Des faux maquis pour maintenir le terrorisme: Journalistes et juges complices
Comme après chaque attentat terroriste, les médias algériens – télévision, radio, presse écrite gouvernementale et indépendante– se pressent d’annoncer la macabre nouvelle aux Algériens tout en endossant la responsabilité automatiquement aux terroristes islamistes [1] jadis désignés sous le nom du GIA et aujourd’hui sous les appellations du GSPC et du AQMI. Les informations, très rarement basées sur des explications logiques, proviennent très souvent de sources sécuritaires et au fil des jours elles s’avèrent ou totalement fausses, ou contradictoires à soulever des doutes. Nos journalistes, qui manquent affreusement de professionnalisme, d’honnêteté et de courage, se contentent de reproduire les messages qui leur sont adressés, sans autres commentaires ou complément d’information de leur part qui puissent remettre en cause les thèses officielles et rediriger l’opinion publique vers d’autres pistes qui mèneraient peut-être à la vérité.
Certes, la guerre psychologique est parfois nécessaire pour affaiblir l’ennemi, mais dans le cas de l’Algérie, celle que mène le régime algérien ne semble pas affecter les soi-disant terroristes islamistes qui, au lieu de montrer des signes d’essoufflement, redoublent de férocité et fauchent presque chaque jour des dizaines de vies humaines parmi les citoyens ordinaires, les intellectuels [2], les militants des droits humains, les opposants politiques, les simples soldats, les simples agents de police et de gendarmerie. On se demande alors si les principaux protagonistes de ce jeu macabre n’appartiennent pas au même groupe et qu’ils ne se sont pas mis d’accord pour faire perdurer le terrorisme et le gérer de façon à ce qu’ils protègent leurs intérêts et qu’ils préservent leurs privilèges.
En fait, bien des indices nous incitent à croire qu’il y a une connivence et une étroite collaboration entre le pouvoir algérien, du moins une partie de celui-ci, et certains groupes armés qui sèment la terreur en Algérie. Les journalistes algériens devraient se poser des questions et mener des investigations avant d’entamer tout écrit sur le terrorisme et ce qui s’en suit comme horreur. Comment se fait-il qu’une armée de centaines de milliers de soldats bien équipés ne parvienne toujours pas, après plus de 15 ans de lutte, à venir à bout d’une poignée de « tangos » (600 à 800 éléments selon le chiffre officiel) squattés sur tout le territoire national ? Comment se fait-il que malgré le déploiement de l’ANP (points de contrôle dans chaque coin et couverture aérienne avec caméra à infrarouge pour vision de nuit) les « tangos » arrivent quand même à se déplacer aisément avec leurs armes lourdes d’une région à l’autre ? Comment et d’où les « tangos » [3] se procurent-ils des armes et du matériel de bombes et comment les déplacent-ils d’une région à l’autre sans qu’en soient informés les services secrets qu’on dit avoir infiltré les groupes armés? Comment se fait-il que les agents secrets du DRS qui excellent pourtant dans la recherche et la découverte des individus parmi les militants des droits humains et d’opposants en cavale ou en exil, n’arrivent pas à localiser et mettre hors d’état de nuire des groupes armés contenant des trentaines d’éléments et se déplaçant à pied, parfois même dans des zones découvertes comme le désert ?
L’on peut encore se poser des dizaines d’autres questions qui jettent un total discrédit sur la soi-disant lutte antiterroriste que mène le régime algérien depuis l’arrêt du processus électoral en 1992. Même si l’on tente de justifier l’échec de mettre un terme au terrorisme, non pas par la volonté de maintenir le statu quo, mais par l’incompétence des décideurs, civils et militaires, ceux-ci restent encore coupables du chaos, de la terreur et de la mort qui règnent en Algérie, ce qui devrait inciter nos journalistes à en parler et notre justice à lancer des enquêtes pour situer les responsabilités et sanctionner les fautifs. Ce silence de la part de ceux qui devront répandre la vérité pour la défense du citoyen équivaut à un soutien au terrorisme et l’immobilisme de ceux qui devront le protéger des injustices est une non-assistance aux personnes en danger. La loi algérienne et le droit international sont clairs quant aux mesures à prendre dans ces cas-là [4].
