Algérie: Rendez justice au nom du peuple
Pour le moment, on ne peut pas parler de justice avec une loi mère du pays bafouée et que le droit n’est pas garanti et la séparation des pouvoirs n’est pas déterminée. Ce qui se passe aujourd’hui est une véritable tragédie quand on voit des procès digne des procès de la préhistoire, des juges payés par l’exécutif avec un «parlement» qui est censé faire la loi et contrôler l’exécutif se trouve asservi et composé que des gens qui ne représentent que l’injustice.
En réalité la justice est là pour faire le bien et non le mal. Dans une démocratie saine, le juge doit avoir le pouvoir et la force de mordre la main qu’il béni, car la justice ne doit pas seulement faire, mais également, de manière manifeste et sans aucun doute, à voir à faire.
Le pouvoir judiciaire doit s’imposer à l’exécutif, et notre élite judiciaire devrait mesurer toute la portée de ses missions et ses responsabilités dans la société, en veillant sur l’harmonie et l’équilibre de la société, à travers des procès équitables qui puissent garantir l’équilibre de la société et la délicate mission de l’institution judiciaire d’être à l’écoute de tous les justiciables. L’objectif est de promouvoir une justice équilibrée et équitable afin de faire des citoyens des acteurs essentiels de la démocratie, plutôt que des éléments passifs qui regardent l’histoire se faire, se dérouler devant eux.
Le peuple algérien exige une «justice INDEPENDANTE» qui ne soit pas à la solde des tenants du pouvoir ou des clans mafieux pour être au cœur de notre société et devenir elle aussi un vrai pouvoir au même rang des pouvoirs constitutifs de l’État en l’occurrence le Gouvernement, le Parlement. Il faut lui porter la même considération institutionnelle, car la justice se doit de recevoir un contrôle permanent de celui au nom duquel elle agit, c’est-à-dire le peuple pour garantir leur indépendance et assurer leurs respect.
Rendre le pouvoir au peuple et justice au nom du peuple sont les conditions pour asseoir une véritable démocratie avec une réelle justice indépendante .
Par Mohand Tahar MOHAMMEDI.
Je profite de ce sujet pour lancer un appel aux justiciers et aux justicières, aux internautes assidus, ceux qui nous ont bassinés des mois durant , ceux qui disaient qu’ils n’étaient que de simples citoyens.
Je fais allusion aux blogueurs qui étaient au nombre de 5 et qui se sont distingués dans l’affaire hasseni. Où sont ils donc ? pourquoi ont ils cessé tout dialogue ? Pourquoi ne continuent ils pas à partager avec nous leurs tenacités et leurs opinions. Ils ont laché la lesse maintenant que le sujet est tombé des mains de ceux qui voulaient rendre justice à Mecili.
Ils disaient nourrir ce blog de leurs propres convictions; leurs cerveaux se sont ils taris pour déserter tous en même temps ce blog. On disait qu’ils étaient en service commandé, eux ils disaient non , force est de constater que nous avions raison. Où sont ils donc , nos chères dames et leurs amis males?
Mohand.
Comme l’a si bien décrit Benchicou, la justice algérienne est sans honneur. J’ajouterai qu’elle est tout le temps violée par les « tchikours » du régime maffieux. Elle est comme cette femme-là (pour ne pas dire cette p…-là) qui est soumise à ses maîtres obsédés par le viole à la manière d’un maniaque sexuel. C’est que nos « tchikours » éprouvent un grand plaisir quand commettent des atrocités en l’encontre de leurs victimes que cette justice impuissante est censée protéger. etc
Au sujet de la langue arabe PARTOUT decrétée par l’Algérie arabo-islamiste….
Je copie/colle cet appel ue j’ai trouvé sur kabyle.com
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Un justice à deux vitesses pour les Kabyles venus de France : Fatiha IDRI crie sa colère
Bonjour, je suis d’origine Kabyle mais toute ma famille vit en France. Le 14 octobre dernier, ma grand-mère résidente en France depuis plus de 50 ans a été assassinée dans sa maison à Ighzer-amokrane.
Un suspect a été arrêté, mais faute de preuves directes, il a été relaxé le 14 mai 2009.
Conséquences d’une enquête bâclée (pas de prise d’empreinte etc…). Je suis en colère car non seulement l’audience fut trés pénible car en langue arabe sans traducteur, dédain des autorités car « immigrés et kabyle » et maintenant le présumé meurtrier se pavane dans le village en question sans crainte car l’enquête est close!
Ma grand mère est morte pour à peine 100 euros et un vieux caméscope… la colère et la haine ont remplacé la tristesse, moi qui était si fière de mes origines.
Avec ma grand mère j’ai perdu mes racines.
Fatiha IDRI
Un courrier adressé l’Association des Kabyles de France.
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