Port d’Alger: paroles d’un syndicaliste
Après une grève d’une semaine, Dubai World Port (DPW), a mis en demeure les dockers de rejoindre leurs postes, dans un délai de 24 heures, sous peine d’un licenciement collectif.
Les contrats signés avec chacune des catégories professionnelles, déclare Ouanoufi Adel, au nom de ses collègues, «a bien mis l’accent sur cette garantie. Nous avons commencé avec DPW, le 1er avril 2009, laquelle a instauré un programme de travail très dur en expliquant qu’il s’agit d’un système international de gestion qui va permettre une meilleure rémunération et professionnalisation. Beaucoup n’ont pu supporter ce rythme et il est de notre droit de réclamer le retour à la société mère, comme cela est consacré dans la convention. Nous avons émis notre vœu, mais aucune réponse ne nous a été adressée. Ils nous demandent d’attendre et cette attente a duré plus de deux mois. Au niveau de l’Epal, les responsables ont refusé de nous reprendre, si notre situation n’est pas assainie avec DPW. Alors, nous avons estimé légitime de recourir à la grève pour arracher notre droit. La grève a été entamée le samedi 25 juin, et le samedi 4 juillet, DPW nous a transmis des mises en demeure de rejoindre nos postes de travail dans un délai de 24 heures sous peine d’être licenciés». Source El Watan/ Synthèse d’El Mouhtarem
à quel syndicat etes vous affiliés?
si c’est l ugtéza…vous ne pourrez rien faire vu que votre organisation est composée de malfaiteurs …chers travailleurs,vous croyiez etre malin en evitant le baton et en profitant de la corruption …au lieu de lutter pour l interret general…: ce qui vous arrive a été cousu de vos propres mains.
Elakouba les ouvriers de la défunte « sonatrach » actuellement (Haliburton et Anadarko)et nous verrons ici des ouvriers texans et sud americains.