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NOTES :
1- Certes les attentats ont souvent été revendiqués au nom des groupes armés islamiques (GIA, AIS, GSPC, AQMI), mais qui peut certifier (sauf les experts) que ces revendications, quelles soient sous formes de messages électroniques, ou d’enregistrements sonores ou de films, sont authentiques ? Au point où l’on est en technologie électronique, l’on peut manipuler l’image et imiter la voix de n’importe qui pour revendiquer n’importe quoi. (voir: http://www.youtube.com/watch?v=jujbj-ZrNqs&feature=related ). Il y a même des gens qui ont ce don d’imiter à la perfection les voix des autres. Donc, no comment !
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Après l’assassinat de Tahar Djaout, un collectif d’intellectuels s’est formé pour démasquer les vrais commanditaires du meurtre. Plusieurs des membres de ce collectif ont été vite liquidés dans des circonstances non élucidées jusqu’à nos jours (voir : http://www.algeria-watch.org/farticle/presse/tahar_djaout.htm.) Avant sa mort, Said Mekbel met en cause explicitement le patron du DRS, le général Tewfik Mediène. (voir : http://www.youtube.com/watch?v=gBUHOUy_oFE&feature=related ).
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« tangos » terme qui désigne les groupes armés islamiques. Ce terme a fait son apparition pour la première fois au milieu militaire pour ensuite être repris par les journalistes de la presse écrites algérienne qui se laissent dicter les informations à publier.
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L’article 223-6[2] du Code pénal français – qui devrait être semblable à l’algérien – condamne l’abstention volontaire de porter assistance à une personne en péril :
Art. 223-6 stipule: Quiconque pouvant empêcher par son action immédiate, sans risque pour lui ou pour les tiers, soit un crime, soit un délit contre l’intégrité corporelle de la personne s’abstient volontairement de le faire est puni de cinq ans d’emprisonnement et de 75 000 euros d’amende. Sera puni des mêmes peines quiconque s’abstient volontairement de porter à une personne en péril l’assistance que, sans risque pour lui ou pour les tiers, il pouvait lui prêter soit par son action personnelle, soit en provoquant un secours.
Après la fin de sa mission, l’agent du DRS, le fameux fondateur et chef du GSPC, Hassan Hattab, qu’on dit avoir commis des massacres au sein des civils et des militaires (dont la majorité sont des jeunes appelés non expérimentés) rentre chez lui pour une retraite dorée ! La relève? Elle est assurée par AQMI dont le chef est Droudkal. Comme Hattab, celui-ci aussi rentrera un jour chez lui et bénéficiera de tous les privilèges !! Tout est clair; on est pas dupe.
le malheur de l’Algerie vient de ses propres derigents avec la complecitée des monstres qu’ils ont crés et les Algeriens qui ne prennent pas leurs problemes au serieux, il faut absolument destetuer ce gouvernement qui nous traitent comme des debiles mentale,revillons-nous.
