Ain Temouchent: Le maire de Hammam Bouhadjar échappe à une mort certaine
Une vraie catastrophe a failli se produire dans le bureau du maire de la ville de Hammam Bouhadjar, mercredi, aux alentours de 11 heures, après qu’un citoyen eut aspergé le président de l’APC avec de l’essence et s’apprêtait à mettre le feu, n’était-ce l’intervention des présents qui ont maîtrisé l’individu et l’ont empêché de commettre son forfait. Le citoyen A. M., âgé de 34 ans, marié et père de 4 enfants, fait partie des personnes activant dans le cadre du filet social depuis plusieurs années. Ne supportant pas son statut du fait de ses maintes demandes de titularisation restées vaines et las des promesses non tenues des élus, il décida de passer à l’acte. Il est entré dans le bureau du maire, a sorti de sous sa chemise une bouteille d’essence et a commencé à asperger d’abord le maire, puis le bureau. Au moment où il s’apprêtait à craquer une allumette, le maire adjoint et le secrétaire général de l’APC accoururent vers lui et l’empêchèrent de commettre l’irréparable, rapporte Le Soir d’Algérie.
ce sont les premiers indices …la longue liste est a venir…ou va l algerie disait deja un brave homme…
l’algerie un grands pays producteurs de désespoir par ceux qui le dirige et une grande partie de l’opposition periodique.le manque de courage et de chacun pour soi vont ruinée le pays.un peuple en totale hibernation n’ayant aucune intention a changer les choses et comdamner sous l’oppression et la dictature.
Le cimetière des humbles et le royaume des lâches !
La mort tend à devenir
La seule issue, le seul espoir
Qui reste à ceux qui vivent dans la misère
A ceux qui ne savent pas quoi faire
Pour voir dans leurs vies un filet de lumière
Et, à ceux que torturent les soucis nuit et jour
L’Algérie est devenue un cimetière
A sa jeunesse pleine d’énergie, de sang et de sueur
Ses saints n’arrêtent pas de faire des prières
Mais ses démons ne veulent rien entendre, ni voir
Ils lui réclament sa dignité, sa fierté et son honneur
Sinon, ils ont juré de la joncher de cadavres pleins de blessures
L’Algerie qui avait résisté à maintes et maintes envahisseurs
Pleure ses suicidés, ses victimes et ses millions de martyres
Elle offre ses jeunes filles vierges et
pures
A leurs cousins, leurs proches et leurs frères
Et, elle accepte que l’avarice, l’avidité
et la luxure
Puissent régner sur des millions de gens sans avenir, ni repères
L’Algérie qui possède une longue et grande histoire
Écrite par le courage, le sacrifices et l’honneur
Se trouve gouverné par des hypocrites, des voleurs et des pervers
Qui ne pensent qu’à remplir leurs panses de charognards
Qu’à boire du whisky à l’odeur mauvaise au goût amère
Et, qu’à tuer ceux qui s’opposent à leur haine hideuse et noir
L’Algérie qui aurait pu devenir un pays de liberté et de savoir
Est rendu un lieu de dépravations, de crimes et de malheurs
Elle cultive l’ignorance et la violence dans les coeurs
Elle inculque aux esprits doux l’art de flatter et de mentir
Pour se loger, manger, s’habiller et se nourrir
Au lieu de leurs apprendre à travailler, à s’éduquer et à réfléchir
Afin de devenir des hommes intègres, autonomes et sincères
L’Algérie pour laquelle nous étions prêts à mourir
Nous a volé nos rêves, nos souhaits et tout nos désirs
A cause d’une poignée de lâches qui n’avaient pas fait la guerre
Et qui étaient cachés de l’autre côté de
la frontière
Tout en se préparant à prendre de force le pouvoir
Des que le colonisateur commencera à amorcer son départ
Fraternellement