!!!!!
NB:sadali(satef 1) et hammadache (SATEF 2) tiennent leurs adherants en otage pour leurs interrets personnels…ce statu quo les arragent…ils poluent la scene syndicale…l un en attendant les prochaines legislatives…l autre en tirant profit du « bouteflikisme »…..LE CHAMPS SYNDICAL EST A REDEFINIR …….car le syndicalisme est basé sur l interret general et pas sur les interrets personnels ou de groupes mafieux.
A monsieur hakim 5,
sur ce blog, presque toutes vos interventions font référence aux « prochaines législatives », un évènement pour lequel vous semblez faire de la publicité au sein d’un blog pro FFS. Ou bien la perspective vous interesse personnellement beaucoup, ou bien vous faites de la sous traitance
« Bouteflikienne » en tentant de vendre sa marchandise par anticipation. dans les deux cas, vous rabaissez affreusement le débat sur des questions qui méritent une approche beaucoup plus sérieuses que vos propos au ras des paquerettes!
Personnellement, les propos « au ras des paquerettes » de Hakim5 ne me dérangent pas. Au contraire, ils permettent de discuter, pour peu qu’il en ait le culot, du sens de la notion « d’intérêts personnels » tels qu’il entend et tel qu’il m’imagine l’entendre. Ca peut intéresser que le bilan des « intérêts personnels » qui seraient les miens soit publié par Hakim5 : ça me ferait une sacrée publicité, même si au demeurant, je n’en ai nul besoin
Bien cordialement,
Tahar Hamadache.