Les tangos arrivent même à faire l’amour à leurs femmes et à offrir à leurs ovules, les spermatozoïdes nécessaires et indispensables pour qu’elles soient enceintes. Comment ? C’est peut-être simple, les tangos sont en mission: monter au djebel pour donner des consignes à leurs soldats et puis rentrer, tranquillement chez eux, en attendant d’autres missions. Tangoiste est une spécialité militaire crée par le DRS dont le but de refroidir toute velléité de qui ce soit de prétendre diriger un jour, librement et démocratiquement, l’Algérie et surtout de contrôler d’une manière ou d’une autre ses richesses : c’est à dire le morceau noire qui fait marcher l’économie mondiale. Le recrutement des futurs tangoistes est très sérieux, totalement secret et sans doute sous la responsabilité directe des plus proches du plus grand tangoiste que l’Algérie n’avait jamais connu. Le tangoiste en chef, absolu, grand et plus puissant que sa Fakhamatouhou Alkabir ou Al3adhim. Les nouvelles recrues doivent être facilement manipulables, totalement dévoué à son chef. Elles doivent être capables de tuer, de détruire, de massacre, de torturer, de violer, d’arracher des foetus des ventres de leurs mères, de découper des têtes et des les mettre sur un piquet, de découper en morceau un corps…sans hésitation et sans un regret ou un remord. Ils doivent de préférence être pauvres, peu lettré, sans horizon ou sans espoir et capables de haïr ses frères et ses soeurs si son chef l’exige de lui ou le lui demande un jour. Ils doivent connaître quelques versets coraniques et les interpréter dans le sens qui arrangera son chef et ses desseins, ils doivent éviter de fumer et de boire avec ses soldats mais ils peuvent fumer du thé ou boire un whisky quand ils viennent recevoir les ordres de leurs chefs et enfin, ils doivent être capables d’émettre des fetwas que tout ses soldats doivent exécuter sans coup frémir. Enfin, si un tangoiste réussie toutes ses missions sans aucune erreur, il devient un héros nationale, il est assuré d’une impunité totale, il a le droit à une protection permanente et il peut vivre tranquille et sans aucun soucis jusqu’à la fin de ses jours.
Voilà, Mr Idoussem, ce que m’a inspiré la lecture de votre article qui nous montre, clairement, que son la complicité des journalistes et des juges, le terrorisme n’aurait jamais fait autant de victimes et n’aurait jamais provoqué autant de destruction dans notre pauvre pays qu’il n’en a fait.
Fraternellement
voila un sujet d actualité tres interessant…
les voyoux sont entraion d etre demlasqués…mais ils s en fichent…nous n avons pas pu constituer une oppositiopn credible…le seul parti qui peut faire la difference est fortement infiltré…essayons de nous organiser a l extyerieur de ces partis que le pouvoir a su dompter…
pour justifier l etat d excep^tion…zerhouni le menteur avait dit… » nous aneantironr le terrorisme dans 3 mois… »…ce menteur savait ce qu il disait…il faisait passer le proger du terrorisme pour faire passer les projets economiques que le pouvoir voulait………..un voyou recruté par les multi nationales …tout comme boutef ..toufik et les autres………
je dirai la meme chose sur les meneur qui entretiennent un faux tissu associatif telk que « ugta…onm…unja..unfa….etc.. »
Article pertinent et courageux. Reste à explorer le sujet nodal qui structure toute cette histoire : la fonction politique de la violence en Algérie.
Pour autant qu’il existe des guérillas islamistes armés ‘autonomes’, il n’est pas inutile de se pencher sur l’évolution idéologique et organisationnelle des oppositions politiques armées en Amérique centrale et Amérique Latine, à l’exemple du Mexique avec le mouvement zapatiste du Sous-commandant Marcos et les FARC en Colombie de Jacobo Arenas.
Les questions fondamentales à observer sont d’abord liées aux parcours de leurs cadres et leaders, leurs positions concernant les dondaines de souverainetés ainsi que les questions sociales urgentes.
Il n’est pas donc exclu d’aboutir très vite à la conclusion selon laquelle les guérillas dites islamistes ne sont que des coquilles vides. Ces dernières sont farci à la TNT, souvent à leurs insu, et explosent, souvent à leurs insu, et ce quand l’exigent les nouvelles configurations des rapports de forces des pouvoirs occultes, celles mêmes qui les créent, les entretiennent, les modulent, les manipulent.
A en croire ce que vous dites sur les journalistes en généralisant, vous faites croire que tous les journalistes ont les coudés franches pour écrire ce qu’ils veulent.Vous méconnaissez leurs problèmes et toutes les pressions qu’ils subissent. Par contre la responsabilité des patrons de presse et de certains mercenaires(journalistes) dans la tragédie nationale est totale.Sans cette presse aux ordres, peut être que le régime n’aurait pas tenu aussi longtemps.
Au-delà de la gestion de l’information terroriste, cette presse s’est substituée à la classe politique et aux syndicats pour prendre des décisions et diriger les opinions en faveur du DRS et semer la confusion tant au plan national qu’internationnal.
Personnellement je suis dégouté de cette presse que je connais assez et la seule chose qui reste à faire, à mon sens vu que ce régime est soutenu au niveau international, est d’appeler Ait Ahmed à descendre à Alger et qu’il appelle, lui, les gens à descendre dans la rue.
Ce n’est pas du désespoir, peut être de l’utopie, mais il y a bien des utopies qui ont fini par se réaliser.
la mere de boutef est morte( Allah yerhamha )…FAKHAMATOUHOU EST ORPHELIN…sa vengeance sera terrible sur le peuple algerien.
C’est très simple : si on arrive à percer le secret du terrorisme algérien, c’est qu’on décalotte la tête du pouvoir, si on critique ce pouvoir, le terrorisme nous touche…quadrature du cercle…on’en sort pas….ils ne sont pas bêtes là-haut au sommet…c’est toute une machinerie de machinations qui n’arrete pas depuis l’assassinat de Boudiaf…si ça s’arrête, tout tombe…ça doit continuer pour maintenir le pouvoir 24h/j..365/année…non-stop.
Ceux qui doivent normalement allumer la flamme de la liberté, ils sont coincés dans la machine…et c’est inextricable…impossible d’en sortir…tout le monde est coincé, physiquement et mentalement.
Je remercie l’aurteur de l’article pour cette briallante analyse.
Il est de l’intérêt du régime de maintenir le terrorisme pour entretenir la peur sans laquelle il ne peut pas assurer sa pérennité. Si l’on se fie à la pyramide des besoins de Maslow, la sécurité vient juste après la satisfactions des besoins physiologiques, une chose que le régime a compris, tout comme les régimes du monde, et à leur tête les états Unis !!! Cela étant, le pouvoir maintient ce climat de peur pour que le peuple ne revendique que la sécurité au premier chef! Personne ne va oublié la fameuse expression des années du feu et du sang : »l’essentiel la paix et la sécurité reviennent »! , et durant le colonialisme: « l’essentiel on regagne l’indépendance » !!!!
qui peut croire à 20 ans de terrorisme dans une grande prison qui est l’algerie,ou rien n’échape a l’oeil du gardien.ce n’est qu’un scénario macheavelique pour tenir tout un peuple en otage.ces fous qui tienent l’algerie par une main de fer n’ont aucune intention de revenir a la sagesse et laisser ce pauvre peuple vivre et rever comme tout les humains sur cette terre.bref,ces monstres n’ont nullement l’intention de mettre fin a leurs feuilleton sanguinaire qui endeuil chaque jour des citoyens algeriens.les decideurs algeriens fairont désormais partie des grands criminels de notre histoire qui vivent dans l’impunité totale.
je suie entierement d’accord avec vous M.WALOU j’avais dit cela dans un commentaire la derniere fois qu’il suffirai que M.AIT-AHMED nous ouvre la voix et personne ne poura nous arreter et c’est le seul moyen pour debarquer ces voyoux,on m’a traité d’illumié. on lui demande juste q’il ouvre la voix ,pacifiquement
SI ON NE S OPRGANISE PAS…AUCUN LEADER NE POURRA RIEN POUR NOUS…
LE POUVOIR POUSSERA NOTRE REVOLUTION A LA VIOLENCE ET LA MATTERA.
COMMENCONS PAR NOUS ORGANISER…
Les jeux et les enjeux sont clairs comme de l’eau de roche.
La seule façon de maintenir l’état d’urgence dans le pays et de communiquer macabrement!Terroriser et terroriser davantage . Pas d’ouverture du champ politique et médiatique! Maintenir le verrouillage jusqu’au bout!
Terroriser,n’est-ce pas le moyen de s’ériger en dictateur? Maintenir la peur à l’intérieur des familles algériennes,c’est s’ériger en sauveur!
« L’enlèvement et la mort des sept moines, dont on n’a retrouvé que les têtes, a longtemps été attribué au Groupe islamique armé (GIA) qui avait revendiqué les séquestrations. Mais le 25 juin le général en retraite François Buchwalter, ancien attaché militaire à l’ambassade de France à Alger, a déclaré à un juge antiterroriste que les moines avaient été victimes d’une « bavure » de l’armée algérienne. » De TSA
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voici donc une autre preuve de l’implication des généraux algériens dans les assassinats ciblés endossés comme d’habitude au groupes armés islamiques.
Il y’a une mafia á l’echelle mondiale dont l’actuel pouvoir d’algerie est membre á part entiere.
Nous l’avions toujours signalé et dit hautement que le terrorisme en algerie est entretenu par le pouvoir et le regime d’alger soutenu par certains OFF-iciels en france.
Il faut ouvrir une commission mondiale d’enquete pour les arreter et les juger est l’unique moyen de mettre un terme aux crimes humanitaires.
Tous les crimes et assassinats commis en algerie sont contre le peuple et/ou contre celui et celle qui se leve contre le regime dictateur. La preuve Boudiaf fut assassiné en direct TV.
Et la preuve qu’aucun general ni sa famille n’ont ete visé par aucun des groupes terroristes crées en algerie par ce pouvoir. Et pourtant les cibles ne manquent pas au sein du regime et ses supports.
Franchement c’est incroyable!
Ces groupes terroristes ne s’attaquent qu’au simple citoyen(ne) et dire qu’ils sont moslem ces terroristes!!!
Faqou!
Le monde doit se reveiller sinon ce sera trop tard…
Tendrement votre.
LE FESTI-VA ! africain contredit la poursuite de l etat d urgence.
LES VRAIS RAISONS DU MAINTIEN DE L ETAT D URGENCE … C EST D ETTOUFFER LA DEMOCRATIE ET PERMETTRE A LA PEGRE INTERNATIONALE DE PARTAGER LA RENTE PETROLIERE ET AUTRES RICHESSES DU PAYS.
Les généraux algériens de nouveau accusés; lire ici: http://www.lefigaro.fr/actualite-france/2009/07/07/01016-20090707ARTFIG00008-apres-tibehirine-l-armee-algerienne-a-nouveau-soupconnee-.php
El-Watan, le 07/07/2009: « Du côté d’Alger, c’est l’omerta. Toutes nos tentatives de joindre des responsables au niveau du ministère de la Défense nationale se sont avérées vaines. Les déclarations du général Buchwalter sont-elles fiables ? Pourquoi n’a-t-il parlé que maintenant ? Pour quelle raison sa déposition a été largement relayée par les médias français ? Si les moines avaient été victimes d’une bavure, pourquoi le GIA a-t-il revendiqué leur assassinat ? Que s’est-il passé après que le messager du GIA se soit présenté à l’ambassade de France à Alger ? Beaucoup de zones d’ombres qui méritent d’être élucidées. »
« Si les moines avaient été victimes d’une bavure, pourquoi le GIA a-t-il revendiqué leur assassinat ? » Tout simplement, car ce GIA n’est qu’un masque qui sert à couvrir les vrais tueurs, les forces spéciales au services du DRS.
viva algéria malgré tout mé je diré une seul chose a propo de l’algerie on a un peuple magnifique le payi aussi mé pour l’état c lé vré térroriste c eux qui on mé tou sa de pui 91..mé viva algeria
tout personne algerienne qui touche l’algerie de pres ou de loin et un traitre , et toute personne qui accuse l’etat de ses crimes barbares n’est qu’un mercenaire etranger
hé toi suposé salah et tu un algerien qu pas si tu let ajuste tes mots ou bien degage auqune tolérance au traitre
allah ou akbar